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Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-13 Par exemple, quand nous nous mettrons en route demain vers chez nous, eh bien, alors, et si je disais: «Permettez-moi de voir dans quelle direction j’habite là. J’habite quelque part à l’est, au sud, et tout. Je vais me diriger droit dans cette direction, prendre un raccourci, car je dois vite rentrer chez moi. D’accord. Je vais directement suivre cette voie-là.» Je me retrouverais quelque part ici dans le Puget Sound, enfoncé dans l’océan, ou je me retrouverais dans un champ boueux. Je ne peux pas faire cela. Si je le fais, je–je n’aboutirai nulle part.

Eh bien, l’unique moyen pour moi de m’en sortir, c’est de prendre la carte routière, et il y a... Il a été pourvu à des autoroutes pour que je m’y déplace. Si seulement je me sers de la carte routière et que je la suis, je–j’y arriverai. Voyez? Simplement suivre des repères, je suis tenu d’arriver là. Cela peut me sembler une mauvaise voie, mais c’est une route à laquelle il a déjà été pourvu. Ainsi donc, ma pensée, si elle est contraire à la voie à laquelle il a été pourvu, que je ne pense donc pas; laissez-moi suivre les repères, et j’y arriverai.

C’est pareil pour notre chemin vers le Ciel. Nous avons notre propre conception. Mais si nous nous en servons, nous allons nous retrouver tout à fait en erreur, tout accidenté quelque part. Mais si nous suivons la voie sur laquelle Dieu a placé des repères pour nous, nous arriverons là aussi sûr que deux fois deux font quatre, car Dieu a une voie.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-15 Je me suis souvent demandé, quand j’arrive ici en automne à une partie de chasse... Et j’aime aller dans les hautes montagnes ici et observer les canards, juste au moment d’essaimage, et les oies. Eh bien, ils viennent du sud, ils viennent ici et entrent dans ces marais marécageux et sales, et ils se construisent un nid, pondent des oeufs et font éclore leurs petits.

Eh bien, ces petits canards qui ont grandi dans cet étang-là, ou ce lac, ne connaissent rien d’autre en dehors de ce lac. Il est né là le printemps passé. Il a vécu là tout l’été. Il a de quoi subsister. Et d’une façon ou d’une autre, quand le long... Vers fin août ou fin septembre, quand les montagnes deviennent enneigées et que ce vent froid souffle dans la prairie là où les petits canards se trouvent, il sait que quelque chose est sur le point d’arriver.

Eh bien, que fait-il? Ils commencent tous à se rassembler. Et en plein milieu de cet étang, un petit canard va s’avancer, il est né ce printemps-là dans cet étang. Il va droit au milieu de cet étang-là, dresse son petit bec en l’air, et fait: «Couin, couin, couin, couin, couin», et chaque canard dans cet étang vient directement vers lui. Voyez?


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-16 Eh bien, Dieu a pourvu ce canard d’un instinct–instinct, pour lui faire savoir qu’il va geler et qu’il mourra là. Il ne peut donc pas rester là; il n’a jamais été nulle part ailleurs en dehors de là. Mais Dieu a pour lui un autre endroit où aller, alors il... S’il a un autre endroit auquel il a été pourvu en Louisiane et au Texas, dans les rizières, après qu’il aura mangé toute votre avoine, autant qu’il le pouvait, il va alors descendre dans les rizières pour–pour vivre chez les Texans, là-bas.

Eh bien alors, il est né ici sur ce lac. Il n’en sait rien, mais Dieu l’a d’un instinct, une voie à laquelle Dieu a pourvu pour lui faire savoir que des ennuis sont imminents, et il se met à flairer l’air.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-19 Observez ces oies, comment elles quittent là et essaiment. J’aime vraiment les entendre à l’automne. Elles traversent l’Indiana en criant de toute leur force; avec un drôle de conducteur là devant, le nez dressé tout droit vers la Louisiane, il y va, il n’y a jamais été auparavant. Il ne sait pas ce qu’il y a là.

