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Edmonton, Alberta, Canada

E-15 Par exemple... Ce soir, ma femme assiste à la réunion, elle se trouve quelque part dans l'auditoire. Je l'aime de tout mon coeur. Et quand je me prépare à aller outre-mer... Eh bien, qu'en serait-il si ma femme si je la saisissais par la main et disais: "Ecoute ceci, Madame Branham. Quand je serai parti outre-mer, tu n'auras pas un autre mari. Et si jamais j'apprends que tu as flirté avec un autre homme pendant mon absence, malheur à toi quand je serai de retour."

Et puis si elle me saisissait par le col de la veste, et disait: "D'accord, Monsieur Branham. Mais je voudrais aussi te donner une petite loi. Si j'apprends que tu sors avec une autre femme, malheur à toi quand tu seras de retour. " Maintenant, serait-ce un foyer, ça? Eh bien, c'est ce que nous avons fait du lieu où Dieu demeure, une sorte de lois formalistes que nous devons observer.

Qu'est-ce que je fais quand je vais outre-mer? J'aime ma femme. Et comme je l'aime, j'ai confiance en elle. Nous nous agenouillons par terre et nous prions ensemble, nous amenons nos enfants autour de nous. Ils prient: "Ô Dieu, prends soin de papa. Ramène-le."

Je prie: "Ô Dieu, prends soin de ma famille pendant mon absence." Je me relève, je l'embrasse pour lui dire au revoir, j'embrasse les enfants.

Elle dit: "Billy, je prierai pour toi pendant ton absence." Cela règle la question. Nous ne pensons plus à cela.


Edmonton, Alberta, Canada

E-20 Et il s'est approché de moi et a dit: "Je vais vous montrer si vous êtes un homme de Dieu ou pas." Je n'ai dit mot; je l'ai simplement regardé. Il y eut un silence absolu. Je venais juste de conduire deux policiers à Christ là dans le vestiaire. Ils ont accouru vers l'estrade pour mettre la main sur cet homme. J'ai secoué la tête à leur intention: "Ce n'est pas une affaire d'homme."

Et l'homme s'est approché jusqu'en face de moi. Et il [Frère Branham démontre. - N.D.E.] me cracha en plein sur le visage. Et il dit: "Espèce de traître. Je vais briser chaque os de votre corps, je vais bien vous assommer au beau milieu de cet auditoire. " Il avait de gros bras... Je n'ai dit mot, mais je n'avais pas peur, pas plus que je n'en ai maintenant. C'est cela, c'est l'amour. Je n'étais pas allé là-bas par ma propre volonté, c'est Dieu qui m'avait envoyé là-bas. C'est à Dieu de prendre soin de moi quand je suis là. Je l'ai regardé; je me suis dit: " Pauvre homme."

Et il a soulevé son gros poing et a amorcé un mouvement pour me frapper; six mille personnes étaient assises là, retenant leur souffle. Et quand il a amorcé le mouvement pour frapper, j'ai dit: "Satan, sors de cet homme."

D'abord... J'ai omis une partie. Quand il m'a dit qu'il allait me frapper pour me jeter par terre, j'ai entendu ma propre voix lui dire: "Ce soir, vous allez tomber à mes pieds."

Il a dit: "Je vais vous montrer aux pieds de qui je vais tomber." Et il a reculé pour me frapper.

Et j'ai dit: "Satan, quitte cet homme." Et l'homme leva ses mains en l'air, ses grands yeux ressortis, sa bouche entrouverte; il virevolta, puis tomba sur le plancher; et il coinça mes pieds sur le sol de sorte que le policier dut le retourner.


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E-22 Il y a quelque temps, il y a de cela quelques semaines, au Mexique, on était censé avoir l'arène, mais on ne nous l'avait pas accordée. Et on a dû prendre un très grand terrain où l'on jouait au base-ball ou quelque chose de ce genre. Des milliers de gens y affluaient; nous ne pouvions plus atteindre le bâtiment ou plutôt l'endroit. On a dû me faire monter sur une échelle pour ensuite me faire descendre dans l'arène. Et alors, pendant que je prêchais là, cette nuit-làÿ Le soir précédent, une femme était venue là à trois heures de l'après-midi, et les gens s'étaient rassemblés depuis neuf heures du matin. Il n'y avait pas de sièges pour s'asseoir, ils s'appuyaient les uns contre les autres. Et ils ont attendu jusqu'à neuf heures, ce soir-là. Que feront-ils au jour du jugement contre ces groupes prétentieux qui ne voudraient même pas mettre les pieds à un tel endroit?

