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Spokane, Washington, USA

E-124 Ecoutez, auditoire. Un jour, un petit berger avait été envoyé par son père paître les brebis. Un lion est arrivé, s’est emparé d’une brebis et l’a emportée. Il n’avait pas grand-chose avec lequel le pourchasser, mais il avait foi en Dieu. Il a pris une petite fronde, il est allé et a récupéré cette brebis, il l’a ramenée, parce que son père avait besoin de cette brebis-là.

Je suis juste un petit berger. Le Père m’a envoyé ici. Les cancers, les maladies, les afflictions se sont emparé de Sa brebis. Je n’ai pas grand-chose avec lequel venir après vous; j’ai la prière et la foi. Mais je viens après vous. J’aimerais vous ramener ce soir aux verts pâturages ombragés de la bonne santé. Je viens vous chercher maintenant par la prière. Allez-vous me croire? Imposez-vous les mains les uns aux autres alors.


Spokane, Washington, USA

E-126 Père céleste, le petit David d’autrefois savait que son père aimait ces brebis, et lui en avait la charge; cependant, il a dû prendre son bâton pour les remettre dans la ligne, et parfois, les meurtrir un peu. Mais c’étaient les brebis du père. Ô Dieu, un jour, un lion est arrivé, s’est emparées de l’une d’elles, et David l’a pourchassé. Tu étais avec David, et il a ramené la brebis. Ô Dieu, les maladies, les souffrances, les afflictions sont arrivées, elles se sont emparé de ces petits agneaux, et elles les emportent pour les tuer. Je viens à Toi ce soir, Seigneur, je leur ai demandé de s’imposer les mains les uns aux autres, le signe certain qui, d’après Dieu, suivrait les croyants. Ils ont levé les mains pour montrer qu’ils étaient des croyants, et nous venons pour les ramener.

Satan, au Nom de Jésus-Christ, lâche-les. Laisse-les aller. Au Nom de Jésus-Christ, j’ordonne au démon de l’incrédulité de quitter cette salle.


Spokane, Washington, USA

E-130 Père céleste, je prie pour ces gens de tout mon coeur. Je Te les confie. Ils sont les trophées du Message. Ils sont les trophées de Ta visitation, que Tu es ici ce soir. On Te voit marcher parmi nous, accomplissant des oeuvres qui n’avaient jamais été accomplies depuis la fondation du monde jusqu’en ces derniers jours. Ils sont là. Ce sont Tes enfants.

Je Te les recommande, Seigneur. Tu nous les donnes, et nous Te les donnons. Au Nom de Jésus-Christ, veille sur eux, et ressuscite-les au dernier jour. Je pourrais ne jamais être en mesure de leur serrer la main sur cette terre, mais lorsque la bataille sera terminée, que la dernière trompette aura retenti, que les morts seront ressuscités des tombes, et que les vivants seront enlevés ensemble avec eux à la rencontre du Seigneur dans les airs, puissé-je alors avoir communion avec Jésus-Christ et avec eux autour du Trône pendant des âges éternels à venir. Accorde-le, Seigneur. Ils sont à Toi, au Nom de Jésus-Christ. Amen.


Spokane, Washington, USA

E-3 Et aussi, Père, souviens-Toi aujourd’hui, alors que nous apportons la Parole, puisse-t-Elle être assaisonnée de l’Esprit, Seigneur. Que l’Esprit La manifeste. Que nos coeurs soient prêts à recevoir Cela. Et qu’Elle tombe profondément dans le coeur, jusque dans l’âme, et qu’Elle produise des résultats qu’Elle est censée produire, Seigneur. Accorde-le. Bénis nos frères partout en ce jour de sabbat. Les prédicateurs prêchent l’Evangile à travers le monde, ce même Evangile. Nous Te prions, Père, de les bénir partout.

Merci pour le glorieux matin, Seigneur, et pour de grands services partout. Nous Te prions de bénir tout le monde, Seigneur, tout ce qui a été dit. Maintenant, tire gloire de notre rassemblement cet après-midi, car nous nous confions en Toi avec nos–avec nos requêtes, et Ta Parole, au Nom de Jésus. Amen.


