Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Los Angeles, California, USA

E-6 Maintenant, vous devez continuer avec cette foi que vous avez au moment où vous sentez que la Présence du Seigneur est avec vous. Or, bien des gens se demandent ce qui se produit lorsqu’ils–lorsqu’il semble qu’ils sont guéris, et qu’après un certain temps ils ressentent le contraire. C’est parce que lorsque la prière est faite, et la Présence du Seigneur est avec vous, la foi augmente. Et ensuite, lorsque la foi vous quitte, eh bien, alors quelque chose vous est arrivé. Vous devez garder cette foi-là. Ne laissez jamais ce sentiment vous quitter. Souvenez-vous toujours que Dieu a répondu. C’est Sa Parole. Il ne peut pas se rétracter là-dessus. Il doit tenir Sa Parole. Et pour vous encourager, sachant que Dieu a fait la promesse...


Los Angeles, California, USA

E-8 Notre Bienveillant Père céleste, alors que nous nous approchons maintenant de Ton Trône de grâce en ce Nom tout suffisant du Seigneur Jésus... Et nous venons en croyant et en déposant nos prières et notre foi sur l’autel, avec tous ceux qui sont ici, en faveur de ceux qui sont à travers le pays, qui sont malades et dans le besoin ce matin. Père céleste, c’est comme une répétition d’Actes 4. Lorsque les gens ont prié, le bâtiment où ils étaient assemblés trembla, et la puissance de Dieu descendit sur les gens.

Que Satan libère chaque personne qui est liée, et qui nous suit par la radio ce matin, et qui écoute. Qu’il y ait un tel... un événement parmi eux, à tel point que ce sera comme le témoignage que nous venons juste de donner au sujet du petit bébé hydrocéphale. Que chaque maladie quitte les gens. Que la puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les morts, et qui nous L’a présenté vivant après deux mille ans, que cette puissance vivifie chaque malade et les guérisse. Accorde-le, Père. Nous les recommandons à Toi, maintenant, avec nos prières, avec le sacrifice de Christ qui va devant nous, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, et pour Sa gloire. Amen.

[Un frère conduit le cantique Crois seulement.–N.D.E.]

Encore une fois.

[Le frère conduit encore le cantique.]

[Espace vide sur la bande.]


Los Angeles, California, USA

E-11 Merci. Je ne sais quoi dire. Les mots me manquent tout simplement. J’en ai tellement entendu que je suis tout simplement comblé. N’est-ce pas merveilleux? Combien notre Seigneur... C’est juste... Je suis très heureux. Je crois que je me suis senti conduit à venir ici ce matin. C’est tellement bon d’être ici, d’être assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ.

Nous sommes si reconnaissants d’écouter... (de frère Harold. Je n’arrive pas à prononcer son nom, alors, je dois simplement l’appeler Harold.) d’entendre comment le Seigneur l’a conduit dans ce merveilleux endroit, et ce qu’ils accomplissent.

Je dirais certainement, en rapport avec cela, que lorsque vous allez dans d’autres pays, vers ces gens qui sont là-bas, il faut un message de Pentecôte pour secouer ces gens-là. Voyez-vous? Ils–ils ont toute la théologie, et tous les–les traités, et ainsi de suite. Mais il leur faut voir Dieu en action. C’est ce qui les attire. En un seul appel à l’autel à Durban, lors de mes dernières réunions là-bas, nous avons compté trente mille personnes, de purs païens, qui sont venues à Christ en une seule fois (Voyez-vous?), parce qu’ils avaient vu quelque chose qu’ils pouvaient palper.


Los Angeles, California, USA

E-12 J’aimerais dire cela, concernant ce–le grand missionnaire de l’Inde, Hudson Taylor. Un–un jeune Chinois est allé vers lui un matin et a dit: «Docteur Taylor, a-t-il dit, j’ai simplement reçu Christ dans mon coeur, et mon âme est enflammée de l’Esprit de Dieu qui est en moi.» Il a dit: «Devrais-je étudier... A quelle école devrais-je aller pour étudier et décrocher mon baccalauréat, et tout?»

Monsieur Taylor a dit: «N’attends pas que la chandelle soit à moitié consumée pour montrer la lumière.»

C’est juste. C’est ce que je pense aussi. Lorsque... C’est ça le problème. Les gens attendent, et on les fait entrer dans ces séminaires, et on fait sortir d’eux tout ce que Dieu a placé en eux. Voyez-vous?