Et alors ce soir-là, monsieur Moore se tenait là, et il pleuvait à verse... Et monsieur Moore ne cessait de me dire: "Il y a quelque chose qui se passe dans la ligne de prière."

Et un frère mexicain venu de la Californie, frère Espinosa (beaucoup d'entre vous le connaissent peut-être), il distribuait les cartes de prière et essayait de garder les gens dans la ligne, mais n'y arrivait pas. Et Billy (mon fils) est venu vers moi, et a dit: "Papa, il ne pourra pas maintenir cette ligne plus longtemps. Il y a une petite femme là, avec le cadavre d'un bébé qui est mort ce matin, et elle monte sur ces hommes."

J'ai dit: "En bien, Frère Moore, va là-bas prier pour ce bébé."

Et frère Moore y est allé, et j'ai regardé là devant moi, et la vision de la résurrection du petit bébé vint. Or, nous ne pouvons pas dire ces choses sans que cela soit authentique. Et le petit bébé... J'ai remarqué la petite maman en train de crier: "Padre." Le mot "padre" signifie "père"; elle était catholique. Et quand j'ai dit: "Amenez la petite dame ici"ÿ et elle avait enveloppé le bébé dans une couverture qui était trempée. Je ne pouvais pas lui parler, il n'y avait personne pour interpréter. J'ai simplement posé mes mains sur le petit bébé et j'ai offert une petite prière à Dieu. Et cette Bible est ouverte ici maintenant, Dieu sait que c'est la vérité, le petit compagnon poussa un cri et commença à gigoter aussi fortement qu'il le pouvait. Cela mit tout Mexico en émoi.


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E-23 Le jour suivant ou la soirée suivante, quand je suis arrivé là... L'estrade était aussi large que tout ce bâtiment, l'espace de la salle, et on y avait empilé beaucoup de vieux manteaux et de vieux chapeaux, afin que je puisse prier sur ces chapeaux et autres objets semblables, appartenant aux gens.

En venant sur l'estrade cette soirée-là, j'ai remarqué un vieil homme au visage ridé, c'était la quatrième ou la cinquième personne. Et comme il venait, il était aveugle, il disait continuellement quelque chose. L'interprète répétait cela: "S'approchait-il de l'homme qui allait prier pour lui?"

Il continuait à dire: "Oui."

Il fouilla dans la poche de son vieux manteau et fit sortir un chapelet et commença à dire quelque chose avec son chapelet. Je lui parlai, disant: "Mettez cela de côté, frère. Vous n'en avez pas besoin maintenant." Et il enfonça cela dans sa poche. Et je l'ai regardé; je me suis mis à réfléchir.


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E-27 J'ai été garde-chasse dans l'Indiana pendant plusieurs années, quand j'étais encore un pasteur baptiste. Un jour, j'étais - j'avais laissé mon camion et je traversais un champ. Et j'avais une vieille petite arme à feu, un pistolet, un revolver que j'étais censé porter. Et je traversais les collines pour voir un ami malade et prier pour lui. Et j'ai ôté cette vieille petite arme à feu, et je l'ai jetée sur le siège, puis je me suis engagé dans le champ. Et comme je traversais le champ, beaucoup de chênes rabougris (je ne pense pas que vous en ayez par ici, des petits chênes rabougris, c'est comme ça que nous les appelons là-bas), dans le champ...

J'étais à environ deux cents yards [Environ 180 m S N.D.T.] de la clôture ou un peu plus loin, quand tout à coup surgit un grand taureau. Et je l'ai reconnu; c'était ce taureau meurtrier de la ferme Burke, là près du cimetière de Walnut Ridge. Quelques mois avant, il avait tué un homme de couleur, il l'avait tué à coup de cornes. Et on l'avait vendu là parce qu'il était le fameux taureau de Guernesey, un reproducteur. Et on l'avait mis là, et j'avais oublié qu'il était dans ce champ. Et il s'est levé, et à pas plus de trente yards [environ 27 m S N.D.T.] de moi. Et comme il se levait (j'étais nerveux, bien sûr), j'ai tendu la main pour prendre l'arme à feu, mais elle n'était pas là. Et je suis heureux qu'elle n'ait pas été là. J'aurais tué le taureau et ensuite je serais allé le rembourser.

