E-48 Alors, nous sommes allés nous coucher, et je me suis donc mis à penser que pas un seul d’entre eux ne quitte sa place; ils restent tous en place. Et s’il y a un déplacement quelque part parmi eux, et c’est dans un but, et celaaffectera cette terre. Nous en voyons les résultats en ce moment, du déplacement de quelques-uns d’entre eux pour aller dans leurs autres zones. Celaa un effet. Celaaffecte tout.
E-58 (55) C’est là que le général Custer a commis son erreur fatale. Le général Custer, d’après ce que j’ai compris, avait reçu des ordres du gouvernement de ne pas pénétrer dans le territoire des Sioux, parce que c’était une période religieuse pour eux; c’était une période d’adoration. Ils célébraient une fête. Mais Custer s’est enivré, et il s’est dit qu’il le ferait quand même. Il allait traverser, que ce soient les ordres ou pas. Et alors, ils sont allés jusqu’à tirer des hommes innocents, tirer sur eux. Je pense qu’ils en ont atteint quelques-uns. C’étaient des éclaireurs qui cherchaient de la nourriture pour nourrir leur–leur peuple pendant qu’il adorait. Et Custer, en traversant, les a vus, et il a cru qu’ils voulaient s’en prendre à leur camp, alors ils ont tiré sur ces éclaireurs. Et ces éclaireurs ont pris la fuite et sont rentrés. Qu’ont-ils fait? Ils se sont armés, et les voilà revenir. Et çaa été la fin du général Custer, parce qu’il ne s’est pas assis d’abord pour réfléchir.
E-68 Quand cette grande bataille s’est engagée sur terre, il a fallu qu’il y ait un lieu commun de rencontre. Il a fallu déterminer un lieu où la bataille allait s’engager et où la bataille allait faire rage. Et ce champ de bataille a commencé dans la pensée humaine. C’est là que la bataille s’engage. La pensée humaine a été choisie comme lieu de la bataille, où elle allait s’engager, et c’est parce que les décisions se prennent dans la pensée, dans la tête.
(64) Eh bien, ils n’ont jamais pris une organisation comme point de départ. Ils n’ont jamais pris une mécanique quelconque comme point de départ. Ça n’a jamais commencé sur ces champs-là. Ainsi donc, une organisation ne pourra jamais, jamais faire l’oeuvre de Dieu, parce que le champ de bataille, là où vous devez affronter votre ennemi, c’est dans la pensée. Il vous faut faire votre choix. Vous y êtes confronté.
E-78 (74) Alors, quel effet cela produit-il? Apartir du centre du coeur, c’est-à-dire de l’âme, à partir de là, il y aura une alimentation de tous les canaux. Le problème, c’est que nous nous tenons ici, à l’intérieur, avec beaucoup de doutes, et nous essayons d’accepter ce qui est là, à l’extérieur. Vous devez arrêter ça et descendre par ce canalavec la vraie Parole de Dieu, et ensuite, ça sortira tout seul, automatiquement. C’est ce qui est à l’intérieur, c’est ça qui compte, c’est l’intérieur. Satan, sa façon de s’y prendre, c’est de l’intérieur.
E-82 Nous sommes si désireux de voir les choses s’accomplir. Nous sommes si désireux de faire quelque chose pour Dieu. Cette petite demoiselle n’est pas désireuse... est sans doute désireuse de vivre. Elle veut être en bonne santé. D’autres sont ici, ils veulent être en bonne santé. Et quand nous entendons parler de ce cas, comme ce médecin, de la résurrection des morts, de grandes choses puissantes que notre Dieu aaccomplies, alors nous sommes désireux. Mais ce qu’il y a, c’est que nous essayons d’atteindre, par le moyen de ces sens, de nous emparer de quelque chose ici, par exemple la conscience.
E-87 (81) Ici, voyez-vous de quoi c’est recouvert? Vous dites: «Eh bien, alors...» Vous dites: «Eh bien, ces choses, la conscience et les sens, et tout, n’ont rien à faire avec ça, Frère Branham.» Bien sûr que oui. Mais si vous laissez laParole entrer et que vous La recouvrez par la conscience, alors cela ne peut pas se développer; ce sera une parole difforme.
E-91 (83) Elle doit être acceptée dans la pensée; puis Elle est crue du coeur. Ensuite, laParole de Dieu devient une réalité; alors, tous les sens de l’âme et du corps sont complètement nettoyés par le Saint-Esprit. Alors, vous devenez le sens de Dieu; vous devenez la conscience de Dieu; tout ce qui est de Dieu coule en vous. Il n’y a pas un doute, nulle part. Il n’y a rien qui puisse remonter.
E-100 Il a dit: «Laissez-la y aller, parce qu’elle va probablement partir tout d’un coup.» Et il a dit: «Laissez-la y aller simplement, et qu’elle mène une vie normale, autant que possible. Ne lui en dites rien.»
E-104 (90) Quel était le problème? Il fallait premièrement ouvrir le canal. Il faut placer le Soldat, le Saint-Esprit, au front de bataille, qui s’avance avec laParole de Dieu. Il est laParole, et Il se tient là; alors, il n’y a rien qui va L’arrêter. Il n’y a rien qui peut... Tous les autres canaux sont dégagés.
(91) C’est comme une vieille chaudière dont les conduits sont obstrués; si vous y mettez le feu, cela explosera. C’est là le problème de tant de chrétiens qui ont fait explosion, c’est parce qu’ils ne nettoient pas les canaux à fond; ils ne vont pas jusqu’à l’intérieur. Vous devez nettoyer ça, la conscience, la mémoire, les pensées, mettre tout de côté, et que ça vienne du dedans vers le dehors, par cette Parole de Dieu sans mélange, qui est la Vérité.
E-126 Il raisonnera jusque-là et dira: «Les sens. Oh! Je–je peux le ressentir. Oui, c’est là. (Oui, oui.) Oh! Peut-être que je–je le sens, ou quelque chose comme cela. Ces choses sont bien là. Oui.»
(109) Après, vous raisonnez: «Eh bien, il me semble qu’il devrait savoir de quoi il parle. Le médecin dit que je ne peux pas me rétablir. Ça doit être ça...»
(110) Vous voyez, c’est en plein là que vous–vous êtes dans l’erreur. C’est le diable qui est là. C’est le diable qui enfonce ces choses en vous. N’allez pas croire ça.