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Connersville, Indiana, USA

E-64 La chose était là. Elle savait que c’était le prophète de Dieu. Elle savait que si jamais elle arrivait auprès de cet homme-là, elle découvrirait pourquoi l’enfant était mort. Ainsi, tout allait bien. Elle savait que Dieu était dans Son prophète. C’est vrai. Elle s’est donc prosternée à ses pieds et lui a révélé son secret. Et il a dit à Guéhazi: «Ceins-toi les reins, prends mon bâton; si quelqu’un te parle, ne lui réponds pas: mais va déposer ce bâton sur cet enfant mort.»

Eh bien, c’est là, je pense, que Paul a tiré le fait de prendre les mouchoirs qui avaient touché son corps. Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni. Eh bien, s’il pouvait amener la femme à croire cela... Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton; la foi de la femme était dans le prophète. Elle a dit: «L’Eternel est vivant, je ne te quitterai point. Je resterai juste avec toi.»


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E-65 Alors, Elie s’est dit qu’il ferait tout aussi mieux de se ceindre les reins et d’aller. Il s’en est donc allé. Et Guéhazi l’avait précédé, il revenait et a dit: «Il n’y a pas de vie dans l’enfant; il est mort.»

Alors, Elie est allé là où le–l’enfant mort était étendu là, il y avait deuil et des cris. Observez-le. Il entre dans la chambre où était l’enfant. Il fait les cent pas. J’aime ce...?... «Seigneur, que feras-Tu?» Il fait les cent pas, tout le monde dehors en train de gémir, hystérique, poussant des cris et faisant des histoires. Il a simplement parcouru la pièce.

Il est allé poser son corps, un homme... La Bible dit: «Nous sommes de la même nature que lui.» Un homme, pas un ange, un homme, un prophète, il a posé son corps sur l’enfant mort. Et il s’est étendu là un moment, il a mis ses lèvres sur celles de l’enfant, et son nez sur celui de l’enfant, son front sur celui de l’enfant, ses mains sur celles de l’enfant, et il s’est couché là. Elie, je pense, était un petit homme mince, alors il s’est carrément couché sur l’enfant.


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E-1 Bonsoir, amis. Je suis très content d’être encore de retour ce soir au service du Roi, pour représenter notre Seigneur Jésus-Christ, Son amour immortel, Sa puissance infaillible et Sa grâce illimitée, Lui, le Premier et le Dernier; Celui qui était, qui est et qui vient; la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du Matin, la Rose de Sharon, le Lys de la vallée. Juste tout ce que vous pouvez dire, c’est Lui et tout, tout cela est correct. Et en Lui nous sommes complets, n’est-ce pas? Nous sommes complets en Jésus-Christ.

Eh bien, cet apr-... cet après-midi, je vous ai parlé. Ainsi, ce soir, il y a un service de guérison pour les malades. C’était mon tour de prêcher l’Evangile cet après-midi. C’est le tour de Dieu ce soir de confirmer si j’ai dit la vérité ou non. Si quelqu’un prêche, ou dit, ou fait une déclaration... Un homme peut faire une déclaration sur n’importe quoi, mais cela ne veut pas exactement dire que c’est vrai jusqu’à ce que Dieu parle et confirme que c’est vrai. Alors, dès que Dieu confirme que c’est vrai, cela fait de la chose une vérité. Voyez? C’est alors la vérité.

Dans Hébreux 11.2, il est dit que Dieu rend témoignage à Ses dons. Et c’est vrai. Je crois cela, pas vous? Il le fait. Il rend témoignage à Son don.


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E-2 Maintenant, ce soir, j’aimerais... plutôt que de prêcher, j’aimerais simplement donner un témoignage, lire un passage des Ecritures, donner un témoignage et former la ligne de prière. Je sais que beaucoup parmi vous ici, vous irez au travail le matin... J’ai connu un petit retard pour arriver, Billy en a aussi connu un petit à venir me chercher. Et à vrai dire, je l’ai rencontré en route pendant qu’il venait. Et je roulais vers là, nous avons échangé des véhicules et nous sommes directement descendus sur le lieu. Et j’entendais les gens chanter Crois seulement au moment où je traversais la colline. Ainsi donc, j’étais un tout petit peu en retard pour commencer.

