E-100 «Pour moi la Vie c’est Christ.» Alléluia! Je crois que ce même Dieu qui est descendu au jour de la Pentecôte, comme une Colonne de Feu, et qui s’est divisé comme des langues de feu sur Son Eglise, parmi Son peuple, est ici ce soir. C’est le même Dieu qu’Il était alors, Il est le même aujourd’hui, avec le même Saint-Esprit. Je sais que c’est un paradoxe. Cela ne peut être expliqué. Les émotions, les cris, les pleurs, et ainsi de suite, ne peuvent pas être expliqués, sinon que c’est un paradoxe, comment Dieu fait cela. C’est le Dieu invisible habitant dans le coeur de l’homme, se rendant visible, en confirmant SaParole, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
E-106 C’était un paradoxe, lorsqu’un Homme ayant des pieds comme vous et moi a marché sur les eaux d’un lac comme le lac Michigan qu’il y a ici, alors qu’il y avait une tempête et que les vagues étaient probablement...
E-128 Frère, elle laissa ce seau, et elle s’en alla. Son témoignage sauva sa ville, Sychar. Eh bien, c’était là un paradoxe, lorsque Dieu, lorsque Jésus fit cela. Certainement.
E-131 C’était étrange, qu’après la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus, Saul, ce petit Juif au nez crochu, grincheux et méchant, et qui mettait même à mort certains membres de l’Eglise, était en route pour Damas, pour arrêter ces gens... Et là-bas, il y avait un prophète appelé Ananias, et il était là, donnant des prophéties aux gens, un prophète du Seigneur, leur annonçant laParole du Seigneur, parce qu’Elle était venue à lui. Et pendant que pasteur Ananias se trouvait là, prophétisant, Saul alla là-bas pour l’arrêter. Et au beau milieu de la journée, cette même Colonne de Feu qui descendit et conduisit les enfants d’Israël frappa Paul et le terrassa. Et tous les gens qui se tenaient autour de lui ne La voyaient pas. Mais Elle était si brillante pour Paul qu’Elle aveugla ses yeux. Amen. Il devint aveugle. C’était si réel pour lui, mais le reste d’entre eux ne voyait pas Cela. C’est un paradoxe. Oh! la la! Oh!
E-136 C’est le même genre de paradoxe qui fait sortir un homme d’un vieux credo formaliste froid, pour entrer dans le Dieu vivant. C’est un paradoxe, de voir le même homme lire la même Bible, puis La renier, alors qu’un autre croit Cela et En accepte l’évidence.
Oui, c’est un paradoxe, alors qu’il voit celaagir sur un autre homme, il devait sûrement reconnaître qu’il s’agit du même Dieu. Son credo est faux, si cela était contraire à laParole. Si Dieu confirme SaParole, alors votre credo est faux. Amen. Je n’ai pas l’intention d’être si rude, mais c’est la Vérité, un paradoxe.
E-142 Il a dit: «Frère Branham, je–j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Je–j’ai été un peu réticent pour le dire à d’autres personnes.» Nous nous sommes mis à parler du Seigneur et de Sa bonté. Et le vieil ami pleurait, et les larmes coulaient sur ses joues, et il a dit: «Je–j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Cela–cela pourrait vous sembler étrange, a-t-il dit, mais je crois qu’une personne comme vous comprendra cela.»
J’ai dit: «Eh bien, allez-y, frère. De quoi s’agit-il?»
E-149 Et il a dit, juste au moment où il commençait à s’en aller, Quelqu’un lui aparlé, au fond–au fond de son coeur, et a dit: «Un jour, Joseph et Marie avaient été renvoyés aussi.»
E-157 Alors il s’est approché, et il a regardé ce vieil homme. Il a eu pitié de lui. Il a ôté son propre manteau, il a pris son épée et a coupé cela en deux. Et avec une partie de son manteau, il s’est enveloppé les épaules, et il a pris l’autre moitié et en a enveloppé le vieux mendiant, afin qu’il puisse survivre toute la nuit, et il s’en est allé.
E-180 Combien parmi ceux qui sont ici croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et croient que cette petite femme qui avait touché Son vêtement...? Autrefois avec son doigt, (Il était–Il était alors dans Son corps physique), elle a touché Son vêtement. Voilà un paradoxe. Il ne pouvait pas sentir cela, mais Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Et elle ne pouvait pas se cacher. Et Il lui a dit ce qu’était sa maladie, et sa foi l’a guérie.
E-185 Maintenant, touchez Son vêtement, dites: «Seigneur Jésus, je crois de tout mon coeur que nous vivons dans les derniers jours. Je crois que Tu es le même Dieu qui aaccompli tous ces miracles que notre pasteur nous a montrés ce soir dans laParole. Je crois que Tu es le Souverain Sacrificateur. Seigneur, laisse-moi toucher Ton vêtement. Puis, parle à travers ce frère, et–et confirme que Tu parles à travers lui. Et puis, il ne me connaît pas, mais Toi, Tu me connais.» Et alors, voyez s’Il n’est pas le même Dieu des miracles, et il y aura encore un paradoxe, quelque chose d’insondable que l’homme ne peut ni discerner ni savoir.