Jeffersonville, Indiana, USA
E-20 Eh bien, si nous le voulons bien maintenant, prenons 2 Corinthiens, chapitre 3, nous commencerons au verset 6, et nous lirons jusqu’au verset 18, et aussi une partie du chapitre 4.
Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit; car la lettre tue, mais l’esprit vivifie.
Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d’Israël ne pouvaient pas fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère,
Combien le ministère de l’Esprit ne sera-t-il pas plus glorieux!
Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire.
Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l’a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure.
En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus une gloire.
Ayant donc cette espérance, nous devons grandement... liberté, nous usons d’une grande liberté,
Et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d’Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager.
Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure, quand ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaît.
Jusqu’à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs coeurs;
Mais lorsque les coeurs sont convertis au Seigneur, le voile est ôté.
Or, le Seigneur, c’est l’Esprit; et là où... l’Esprit du Seigneur, là est la liberté.
Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous avons été transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit.
C’est pourquoi, ayant ce ministère, selon la miséricorde qui nous a été faite, nous ne perdons pas courage.
Nous rejetons les choses honteuses et qui se font en secret, nous n’avons point une conduite astucieuse, et nous n’altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous condamnons à toute conscience d’homme devant Dieu.
Si notre Evangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent,