Jeffersonville, Indiana, USA
E-11 Maintenant, j’aimerais lire ce soir un passage de l’Ecriture qui se trouve dans l’Evangile selon saint Jean. Or, ces petits versets que nous lisons et auxquels nous nous référons, ils nous servent de base pour ce que nous cherchons à dire. Et toujours, jamais une seule fois je ne me rappelle être monté en chaire pour essayer de dire quelque chose juste pour le dire, jamais. Je m’efforce toujours de–d’attendre, de veiller, d’étudier, de prier, jusqu’à ce que j’aie le sentiment d’avoir reçu quelque chose qui aidera les gens. Si je ne peux pas être une aide, alors il est inutile que je me tienne ici. Voyez? C’est pour essayer d’aider... Et maintenant, ce soir, évidemment, la plus grande partie de notre groupe est reparti ce matin, et il leur fallait rentrer, beaucoup d’entre eux. Mais, ce soir, je vous ai dit que si vous restiez, nous essaierions de ne parler qu’à peu près quarante-cinq minutes sur quelque chose qui, j’espère, nous aidera. Et pour servir de base à ceci, maintenant, nous allons prendre Saint Jean, chapitre 16, et commençons vers le–le verset 7 du chapitre 16, et lisons jusqu’au–au verset 15.
Cependant, je vous dis la vérité: Il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai.
Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement:
En ce qui concerne le péché, parce qu’ils ne croient pas en moi; la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus;
le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé.
J’ai encore beaucoup de choses à vous dire; mais vous ne pouvez pas les porter maintenant.
Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même; mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir.
Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi, et vous l’annoncera.
Tout ce que le Père a–a est à moi; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prend de ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera.