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Connersville, Indiana, USA

E-6 Dites donc, il y a un petit entre les lignes qu’il vous faut lire dans la Bible. Croyez-vous cela? Voyez? C’est une lettre d’amour, écrite à l’église. Ça ne sert à rien pour le séminaire d’essayer d’enseigner cela, car cela n’est pas connu par les esprits de ce monde. «J’ai caché cela aux yeux des sages et des intelligents, Je le révélerai aux enfants qui veulent apprendre.» C’est la vérité. Alors, il y a... C’est la raison pour laquelle nous avons tous ces différents rites et toutes sortes de religions et d’églises. C’est en ordre. Laissez cela aller. Dieu a... C’est Lui qui s’occupe des livres.

Regardez. Remarquez cependant comment–comment c’était. Laissez-moi vous donner quelque chose entre les lignes. Vous savez, parfois, quand je–je vais outre-mer... J’aime beaucoup ma femme. Alors, elle m’écrit une lettre et dit: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir, je pense beaucoup à toi. Je...», ainsi de suite... Eh bien, ça, c’est ce qu’elle dit, mais moi, je lis juste entre les lignes. Je–je sais que cela va un peu plus profondément que ça. Hein! Oui, oui. Et si vous avez le Saint-Esprit, vous êtes épris de Christ, vous pouvez lire entre les lignes de Dieu. Il y a là quelque chose.


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E-7 Pendant que nous sommes un peu hors du sujet, juste un peu, permettez-moi de vous dire un petit quelque chose. Pourquoi Joseph a-t-il voulu que ses be-... os soient ensevelis là-bas? Remarquez, quand Job, un ancien, l’un des plus anciens Livres de la Bible, quand il se mourait, il s’apprêtait... Ou avant sa mort, il était assis sur un tas de cendres, se grattant les ulcères. Alors, sa femme est venue et a dit: «Job, pourquoi ne pas maudire Dieu et mourir?»

Il a dit: «Femme, tu parles comme une femme insensée.» Or, il n’a jamais dit qu’elle était insensée, mais qu’elle parlait comme une insensée. Il a dit: «L’Eternel a donné et l’Eternel a ôté, que le Nom de l’Eternel soit béni.» Quelques membres de son église étaient venus le consoler, Ils s’étaient assis, le dos tourné vers Job pendant sept jours, ils l’accusaient d’être un pécheur en secret. Il n’y avait pas beaucoup de consolation là, mais ils l’accusaient d’avoir péché contre Dieu; mais Job connaissait son coeur. Il savait qu’il n’avait pas péché contre Dieu.

Souvent, les gens disent: «Voyez-vous toute cette maladie dans cette famille-là? Je vous l’ai dit. Ils ne vivent pas correctement.» Eh bien, Dieu fait parfois cela, mais ce n’est pas chaque fois que Dieu le fait; parce qu’ici, Dieu traitait avec un saint, Il éprouvait et testait un saint. Et chaque homme qui vient à Dieu doit premièrement être éprouvé par Dieu. Et s’il ne peut pas supporter le châtiment, alors vous devenez un enfant illégitime, et non un enfant de Dieu. Les épreuves, c’est pour éprouver notre foi. N’est-ce pas merveilleux que Dieu nous ait donné ces épreuves et ces tests pour nous éprouver?


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E-13 Remarquez, puis en plein en ce moment crucial-là, les serpents apparurent parmi le peuple et les mordirent. Et Moïse avait appris toute la sagesse des Egyptiens, et ils étaient à des niveaux, de loin au-delà, dans beaucoup de choses, par rapport à ce que nous sommes aujourd’hui. Ils dépassaient nos médecins de... centaines de kilomètres. Mais docteur Moïse n’avait pas de cure contre cette morsure du serpent. Rien ne pouvait être fait. Ils étaient là, loin dans le désert. Moïse pria, Dieu vint vers lui et lui montra le remède contre cela. J’aime ça. Qu’est-Il? Dieu, Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira, Il frayera une voie. J’aime ça.

Remarquez, alors Dieu parla à Moïse, dans ce type ou ce symbole, Il dit: «Va faire un serpent d’airain et mets-le sur une perche.» Or, le serpent, c’est le symbole du péché. Le serpent représentait le serpent du jardin d’Eden, déjà jugé: Le serpent, c’était un animal transformé.

Eh bien, il n’était pas un reptile. La Bible dit qu’il était l’animal le plus rusé parmi toutes les bêtes du champ. Il n’était pas un reptile; c’était une bête. Il est devenu un serpent rampant sur son ventre. Et ce serpent-là représentait le péché jugé. Et il était d’airain, ce qui voulait dire le jugement divin. L’airain représente le jugement divin, dans la Bible. Voyez, les gens péchaient parce qu’ils ne croyaient pas au prophète. Ils lui cherchaient querelle et cherchaient querelle à Dieu. Ils avaient péché. Et à cause du péché, les serpents les mordaient, et ils se mouraient.