Et maintenant, rappelez-vous, le service de demain après-midi... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... des apôtres... J’aime toujours considérer cela comme les Actes du Saint-Esprit dans les apôtres, car c’était le Saint-Esprit dans les apôtres qui présentait un exemple pour tous les âges. Ce que le Saint-Esprit était alors, Il l’est aujourd’hui. Et ce que le Saint-Esprit a fait pour cette église-là, Il le fait pour cette église-ci. Tant que cette église-ci restera tout aussi soumise à Cela que l’était cette église-là, elle aura exactement les mêmes résultats. Croyez-vous cela? Cela en aura. Rien que votre soumission à Christ...


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E-3 Eh bien, concernant la grande trinité divine de Dieu, au jour... tout cela, c’est un seul Dieu, Dieu dans une trinité: la dispensation du Père, la dispensation du Fils et la dispensation du Saint-Esprit. Or, si un homme rejetait Dieu à l’époque de la dispensation du Père, sous Moïse et la loi, eh bien, il était mis à mort, s’il désobéissait à Dieu, qu’il violait Son commandement. Quand Jésus est venu, Il a dit: «Maintenant, quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné; mais celui qui parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera jamais pardonné ni dans le siècle... ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir. Donc, rejeter le Saint-Esprit ce soir, c’est plus grave que rejeter Dieu le Père du temps de Moïse ou rejeter Jésus-Christ quand Il était ici sur terre, marchant dans la chair.

Et comme les gens de l’époque ne comprenaient pas Dieu le Père, les gens pensaient que les Israélites étaient bizarres; ils avaient appliqué du sang aux portes et tout. Ils pensaient qu’ils étaient une espèce bizarre de gens. Et puis, ils ont confectionné une religion à l’époque et en ont fait une religion universelle. Et puis, la chose suivante qui est arrivée, c’était Jésus. Quand Il est venu, Il a bien taillé en pièces tout le fondement de cela. Et eux pensaient qu’Il était un imposteur, mais Il était exactement conforme à ce que les Ecritures disaient qu’Il devrait être. Mais ils L’ont rejeté... L’église L’a rejeté. Eh bien alors, puis après le départ de Jésus, le Saint-Esprit est venu. Et maintenant, ils se fondent sur Jésus pour rejeter le Saint-Esprit exactement comme les autres l’ont toujours fait. Voyez?

Nous aimerions aborder cela cette semaine, Dieu voulant, afin que vous compreniez à coup sûr parfaitement ce qu’il en est de tout cela.


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E-5 Jésus en parlant aux Juifs, a dit: «Vous n’avez pas à Me juger, disait-Il, car Dieu vous a déjà jugé par ce que vous pensez de Moi», en d’autres termes. Il a dit: «Je suis venu et j’ai rendu témoignage à la Vérité, et Dieu est descendu et Il a confirmé que c’était la vérité.» Et le Père rend témoignage à Son Fils. Et alors, Son témoignage est la vérité parce que les Ecritures avaient parlé de Son Fils. Jésus a dit: «Esaïe a bien parlé de vous, vous avez des oreilles et vous ne pouvez pas entendre, vous avez des yeux et vous ne pouvez pas voir.» En effet, Esaïe 35 avait bien annoncé ce qu’Il ferait: Les boiteux sauteront comme un cerf, et tout arriverait. Il a dit: «Vous pouvez discerner les signes des temps, par le coucher du soleil et autres, mais le... ou le temps, mais les signes du temps, vous ne pouvez pas les discerner, car si vous M’avez connu, vous auriez connu Mon jour.»


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E-9 Je pense à Siméon, là derrière au temple: un vieil homme, un vieux sage, le Saint-Esprit lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Luc, chapitre 2, vous lirez l’article. Il n’eut pas peur d’aller çà et là annoncer aux gens qu’il verrait le Christ, car le Saint-Esprit le lui avait dit. Il n’y a donc pas deux Saints-Esprits; il y en a un Seul. Donc, le même Saint-Esprit qui était avec Siméon, c’est le même Saint-Esprit qui est ici ce soir.

Observez donc maintenant, un vieil homme de quatre-vingts ans ou plus, un vieux sage, avec de longs cheveux blancs et une longue barbe blanche, un homme très réputé parmi les gens, un docteur, un maître en Israël, il devait être sans reproche en ce qui concerne la loi... Et le Saint-Esprit lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il allait donc çà et là témoignant à tout le monde qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ. Pouvez-vous vous représenter ce que les membres d’église de l’époque avaient pensé de lui? Eh bien, ils avaient pensé que le vieil homme était un peu détraqué mentalement. Mais il avait une bonne raison d’en témoigner, c’est que le Saint-Esprit le lui avait dit. Ce que le Saint-Esprit dit, c’est la vérité.

