E-12 Et qu’est-ce que la paternité? C’est un attribut de Dieu. Dans ce cas, si nous sommes des enfants de Dieu, alors Dieu veut que nous nous aimions les uns les autres. En faisant cela, nous aimons Dieu. Est-ce vrai? Nous aimons Son Eglise.
Très bien. Il y en a environ [Un homme dit: «Oui. Ils sont là.»–N.D.E.] Très bien, monsieur. Je crois qu’ils sont... [Un homme s’adresse à frère Branham.–N.D.E.] C’est très bien. Maintenant, c’est juste... on attend juste un moment pour qu’on prenne les–les photos qui ont été prises là-dedans. (Vous voyez?), et on va entrer dans le service. Maintenant, combien parmi vous attendent que notre Seigneur Jésus accomplisse une grande oeuvre parmi Son peuple ici ce soir? Faites voir la main. Combien parmi vous vont prier? Faites voir la main. Maintenant, si vous allez prier, si vous allez prier et croire de tout votre coeur, le simple récit de l’apparition de cet Etre surnaturel... Et pendant que j’essayais de parler cet après-midi, vous allez en retirer quelque chose, si vous croyez cela. Est-ce vrai?
Si Jésus, le Fils de Dieu, se tenait ici, Il ne pourrait rien faire de plus pour vous que ce qu’Il peut faire juste en ce moment, si vous croyez cela, si vous croyez cela. La foi...
E-15 J’ai dit: «Je les aime aussi.» Ainsi, il en est de même pour tout Chicago. Que la grâce de Dieu soit sur vous tous maintenant. Eh bien, c’est ma modeste part dans le ministère de Jésus-Christ de prier pour les malades. J’ai essayé d’être fidèle à la vision céleste, et de faire juste ce qu’Il m’a dit de faire.
Maintenant, ce soir j’aimerais lire juste un–un, deux ou trois passages ici dans les Ecritures, et ensuite, nous allons directement nous mettre à prier pour les malades; parce que nous avons commencé un peu en retard, je pense. Et ainsi, nous allons directement commencer, immédiatement.
Au chapitre 5 de Saint Jean, si vous voulez noter cela pour clôturer nos réunions, que je... Et ensuite, j’aimerais aussi faire la lecture de quelques premiers versets de cela. Ensuite, j’aimerais lire de nouveau dans Jean 16. Et là-dessus, pendant que vous apprêtez vos carnets, j’aimerais vous poser une question. Dans Hébreux 13.8, la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous que c’est inspiré?
E-16 Je crois que c’est la vérité, et qu’au jour du Jugement, Dieu veillera à ce que ça soit la vérité. Dieu soutiendra ce qu’Il dit être la vérité. Ne le croyez-vous pas? Très bien.
Et maintenant, posons-nous simplement la question de savoir quel genre de personne était Jésus. Eh bien, je sais que nous avons des pensées théologiques, et celles des artistes qui ont peint des tableaux. Ne Le regardons pas sous la forme d’un tableau ce soir, parce que nous pourrions ne pas comprendre. Mais considérons-Le dans Sa Vie, Son Esprit. Donc Jésus, lorsqu’Il reviendra sur terre corporellement, ce seraalors trop tard pour nous de penser à quoi que ce soit à ce sujet. Le croyez-vous? A ce moment-là nous allons partir avec Lui, ceux qui sont prêts.
Ainsi donc, lorsque nous Le voyons dans une forme physique, peu importe s’Il est un–un Blanc, un Jaune, un Noir, un Brun, quoi qu’Il soit, Il est mon Sauveur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... un petit homme, un homme gras, un homme mince, Il est mon Sauveur. Voyez-vous? Je L’aime. Je L’aime tant. Et je L’aime de tout mon coeur.
Et maintenant, Il... mais ce qu’Il était, ce n’était pas tellement la chair, mais la chair était merveilleuse. Ce corps était né d’une vierge. Croyez-vous cela? Je crois que le Dieu Tout-Puissant a recouvert la vierge Marie de Son ombre et a créé une cellule de sang dans le sein de Marie.