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E-15 L’airain. Vous voyez, l’airain, c’est un métal qu’on ne peut pas altérer. L’airain ne peut pas être altéré. Si vous trouvez une forme ou l’airain altéré, vos dîmes de six mois me payeront quinze ans de voyage autour du monde dans l’oeuvre missionnaire, si vous arrivez à trouver quelque chose qui peut altérer l’airain. Cela ne peut pas être altéré. Cela montre que Dieu a présenté l’airain comme un jugement divin, et le jugement divin de Dieu ne peut pas être altéré. Dieu reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous y êtes. J’aimerais que vous saisissiez cela maintenant.

Regardez. L’airain, l’autel d’airain, là où on brûlait les sacrifices: le jugement, le jugement divin. Et du temps d’Elie, quand il est allé là et qu’il a regardé les cieux, il a dit qu’ils paraissaient comme l’airain: le jugement divin sur une nation rebelle. Que Dieu ait pitié! Parfois, les cieux sont d’airain ici en Amérique. Le jugement divin, c’est à peine qu’on peut y échapper. Le jugement.


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E-16 Remarquez, alors, l’emblème fut dressé; un beau tableau de ceci, c’est représenté dans–dans Ruth. Beaucoup parmi vous ont bien lu Ruth comme peut-être une petite histoire d’amour dans la Bible (Elle l’est en fait), mais (Oh!) quelle belle histoire qui représente Christ et Son Eglise! Comment Naomi était allée dans le pays de Moab. Et là, son mari mourut. Ses deux fils moururent, laissant des veuves. Sur le chemin de retour, le beau tableau... Ecoutez. Ruth, la Moabite, une Gentille, emportée par des idoles muettes comme nous autrefois. Et quand le temps arriva, Naomi l’embrassa et dit: «Rentre auprès de ton peuple, et reste avec ton peuple. Je m’en irai seule.»

Mais elle dit: «Ton peuple sera mon peuple. Là où tu vivras, je vivrai. Là où tu mourras, je mourrai. Là où tu seras ensevelie, je serai ensevelie. Ton Dieu sera mon Dieu.» Un beau tableau de la jeune église des Gentils qui rentre à côté de l’ancienne église juive. Les Juifs ont été les premiers à porter l’Evangile. Oh! Que c’est merveilleux!


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E-17 Prenons très vite le tableau, pendant que nous parcourons cette ligne, si nous le pouvons. Remarquez donc, elle n’a pas voulu, mais elle a continué le chemin. Et avez-vous remarqué que Naomi était rentrée à la saison des orges, juste au bon moment, quand on récoltait l’orge? Et Boaz était son parent rédempteur, et il moissonnait son grand champ: Le maître de la moisson. Et Ruth, la jeune glaneuse, est allée dans le champ pour glaner: un type de l’Eglise des Gentils en train de glaner (Amen!), cueillant juste ce qu’ils peuvent, les glaneurs précédaient. Oh! Ils disent: «Vous tous, vous n’avez pas la bénédiction de la Pentecôte.» Oh! Si. Nous glanons très bien.

Considérez le maître de la moisson quand il a regardé et a vu la petite femme prête à glaner et à cueillir ce qu’elle pouvait: une petite bénédiction ici et une autre là, ce qui représentait la vie pour elle. C’est un beau type de l’église d’aujourd’hui. Il a dit aux moissonneurs: «De temps en temps, laissez tomber une poignée.» J’aime trouver cela, pas vous...?... «Laissez simplement tomber une poignée pour elle, a-t-il dit, car elle avait trouvé grâce à mes yeux.» Amen. J’aime ça. Elle pouvait avoir été une rejetée, une sainte exaltée, ou je ne sais comment vous voulez la taxer, mais laissez simplement tomber quelques poignées de temps en temps. Voyez? Je l’aime.


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E-18 Il a dit: «Qui est-elle? D’où vient-elle?» Et quand la moisson était terminée, le grand maître de la moisson, qui était Boaz, qui représente Christ par rapport à l’Eglise, tomba amoureux d’elle, et il voulut l’épouser. Mais avant qu’il pût l’épouser, il dût racheter l’héritage perdu de Naomi. Et avant qu’il pût racheter ses biens, la loi, d’après la loi lévitique il devait être un parent rédempteur, un proche parent rédempteur. Quand je pense à cela... La loi exigeait qu’il soit un proche parent rédempteur, son parent le plus proche. Et il devait être digne, un homme d’honneur. Et il devait être à mesure de s’en acquitter financièrement. C’est alors qu’il devait présenter une bannière, s’il a racheté tout ce qu’elle avait.

Remarquez, un parent rédempteur. Dieu... D’abord, l’homme a été créé à l’image de Dieu. Et Dieu est Esprit. Et puis, pour racheter cet homme-là, Dieu a dû descendre sous la forme de la chair du péché et devenir un Parent rédempteur, Christ. Amen! Christ est devenu un Parent rédempteur. Dieu est devenu notre Parent; Il a été fait chair et sang comme nous. Amen! Quelle belle histoire! La Bible entière se rattache partout; rien de Cela n’est de travers: tout se rattache harmonieusement.


