E-88 (69) Dans chaque âge on en a laissé une partie de côté. Les réformateurs n'avaient pas le temps de s'en occuper. Dans les jours de Luther, il a seulement prêché la justification par la foi. Il s'en est allé, on a formé une église. Après cela, Wesley est venu, il a prêché la sanctification. Voilà. Et les pentecôtistes ont suivi.
E-93 Mais, maintenant en ces derniers jours, nous avons reçu l'entendement par laParole, de sorte que nous allons comprendre cela, parce qu'on en arrive à un âge Ephésien pour cela. Et nous y sommes. Maintenant, le paradoxe... Je laisserai cela en suspens, parce que j'ai encore dix minutes environ et ensuite j'aurai la ligne de prière.
E-96 (76) Et vous pouvez vous tenir dans la Présence du Dieu vivant; vous pouvez vous trouver sous l'onction de l'Esprit et Le voir agir, sans que Cela vous touche. Vous pouvez voir ce que Dieu vous a dit vous être parfaitement prêché et puis être manifesté, et néanmoins vous vous en éloignez et n'y croyez pas; alors, il y a... vous avez dépassé la ligne. Vous êtes déjà mort, engourdi, aveugle, ç'en est fini de vous. Ils étaient complètement...?...
E-102 (83) Il en est de même de l'individu. Tant qu'il y a quelque chose que l'homme injecte, des idées humaines, alors le germe de Vie de Dieu, le Saint-Esprit, ne peut pas agir. Vous ne pouvez pas être guéri tant qu'il y a ne serait-ce qu'une - qu'une fraction quelque part, qui n'est pas encore pourrie; il a tous les éléments humains, toutes les idées scientifiques, tous les soi-disant jours des miracles sont passés.
Tout cela doit... tout... non seulement mourir, mais pourrir; alors à partir de là, le germe de vie pousse pour une nouveauté de vie. Ce n'est qu'ainsi que cela peut pousser.
E-104 (84) C'est la raison pour laquelle l'Eglise luthérienne ne pouvait pas aller plus loin que - qu'elle l'a fait, les Pentecôtistes et les autres; c'est parce que cette bande de théologiens y injectent des choses: "Cela ne doit pas être ainsi. Ceci est pour un autre jour. Et c'était pour ce..." Ça reste là. Cela ne peut pas croître jusqu'à devenir cette image parfaite du Christ, à moins que vous ayez reçu en vous chaque Parole de Dieu, et alors vous devenez cette Parole, comme la semence qui était tombée en terre.
E-105 (85) J'aimerais que les gens expliquent Hébreux 11.3. Le grand... Le plus grand homme de science que nous ayons jamais eu, autant que je sache, était Einstein. Il n'y a pas longtemps, j'écoutais à New York ce qu'il avait dit. Et il parlait de la galaxie, à quelle distance elle était, et il a prouvé qu'il y avait une Eternité. Comment l'homme, en allant à une vitesse des millions de kilomètres par heure, cela lui prendrait beaucoup, ou plutôt à une vitesse d'un million d'années-lumière par heure, cela lui prendrait tant d'années pour arriver là, 1.300.000 ou quelque chose comme cela, et puis 300.000 pour revenir. Et alors par cela, il a prouvé, d'une façon ou d'une autre, que l'absence de cet homme sur la terre n'aura duré que cinquante ans. L'Eternité!
E-107 (87) Comment un homme de science pourrait-il expliquer la pluie de Noé, alors que jamais une goutte de pluie n'était tombée sur la terre avant ce jour-là? Mais Noé avait dit que la pluie tomberait.
Et quand la pluie de Noé tomba, contrairement à toute la science, il n'y avait pas de nuages là-haut, il n'y avait jamais eu de pluie là-haut. On pouvait prouver qu'il n'y avait pas de pluie là-haut. Et alors, quand Dieu a ouvert les cieux et a déversé un - un flot qui a emporté la terre, c'était un paradoxe; oh, combien c'est vraiment illogique, inexplicable. Mais nous savons que Dieu l'a fait, parce que la Bible le dit. Et nous avons aujourd'hui une preuve sur la terre que c'était ainsi. Dieu l'a fait. C'était un paradoxe.
E-118 (98) Moïse, un bâton en main, descendant pour délivrer les enfants d'Israël, était un paradoxe, alors que l'Egypte avait toute une armée et des hommes bien formés. C'était un paradoxe.
E-128 (107) Un jour, quand Pierre est venu vers Lui avec André, son nom était Simon. Et alors que Jésus se tenait là... Il n'avait jamais vu cet homme de Sa vie (Écoutez attentivement.), comme Il se tenait là, Il a regardé l'homme et a dit: "Tu t'appelles Simon, tu es le fils de Jonas." C'est un paradoxe. Assurément, ç'en était un. Certainement, c'était un paradoxe.
E-139 (111) C'était un paradoxe confirmé, et ça doit alors être la Vérité de l'Évangile; l'Évangile qui avait promis cela, et c'est arrivé là, confirmant que c'était la vérité.