E-19 J’ai dit: «Peu m’importe.» J’ai dit: «J’ai été dans ces musées comme celui que vous avez ici à Chicago, et je pense que c’est ridicule. Lorsque vous allez là-bas ils disent qu’il y a deux cent vingt-cinq mille ans, l’homme vi-... à Paris...?...» Ça ne fait que six mille ans depuis que l’homme est sur la terre. C’est vrai. Ça c’est selon la Bible. Et toute cette–cette affaire de la caverne, c’est juste quelque chose qui est entré dans la tête de quelqu’un, quelque part. Il n’y a pas un seul passage des Ecritures pour soutenir cela. Il n’y a pas un... pas du tout. Et l’homme ne descend pas du serpent, ni du singe, ni d’aucun animal. Il vient de Dieu. C’est juste. Voyez-vous? Donc, c’est simplement radical. C’est une bonne chose, ce que vous pouvez avoir tous par ici. Là à la frontière du sud, nous n’en avons pas là-bas. Nous ne permettons pas cela. Très bien. Mais, là vous êtes...?... Et toutes ces choses.
E-22 J’ai dit: «D’où est venu le premier homme? Qui était son papa et qui était sa maman? Que ce soit un têtard, un serpent, ou peu importe comment vous voulez l’appeler selon vos déclarations, il devait avoir à la fois un père et une mère.»
Il ne m’a jamais répondu jusqu’à ce jour. Il ne le peut pas. D’après cela, Il devait avoir et un père et une mère. Dieu le Créateur a créé l’homme. Et l’homme est tombé, et ensuite Dieu le Créateur s’est révélé à nous dans Son Fils Jésus-Christ, et Celui-ci aaccompli la volonté de Son Père. Et Il allait partout faisant le bien.
Considérons donc quel genre de personne Il était. Nous ne pouvons pas chercher un... Nous lisons la Bible, et nous voyons à quoi Il ressemblait. Il était un glorieux Personnage. Ce qu’Il... Son aspect, pas dans Sa constitution physique, mais ce qu’Il était dans Sa constitution spirituelle. Il était le Fils de Dieu.
Et Il allait partout, Il guérissait les malades et les infirmes. Croyez-vous tous que c’est ce qu’Il faisait? Eh bien, alors, est-ce qu’Il le faisait selon Son bon plaisir? Je pensais que j’allais vous surprendre sur ce point-là, mais ce n’était pas le cas. On a un bon enseignant, frère Boze. Tout celui qui a été enseigné... Non, Il ne le faisait pas pour son bon plaisir.
Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père.» Voyez, Lui, qui était le Fils de Dieu, ne prétendait pas être un guérisseur divin. Est-ce vrai? Il a dit: «C’est le Père.» Aucune chair ne se glorifie devant Dieu. C’était le Père qui faisait cela.
E-25 Maintenant suivez, là était couché sur un grabat ou une petite civière, un homme qui avait une maladie depuis trente-huit ans. Maintenant, voici Jésus qui vient, qui passe à côté de ce marché. Et alors qu’Il traversait ce marché, Il est passé à côté du marché, Il est passé parmi ces malades, ces estropiés. Croyez-vous qu’Il était bon? Croyez-vous qu’Il était aimable? Croyez-vous qu’Il avait de la compassion pour les gens? Alors, pourquoi n’a-t-Il pas guéri tous ces malades qui étaient là?
Mais au contraire, Il a passé outre l’aveugle, Il a passé outre le paralytique. Il a passé outre le boiteux. Il a passé outre l’enfant handicapé moteur. Il est allé vers un homme qui avait une infirmité. Disons que c’était le diabète sucré, ou une certaine maladie, il n’avait pas... Ça faisait trente-huit ans qu’il en souffrait. Et Il s’est avancé vers cet homme-là, et Il savait donc que ça faisait longtemps que ce dernier était dans cet état. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»
Il a dit: «Seigneur» (eh bien, il n’était pas–il n’était pas infirme), il a dit: « Pendant que je me dirige vers l’eau, quelqu’un y entre avant moi, et il est guéri.»
Juste une seule personne à la fois, et ensuite l’Ange, les gens attendaient encore une autre saison, peut-être un mois ou je ne sais pendant combien de temps, pour une autre saison, et Il y redescendait. Et il a dit: «Pendant que j’y vais, quelqu’un d’autre me devance.»
E-28 Et après trois jours, Il a dit: «Maintenant, Lazare est mort. Et à cause de vous, Je Me réjouis de ce que Je n’étais pas là, parce que vous auriez essayé de Me persuader d’aller là-bas pour le guérir.» Voyez-vous? Et le Père, ce n’était pas la volonté du Père.
