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Phoenix, Arizona, USA

E-5 J’en parlais à mon épouse qui est là derrière, une fois rentrés chez nous, et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, Bill, c’est ce que chaque fois eux ... Tu les gardes trop longtemps.»J’ai dit: «Chérie, je suis vraiment trop lent. Je–je n’arrive pas à y penser aussi vite que ça. Dieu est vraiment miséricordieux envers moi, en me permettant d’être lent, je pense, et Il me permet d’aller de l’avant, Il me témoigne Sa bonté.»

Puis, l’autre soir, entendre un médecin... Oui, hier soir; c’est exact, Frère Shakarian. Vous savez, j’ai beaucoup d’amis médecins, de bons médecins. J’ai eu un entretien chez les Mayo, vous le savez. Vous avez le magazine, le... Je pense que ça s’intitule le... oh! Reader’s Digest, il y a de cela cinq ans: «Le miracle de Donny Martin», là en Californie. Et j’ai rencontré ce staff médical là-bas, les gens les plus gentils qu’on aimerait rencontrer.


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E-7 Avec ça, et quand j’ai suivi d’autres hommes, certains parmi eux, je ne les connaissais même pas... Je crois certainement que ce serait glorieux, si seulement nous rentrions à la maison maintenant même. Ce serait merveilleux. Mais je crois qu’Il nous accordera d’autres bénédictions, car il y en a beaucoup ici. J’attends d’écouter ce frère Brown, je pense, demain soir. Et je n’ai jamais...Episcopalien, hein? [L’assemblée rit–N.D.E.] Presbytérien. Avec une telle erreur, je ferais mieux de lire les Ecritures et d’aller de l’avant, n’est-ce pas? Puis-je dire ceci, Frère Brown: un frère en Christ. Je sais que cette fois-ci je suis dans le vrai. J’ai beaucoup entendu parler de lui, et j’aimerais certainement l’écouter.


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E-11 Eh bien, je suis allé... Quand j’y pensais, j’ai pris le dictionnaire. Et je me suis dit: «C’est un mot un peu inhabituel. Nous ne l’utilisons pas très souvent.» Alors, je me suis dit: «Peut-être, Seigneur, comme Tu as placé cela sur mon coeur, il y a peut-être là quelque chose qu’il me faut consulter.» Et le dictionnaire Webster dit qu’un paradoxe, c’est quelque chose d’incroyable, mais vrai; quelque chose d’incroyable, mais pourtant, vrai. On ne dirait pas que ça peut être vrai, pas du tout, mais c’est vrai. C’est ça un paradoxe.


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E-12 Je me suis alors mis à penser aux nombreux paradoxes que nous pourrions relever. Et si nous nous y attardions cet après-midi, vous seriez étonnés de voir combien nombreuses sont des choses qui sont scientifiquement impossibles, mais cependant possibles.

Le fait que cette terre est suspendue dans l’espace est un paradoxe. On nous dit qu’elle tourne faisant une rotation complète toutes les vingt-quatre heures, et la terre a une circonférence d’environ vingt-cinq mille miles [40.225 km]. Et vous savez, vous pouvez... Il n’y a rien au monde qui tourne aussi parfaitement que la terre. Et l’éclipse de la lune par rapport au grand système solaire... Comment se tient-elle dans l’espace, effectuant une rotation si parfaite, étant axée sur l’Equateur, qu’on peut en déterminer le temps pendant vingt ou trente ans, sans rater une seconde?


