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Connersville, Indiana, USA

E-53 Très bien. Aimeriez-vous guérir de ce mal de dos, monsieur? Inclinez-vous juste comme ceci et dites: «Gloire au Seigneur!» Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur. Vous êtes guéri. Disons: «Gloire à Dieu!» Croyez en Dieu maintenant.

Venez, monsieur. Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que si Dieu me révélait quelque chose, ce qu’est votre maladie, vous accepteriez votre guérison? L’accepteriez-vous? Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? Oui, monsieur. Laissez-moi vous parler. Vous avez quelque chose qui vous dérange aussi, qui empire votre maladie de coeur. Vous avez une mauvaise habitude. Oui, fumer. Est-ce vrai? Renoncez à cela. Dieu ne veut pas que quelqu’un fume. Oubliez cette chose; allez de l’avant; vous guérirez de votre maladie du coeur. Que Dieu vous bénisse. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous rétablisse.

Très bien, venez, madame. Croyez-vous? Aimeriez-vous guérir de cette maladie gynécologique? Eh bien, mettez-vous simplement à remercier Dieu pour votre guérison...?... Ayez foi maintenant. Ne doutez pas.


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E-54 Vous aimeriez arrêter de fumer aussi, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Très bien, levez-vous de là maintenant et acceptez votre salut de la part de Dieu, et vous allez... la cigarette vous abandonnera, vous n’aurez plus à perdre le temps avec ça. C’est un esprit impur. Cette chose cherche à hanter les gens.

Très bien. Aimeriez-vous guérir de cette maladie du coeur? Très bien. Ô Dieu, guéris cet homme, je prie, et rétablis-le, au Nom de Jésus. Amen. Allez en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur», et soyez rétabli.

Très bien, croyez-vous, soeur? Quand j’ai dit: «Maladie du coeur», cela vous a un peu secouée, n’est-ce pas? En effet, c’est ce qui clochait chez vous. Voyez? Il avait un coeur palpitant, mais vous, vous avez un coeur bouché. Venez ici juste une minute.

Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette jeune fille. Voyant qu’elle se tient ici, juste dans le... une jeune femme. Que Tes miséricordes reposent sur elle et la guérissent, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

La raison pour laquelle j’ai prié pour vous, la voici: Vous vous demandiez si j’allais prier pour vous; en effet, c’est ce que vous vouliez que je fasse, prier pour vous. Que Dieu vous bénisse.


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E-5 Et dans le livre, probablement que certains parmi vous ont lu concernant cette soirée-là, quand ce fou avait accouru à l’estrade, là dans l’Oregon, il allait m’ôter la vie. Quelqu’un a dit: «Frère Branham, aviez-vous peur?»

J’ai dit: «Non, monsieur, pas du tout.» Tant que Jésus est là, tant que c’est Lui qui m’a dit de faire ça, je suis dans Sa volonté, il n’y a rien à craindre. Voyez? Tant que vous faites ce qu’Il ordonne, et que vous savez que vous êtes sous une conduite directe, eh bien, alors, il n’y a rien à craindre. L’amour parfait bannit toute crainte. Il n’y a pas de crainte en Dieu. L’amour ôte la crainte.

Et je sais, ce soir, je crois dans la guérison divine. Je crois que–que la guérison divine... qu’un jour, les grandes églises, qui aujourd’hui refusent cette grande oeuvre de Dieu, verront un jour que la puissance de Dieu pour guérir les malades est exactement la même qu’elle l’a été tout au long des âges. Voyez-vous? Ce sont juste des gens qui ont été enseignés différemment. C’est pourquoi ils n’ont pas la foi dans la guérison divine. On leur a enseigné que ces choses sont passées.