C’est comme les enfants d’Israël sous la conduite de la Colonne de Feu. Ils sont sortis de l’Egypte. Ils n’avaient jamais été dans cette voie-là auparavant. Mais ils sont allés droit vers la Terre promise, car ils suivaient la Colonne de Feu, le Conducteur auquel Dieu avait pourvu. Ils sont restés juste dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

Oh! c’est vraiment dommage que les êtres humains manquent tellement cela, parce que nous ne savons pas qui est notre Conducteur. C’est tout. Nous essayons d’adopter notre propre pensée. Nous nous embourbons toujours quelque part et nous faisons naufrage.

Or, les canards et les oies vont au sud, ils ont un conducteur auquel il a été pourvu. Dieu, qu’Il vous envoie quelque part en route, c’est à Lui de pourvoir à un Conducteur pour vous guider sur la route. Toujours. Oui, oui. Dieu y pourvoit. Et si seulement vous observez la nature; ça a été ma première Bible, l’observation de la nature. Si vous observez cela, vous ne raterez jamais Dieu si vous pouvez observer la nature.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-22 Eh bien, Dieu envoie les pleureuses et le convoi, c’est l’eau, et elle tombe sous forme de très grosses larmes et ensevelit cette petite semence. Cela va en terre, alors qu’on la porte là en bas. Puis, vient le blizzard de l’hiver, ça parcourt le pays. Le petit pétale a disparu, les feuilles tombent, la tige n’est plus là, le bulbe a séché, la petite semence a gelé et ça a éclaté. La pulpe en est sortie.

Pauvre petite fleur, on dirait que c’est sa fin. Oh! Non, ce n’est pas sa fin. Quand le soleil chaud commence à ressortir, la terre occupe une position par rapport au soleil, il y a quelque part sous cette terre un germe de vie que la science ne peut jamais retrouver. Cette fleur revit. Pourquoi? Elle avait servi le dessein de Dieu selon la voie à laquelle Dieu avait pourvu, et Il a pourvu à la voie pour qu’elle revive.

Et s’Il a pourvu à une voie pour qu’une fleur revive, celle qui avait servi Son dessein, à combien plus forte raison a-t-Il pourvu à une voie pour qu’un homme ou une femme revive, celui qui avait servi Son dessein, celui qui a marché dans la voie à laquelle Il avait pourvu. C’est si simple, rien que de voir cela.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-25 Delores est rentrée à la maison. Elle m’a appelé, elle a dit: «Bill, je n’arrive simplement pas à supporter de voir maman mourir.»

J’ai dit: «Delores, qu’est-ce qui te fait dire pareille chose?»

Elle a dit: «Je n’arrive simplement pas à voir maman mourir. C’est notre unique maman, l’unique que nous ayons jamais eue.» Elle a dit: «Tu es là à cinquante-trois ans et moi, j’en ai vingt-sept.» Elle a dit: «Comment allons-nous supporter cela, Bill? Nous l’avons eue toute cette vie.»

J’ai dit: «Delores, regarde par la fenêtre, là où tu te tiens au téléphone, à ta gauche. Que vois-tu? Y a-t-il un arbre là, un très gros chêne?»

Elle a dit: «Oui.»

J’ai dit: «Il y a deux mois, toutes les feuilles étaient jolies et vertes.»

«Oui.»

J’ai dit: «Quelle couleur ont-elles maintenant, Delores?»

Et elle a dit: «Elles sont brunes il y en a des rouges, des jaunes et des vertes»

J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»

Elle a dit: «La vie quitte la feuille.»

J’ai dit: «Exact.» J’ai dit: «A quel moment est-elle la plus jolie?»

Elle a dit: «Maintenant même.»

J’ai dit: «C’est sa mort... Amen. Elle a du prix aux yeux de l’Eternel, la mort de Ses saints, voir ces vieux saints arriver au bout, au dernier moment.»


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-26 Alors que maman n’arrivait plus à parler, j’ai dit: «Maman, c’est en ordre si tu peux... je...?...» J’ai dit: «En tant que ton fils prédicateur, j’aimerais te demander: Que représente Christ pour toi?»

Elle a dit: «Tout en tout, tout en tout. Il est plus précieux maintenant que jamais.»

Et alors qu’elle ne pouvait plus parler, j’ai dit: «Maman, tu ne peux plus parler. Tu vas partir dans quelques minutes. Je veux confier ton âme à Dieu, pendant que je me tiens ici. Maman, si tu ne peux plus me parler maintenant, si Christ représente toujours tout pour toi, alors que tu es sur le point de mourir, si tu ne peux plus parler, bats les yeux.» Elle a battu les yeux et elle s’en est allée à la rencontre de Dieu.