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E-20 Frère Wood a dit... Eh bien, il était un témoin de Jéhovah, son fils qui était estropié, avec une jambe recroquevillée, a été guéri dans une réunion. C’est un entrepreneur. Il a simplement arrêté le travail d’entrepreneur, il a emménagé et est devenu mon proche voisin, il est là depuis dix ans environ. Eh bien, tous les membres de sa famille, par des visons...chacun d’eux, même ceux qui étaient lecteurs dans le mouvement des Témoins de Jéhovah, ils sont tous remplis du Saint-Esprit. Nous nous tenions donc là, il a dit: «J’ai amené avec moi mon pasteur.» Alors, ce vieil homme a dit: «Wood, tu ne vas pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur partout où tu vas!» Alors je me suis dit qu’il était donc temps pour moi de sortir de la voiture. Je suis alors sorti de la voiture, je suis allé là où le vieux gentleman était assis. J’ai dit: «Bonjour.»Il a dit: «Bonjour, monsieur.» Et il a dit: «Et vous êtes un prédicateur?»J’ai dit: «Oui, oui. Je suis censé l’être.»Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je n’ai pas une très haute opinion de ces gens-là.»J’ai dit: «Eh bien, ce sont de très bonnes gens, la plupart d’entre eux.»Il a dit: «Eh bien, voilà le genre que je n’ai pas encore rencontré.»Et je–j’ai dit: «Certainement.»Il a dit: «Je pense...»J’ai dit: «Qu’est-ce qui vous fait dire cela


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E-21 Il a dit: «Je pense qu’ils aboient à un arbre où il n’y a rien.» Eh bien, tout le monde sait que, quand un chien avec lequel on chasse la nuit aboie à un arbre où il n’y a rien, on est toujours induit en erreur. Alors, il a dit: «Ils aboient à un arbre où il n’y a rien.» Et alors, il a ajouté: «Ils prétendent avoir forcé quelque chose à monter à l’arbre, cependant on n’arrive jamais à voir cela.»«Oui, monsieur.»Et il a dit: «Ils sont toujours là à parler de quelque chose, mais ils ne peuvent rien présenter.»«Oui, oui.» Il a dit: «Il y a environ deux ans, un certain prédicateur est venu ici, dans une petite ville appelée Acton, là au terrain de camping des méthodistes. On y tenait une réunion.» Il a dit: «Il y avait une soeur avancée en âge qui habitait ici sur la colline, elle se mourait du cancer.» Et il a dit: «Cet homme-là n’avait jamais été dans cette contrée-ci.»


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E-23 «Eh bien, a-t-il dit, la femme était partie avec d’autres personnes.» Et il a dit: «Franchement, c’est là à environ trois miles [environ 5 km].» Et il a dit: «Nous avons pensé qu’on avait fait venir l’Armée du Salut, cette nuit-là, sur le flanc de cette colline, vers 22 h.» Mais il a dit: «Nous sommes allés là le lendemain matin, et la dame âgée préparait un petit-déjeuner, prenait pour petit-déjeuner des tourtes aux pommes frites.» Et il a dit: «Il y a de cela deux ou trois ans.» Et il a dit: «Vous savez, elle n’est même plus tombée malade depuis lors.» Il a dit: «Eh bien, si je peux voir pareille chose se passer!»«Oh! ai-je dit, vous...» Frère Wood m’a regardé, et j’ai secoué la tête. Alors, il a dit...Je me tenais là, avec des saletés, le sang des écureuils et tout, des moustaches longues comme ça, ayant campé dans des collines... Et je–j’ai dit: «Cela vous laisse-t-il perplexe?» Il a dit: «Absolument pas.»J’ai dit: «Cela vous dérangerait-il que je prenne l’une de ces pommes?»Il a dit: «Allez-y. Les guêpes les rongent.»J’ai dit: «Merci.» Je l’ai essuyée sur mon vieux pantalon sale et j’en ai pris une bouchée. J’ai dit: «C’est une bonne pomme.»Il a dit: «Assurément. Ça a fait trente-cinq ans que j’ai planté cet arbre-là.» J’ai dit: «Voyons, c’est pratiquement la dernière semaine d’août.»«Oui, oui.»J’ai dit: «Monsieur, j’aimerais vous poser une question.»Il a dit: «Allez-y.»J’ai dit: «Quand vous aviez planté cet arbre là, quelle était sa taille?»«Oh! a-t-il dit, c’était juste un rabougri, d’à peu près cette taille.»«Oui, oui.» Et j’ai dit: «J’aimerais vous poser... On est maintenant même à la dernière semaine d’août. Nous n’avons même pas eu une nuit froide. Mais les pommes sont toutes tombées de cet arbre, les feuilles aussi.«Cette feuille est redescendue dans la racine.»«C’est exact.» J’ai dit: «Monsieur, pourquoi cette feuille est-elle tombée? A-t-elle fané?»«Non, a-t-il dit, eh bien, la vie l’a quittée.»«Oh! je vois. Ainsi donc, la vie l’a quittée et elle est retournée dans les racines.»«Oui.»J’ai dit: «Monsieur, que se serait-il alors passé si elle n’était pas retournée dans les racines?»«Eh bien, a-t-il dit, l’arbre... Elle doit retourner dans les racines. L’arbre ne vivrait pas. Il mourrait. L’hiver le tuerait.» Il a dit: «Ici, il fait parfois -20 ou -30 degrés.»


