E-65 Et vous autres qui êtes bien portants et en bonne santé maintenant, priez pour eux. Je pense que si vous étiez malades et que vous aviez levé la main, eux prieraient pour vous. Priez donc tous les uns pour les autres, confessant vos fautes les uns aux autres. Est-ce vrai? Et priez les uns pour les autres, afin que vous puissiez guérir...
Est-ce que toutes les cartes sont dans la ligne, Billy? Hein? Très bien, il en a distribué quelques-unes cependant qui ne sont pas dans la ligne... Eh bien, c'est 85, W 85 à ... [Espace vide sur la bande- N.D.E.]...un du Père. Que la maladie soit guérie, que l'aveugle voie, que le sourd entende, que le muet parle, que le boiteux marche. Il ne nous faut pas avoir ces choses pour croire en Toi, Seigneur. Nous les croyons de toute façon.
Mais si c'est Ta glorieuse volonté ce soir de nous accorder ces privilèges et ces bénédictions, exauce la prière de Ton serviteur, alors que je le demande au Nom de Jésus. Amen.
E-78 Faites venir cette dame. Bonsoir. Croyez-vous de tout votre coeur? De tout votre... Très bien. Eh bien, j'aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci. Très bien. Je me suis réjoui de la pensée que vous avez eue là: "Il est ressuscité", et Il vit dans nos coeurs.
Un jour sur le chemin d'Emmaüs, deux hommes marchaient, et ils - ils... Un Homme s'est approché, juste un Homme ordinaire, Il n'était pas habillé d'une façon différente, dans des robes de sacrificateurs. C'était un Homme, portant des habits juste ordinaires, un Homme qui marchait...?... en ces jours-là. Il s'est avancé, Il s'est mis à leur parler, Il a dit: "Pourquoi êtes-vous inquiets?"
Ils ont dit: "Eh bien, es-Tu un étranger?" Ils ont dit: "Jésus de Nazareth que nous savons être Prophète de Dieu, et nous espérions qu'Il allait devenir le Roi d'Israël, mais on L'a tué. Et Il est mort, et - et Il a été enseveli. Il y a eu tout ce trouble et tout."
E-83 Très bien, faites venir cet homme. Très bien, monsieur. Qu'en pensez-vous? Croyez-vous? Merci, monsieur. Ce n'est pas parce que c'est un honneur pour moi; c'en est un, de servir notre Seigneur Jésus-Christ. Si donc vous croyez que je suis Son prophète, alors Dieu peut faire quelque chose pour vous. Considérez-moi comme tel, si vous croyez que je suis Son prophète. Très bien. Vous souffrez du cancer. Evidemment vous le savez. Vous êtes malade, un homme sur le point de mourir. Voici une autre chose. Vous cherchez le baptême du Saint-Esprit. Est-ce vrai? Si c'est le cas, levez la main. Allez, recevez votre guérison ainsi que le Saint-Esprit, au Nom...?...
Disons: "Gloire à Dieu." [L'assemblée répond. - N.D.E.] Il est ici. Priez. Croyez. Qu'en pensez-vous, soeur, vous qui avez des tumeurs? Cette dame corpulente assise là au bout, qui a des tumeurs? Voulez-vous guérir de cette tumeur et être rétablie? Oui. N'aimeriez-vous pas guérir? Levez la main et dites: "J'accepte cela, Jésus." Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guérie.
E-84 Très bien monsieur, venez, monsieur. Amen. Croyez. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous que je suis Son prophète, monsieur? Et acceptez-vous maparole comme étant la vérité? Très bien, monsieur. Si je vous dis que vous êtes guéri, que je vous dis ce qui ne va pas, ou ce qui n'allait pas en vous, allez-vous accepter donc cela? Très bien, levez la main. Tapez vos pieds. Votre rhumatisme, votre arthrite vous a déjà quitté. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant...?... Juste chez vous maintenant et que...?... les gens...?...
Je demande à tout le monde dans cette salle ici, au Nom du Seigneur Jésus, de croire l'Ange du Seigneur.
