Edmonton, Alberta, Canada
E-29 Jeune homme, dans cinq ans, à partir de ce soir, ne voudriez-vous pas lever la main, pour dire que vous avez été guéri en ce temps-là? Regardez, j’aimerais vous dire quelque chose. Il y avait une fois des lépreux à la porte en Samarie, alors qu’elle avait été assiégée par les Syriens. Ils ont dit: «Pourquoi restons-nous ici jusqu’à mourir?» Ils crevaient de faim; ils mangeaient les uns les enfants des autres dans la–dans la ville. Ils ont dit: «Si nous restons ici, nous mourrons; si nous entrons dans la ville, nous mourrons. L’unique espoir donc qui nous reste, c’est d’aller vers les Samaritains. S’ils nous épargnent, nous vivrons. Mais s’ils nous tuent, nous mourrons. Dans tous les cas, nous allons de toute façon mourir. Courons donc le risque de descendre là.» Vous connaissez l’histoire. Ils ne se sont pas sauvés seuls, mais Dieu les a récompensés, grâce à cette foi-là, au point qu’ils ont sauvé toute la ville de Samarie.
Maintenant, vous vous retrouvez dans la même situation qu’eux, beaucoup parmi vous ici présents, estropiés et affligés couchés sur ces civières et tout, ici. Voyez? Vous êtes dans la même situation. On ne s’attend pas à ce que vous alliez au camp de l’ennemi, mais vous êtes invités à rentrer à la Maison de votre Père ce soir, venir et croire avec Christ, avec l’expiation sanglante déposée là devant le Père ce soir, pour confirmer votre confession en Lui. Jésus est assis à la droite de Dieu, intercédant sur base de votre confession. Vous devez accepter cela, croire cela et confesser que c’est vrai, et faire de cela un acte de foi. Si vous le faites, si vous allez...
Le médecin a fait tout son possible. Tous les autres ont fait tout leur possible. Vous aussi, soeur, et vous aussi, jeune homme, et vous, vous... Tout ce qui pouvait être fait a déjà été fait. Il n’y a rien qui puisse être fait, sinon... sur le plan de l’assistance médicale. Eh bien, s’ils ont fait tout leur possible, alors il ne reste qu’un seul espoir pour vous, et cela est en Jésus-Christ. Acceptez cela. Croyez cela. Accrochez-vous-y, dites: «Ô Dieu, si les autres le peuvent, moi aussi. Et Tu es autant mon Dieu, que Tu l’es pour eux.»