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E-19 De même que Boaz a dû être un parent rédempteur pour Naomi, Dieu, pour racheter l’église, doit être un Parent rédempteur. Alors, Il est descendu, Il s’est revêtu de la forme de la chair du péché. Amen. Il était digne; Il était le Fils de Dieu. Il a dû mériter cela: Il avait tous les cieux et toute la terre.

Remarquez, Boaz avait alors rassemblé Israël. Et puis, rappelez-vous, la bannière avait dû être élevée en dehors des portes de la ville. J’aimerais que vous saisissiez cela. Boaz est allé là, il a fait venir les anciens d’Israël–Israël et a dit: «Maintenant, si quelqu’un a quelque chose à dire, qu’il le dise. Et voyez aujourd’hui, j’ai racheté l’héritage perdu de Naomi.» Et il a enlevé son soulier et l’a jeté au milieu des Israélites, ce qui était une coutume: un signe qu’il avait racheté Naomi et tout ce qu’elle avait.


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E-24 Le Grand Maître de la Vie... Vous direz: «Frère Branham, je–je n’avais jamais considéré cela exactement comme cela. Je–je n’avais jamais pensé au prix qui avait été payé pour mon salut. Tenez, j’ai négligé cela tout le temps. Juste avant que vous teniez le service de guérison, Frère Branham, j’aimerais élever une petite bannière vers Christ et Lui faire savoir que–que ce pécheur ici sur terre, pour qui Il est mort, j’aimerais savoir que je Le reconnais ce soir. Je–Je veux qu’Il ait pitié de moi. Et je ne suis pas encore sauvé, mais je veux qu’Il me sauve. Je vais simplement lever la main comme une petite bannière vers Lui, qu’Il a élevée beaucoup pour moi.» Voulez-vous lever la main maintenant même pendant que tous ont la tête inclinée? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Et vous, là derrière, là tout au fond.

Dans les rangées du milieu, là au fond, je vois, avec vos mains levées. Partout, à ma gauche, levez la main pour dire: «Frère Branham, je lève la main afin que Christ me voie. Je ne veux pas mourir un pécheur. Je veux qu’on se souvienne de moi dans un mot de prière maintenant même.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh! la la! Des douzaines de mains partout. «Je ne veux pas mourir un pécheur, Frère Branham. Je crois que je me suis assis dans cette série de réunion ici, j’ai vu Sa Personne alors qu’Il opérait merveilleusement, passant discrètement parmi les gens ici, révélant les pensées de leur esprit et leur disant ce qu’ils avaient fait. Et j’entends l’Evangile être prêché par les prédicateurs. Et je–j’ai longtemps rejeté, mais, ce soir, je veux que Christ sache que je... réellement dans mon coeur, quelque chose parle.» C’est Dieu, ami pécheur. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.»

Voudriez-vous une fois de plus, partout... Maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée. Laissez-moi voir seul. Levez la main pour dire: «Frère Branham, priez pour moi afin que je n’aie pas à entrer dans les parvis de Dieu comme un pécheur. J’aimerais être sauvé.» Là-haut, là très haut, maintenant, tout le monde dans la salle. C’est... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout. C’est bien. Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées, j’aimerais demander à Dieu de vous aider.


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E-25 Père, des douzaines de mains ont été levées, partout, d’un bout à l’autre de ces allées: des hommes et des femmes pécheurs, des jeunes garçons et des jeunes filles pécheurs. Ils veulent vivre, Seigneur. Beaucoup parmi eux, j’ai constaté, étaient vieux. Certains parmi eux grisonnent. Sachant qu’un de ces jours, nous devons aller au-delà de ce voile, nous marchons sur des fils très fragiles de la vie. Seigneur Jésus, je prie qu’à la fin de ce service ces gens soient tellement convaincus de l’Evangile de Christ par la Bible et par la puissance de Sa résurrection qu’ils s’avanceront, Te donneront leurs coeurs et T’accepteront comme leur Sauveur. Ô Dieu, ne laisse aucun d’eux quitter cette vie sans être sauvé. Que cette nuit et ce temps soient le moment où ils feront cela.

Je sais que Tu traites avec eux, car Ton unique Fils bien-aimé a dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. Et Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi. Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie», juste parce que nous avons cru au Fils de Dieu. Oh! Que c’est pitoyable, Seigneur, de voir un grand monde aller à la ruine à cause d’une seule chose: avoir rejeté le Seigneur Jésus. Accorde que beaucoup ce soir soient sauvés.

Et maintenant, que le Saint-Esprit vienne et qu’Il envoie l’Ange du Seigneur à Ton humble serviteur. Comme je prie pour les malades, que chacun regarde là au Calvaire et qu’il dise: «C’est cela ma Bannière. Je crois de tout mon coeur et je vais croire ma guérison ce soir. Je vais partir d’ici en me réjouissant, heureux et en réclamant ma guérison.» Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.


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