J'ai tendu la main pour prendre le fusil, il n'était pas là. Alors j'ai regardé vers la clôture: elle était trop loin. Il n'y avait pas un arbre quelque part, sinon juste de petits chênes rabougris, d'environ quatre ou cinq pieds de hauteur [environ 1,20 m ou 1,50 m - N.D.T.]ÿ Et il était couché là avec quelque bétail au milieu de ces arbres. Qu'est-ce qui allait se passer? Si je lui tournais le dos, il allait m'avoir. Peu importe où je pouvais aller, il allait m'avoir. C'était la mort.


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E-28 Alors j'ai pensé à mon Seigneur. "Je ne terminerai pas ma vie en lâche. J'ai essayé de dire aux autres d'être braves en temps de trouble." J'ai dit: "Je vais marcher vers la mort aussi bravement que possible, ayant confiance en Jésus-Christ." Ce n'est que cela qui m'est venu à l'esprit...

Maintenant, s'il vous plaît, ne pensez pas que c'est enfantin, mais quelque chose se passa. Oh, j'aurais souhaité que ça se passe maintenant même. Toujours est-il que dans ces cas-là S que quelque chose se passe. Au lieu de haïr ce taureau, il y eut quelque chose d'autre; je lui ai témoigné de la sympathie. Je l'ai aimé. Et je n'avais pas plus peur de cet animal que je n'en ai en me tenant ici avec mes frères. Toute peur était partie. Et je me suis dit: "Pauvre créature, je suis sur ton territoire. Tu es un animal; tu ne sais rien d'autre. La seule chose que tu saches, c'est défendre tes droits."

Et j'ai parlé à ce taureau en ces termes: "Oh, créature de Dieu, je suis un serviteur de Dieu. Et je vais prier pour mon frère malade. Je suis désolé de t'avoir dérangée. Mais au Nom de Jésus, va te coucher." Et il a planté ses cornes dans le sol, soulevant la poussière; il tomba sur ses genoux et jeta encore de la poussière. Je me suis tenu là, aussi calme que je le suis maintenant. Et il courut vers moi aussi vite que s'il venait pour charger. Je me suis simplement tenu là, car je n'avais pas peur. Et quand il est arrivé à environ cinq pieds de moi, il souleva ses grandes pattes comme cela et s'arrêta. Et il regarda de ce côté-ci puis de l'autre, il était si épuisé, il se retourna et alla là et se coucha. Et je suis passé à environ cinq pieds de lui, et il ne bougea plus.


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E-30 Ma femme va probablement (je ne sais pas où elle se trouve)... Elle ne... me fait toujours des reproches parce que je tonds la pelouse sans chemise. J'ai environ un demi-hectare là chez S chez moi. Et un jour, je poussais ma tondeuse; j'avais fait quelques tours, puis quelqu'un est venu pour que je prie pour lui. Je me suis éclipsé et j'ai enlevé ma salopette, puis je me suis habillé et j'ai couru à l'intérieur prier pour la personne; j'ai fait peut-être quelques tours, ce jour-là. Et le gazon de la cour de devant poussait avant que je n'arrive à la cour arrière.

Ainsi, j'étais dans la cour arrière par un après-midi chaud, il n'y avait personne aux alentours, personne ne pouvait me voir; j'avais enlevé ma chemise. Bien, vous n'avez pas du tout de la chaleur ici. Vous devriez sentir ce qu'il y a là dans l'Indiana, sur la rivière Ohio. Et je tondais le gazon aussi vite que je le pouvais, j'avais peur que quelqu'un n'entre brusquement, et je n'avais plus que quelques tours à faire. Et j'ai oublié qu'il y avait un nid de frelons là au coin de la clôture. Et j'ai enfoncé cette tondeuse droit dans ce nid. Et, mes amis, Dieu est mon juge, en un instant, j'étais couvert de frelons.

Bon, tout le monde sait ce qu'un frelon; il vous tuerait. Un seul frelon peut vous terrasser, et moi j'étais sans chemise. Et je me tenais là, et quelque chose se passa. Je ne sais pas ce que c'était. Quelque chose se passa simplement; c'est l'amour. Au lieu de haïr ces frelons, je me suis dit: "Pauvres petites créatures de Dieu, eh bien, je n'ai rien contre vous. C'est votre maison et je vous ai dérangées." Ça semble enfantin. Mais le problème est que nous essayons d'être des adultes quand nous devrions être des enfants. Nous prenons les choses comme si nous étions très intelligents. S'il nous arrivait une fois de mesurer notre intelligence à la grâce de Dieu, je me demande ce qu'il en résulterait.