Il a donc continué à témoigner. Dieu a toujours eu quelque part un petit reste de gens qui croient en Lui. Parfois, le nombre diminue jusqu’à un seul homme; du temps de Noé. Et parfois, il diminue très bas, mais Il a toujours eu quelqu’un qui croit en Lui, en qui Il peut avoir confiance et sur qui Il peut mettre la main et dire: «Voici Mon homme.» Voyez? Il a toujours eu un reste sur terre. Ainsi donc, Il en avait quelques-uns en ce temps-là.


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E-10 Alors, à l’époque où Jésus naquit, on n’avait pas de presse et autres, comme nous en avons aujourd’hui, la radio et la télévision. Les nouvelles se transmettaient simplement de bouche à oreille. Et quand Jésus naquit, des mages attendaient qu’une étoile se lève de Jacob, ils l’ont donc suivie depuis l’orient et ils L’ont adoré sur le flanc de la colline, ou plutôt dans une crèche à Bethléhem, comme un petit Enfant. Non pas un petit Bébé comme la tradition chrétienne Le présente, c’était un petit Enfant de deux ans. Hérode s’est aussitôt mis à tuer les enfants de tout au plus deux ans. Pourquoi les avait-il tués à partir de deux ans si seulement on visait un tout petit bébé nouveau-né de quelques heures? Voyez? C’est étrange la façon dont les gens peuvent embrouiller les choses, n’est-ce pas? Voyez?

Il était un petit Enfant. Un petit enfant n’est pas un bébé: un petit Enfant. Il avait deux ans. Les mages étaient donc venus de l’orient, suivant une étoile qui les avait conduits vers l’Enfant. Les berges étaient sur la colline, un groupe des paysans, là dehors, en train de paître les brebis; ce n’était pas le 25 décembre. Ça, c’est du catholicisme. C’était en avril. Le 25 décembre, il fait aussi froid là-bas en Judée qu’en Indiana. Ils n’étaient donc pas là dehors sur une colline, sous cette neige, en train de surveiller les brebis. C’est juste donc quelque chose qu’on a confectionné afin de faire avaler cela comme ça. Mais Il n’est pas né le 25 décembre. Vous devriez une fois aller là-bas voir comment ils s’en moquent.


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E-11 Bon. Mais de toute façon, quand les bergers ont entendu la voix de l’Ange et les chants, ils sont entrés à Jérusalem et ont dit ce que... ou plutôt ils sont entrés à Bethléhem et ont parlé de spectacles qu’ils avaient vus et ils ont trouvé le Christ. Eh bien alors, selon la loi juive, tous les huit jours, la mère de l’enfant doit venir offrir un sacrifice pour la... sa purification, la purification, et pour la circoncision de l’enfant.

Eh bien, présentons juste une saynète ici avant de nous préparer pour la ligne. Présentons un tableau là. On entend une rumeur, là loin en Judée, au sujet d’une étoile, quelques personnes arrivent, au sujet d’une étoile qui apparaît. J’entends les gens parler dans la rue, disant: «Vous connaissez cette bande de fanatiques qui croient cela?» Voyez? Mais c’était vrai.


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E-15 Regardons là, dans une pièce réservée à la prière, à un demi pâté de maisons à peu près. Je vois un vieux prédicateur du nom de Siméon, assis là en train de lire les Ecritures: «Nous tous comme des brebis, nous étions égarés. L’Eternel a fait reposer sur Lui l’iniquité de nous tous.» Et à ce moment-là, puisque Dieu lui avait donné la promesse par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ, quand le Christ est apparu, il était temps pour Dieu de l’appeler. Je vois le Saint-Esprit dire: «Siméon, lève-toi.» Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit?

Je peux voir Siméon se lever et dire: «Oui, Seigneur.»

«Très bien, mets-toi en marche.» Le voilà partir. «L’obéissance vaut mieux que le sacrifice.» Il se met en marche, il ne sait pas où il va, juste suivant la conduite du Saint-Esprit. Le voici parcourir le temple, contourner des foules de gens. La chose suivante, vous savez, il atteint cette longue ligne des enfants. Le voici passer, conduit par le Saint-Esprit. Oh! la la! Il est allé jusqu’au bout et s’est arrêté devant cette petite femme qui avait ce petit Enfant disgracié, comme on le pensait. Il a pris le petit enfant dans ses bras, les larmes coulaient sur sa barbe blanche, il a dit: «Seigneur, maintenant, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Qu’y avait-il? Il attendait de voir Christ, car le Saint-Esprit lui avait dit qu’il verrait Christ.


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