Là, dans cette rangée-ci, quelque part dans cette ligne-ci, regardez vers moi. Croyez-vous? Je vois une dame assise là même, en robe rouge. Il y a quelque chose, je viens de voir quelque chose bouger au-dessus d'elle, c'est un objet blanchâtre, et on dirait que cela se trouve là, c'est dans son dos. Est-ce vrai, madame? Avez-vous les maux de dos? Et n'avez-vous pas quelque chose qui ne va pas aux yeux? Oui. Ne suivez-vous pas le traitement aux rayons X? N'avez-vous pas bu quelque chose avec les rayons X? Est-ce vrai? Est-ce... Levez la main si c'est vrai. Levez-vous et soyez guérie maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia!
E-4 On ne sait pas. Ce soir, dans mon coeur... J’espère... J’ai dû mettre un...?... Voyez-vous, je suis une personne sensible, le genre de personne mélancolique. Je n’arrive pas à m’en débarrasser. Satan en tire un avantage sur moi. Voyez-vous? Je suis du genre de ceux qui peuvent faire la dépression. Bien sûr, je pourrais vous dire adieu dans quelques minutes. Je–je ferais mieux de le faire. Mais juste pour m’exprimer, je me mets parfois à pleurer. Voyez-vous?
Mais je n’aimerais pas faire cela. Je dois placer quelque chose ici devant. La vérité de Dieu vient donc en premier. Je ne peux pas vous dire adieu, parce que si je demeure en Christ et si vous demeurez en Christ, nous nous rencontrerons de l’autre côté-là, où il n’y aura pas d’adieux. Nous sommes déjà ancrés en Christ. Voyez-vous?
Je pourrais devoir venir ici dans le champ missionnaire, et tout, et vous pourriez devoir aller dans votre champ missionnaire. Mais Dieu seraavec nous deux, et Il veillera sur nous jusqu’à ce que nous nous rencontrons de nouveau.
E-5 J’ai appris que quelques gentlemen ont accompli quelque chose ici en rapport avec les dépenses pour cette salle. Comme je vous remercie, mes frères. Que Dieu vous bénisse.
Nous ne sommes jamais dans le champ pour recevoir de l’argent, jamais. Si jamais j’ai eu cela dans ma–ma pensée, que Dieu m’aide à être suffisamment gentleman pour quitter le champ missionnaire et prier jusqu’à ce que Dieu amène mon coeur à être encore droit vis-à-vis de Lui. Voyez-vous? Il n’est pas question de cela. Mais nous sommes maintenant un peu terriblement dans le besoin. C’est vrai, parce que je m’étais retiré des réunions pendant environ sept mois. J’avais des centaines de dollars de dette, et je devais régler cela. Et ensuite je dois préparer mon budget pour les voyages d’outre-mer, là où je sais qu’une vision m’appelle. Et je crois que lorsque tout sera prêt, à ce moment-là Dieu me laisserapartir.
Et votre offrande, elle est allée aujourd’hui... Frère Baxter a dit qu’ils ont prélevé une offrande d’amour. J’apprécie cela de tout mon coeur. Aussitôt que je le pourrais, le Seigneur m’enverra dans un–dans le champ missionnaire.
E-6 Oh! J’aimerais me réchauffer à votre feu tout le temps. J’aime être juste ici, non loin de chez moi, m’entretenir avec vous, aller chez vous à la maison pour vous rendre visite. Personne ne sait comment je peux le faire. Dieu le sait. Je–j’aimerais bien le faire. Il n’y a personne parmi vous dans cette salle chez qui je n’aimerais pas aller ce soir, et passer toute la nuit, et m’entretenir avec vous, me lever le lendemain matin et m’asseoir sur le porche de devant, ou sous un arbre quelque part et parler de Christ avec vous. Mais c’est totalement... Je ne peux pas le faire pour tout le monde. Vous comprenez ce que je veux dire? Et puis pour donner le meilleur de moi à mon Maître, et à vous, alors je reste seul dans une pièce. Je suis constamment en prière. «Ô Dieu, aide-moi afin que lorsque je descendrai là-bas, je puisse Te représenter, et que de mon mieux je puisse amener les gens à voir l’amour de Dieu» (Voyez-vous?), quelque chose pour vous aider.
Maintenant, si vous avez donné cette offrande d’amour ce soir, laissez-moi vous donner un passage des Ecritures. Jésus a dit: «Tout ce que vous avez fait au moindre (c’est moi) de Mes petits, c’est à Moi que vous l’avez fait. Quiconque donnera à l’un de Mes disciples, à ceux qui croient en Moi, un verre d’eau, parce qu’il est Mon disciple, il ne perdra point sa récompense.» Et que le Seigneur vous rende celaau centuple.
Merci beaucoup. Je sais qu’il y a un petit...?... attaché à cela. Monsieur Baxter n’est pas ce genre d’homme là. Et c’est simplement pour vous dire «merci.»
E-7 J’aimerais que vous sachiez tous que le gardien... (Je crois que c’est celui qui se tient ici, si je ne me trompe pas. Peut-être que c’est quelqu’un ici dans la salle.) Et les autres qui travaillent, les huissiers, les ministres, les laïcs, et chacun de vous... Certains parmi vous ont envoyé de petites choses à manger au camp.
Un certain frère est assis dans cette salle ce soir. Je viens de le reconnaître il y a quelques instants. J’étais dans un restaurant l’autre jour et il est entré. Je suis allé payer la note. J’avais amené ma femme, soeur Baxter et les enfants. La note avait déjà été payée. Quelqu’un l’avait payée. Je ne pense pas qu’il aimerait que je mentionne ici son nom, ou que j’attire l’attention des gens sur lui. Mes amis chrétiens, nous ne désirons pas faire ces choses. Voyez-vous? Nous ne permettons pas à cette main de savoir ce que cette main-ci fait.
Ainsi j’apprécie tout cela. Et vous savez, Dieu sait, je prie que ces bénédictions soient à jamais avec vous. Et là de l’autre côté, dans les...?... sombres, dans les pays des païens, quand la bataille fera rage, que Satan sera de tout côté, je me souviendrai qu’à Zion les gens prient pour moi. Merci. Que Dieu vous bénisse. Si jamais vous passez à Jeffersonville, passez me serrer la main. Lorsque je suis à la maison, je serais heureux de vous recevoir à n’importe quel moment.
E-8 Très bien, lisons quelques passages des Ecritures et entrons directement dans le service. Au chapitre 2 de Luc, j’aimerais lire ceci, l’adoration ici, celaa été merveilleusement écrit. J’aime cela.
Toutes les Ecritures ont été écrites d’une manière merveilleuse. Au verset 25 du chapitre 2 de Luc, il est écrit ceci:
Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste... pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,
il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:
Maintenant, Seigneur, ...laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon taparole.
E-11 A vous mes frères ministres, prêchez laParole; soyez à l’oeuvre. Si jamais il y a eu un temps où il faut que vous prêchiez, c’est bien maintenant. Mettez-vous à l’action, rapidement. Ne laissez rien vous arrêter. Partez. Allez partout dans les environs. Allez quelque part.
Tout récemment, je disais... Les Russes, ils sont retournés là après la guerre, peut-être qu’ils étaient en train de faire sécher leur blé. Et c’était... C’était à la fin de l’automne. La neige allait commencer à tomber. Et chaque jour, chaque nuit, ils labouraient à la herse. Ils ne pouvaient pas attendre que le blé soit–que le champ soit labouré. Ils devaient simplement faire de leur mieux. Et la nuit, on pouvait entendre ces petits enfants marcher devant leurs parents, tenant une lanterne. Et les parents, les femmes et les hommes labouraient à la herse comme ceci, grattant le sol. Ils ne pouvaient pas attendre pour labourer la terre, la neige était trop proche.
M’entendez-vous très bien? Tout au fond, levez la main si vous m’entendez. Très bien, c’est bien.