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E-6 Mes amis, ici, en provenance de l’Afrique, combien c’était frappant à voir quand nous sommes arrivés en Afrique. Beaucoup de missionnaires ont été là, ils ont distribué des tracts et autres, ils leur ont parlé de Jésus. Mais quant à la guérison, ils disaient que c’était du passé, ça ne se pratique plus. Et c’est alors même qu’ils ont battu des tam-tams dans le désert pour annoncer la victoire, quand ils ont appris que Jésus était le Guérisseur. C’est pourquoi nous avons gagné trente mille convertis en un seul jour, c’est parce qu’ils avaient vu la puissance de Dieu qu’ils voulaient servir; mais les missionnaires leur avaient dit que Sa puissance, étant pour autre chose que vous sauver, était terminée. Il n’y avait plus de guérison divine. Mais quand ils L’ont vu redresser les estropiés, faire voir les aveugles, faire entendre les sourds, faire parler les muets, ils sont tombés sur leurs faces et ils ont loué Dieu.

J’ai un journal de Durban où il est dit, aussitôt après la réunion, qu’il y avait eu de véritables conversions, au point qu’on a eu sept grands camions d’armes à feu, des montres, et autres que les indigènes avaient volés de... Juste une tribu qui les avait restitués: sept grands camions à bord desquels ils étaient venus remettre cela; ils ne voulaient plus rien avoir à faire avec cela.


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E-7 J’étais à une conférence, ou à une réunion des ministres de ma propre église, à mon retour; certains théologiens disaient: «Frère Branham, nous aimerions que vous parliez ce soir.» Oh! Quel sentiment j’ai éprouvé d’avoir l’occasion de me lever et de dire: «Frères...» (Le prédicateur qui m’avait ordonné était présent.) J’ai dit: «Ce que vous disiez, que j’avais eu un cauchemar...» J’ai dit: «Nous avons envoyé des missionnaires en Afrique le... pendant les centaines d’années passées. Et quand je suis arrivé là, j’ai trouvé des gens porter des idoles en argile, tout en se disant chrétiens. Mais, ai-je dit, ce que vous taxez de fanatisme, ce que vous taxez d’oeuvre du diable, a gagné plus d’âmes à Christ en cinq minutes que tous les missionnaires que nous avons envoyés pendant une centaine d’années, outre des millions de dollars que nous avons dépensés.»

Frère, soeur, l’église devrait entrer dans le programme de Dieu, c’est alors que l’église évoluera très bien. C’est comme par exemple les soupers, les dîners et autres, pour se faire de l’argent, ce n’est pas le procédé de Dieu. Payez vos dîmes, c’est ce que Dieu veut que vous fassiez. Voyez? Continuez simplement dans le programme de Dieu, et Il bénira celui qui donne et tout. Il l’a promis.

Si donc nous substituons autre chose, tout comme nous avons substitué la théologie aujourd’hui au baptême du Saint-Esprit, cela ne marchera jamais. Ça ne le peut pas. Nous avons substitué un grand nombre à la puissance. Il ne prendra jamais la place de la puissance. Dieu est la puissance. Il est le Dieu Tout-Puissant. La puissance de toutes les puissances, c’est Dieu.


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E-8 Ce prédicateur baptiste dont je parlais, monsieur Hall, le révérend William H. Hall, de Milltown, en Indiana, pasteur de l’Eglise baptiste de Milltown, c’est un ami intime à moi depuis des années, après sa conversion dans des réunions. Il est un grand croyant dans la guérison divine. Et pendant que j’étais en Californie, c’est là, comme je disais hier soir, que s’est produite la guérison du membre du Congrès Upshaw, et de beaucoup d’autres; je suis rentré chez moi, ma femme qui est présente ce soir m’a dit que je... Frère Hall était couché là, mourant du cancer. Eh bien, vous vous imaginez quel sentiment cela me donnerait de voir ce merveilleux et vaillant soldat de Dieu qui allait mourir. J’ai dit: «Eh bien, chérie, qui est son médecin?»