Je–je pense, partez aussitôt que la chandelle est allumée. Si vous n’en savez pas davantage, dites-leur comment elle s’est allumée. C’est tout ce qu’ils doivent savoir. Dites-leur tout simplement–simplement comment elle s’est allumée, et laissez-les s’enflammer. Le reste ira de soi. Juste... allez tout simplement. Dites-leur comment la chandelle s’est allumée, et laissez-les s’allumer, et ils en parleront à quelqu’un d’autre. Et c’est maintenant le moment d’allumer la chandelle. C’est vrai, c’est juste. Eh bien, je serais assez fou pour traînailler avant d’aller prêcher une chose comme cela. Vous savez cela.


Los Angeles, California, USA

E-13 C’est comme lorsque je me trouvais ici une fois dans une excellente université, et quelqu’un a dit: «Frère Branham, vous avez écrit quelques livres. J’aimerais vous conférer un diplôme de docteur.»

J’ai dit: «Je suis trop avisé pour accepter cela

Il a dit: «Pourquoi pensez-vous cela

J’ai dit: «Les gens connaissent mon vieux parler du Kentucky; ‘les his’, ‘les hain’t’, les ‘tote’ et... Avec un tel parler, et dire que je suis un docteur? Les gens ont assez de bon sens pour ne pas croire cela. Je suis donc trop avisé pour faire cela.» Donc, nous connaissons nos capacités.

Mais c’est bon d’être ici, au milieu de ce merveilleux groupe. Et juste alors que j’écoutais les–les cloches de joie sonner dans chaque coeur, un petit passage de l’Ecriture m’est venu à l’esprit, que je pourrais juste utiliser, je dirais, pendant quelques quinze minutes ou un peu plus comme cela, frère. Il... je me sens certainement petit, et je présente mes excuses à frère Harold. Je suis arrivé ici ce matin juste au moment où il devait prêcher, et ensuite... parmi les gens. Et puis, on m’a appelé à monter ici. Je me sens embarrassé, et je présente mes excuses à frère Harold, je... [Frère Harold dit: «Puis-je dire juste une chose en rapport avec cela?»–N.D.E.] Oui, vous pouvez dire quelque chose. [Frère Harold s’adresse à l’assistance.]


Los Angeles, California, USA

E-16 Et alors, j’ai quitté la tente, et je suis descendu, et j’ai coupé cela; et j’avais ma petite hache, j’ai attrapé mes poissons, et je suis revenu. Et une vieille mère ourse et ses oursons étaient entrés dans ma tente, et ils l’avaient complètement mise en pièces.

Et alors, un ours est juste comme... Vous avez entendu parler de l’ours qu’on avait enfermé dans une vitrine. Le problème n’est pas ce qu’ils détruisent... ce n’est pas ce qu’ils mangent, mais plutôt ce qu’ils détruisent. J’avais un petit tuyau de poêle, elle a tout simplement mis cela en pièces juste pour entendre cela faire du bruit. Et alors, j’ai remarqué... Et je–j’aime vraiment... Eh bien, y a-t-il ici quelqu’un qui vient du Kentucky? J’aime les flapjacks [Crêpes–N.D.T.], vous savez. On... Ici vous les appelez «pancakes», je crois. Et alors, je–j’aime verser de la mélasse dessus. Et–et je–je–je ne suis pas... je ne les asperge pas, je les baptise. Alors, j’aime vraiment en déverser dessus, vous savez, alors j’ai dû... beaucoup–beaucoup de mélasse.


Los Angeles, California, USA

E-20 Ô Dieu, notre Bienveillant Père, nous venons dans Ta Présence maintenant au moyen de la grâce, en vertu de l’invitation de notre Seigneur qui dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Nous sommes certains que cela nous sera accordé. Nous Te sommes reconnaissants pour ce rassemblement aujourd’hui dans cette chambre haute. Oh! si seulement ce monde aveugle pouvait voir et éprouver cette joie, chaque ivrogne quitterait la rue et viendrait, ô Dieu, si seulement ils savaient ce que signifie la vraie joie! Et ils essaient de prendre de l’alcool et de boire, et plusieurs s’étalent sur les plages, restent dans des boîtes de nuits, essayant de substituer quelque chose à cette grande joie que Dieu leur a donné à recevoir sur cette terre. Ô Dieu, je prie qu’il y ait une lumière qui parte d’ici aujourd’hui, une lumière qui amènera beaucoup de gens à cette connaissance salvatrice; et que la joie de Dieu soit dans leurs coeurs.

Merci, Père. Alors que je vais citer ces quelques paroles, bénis-les pour la réussite du service. Au Nom de Jésus. Amen.


Los Angeles, California, USA

E-22 Ensuite, je me souviens qu’il y a quelques jours, notre pasteur... Je venais d’arriver, et j’étais en retard à cause des visites, et les gens s’étaient rassemblés, vous savez, les gens qui venaient de plusieurs nations se trouvaient là, et ils restaient dans les hôtels, dans les motels et tout le reste, attendant. Et alors, le pasteur était épuisé. Il ne pouvait pas effectuer certaines de ses visites, parmi lesquelles il y avait des cas urgents. Alors, je me suis occupé de quelques-unes des visites qu’il devait effectuer, et je suis allé voir quelques personnes à–à–à l’hôpital municipal.

