E-152 Très bien. Nous voyons que Jean n’est pas allé suivre sa formation ecclésiastique, mais il est allé au désert pour acquérir une expérience. Lorsqu’il en est revenu, il parlait désert: «Race de vipères», les serpents qu’il avait trouvés au désert. «La cognée est mise à la racine de l’arbre.» Ses sermons étaient basés sur de telles choses. Mais, observez, les gens sont venus, il a dit: «Au milieu de vous il y a Quelqu’Un maintenant que vous ne connaissez pas.» Il savait de quoi il parlait.
E-154 Peut-être, peut-être que Caïphe, le souverain sacrificateur, était là. En fait, je pense qu’il n’était pas là, il était trop dignitaire pour aller à un tel endroit. Mais lui, quelqu’un parmi les sacrificateurs pouvait avoir dit: «Monsieur, voici frère Jones. C’est un brave homme. Frère untel ici, frère John Doe, il... je–je pense qu’il... le Seigneur fera de lui le Messie.»
E-156 «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» L’Eglise de Dieu s’est levée et a été revêtue d’autorité. Oui. Eh bien, allons jusqu’à ce que je termine ce texte maintenant. Jean, tenace. Et il a eu de la persévérance parce qu’il savait qu’il reconnaîtrait ce Messie-là, car le Messie devrait porter un signe. Et aujourd’hui, nous voyons des signes, les signes de la Venue du Messie, affluer. Eh bien, écoutez calmement maintenant.
E-162 Eh bien, rappelez-vous, Sa–SaParole est une Epée. C’est ce que déclare la Bible. C’est une Epée. Hébreux 4, 4.12, si vous voulez le noter Hébreux 4.12 dit qu’Il... «LaParole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants.» Permettez-moi de m’arrêter ici juste une minute. Ecoutez. «LaParole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager l’os, (ainsi de suite) la moelle; Elle discerne les pensées du coeur.» Est-ce vrai? Ce–ce–ce... Arrêtons-nous juste une minute. Pensez donc: «Elle discerne les pensées du coeur.» Est-ce que l’Ecriture ment? Elle ne le peut pas. Si Elle se contredit, Elle ne vaut pas le papier sur lequel Elle est écrite; c’est une séductrice. Si les promesses de Dieu se contredisent, que–qu’allons-nous croire?
E-177 Eh bien, si c’était l’un de nous (Oh! la la!), çaaurait été la chose. Votre dénomination, il n’y a rien là. «Oh! Il aparlé de ma dénomination; je ne L’écouterais plus.» Oui, oui, vous y êtes. Allez de l’avant (Voyez? Voyez?); vous ne recevrez jamais quelque chose. Accrochez-vous donc à cette Parole-là. Là où cette Parole se trouve, allez directement avec Elle. La foi était ancrée.
E-182 Frère, elle n’était pas une plante de serre, qu’on devait dorloter, cajoler comme certains produits d’aujourd’hui: «Oh! la la! Eh bien, je ne retournerais plus jamais, c’est tout ce qu’il y a là.» Oh! la la! Il n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas tenir cette Epée de la foi; il n’est pas étonnant que vous fassiez des compromis sur les Paroles. Vous allez quelque part où vous pouvez entendre une espèce de petits discours efféminés rassemblés, vous petite plante de serre, vous. Dès qu’un petit insecte vous frappe, ça vous tue: vous devrez être aspergé tout le temps. «Oh! Ne croyez pas cette sottise, les jours des miracles sont passés!» Ça, c’est un vaporisateur du diable. Novice.
E-191 Puis, après Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection et Son ascension, Paul (c’était alors Saul de Tarse), en route vers Damas, fut terrassé par cette même Colonne de Feu, que personne d’autre n’avait vue. Eux tous se tenaient là, ils n’ont pas vu Cela, à part Saul. Et une Voix se fit entendre, disant: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus.» (Voyez?) «Je viens de Dieu, Je vais à Dieu.»
E-203 Jésus est passé par là; Il connaissait la volonté de Dieu. Rappelez-vous, Il venait–Il venait de ressusciter un homme mort. Et rappelez-vous ce qui était arrivé ici. Il est passé près de cette piscine-là, Il est passé à côté de cette piscine, il y avait des mamans avec de petits enfants. Ils attendaient que l’Ange de l’Eternel agite les eaux. Il est donc passé à côté, Il est allé auprès d’un homme qui souffrait d’une maladie, disons, d’une prostatite. Il en avait souffert depuis trente-huit ans. Celaavait duré. Cela n’allait pas le tuer. Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Qu’en est-il de cet aveugle, de cet estropié, de cet aveugle, de ce boiteux, de ce paralytique? Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Voyez, Il savait exactement où aller. Dieu, laParole, L’avait conduit. Eh bien, Il a dit: «Veux-tu être guéri?»
E-209 Eh bien, pourquoi n’était-Il pas venu? C’est parce que le Père Lui avait montré en vision que Lazare allait mourir. Eh bien, regardez, ils–ils L’ont envoyé chercher; Il est allé dans une autre ville. Ils L’ont encore envoyé chercher; Il est allé dans une autre ville. Puis, finalement Il a dit: «Lazare dort.» Oh! Ils... Ce sont les termes qu’Il avait utilisés. Le chrétien ne meurt pas. Nous le savons.
Oh! On a dit: «S’il dort, il fait bien, il se repose.»
E-242 Maintenant, rappelez-vous, les gens vont çà et là, en disant: «J’ai la puissance de vous guérir.» Ce gars-là vous raconte un mensonge. Il n’a pas la puissance de vous guérir. Christ a déjà fait cela. Oh! vous parlez de la confession des péchés et autres, d’un prêtre ou d’être un ministre qui vous pardonne les péchés? Absolument pas, vos péchés ont déjà été pardonnés. Quand Christ mourait sur la croix, Il a dit: «C’est accompli.» Quoi? Tout le plan, tout. Christ aaccompli cela à la croix. Vous êtes déjà sauvé. Chaque pécheur est sauvé, mais cela ne vous feraaucun bien avant de l’accepter. Vous vous agenouillez là à l’autel, vous poussez des cris, vous pleurez jusqu’à grisonner et à voir vos cheveux tomber; cela ne vous feraaucun bien avant que vous croyiez, que vous croyiez que Christ est mort à votre place et que vous... Il est mort pour l’expiation de vos péchés. Quand vous L’acceptez comme votre Sauveur, alors le salut vient vers vous. C’est pareil pour la guérison. «Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.»