E-40 La nuit ne sera pas trop sombre, ni la pluie ne tombera pas trop abondamment pour m’empêcher de vous venir en aide, si je le peux. Autrefois, je disais que je pouvais venir chez vous, mais vous êtes tellement nombreux maintenant. J’ai été à travers le monde (Voyez-vous?), et les gens sont partout. Passe-moi simplement un coup de fil, ou écrivez-moi une lettre; je vous enverrai un tissu sur lequel on a prié, tout ce que je peux faire. Tout est absolument gratuit, on ne paie pas pour cela. Voyez-vous? Il... J’ai gardé mes réunions comme celaafin que je puisse aller là où les gens n’ont pas d’argent.
E-43 J’ai voulu que le mien reste simple et humble. Partout où je peux aller et où Dieu m’appelle, je n’ai rien qui m’en empêche donc. Je pars simplement et je m’en vais, où que ce soit. C’est ça mon ministère.
E-50 Peu importe...Très souvent, il y a des hommes avec qui je ne suis pas en désa-... je suis en désaccord avec, ils sont en désaccord avec moi. Mais si cela ne peut pas se faire avec tolérance et dans l’esprit d’une meilleure communion et tout, alors je–je ne dirai rien à ce sujet. Je peux être en désaccord avec un homme sur beaucoup de choses, si je ne peux pas passer mon bras autour de lui et le reconnaître, du fond de mon coeur, comme mon frère, alors je ne devrais pas lui parler. C’est vrai. C’est ce qu’il nous faut faire.
E-54 Je vais surveiller maintenant ce que... afin que nous puissions disposer de beaucoup de temps pour le service de prière. Maintenant, suivez attentivement alors que j’essaie, avec ces quelques passages des Ecritures et des notes que j’ai prises ici, d’en parler. Parfois, quand je ne suis pas fatigué ni épuisé, je ne mets pas les passages des Ecritures par écrit; je les connais, je peux m’en souvenir. Mais tout récemment, c’est devenu juste comme... Donc je... Parfois je... Je n’arrive pas à m’en souvenir. Alors, je note celapar ici, un petit quelque chose, comme un certain passage des Ecritures, je sais ce que cela veut dire, et je vais carrément de l’avant à partir de là.
E-57 Il y a quelques années, je lisais un petit article à Noël, c’était douloureux... Certainement que celaavait amèrement attristé mon coeur. Quand un–un–un homme était sorti, et c’était un brave homme, il ne–il ne buvait pas en réalité. Mais il–il allait çà et là à Noël rendre visite à ses collègues. Eux tous lui parlaient, disant: «John, prends un peu, juste un petit verre.» Et en allant de maison en maison, il–il en a trop pris, et il devait rentrer chez lui.
Alors, pendant qu’il traversait le parc, son jeune fils l’accompagnait. Et il–il a perdu de vue son jeune fils. Puis, il s’est retourné et a regardé. Et le petit garçon marchait en zigzag. Et le papaaattendu jusqu’à ce que le petit garçon l’ait rattrapé.
E-64 L’homme est donc allé examiner les–les esclaves. Et lors de sa visite, il a remarqué que ces hommes étaient toujours tristes. Les–Les Boers, ils les avaient amenés de l’Afrique et les avaient débarqués là au Cuba; et puis, ils les avaient envoyé ici au Sud et les avaient vendus comme esclaves. Et ils savaient qu’ils ne retourneraient plus jamais chez eux. Ils savaient qu’ils ne verraient plus jamais leur père, leur mère, ni leurs enfants, ni leurs maris, ni leurs femmes et tout. Ils étaient–ils étaient victimes des circonstances dans lesquelles ils ne s’y étaient pas retrouvés de leur propre gré. Et ils étaient là, loin de leur patrie et tristes. Et parfois, on devait prendre le fouet pour les fouetter, tout comme on fouette les bêtes, le bétail, le veau, les chevaux et autres. Et ensuite, on–on les faisait travailler.
E-77 Certainement que je–je suis américain. Sur les champs missionnaires en Allemagne et au Japon, il y apartout là des tombeaux américains qui jonchent partout avec les miens, les Branham. Et s’il me fallait y aller, je donnerais ma vie pour cela.
E-82 Eh bien, il plantait des vignes, il était un berger et il avait toutes sortes de bétail et de vignes. Si vous voulez le lire, c’est là dans 2 Chroniques 26, et dans d’autres passages des Ecritures où il est parlé de–d’Ozias; c’était un grand homme. Il–il aimait le plein air; vraiment un homme de bien, Dieu bénissait tout ce qu’il entreprenait. Cela prospérait simplement et allait de l’avant. Et aucune nation ne l’inquiétait, elles avaient peur de lui, car il servait l’Eternel Dieu qui était avec lui. Ce n’est pas qu’elles avaient peur de sa force militaire, mais du Dieu qu’il servait.
E-110 Maintenant, nous voyons que cet homme était devenu tout hautain, tout enflé, il a rougi et s’est retourné et aparlé à ces sacrificateurs. Et, la première chose, vous savez, il fut frappé de lèpre. Là même, alors qu’il se fâchait, il fut frappé. Il n’en fut jamais guéri. Quoi? L’incrédulité à laParole de Dieu, c’est ce qu’on essayait de lui dire.