Et le–la chambre 331, je crois, c’était cela le numéro. J’étais allé voir une femme qui allait subir une–une opération. Et je me suis rendu au numéro 331, et la femme en question n’y était pas. Alors, je suis remonté, et une infirmière se tenait là, tapant du pied. Et j’ai dit: «Bonjour.» J’ai dit: «Pouvez-vous me dire où se trouve mademoiselle Unetelle?» J’ai dit: «Elle est censée être dans la chambre 331.»Elle a dit: «Eh bien, si elle est censée se trouver dans la chambre 331, elle y est.»

Je me suis dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Oui, madame. Merci.»

Je suis de nouveau retourné au 331, et on m’a dit: «Eh bien, peut-être que c’est au 332, de l’autre côté du hall.»

Ils ont dit: «Non. Elle n’est pas ici. Il se pourrait que ce soit au 231.» Alors, j’ai descendu l’escalier, et il y avait là un petit médecin assis là au bureau, un petit homme. C’est le premier homme que j’aie rencontré, qui était autant large qu’il était grand de taille. Donc, il était assis là au standard, et je suis passé à côté, et j’ai dit: «Salut.» Il m’a simplement regardé d’un air un peu étrange, et je me suis dit: «Non, non, je n’aimerais pas lui demander.»


Los Angeles, California, USA

E-23 Alors, je suis descendu dans une salle, et il y avait là une dame qui sortait de la salle d’opération (une dame portant un masque au visage) et–et l’infirmière était là au rez-de-chaussée. Elle est allée à la réception, et j’ai dit: «Madame, je suis un peu embrouillé.» J’ai dit: «Je suis monté là-haut voir une dame au numéro 331, elle n’y est pas. Et je n’arrive pas à trouver... On m’a dit qu’elle se trouve peut-être au–au 231.»

Elle a dit: «Eh bien, alors, cherchez au numéro 231.»

J’ai dit: «Bien, merci.» Oh! la la!

Je n’arrivais pas à trouver la salle 231. Alors, je suis un peu descendu au hall. Le petit médecin s’avaait, tenant en main son stéthoscope, il faisait tournoyer cela comme ceci. J’ai dit: «Bonsoir, monsieur.» J’ai dit: «Je cherche le numéro 231. Pouvez-vous me l’indiquer?»

Il a dit: «Allez dans ce sens, puis dans l’autre sens.»

J’ai dit: «Merci pour le renseignement.» Qu’est-ce que c’est?

Je suis retourné, et il y avait là une autre dame assise à un bureau, et elle me paraissait plutôt calme; alors j’ai dit: «Madame, pouvez-vous me donner un renseignement?» Je lui ai raconté mon histoire. J’ai dit: «Je suis un peu embrouillé. Je suis un prédicateur. Je suis ici pour une visite.» Elle a dit: «Un instant, monsieur.» Elle est allée là-bas, elle a regardé dans le registre, elle a dit: «Oui, allez juste là au coin. Elle–et elle est au 241.»

Alors je me suis dit: «Eh bien, Dieu soit loué! voilà quelqu’un qui avait laissé échapper la pression.»


Los Angeles, California, USA

E-29 Pensez-y. Dieu, au jour de la Pentecôte, cette Colonne de Feu s’était divisée et des langues de feu se sont posées sur chacun d’eux, Dieu s’était séparé en–s’était divisé, parmi Son peuple. Nous devenons la Vie même de Dieu en nous. Alors, nous sommes morts aux choses du monde, et nous sommes ressuscités avec Christ, et nous sommes assis dans les lieux célestes, regardant en arrière d’où nous sommes venus. C’est suffisant pour que nous puisions y penser.

Et cela laisse échapper la pression, cela ôte la pression lorsque nous reconnaissons la position que nous occupons maintenant en Christ, en recevant le Saint-Esprit–la Vie propre de Dieu (le mot grec Zoe qui signifie la Vie propre de Dieu) demeurant en vous. Et vous ne pouvez pas mourir, pas plus que Dieu ne peut mourir. Nous sommes éternels avec l’Eternel (Amen.), attendant ce glorieux moment de la rédemption du corps.

Et nous sommes déjà morts, et nos vies sont cachées en Dieu à travers Christ et scellées par le Saint-Esprit. Le diable est complètement hors du tableau. Et lorsque nous nous asseyons comme ceci dans les lieux célestes avec Christ, en Lui, alors nous pouvons certainement laisser échapper la pression.


Up