E-103 Cette petite femme au puits, elle avait vu beaucoup de confusion dans toutes leurs religions, des églises et–et de la théologie de ce jour-là au point qu’elle en avait marre. Elle n’en fréquentait aucune. Tout ce qu’on sait, c’est qu’elle était bien. La pauvre enfant avait été peut-être laissée dans la rue par de mauvais parents, et elle était devenue une prostituée. Peut-être que la pauvre petite n’avait pas...
Permettez-moi de vous le dire, il y a beaucoup de mauvaises femmes, nous le savons, mais il ne peut pas y avoir une mauvaise femme sans qu’il y ait eu un mauvais homme, vous savez. Il a donc dû y avoir quelqu’un qui l’avait rendue mauvaise. Ainsi... Et parfois, ces enfants sont flanqués à la porte par une mauvaise mère, on les laisse aller au bar et tout.
E-104 Vous parlez de la délinquance juvénile, moi, je dis que c’est la délinquance parentale. Vous parlez de l’ignorance des gens du Kentucky, certaines de ces vieilles mères là-bas... Que leurs filles reviennent à la maison un matin avec du rouge à lèvres sur tout le visage, les cheveux tout défaits, et habillées à moitié, moitié...?... cigarette en main, elles prendraient une lamelle de tonneau, ou l’un de ces jeunes hickory, là, et elle saurait à quoi s’en tenir la prochaine fois qu’elle sortira. Et alors, vous dites qu’elles sont analphabètes. Elles peuvent enseigner à cette bande de voyous comment éduquer les enfants.
C’est... Oh! Peut-être que je n’aurais pas dû dire cela. Eh bien, non. Je ne le retire pas. J’ai dit cela sous l’onction du Saint-Esprit. C’est exact, tout à fait exact. Oui, oui. Aujourd’hui, hein!... Oh! la la!
E-105 Cette petite femme est allée au puits ce matin-là; peut-être que ses cheveux bouclés lui pendaient. Peut-être qu’elle avait été dehors toute la nuit. Je ne sais pas. Elle est sortie vers 11 h puiser de l’eau pour la journée. Et lorsqu’elle a regardé là, elle a vu ce Juif, et ce Juif lui a dit: «Vaappeler ton mari.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis n’est pas ton mari.» Bonté divine!
Elle a dit: «Seigneur.» Pas de son incertain, rien d’incertain là-dessus. «Je vois que Tu es Prophète. Eh bien, je sais que lorsque le Messie sera venu, nous tous ici à Sychar, nous avons appris, nous les Samaritains, que lorsque le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Je me demande qui Tu es.»
Jésus lui a dit: «Je Le suis.» Pas de son confus. Il a dit: «Je Le suis.» Quelqu’un disait qu’Il n’avait jamais confessé être le Fils de Dieu. Qu’en est-il de ça? Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Suivez. Frère, là, elle n’a pas dit: «Devrais-je aller à l’école apprendre la théologie?» Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même?» Rien d’incertain là-dessus. Absolument pas. Elle savait. Elle a dit: «Nous avons appris que lorsque le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera.»
E-106 Eh bien, le rabbin pensait qu’Il devait faire telle et telle chose. Telle dénomination pensait ceci, et telle suivait sa voie. Ils étaient tous séparés et tout, tout empesés, tout instruits, placés dans... Et, oh! c’est comme certaines de ces femmes qui cherchent à s’exposer dans ces robes modernes comme des saucisses de Frankfort ou d’une manière comme ça, circulant comme cela, se dandinant et se trémoussant... Je ne dis pas cela pour plaisanter. Ceci n’est pas un lieu de plaisanterie. Ceci est un lieu où apporter la Vérité, la Vérité. C’est exact. C’est une honte et une disgrâce.
Et ce n’est pas plus de disgrâce que celle des gens qui cherchent à prendre une espèce de dogme et à le faire avaler à quelqu’un d’autre. Si vous alliez à un restaurant et qu’on vous servait un bol de soupe avec une araignée dedans, vous intenteriez un procès à ce restaurant. Mais vous laissez certaines de ces vieilles morgues froides par ici, avec leur thermomètre spirituel indiquant mille en dessous de zéro, vous injecter un de ces fluides d’embaumement qu’elles ont là, alors que vous... on vous garde morts tous les jours de votre vie; et puis, vous ne dites rien à ce sujet. Alors que ce corps doit de toute façon mourir, mais cette âme vivra éternellement quelque part. Quel est le problème? Il y a un son confus là.
E-108 Il n’y a pas longtemps, j’étais à Mexico. (Je termine.) Nous tenions une grande réunion. Le général Valdena, beaucoup parmi vous le connaissent, ce grand général mexicain, est allé solliciter l’autorisation auprès du gouverneur afin que j’y aille. Et l’évêque de Rome, ou plutôt l’évêque romain, l’évêque catholique, est allé le voir et lui a dit: «Monsieur, cet homme qui vient n’est pas catholique.» Il a dit: «Notre gouvernement ne devrait pas autoriser pareille chose.»
«Oh! a dit l’évêque, c’est le général Valdena qui le fait venir. Je pense que c’est un homme de bonne réputation. Il... On dit qu’il draine de grandes foules et tout. Oh! a-t-il dit, il n’y a que des ignorants et des illettrés qui vont l’écouter.»
Le gou... le président lui a dit, il lui a dit: «Monsieur, vous avez eu ces gens pendant cinq cents ans. Pourquoi sont-ils ignorants et illettrés?» Il a dit: «En ce qui me concerne, il peut venir.»
E-109 Oh! la la! J’ai pu y aller. Dites donc! Oui, oui. J’y suis allé; je suis entré et j’ai tenu une série de réunions. Ces pauvres mexicains... Juste environ trois soirées, c’était tout. Nous avions eu de l’espace, un endroit où nous tenir, où des milliers et des milliers...
Combien connaissent frère Espinosa, l’inter... mexicain, ici, le frère ici en Californie? C’est lui qui était mon interprète. J’ai vu certains parmi vous lever la main. C’est lui qui m’interprétait.
Ce soir-là, quand je suis arrivé à l’estrade... Ils n’avaient jamais vu rien de pareil. Ils étaient tous là debout: Pas de sièges. Ils restaient là de neuf heures du matin jusqu’à vingt et une heures, l’heure de mon arrivée là, appuyés les uns contre les autres, entassant leurs malades en groupe comme cela. Demandez à frère Espinosa de vous montrer les photos des cargaisons de fauteuils roulants et des brancards.
E-111 C’est ce que je n’arrive pas à comprendre aujourd’hui: nos dénominations s’élargissent, on construit des bâtiments qui coûtent des millions de dollars, tout en prêchant que la Venue du Seigneur est proche, alors qu’il y a de pauvres petits missionnaires là, sans même des souliers aux pieds, qui apportent cet Evangile de Jésus-Christ.
Lorsqu’il prélevait l’offrande là, une vieille petite femme s’est avancée. Elle n’avait qu’une petite paire de sandales, elle a donnée cela comme offrande, se disant qu’une autre femme pourrait s’en servir mieux qu’elle. Et ce soir, nous avec nos tant de... Ô Dieu, ne me laisse pas aborder cela. Oui, oui. Comment pouvons-nous investir des millions de dollars...
Vous direz: «Eh bien, ils ne sont pas membres de notre groupe.» Que Dieu ait pitié! Lorsqu’un homme détache son esprit du groupe, c’est... C’est ce dont nous parlons... là, se tenir sur cette Parole. Ces pauvres gens ne savent même pas distinguer la main droite de la main gauche, et ils veulent connaître Christ.