Et observez-Le lorsqu’Il s’est rendu à la tombe de Lazare. Il a dit: «Père, Je Te remercie parce que Tu M’as déjà exaucé. Mais, c’est à cause de ces gens qui se tiennent ici que Je dis cela.» Il savait ce qui allait arriver. Le croyez-vous? Le Père le Lui avait montré. Alors, Il a ressuscité Lazare des morts. Il ne faisait rien, sinon ce que le Père Lui montrait. Souvenez-vous de la leçon de l’autre soir dans Saint Jean, lorsque ces aveugles sont allés vers Lui. Il a continué à marcher dans la rue, Il ne leur a prêté aucune attention. Il est entré dans une maison, et ils sont entrés dans la maison, ils ont dit: «Seigneur, aie pitié de nous.»
E-34 Maintenant, si cette même personne venait, et que le même Jésus se tenait ici sur l’estrade ce soir; cet homme viendrait sur l’estrade, et Jésus dirait: «Eh bien, tu es un chrétien, un homme honnête, un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Voyez-vous?
Il a dit: «Eh bien, diriez-vous, comment me connais-Tu?»
«Eh bien, quand tu étais là dans le cabinet du médecin, souffrant de cette maladie de l’estomac, Je t’ai vu.» Cela ferait de Jésus le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? Très bien.
Lorsqu’Il est allé vers une femme... Observez-Le. Un jour Il est allé en–en Samarie. Il fallait qu’Il passât par là. Il avait certainement eu une vision; voilà pourquoi il fallait qu’Il passât par là; le Père L’avait envoyé là. Il a congédié tout le monde, parce que dans la vision, personne n’était là, sauf Lui et la femme. Vers onze heures de la journée, la femme en question est sortie de la ville, peut-être qu’elle avait sillonné les rues toute la nuit, et ne s’était pas levée à temps, mais peut-être, elle était... parce que les autres ne lui auraient pas permis de puiser son eau si elle venait. Elle était une prostituée. Elle est apparue là.
E-35 Eh bien, le Père Lui avait simplement dit d’aller là, de passer par le chemin de–de la Samarie. Alors Il a dit: «Apporte-Moi à boire!»
Elle s’est retournée; elle s’est dit: «C’est un Juif.» Elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose à nous les Samaritains. Nous n’avons pas de communion, ni rien, nous n’avons rien en commun.»
Maintenant, regardez Jésus. Voyez-vous? Il essaie de contacter son esprit. Vous êtes un homme. Voyez-vous? Il essaie de contacter cet esprit humain. Il a dit: «Si tu savais à qui tu parles, tu M’aurais demandé à boire, et Je te donnerais une eau qui n’est pas celle que tu viens puiser ici.»
Maintenant observez. Voyez-vous, rien n’est encore arrivé. Le Père ne le Lui avait pas encore montré. Elle a dit: «Eh bien, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.»
Il a dit: «L’eau que Je donne est une Eau vive, qui jaillit jusque dans la Vie Eternelle.» Ensuite Il... Après qu’Il a contacté son esprit, la vision s’est produite.
Il a dit: «Va chercher ton mari.» Il connaissait sa situation.
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»
E-43 Ecoutez, lorsqu’il en prend une bouchée par la poudre à canon, il tue ses camarades. Lorsqu’il en prend une bouchée de cet arbre par l’automobile, il tue plus de gens que toutes les guerres réunies. Est-ce vrai? La connaissance, la connaissance, lorsqu’il mange de cet arbre. Il s’est maintenant fabriqué une bombe à hydrogène; je me demande ce qu’il va en faire. Voyez-vous?
Mais le problème est que ces gens s’imaginent tant de choses sur cet arbre de la connaissance, alors quand ils n’y comprennent plus rien, ils disent: «Tout ça, ce sont des sottises.»
Ecoutez, au Nom du Seigneur, écoutez: Lorsque vous ne comprenez plus rien, c’est le temps de croire. C’est comme quelqu’un qui va nager, aussi longtemps que vous touchez le sol du pied, c’est en ordre. Mais lorsque vous vous tenez là où l’eau est profonde, alors, c’est le moment de nager. A ce moment-là, vous ne comprenez plus rien. Dès ce moment-là, il vous faut donc croire. Comprenez autant que vous pouvez, ensuite lorsque vous ne comprenez plus rien, alors, commencez à croire à partir de là. Croyez.