Elle a dit: «Monsieur Dillman, je pense.» Eh bien, Dr Dillman est mon ami intime. Je l’apprécie certainement beaucoup. Ainsi donc, je me suis proposé d’appeler docteur Dillman avant de venir... d’aller chez monsieur Hall, mais il n’était pas dans son cabinet. Alors... Il est de Corydon, dans l’Indiana.


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E-10 Ainsi donc, je–je suis donc allé voir monsieur Hall ce jour-là et–et il était bien, bien bas. J’ai encore prié pour lui. Ma femme voulait le voir, ma belle-mère aussi, ainsi que mon secrétaire, frère Cox, il voulait aussi le voir. Nous avons donc tous formé une délégation, nous sommes descendus ce soir-là le voir; en effet, nous savions qu’il ne lui restait que peu de temps. Et il n’arrivait pratiquement plus à nous parler; malgré tout, nous nous sommes tous rassemblés et nous avons prié, nous avons chanté un cantique, nous avons prié; nous sommes sortis. Et pendant que nous sortions, mademoiselle Hall a dit: «Frère Branham, n’y a-t-il pas une seule chose que vous puissiez faire?»

J’ai dit: «Soeur, tout ce que je peux faire, c’est prier juste comme vous le faites.» Et c’est une très bonne femme. Ils seront probablement ici ce week-end. J’aimerais l’entendre témoigner. Et alors, elle–elle a dit: «N’y a-t-il pas une seule chose, à votre connaissance? Y a-t-il un autre médecin?»

J’ai dit: «Eh bien, les médecins sont tout comme n’importe qui d’autre. Vous devez avoir confiance en votre médecin. Sinon, ça ne servira à rien de l’appeler.»

Elle a dit: «Suggéreriez-vous quelqu’un d’autre?»

J’ai dit: «Evidemment, mon copain, l’un de mes copains ici dans la ville, c’est un garçon avec qui j’ai fréquenté l’école, docteur Sam Adair: l’un des meilleurs spécialistes, à mon avis, que l’Etat a n’importe où. Et aussi, nous sommes des amis intimes, ça fait vingt-cinq ou trente ans.»

Il avait écrit une lettre à l’association médicale de Louisville l’autre jour au sujet de mes réunions. Si je l’avais moi-même écrite, ou l’un de mes... un–un prédicateur n’aurait pas pu trouver des termes plus agréables et meilleurs pour l’écrire. Il l’a adressée à l’association médicale de Louisville. Elles sont envoyées par milliers.


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E-12 Eh bien, je suis allé demander à madame Hall. Elle a dit: «Eh bien, si quelque chose peut être fait, amenez-le, Frère Branham.» Alors, eh bien, on a envoyé l’ambulance là-bas, on l’a pris et on l’a amené chez le médecin de Louisville, et on l’a ramené. Evidemment, il n’a pas voulu en parler à mademoiselle Hall. Il en a parau médecin. Alors, le médecin a appelé docteur Sam Adair, et il a dit: «Cet homme est mort. C’est tout.» Il a dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui.»

Docteur Sam Adair m’a donc appelé et a dit: «Billy, a-t-il dit, ton ami révérend Hall s’en va à...» Voici l’expression qu’il a utilisée, il a dit: «Il va sauter dans la mer un de ces quatre matins.» Il a dit: «Il s’en ira dans quatre jours; il ne peut pas vivre au-delà de cela.» Il a dit: «Ce sont là les nouvelles.»

J’ai dit: «Oh! la la! Docteur Adair, ai-je dit, je déteste entendre cela

Il a dit: «Certainement, nous tous.»

J’ai dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui dans le domaine médical

Il a dit: «Rien, Billy.» Il a dit: «Nous ne pouvons pas amputer le foie de cet homme et le laisser vivre.» Il a dit: «Il n’y a rien à faire.» Il a dit: «Puisqu’il est prédicateur, je pense qu’il est prêt à partir.»