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E-24 Et j’ai dit: «Oui, oui.» J’ai dit: «Monsieur, dites-moi quelle Intelligence ordonne à cette sève de quitter l’arbre pour descendre dans les racines pendant l’hiver. Eh bien, placez un seau d’eau sur un poteau là, et voyez si en mi-août l’eau se mettra à descendre jusqu’au bout du poteau.» J’ai dit: «L’arbre n’a pas d’intelligence. Il ne connaît pas les saisons. Il n’a pas d’intelligence. Cependant, il y a une Intelligence quelque part qui envoie cet arbre là-bas pour préserver sa vie.»Il a dit: «Je n’y avais pas pensé sous cet angle-là.»J’ai dit: «Vous voyez donc cela ici même dans votre cour. Pourquoi voulez-vous donc voir ce prédicateur-là, alors que vous voyez cela ici même?» J’ai dit: «La même Intelligence qui m’avait dit que la soeur de cette femme-là se mourait du cancer (et je l’avais vue guérie en vision), cette même Intelligence est si proche de vous qu’Elle contrôle l’arbre qui est dans votre cour.»

Il s’est levé et m’a serré la main. Je l’ai conduit à Christ cet après-midi-là. Il est mort environ une année plus tard. Cette année, j’étais là et j’ai rencontré sa veuve. Je me suis avancé pour lui demander de chasser. Dans un premier temps, elle allait me chasser des lieux, quand j’y étais retourné. J’ai dit: «Un instant.» Elle n’était pas là quand j’y étais.


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E-34 Noé s’est préparé pour cela. Je m’imagine que pendant qu’il faisait des préparatifs, les gens disaient: «Je me demande ce que ce vieux toqué est en train de foutre là, là-haut, en martelant ce vieux navire en bois. Il n’a jamais plu. C’est un... Pareille chose n’existe pas.» Je m’imagine que les hommes de science pouvaient venir là devant Noé et dire: «Ecoutez. Nous, nous avons des instruments qui nous permettent de prendre les vues des étoiles, et il n’y a pas de pluie là-haut. Comment au monde vos propos peuvent-ils être vrais, qu’il va pleuvoir, alors qu’il n’y a pas d’eau là-haut?» Mais vous voyez, si Dieu a dit qu’il pleuvrait, Il peut créer la pluie. Il s’est donc préparé pour cela, il a préparé le par...–le paradoxe. Et la pluie tomba.


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E-35 Abraham, alors qu’il était au sommet de la montagne avec son unique enfant, le petit Isaac... Il avait attendu vingt-cinq ans pour avoir cet enfant. Et puis, quand l’enfant avait environ quatorze ans, Dieu lui a dit... Pourquoi faisait-il donc cela? Pour confirmer que Dieu tient Sa Parole. Peu importe combien Elle paraît absurde, Il peut toujours accomplir et opérer un paradoxe.

Il a dit: «Prends ton petit garçon de quatorze ans, amène-le sur la montagne, et offre-le en sacrifice.» Et il l’a amené à la montagne. Et alors, si ce...Il avait alors environ cent quinze ans. Il avait attendu cet enfant pendant vingt-cinq ans, et voici le jeune garçon... Et il allait détruire l’unique évidence qu’il avait de voir cette promesse de Dieu (devenir le père des nations) s’accomplir donc, et il lui a été alors demandé de détruire cela. C’est pourquoi il appela cet endroit Jéhovah-Jiré. En effet, quand il fut sur le point d’obéir pleinement à Dieu, le Saint-Esprit saisit sa main, et un bélier bêla derrière lui, retenu par les cornes dans la nature. Qu’était-ce? Un paradoxe.


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