E-114 Lorsqu’on m’a fait descendre sur le ring, je me suis présenté à l’estrade. J’ai commencé à parler: «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère.» J’ai dit: «Eh bien, Jésus-Christ dans la Bible... Beaucoup parmi vous ont lu la Bible.» (Frère Espinosa interprétait.) J’ai dit: «Ce qu’Il était, il doit Le demeurer. Ce qu’Il était... Il a dit qu’Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré. Tout ce que le Père Lui montrait, Il le faisait. En d’autres termes, Il exécutait une scène. C’est sûr.» Et alors que je disais cela, j’ai dit: «C’est ça Sa foi, car le Père Lui montrait, Il savait exactement quoi faire.»
Et vers ce moment-là, Billy est arrivé, il m’a tiré par le manteau et a dit: «Papa, tu vas devoir faire quelque chose.»
J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»
Il a dit: «J’ai six cents huissiers là debout, et il y a une petite femme avec un enfant mort dans les bras, et elle leur monte sur le dos, elle leur court entre les jambes. Elle n’a pas de carte de prière, elle nous... Il n’y a pas assez d’huissiers (six cents!) pour l’empêcher de venir à l’estrade.»
E-116 Et j’ai dit: «Frère Espinosa, n’interprétez pas ça. Je viens d’avoir une vision. Je ne sais pas ce que cela veut dire. J’ai vu ce petit enfant, on dirait, se tenant ici même.» J’ai posé mes mains sur cette petite forme froide. J’ai dit: «Père céleste, je ne sais pas ce que ceci signifie, mais Tu as parlé. Et je venais de dire que Tu as dit que Tu ne faisais rien avant que le Père Te l’ait montré. Que représentait ce petit enfant alors qu’il souriait en face de moi?»
Vers ce moment-là, le petit enfant a fait whaah, whaah, whaah! Pas de son confus. Tout le monde s’est mis à crier et à s’évanouir. On a mis des cordes tout autour de moi, on m’a soulevé une fois de plus au-dessus de l’enclos pour m’épargner d’un massacre alors que les gens affluaient comme ils le faisaient, de toute leur force.
J’ai dit: «Frère Espinosa, ne publiez pas cela. Premièrement, tout ce que nous publions doit être documenté.» Oui, oui. J’ai dit: «Je ne connais pas ce que cette femme... J’ai simplement vu l’enfant.» Et il a confié un homme à la femme. Et le matin suivant, il s’en est occupé, il est allé chez le médecin, et le médecin a signé une déclaration. Çaa été publié dans Voice des Hommes d’Affaires du Plein Evangile.
Lorsqu’on publie ces choses, il doit y avoir quelque chose pour les confirmer. Et il y avait là une déclaration médicale signée: «J’avais déclaré que le pouls de cet enfant s’était arrêté, qu’il était mort, ce matin à neuf heures. Et le lendemain matin, il est revenu dans mon cabinet beaucoup plus vivant.» Qu’est-ce! Il n’y a pas de son confus là. Cela veut dire que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Oh! Comme je crois en Lui! Croyez-vous cela?
E-117 Inclinons alors la tête. Je ne vais simplement plus continuer. Je reviendrai une autre fois pour vous apporter le reste de ces Ecritures. Croyez. Si une trompette émet un son confus, qui se prépareraau combat? Oh! Il y a un combat qui vient pour chacun de vous, et c’est la bataille de la mort. Vous devez l’affronter. Vous souvenez-vous d’hier soir? Mais il y a un Vaillant Guerrier qui vous a précédé et qui aarraché l’aiguillon pour vous. Il est ressuscité d’entre les morts. Il est vivant aux siècles des siècles.
Il n’y a pas de son confus, Il est vivant aux siècles des siècles. Il est ici même maintenant. Il ne faillit pas. C’est Christ. Croyez-vous en Lui? Ayez simplement foi. Combien ici n’ont pas de cartes de prière? Il se fait trop tard pour que je fasse passer la ligne de prière maintenant même. J’aimerais les prendre demain. Vous qui n’avez pas de cartes de prière, levez la main afin que je voie. Très bien. C’est pratiquement, comme d’habitude, partout. Croyez.