J’ai dit: «Oh! Oui. Mais il n’a que cinquante-quatre ou cinquante-cinq ans environ et, ai-je dit, il peut prêcher encore l’Evangile, et il peut aussi faire beaucoup de choses; je déteste vraiment le voir partir si jeune.» J’ai dit: «De toute façon, je crois qu’il passera directement de cette vie à l’autre, parce que c’est un vrai chrétien.»


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E-13 Y a-t-il ici quelqu’un qui connaît Will Hall de Milltown, dans l’Indiana? Révérend Will Hall... Levez la main. Certainement, il y a des gens assis ici qui le connaissent. Voyez? Ainsi donc, ce–c’est un très brave homme. Alors, j’ai dit: «Eh bien, vous dites qu’il va mourir?»

Il a dit: «Sans doute, Billy, a-t-il dit, il sera mort dans quatre jours. Le cancer, a-t-il dit, s’est répandu; on dirait une grosse araignée qui s’est établie juste sur le... sur son foie et cela s’est répandu comme ça.» Il a dit: «Cela a déjà pris... l’a rongé.»

J’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre. Merci, docteur Adair.» Et je–je suis descendu. J’ai appelé madame Hall. J’ai dit: «Soeur Hall, je déteste vous dire ceci, mais, ai-je dit, docteur Adair a dit que le médecin de Louisville lui a dit qu’il va mourir dans quatre jours.» Alors, elle s’est mise à pleurer, appuyée sur mon... Elle est juste une vieille mère on dirait... Et j’ai dit: «Soeur Hall, je déteste vous l’annoncer.»

«Est-ce que... Frère Branham, n’y a-t-il pas une seule chose que vous...»

J’ai dit: «Soeur Hall, je–j’ai fait tout ce que je sais faire. Juste–juste prier, c’est tout ce que je peux faire. Le médecin a fait tout son possible, si c’est donc le temps pour l’homme de partir, notre bien-aimé frère traversera directement le voile vers la Gloire.» Et j’ai dit: «C’est tout ce que nous pouvons faire.»

Eh bien, elle était très triste. Cette nuit-là, j’ai pris la famille, nous sommes encore allés le voir. Il arrivait à me parler à peine.


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E-14 Et je suis né dans l’Etat du Kentucky. Y a-t-il des gens ici qui croient à la chasse à l’écureuil? Faites voir les mains. Eh bien, ce–c’est très bien donc. Je voulais seulement savoir si j’étais à la maison ou pas. Je–j’aime aller des fois chasser l’écureuil. Je me suis levé, vous avez une bonne forêt par là. Alors, je m’étais proposé d’aller absolument à Erie, en Pennsylvanie, le lendemain matin, et ensuite, nous allions revenir, et nous allions partir outre-mer. Je devais partir, frère Baxter et moi, le groupe, pendant environ six semaines.

Alors, il y avait beaucoup de gens qui étaient entassés, serrés à la maison, et tout. J’étais pratiquement épuisé et je revenais de la Californie également. Et frère Baxter était déjà parti, il avait ramené sa famille à Vancouver et il allait me rencontrer là dans l’Ohio, à Toledo, et puis on allait partir à Erie. Il y a probablement ici ce soir des gens qui étaient à cette réunion là-bas. Et ainsi donc, il y avait...

Je suis allé, j’ai parlé... Le lendemain matin, j’ai dit, là... à ma femme, j’ai dit: «Chérie, je vais aller dans les bois. Je doute que j’arrive à chasser l’écureuil, car j’ai vraiment sommeil.» Nous avons dégagé la maison vers minuit ou minuit trente. Je suis allé prendre mon vieux fusil 22, je l’ai déposé par terre, ainsi que ma vieille salopette, et je les ai mis dans un coin afin que... J’ai réglé l’alarme à trois heures afin de me réveiller pour aller chasser l’écureuil; aller dans les bois, peut-être, jusqu’à ce que cela... après le jour, ensuite, je pourrais m’endormir et me reposer un peu avant d’aller à la prochaine réunion.


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