Spokane, Washington, USA

E-4 Ça fait quelques... environ quinze ans que je suis sur le champ de travail, évangélisant. Peu importe depuis combien de temps je–je suis sur le champ de travail, on dirait qu’il y a toujours une petite touche de sentiment de sympathie quand on arrive à la fin d’une réunion. Je n’en ai jamais tenu une seule jusque-là sans qu’il surgisse ce petit sentiment.

Il y a quelque temps, alors que je me promenais dans le bois, juste derrière là où je reste, je me disais: «Eh bien, vous savez, beaucoup de ces gens, je ne les reverrai plus jamais. Je–je ne vous reverrai plus jamais sur terre.» Et je me disais: «La prochaine fois que je les verrai, ça sera là dans la Gloire, ou soit... Et si certains parmi eux ne sont pas sauvés, Seigneur, et l’Epouse, l’Eglise doit se tenir là comme juge. (Voyez?) Et les saints jugeront la terre.»


Spokane, Washington, USA

E-6 Je sais que dans chaque réunion, il y a des gens qui viennent de partout, à une réunion ouverte comme celle-ci. Il y en a qui y ont assisté, des critiqueurs. Je peux sentir cela; juste, oh! la la! ça vous taille en pièces. Et puis, il y en a qui ont la foi la plus agréable, la plus humble que j’aie jamais rencontrée de ma vie. Voyez? C’est vrai. Vous faites donc face à cela partout.

Je ne suis pas sûr. Je crois que hier soir, une femme a traversé la ligne de démarcation entre la grâce et la miséricorde. Je l’ai vue debout devant moi, je priais pour elle chaque soir. Et elle était là debout, juste tout entourée des ténèbres tout autour d’elle. Peu importe ce qu’elle essaie de faire, c’est fini. Et alors, ce matin, un peu après l’aube, je l’ai vue. Et je–je priais. J’ai pensé: «Comment cette femme a-t-elle pu avoir ce genre de pensées?» Mais je n’y pouvais rien. Alors, et c’est à ça qu’on pense. Vous pensez: «Je me demande s’il y a quelque chose que j’ai fait, d’une façon, ou peut-être si je...»

Je ne peux dorloter quoi que ce soit. On–on ne doit pas le faire. C’est mauvais. Voyez, on doit dire la vérité. La vérité est toujours bonne. Ainsi donc, cela–cela vous fait réfléchir. Et vous y réfléchissez et vous vous faites des soucis à ce sujet.


Spokane, Washington, USA

E-10 Par exemple, peut-être deux personnes parfaitement identiques devraient être homme et sa femme. J’ai la femme la plus douce du monde. Eh bien, je sais que vous les frères, vous allez être en désaccord avec moi là-dessus. Mais–mais je–je pense que j’en ai une. Pour moi, elle l’est. Voyez? Mais cependant, quand nous nous mettons à manger la tarte, elle prendra la tarte aux pommes, et moi, la tarte aux cerises. Elle est ma femme malgré tout. Oui, oui.

Et aussi, mon fils Billy Paul. Vous connaissez l’histoire de ma vie. Sa mère est morte alors qu’il avait dix-huit mois. Sa petite soeur avait huit mois quand je les ai ensevelies ensemble. J’ai trimbalé Billy avec mon... son biberon dans ma poche, parcourant la pièce, pleurant avec lui, pendant qu’il réclamait en criant une mère, et je n’avais pas de mère à lui donner. J’ai été à la fois pour lui papa et maman. C’est la raison pour laquelle je le garde juste avec moi maintenant. Partout où nous allons, j’amène Billy. J’avais promis cela à sa mère à sa mort. Personne n’est plus proche de moi que Billy.

Et vous savez, nos véhicules à nous deux étaient amortis. Il nous fallait tous deux avoir de nouveaux véhicules, avant que nous venions ici. Et vous ne pouvez simplement pas me vendre autre chose qu’une Ford, et c’est tout. Et vous ne pouvez lui vendre autre chose qu’une Chevy. Mais nous sommes tous deux arrivés ici. Mes freins sont abîmés, son radiateur a chauffé le long du chemin. Mais nous ne nous confiions pas dans nos véhicules, nous nous sommes confiés en Dieu. C’est la raison pour laquelle nous sommes arrivés ici. Vous voyez donc, c’est quelque chose comme les dénominations.


