E-99 Au moment du sacrifice dans l’Ancien Testament, celui qui rendait le culte plaçait les mains sur un bélier et on tranchait la gorge de celui-ci. Le sacrificateur prenait le sang et le brûlait. Et celui qui rendait le culte sentait les douleurs de la mort sur le–le bélier, ses mains étaient couvertes du sang du petit bélier qui mourait, qui mourait, ou de la petite brebis, alors qu’elle mourait, mais il retournait avec la même conscience qu’il avait lorsqu’il était venu. Parce que quand cette cellule de sang était brisée, c’était le sang de quelque chose d’autre, d’un bélier, voyez, et l’oeuf provenait de la femelle. Et la vie qui se trouvait dans cette cellule de sang ne pouvait pas revenir sur la vie de celui qui rendait le culte, parce que c’était la vie d’un animal. L’animal n’a pas d’âme, ainsi il ne peut pas distinguer le bien du mal. Par conséquent, cela ne pouvait pas revenir.
E-102 Maintenant, lorsqu’elle L’a entendu, elle avait raison... Lorsqu’Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. JE SUIS.» Oh! quelle assurance de laParole promise, parce qu’Il était le JE SUIS qui était dans le désert avec Moïse, là derrière dans le buisson ardent! Même lorsque tout espoir avait disparu, cependant elle était convaincue. Si seulement elle pouvait L’amener à demander, la chose allait se produire. Eh bien, combien nous avons besoin d’une telle foi aujourd’hui!
E-117 Alors il savait qu’il allait mourir. Et il a dit: «Eternel...» Au chapitre 14 de Job, il est dit: «Lorsqu’un arbre tombe, il a de l’espérance.» Il savait qu’il avait été... Celaavait influencé les gens. Sa vie avait été utile. Dieu ne nous donne pas cette vie juste pour flâner, pour ceci, pour cela. Il la donne, afin qu’elle Lui soit utile. Faites quelque chose. Parlez à quelqu’un d’autre. Si vous ne pouvez pas parler, sifflotez un cantique, ou quelque chose. Faites une certaine impression, quelque part. Et Job était le genre d’homme qui était utile.
E-120 Remarquez maintenant, lorsque toute cette détresse est venue. Et ses amis lui ont tourné le dos, et l’ont accusé de pécher en secret. Sa femme l’a rejeté. Tout le monde l’avait rejeté. Il a dit que même son haleine était étrangère à sa femme. Et tout lui était arrivé! Et à ce qu’il paraissait, Dieu l’avait rejeté. Et il allait mourir et être enterré.
E-121 Dieu lui aparlé comme pour dire: «Job, maintenant ceins tes reins. Je vais te parler.» Et alors, lorsqu’Il a dit: «Tu vois, l’arbre n’a jamais péché. La–la fleur n’a jamais péché. Elle a servi Mon dessein. Donc cela était fécondé, l’un comme l’autre, cela n’a jamais péché, c’est pourquoi cela ressuscite. Mais l’homme a péché, par conséquent il est retranché.»
E-122 Ainsi donc, Job s’est mis à se demander, et alors il était dans l’angoisse tout comme Marthe. En cette heure la plus sombre, lorsque... toute son influence, avait-il vécu cela en vain? Comment allait-Il s’adresser à Job? Il était un prophète. Comment allait-Il lui parler? Dans une vision.
E-125 Maintenant remarquez Moïse, dans son heure sombre. Il avait eu la connaissance. Sa mère lui avait raconté que Jéhovah l’avait suscité, qu’il allait être le libérateur du peuple. Et il avait essayé de faire cela militairement, parce qu’il était un militaire, il avait été élevé par Pharaon, pour devenir un–un conducteur. Il allait être le prochain Pharaon. Et il est allé essayer de les délivrer par ses propres mains.
Mais Dieu ne délivre pas comme cela. Dieu délivre par Sa main à Lui.
E-131 Eh bien, parlons d’un autre personnage pendant juste un instant. Parlons de Jaïrus, dans la Bible au temps de Jésus. Lui, c’était un aimable petit gars. Il était un–un croyant, il croyait en secret. Je l’appellerais en quelque sorte un croyant frontalier, comme les espions qui sont allés de l’autre côté et qui ont goûté les bonnes choses et qui sont revenus et ont dit que cela ne pouvait pas se faire. Mais Jaïrus croyait en secret. Il croyait au Seigneur Jésus, parce qu’il était un homme merveilleux. Il avait probablement étudié les rouleaux et il avait vu que Jésus remplissait toutes ces exigences, et qu’Il était ce Prophète qui était censé être suscité, selon ce qu’avait dit Moïse. Mais il n’arrivait pas à faire sa confession, parce que tout celui qui confessait avoir été avec Jé-... être allé chez Jésus, eh bien, il était immédiatement excommunié. Et lui était un sacrificateur.
E-141 L’aveugle Bartimée, encore un personnage dont nous pourrions parler juste pendant une minute. J’aimerais vous donner le récit de sa vie, comment il–il était, comment il gagnait sa vie grâce aux petites colombes qui faisaient des culbutes. Et alors, en ces jours-là, on utilisait un agneau pour conduire un aveugle, juste comme on utilise un chien aujourd’hui pour conduire un aveugle.
E-142 Et alors un jour, il est rapporté que l’aveugle Bartimée, avant que Jésus vienne sur scène, cet homme avait une petite fille qui était malade. Et il est dit... il s’est retiré dehors, il a pleuré et il a prié le Seigneur, il a dit: «Seigneur, si Tu... si Tu m’accordes juste la vie de ma petite fille. Je n’ai jamais pu la voir. Mais si Tu la laisses vivre, je Te promets, demain, je Te donnerai mes deux tourterelles.» C’est ce qu’il avait pour divertir les gens. Il y avait beaucoup de mendiants, il lui fallait avoir quelque chose d’inhabituel. Alors les deux petites tourterelles faisaient des culbutes l’une sur l’autre. Alors il a dit, bien, il pouvait... Il a offert, il a donné l’offrande, parce que l’enfant a été guérie.