Oh! la la! Il a du prix aux yeux de l’Eternel, ce beau témoignage, alors que Satan se tenait là, disant: «Je vais amener Bill, Delores et les autres à Te tourner le dos. Laisse-moi la prendre et la torturer un peu.» Mais, oh! la la! voir cette vieille sainte se tenir là au bout et aller à la rencontre de Dieu, pareille à une feuille qui s’en va.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-28 Eh bien, ils m’ont tellement aimé qu’ils ont déménagé pour devenir mes voisins. Et ce sont aussi de vrais voisins selon Actes 2.4. Ils le sont vraiment; tous les deux ont reçu le Saint-Esprit. Et toute sa famille, pratiquement tout le monde, c’étaient des lecteurs chez les Témoins de Jéhovah; par des visions et les puissances de Dieu, tout le monde a été amené au baptême du Saint-Esprit.

Les membres de famille de sa femme étaient tous des méthodistes, de bonnes femmes et de bons hommes et tout, chaque membre de sa famille, tout le groupe, ils sont venus, ils ont reçu le baptême du Saint-Esprit, à l’exception d’un seul. Observer Dieu...

Et frère Banks et moi, nous aimons chasser l’écureuil. Je ne sais pas si quelqu’un... Combien sont déjà allés chasser l’écureuil? Oh! la la! De quelle partie du Kentucky êtes-vous après tout? Voyez? Il n’y a pas de chasse semblable à celle-là, pas du tout, nulle part. Nous chassons l’écureuil avec de calibre, des coups de feu à 50 yards [45,7 m], des tirs dans l’oeil. Nous n’attrapons pas trop d’écureuils, mais nous passons un grand moment lorsque je suis en vacances.


Victoria, Colombie-Britannique, Canada

E-29 Un jour, là, c’était... L’automne a été très sec, il y a de cela deux ans, et nous campions là; on n’avait pas pris de bain depuis quelques semaines, nos visages étaient tout couverts de barbe, et on avait du sang d’écureuils. Nous étions sales. Mais je me détendais après des réunions, en m’éloignant un peu dans la nature. Je vois toujours Dieu dans la nature, j’observe la voie à laquelle Il a pourvu. Remarquez.

Et alors, il faisait très sec, quand nous entrions dans les bois, ces bois sans vie, un petit brisement de la feuille... Et vous parlez de Houdini comme un professionnel d’évasion, c’est un amateur par rapport à l’un de ces écureuils. Il s’en allait, comme ça. Et tirer un coup de fusil, et alors dans l’oeil, c’est une chose difficile à réaliser.

Alors, frère Banks a dit: «Tu sais, je connais un homme qui a cinq cents hectares de bois tout dans les creux.» Combien savent ce que c’est un creux? D’accord. C’est en bas, dans une espèce de vallée, là où l’eau coule. Il a dit: «Nous pouvons aller là nous promener.» Nous y sommes donc allés voir cet homme. Il a dit: «Tout ce qu’il y a, c’est que cet homme est un incroyant, un incroyant très horrible.»


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E-30 Eh bien, nous avons traversé les champs et tout jusqu’à atteindre sa résidence. Et quand nous sommes arrivés chez cet infidèle, cet incroyant, il était assis là sous un arbre, lui et un autre vieil homme étaient assis là, les chapeaux tirés, chiquant du tabac et crachant, comme cela. Alors, frère Wood est sorti du véhicule, il s’est avancé et a dit: «Puis-je chasser l’écureuil un moment chez vous?»

Il a dit: «Comment t’appelles-tu?»

Il a dit: «Wood.»

Il a dit: «Quel Wood es-tu?»

Et il a dit: «Banks.»

Il a dit: «Es-tu le fils de Jim Wood?»

Il a dit: «Oui.» C’était son père.

Il a dit: «Eh bien, n’importe quel fils ou n’importe quel membre de la famille de Jim Wood est le bienvenu chez moi, partout où il veut aller.»

Alors, il a dit: «J’ai amené avec moi mon pasteur. Peut-il aussi chasser?» Ce vieil homme a craché et a dit: «Wood, tu ne veux pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur partout où tu vas!»


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