Spokane, Washington, USA

E-13 Vous savez, ce n’est pas le goût qui compte là. Nous pouvons être en désaccord suivant l’organisation, la dénomination. Mais Dieu est un Dieu de variétés. Dieu aime la variété. Il n’est pas un Sears and Roebuck Harmony House [Chaîne de magasins d’articles en série], Dieu est une variété. Il a de grandes montagnes, de petites montagnes, des fleurs blanches, des fleurs roses, des fleurs jaunes. Il est un Dieu de variétés. Il a des hommes petits, des hommes grands. Il en a aux cheveux noirs, aux cheveux roux, aux cheveux blonds, toutes les différentes sortes. Il a les déserts. Il a–Il a des lacs. Il a des mers. Voyez? Il est un Dieu de variétés.

Et c’est pareil ici aujourd’hui. Nous sommes tous serviteurs de Dieu. Et après tout, frères, est-ce tout ... Un arc-en-ciel représente une alliance. C’est vrai. Nous sommes dans l’alliance de Dieu. C’est vrai. Nous sommes unis comme frères. Que le Seigneur vous bénisse, mes braves frères. Et que vos églises croissent et prospèrent. Et que Dieu vous bénisse donc richement et royalement, c’est ma–c’est ma sincère prière. Si jamais je peux vous aider de quelque manière que ça soit, la nuit ne sera pas trop sombre, ni la pluie ne tombera pas trop abondamment. Appelez-moi simplement. Je ferai tout mon possible pour aider.


Spokane, Washington, USA

E-16 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et j’aimerais que vous pardonniez ma grammaire, certaines de mes expressions désagréables. Je ne sais pas... Je n’ai pas reçu d’instruction. Je dois donc dépendre de l’inspiration. Ainsi donc, je le dis tel que je le reçois donc. Je vous garde longtemps, mais je tends simplement la main, je saisis cela, je le crache tel que je le reçois. C’est donc désagréable, mais c’est l’unique moyen que j’ai de m’y prendre. Vous donc... J’essaie simplement d’arriver ici et de me mettre à parler un peu jusqu’à ce que je sois oint. Dès que je suis oint, alors je détale.

Combien ont déjà chassé des lapins? Avez-vous déjà utilisé un chien de meute? Il va flairer tout autour, il va fourrer sa gueule, vous savez, jusqu’à ce qu’il repère la piste. Et une fois qu’il flaire l’odeur du lapin (Oh! la la!), ses yeux ressortent, ses oreilles se dressent, et il s’en va. Oh! la la! C’est à peu près pareil avec un ministre qui cherche son texte, quand il essaie de prêcher par inspiration. N’est-ce pas discourtois? Il commence donc.


Spokane, Washington, USA

E-23 Cela me rappelle une petite histoire dont j’ai entendu parler l’année passée, dans un bazar à Louisville. Une dame y était entrée, portant un petit enfant d’environ... il semblait avoir environ deux mois, ou deux ans, un petit garçon. Et elle allait vers toutes les petites babioles, vous savez, les dames, comment vous les dames vous aimez faire des achats dans des bazars, comme ma femme. J’ai toujours eu pitié des gens qui gèrent le bazar chaque fois que ma femme va au centre ville. Elle n’achète jamais rien, elle va simplement, elle regarde cela, et dépose ça. Et ma belle-fille et elle étaient là. Oh! la la!

Et alors, elle prenait quelque chose et regardait cela: «Eh bien, regarde ça. Qu’en penses-tu?»

«Hmm, hmm.»

La dame disait: «Veux-tu quelque chose?»

«Non, madame. Non, madame.»

Elle remet ça. Elle dépose ça quelque part, et prend autre chose; et puis, elle doit venir arranger cela.

Eh bien, je pense que c’est amusant. C’est donc en ordre. C’est donc en ordre. C’est bien correct. Continuez simplement à faire cela. Tant que vous faites donc cela, ce–c’est en ordre, voyez? Ne rendez donc pas cela pire.


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