Mais dans ce cas-ci, ces frelons étaient partout sur moi. Et je n'avais pas peur de ces petits compagnons. J'ai dit: "Petites créatures, retournez dans votre nid. Je ne vais pas vous faire du mal." Et aussi vrai que Dieu est vivant, ces frelons tournèrent autour de moi trois ou quatre fois puis retournèrent droit dans leur nid. Cela est aussi vrai que je me tiens ici.


Edmonton, Alberta, Canada

E-31 L'été dernier, M. Mercier qui est ici, M. Goad qui est aussi ici, et beaucoup de S de... certaines personnes qui font partie de l'équipe des campagnes, mais qui ne sont pas avec moi maintenant, nous étions assis chez moi, sur les marches de devant. Il y avait une S une fille de couleur... C'était dans le journal de ce matin-là, une belle, une ravissante fille de couleur. Elle avait eu un enfant naturel. Et elle a pris cet enfant, l'a étouffé dans des couvertures, l'a enroulé avec du fil de fer, puis elle a loué un taxi. Et elle est allée sur le pont Ohio, a regardé à une certaine distance puis a feint de jeter un paquet par-dessus, et elle a jeté l'enfant dans la rivière. Le ta-... le conducteur du taxi rapporta cela aux autorités; celles-ci ont repêché cela et ont découvert que c'était un enfant.



Edmonton, Alberta, Canada

E-41 Le lendemain matin, je suis sorti vers six heures, ce pauvre opossum était toujours étendu là, couvert de rosée, la patte couverte de mouches. Eh bien, je me suis dit: "Je ne puis tuer cette pauvre brave créature", ces petits continuaient à la téter. Je me suis dit: "Je pense qu'il est mort." Et je lui ai donné quelques coups avec mon pied; je l'ai vu bouger un petit peu; elle vivait encore. Je me suis dit: "Oh! la la!"

Et juste à ce moment-là, j'ai entendu ma fillette, Rebecca, qui est ici. Elle sera une jeune fille spirituelle. Elle a eu sa première vision, récemment, à l'école.

[Espace non enregistré sur la bande - N.D.E.]
... fille de onze ans. Elle est sortie sous le porche, la petite Rebecca, elle l'a regardée et s'est mise à pleurer. Elle a dit : "Papa, c'est une véritable mère, n'est-ce pas?"

J'ai dit : "Oui." Je lui ai donné un coup avec mon pied. Elle était couverte de rosée et les mouches à viande étaient toujours sur elle.

Elle a dit : "Papa, que vas-tu faire de cette mère opossum?"

J'ai répondu : "Chérie, papa ne sait pas."

Elle a demandé : "Papa, tu vas la tuer?"

J'ai répondu : "Papa ne peut pas faire cela, chérie." J'ai ajouté : "Chérie, tu t'es levée trop tôt (elle avait son petit pyjama)." J'ai dit : "Rejoins maman au lit." Je l'ai fait donc entrer en chambre à la hâte. Puis, je suis entré dans le cabinet de travail et me suis assis.

Et je me suis dit : "Ô Dieu, combien cette pauvre brave mère opossum a souffert. Combien elle doit aimer ces petits!" Et pendant que j'étais là, je me suis dit : "Eh bien, j'espère que je n'aurai pas à la voir être tuée."

Et pendant que j'étais là, Quelque Chose m'a dit : "Hier, tu prêchais à son sujet. Tu l'as utilisée comme sujet."

J'ai dit : "C'est exact."

Tu as dit qu'elle est une véritable mère.

J'ai dit : "C'est exact."

Il a dit : "Je l'ai envoyée à ta porte. Et elle s'est couchée à ta porte comme une dame pendant vingt-quatre heures, attendant son tour pour qu'on prie pour elle, et tu n'as pas dit un seul mot."

J'ai dit : "Eh bien, je n'ai pas..." Je me suis dit : "A qui suis-je en train de parler? Suis-je en train de parler à moi-même?" Je me suis levé d'un bond. Je me suis dit : "Oh! Est-ce Toi, ô Dieu?"

(35) Et je suis sorti sous le porche, et la petite Rebecca était encore là à regarder cette mère opossum. Elle était venue droit de la maison. Je suis sorti pour aller vers l'opossum. J'ai dit : "Ô Dieu, je sais que Tu connais chaque fleur. Tu connais chaque passereau. Et il y a cette chose vraiment horrible qui est arrivée aux femmes, ce qui est arrivé à cette ravissante jeune fille qui a tué son bébé. Et Tu voulais montrer que Tu conduis même les animaux. Et elle est venue et est restée étendue à ma porte, attendant son tour pour qu'on prie pour elle." J'ai dit : "Je suis désolé, ô Dieu, d'avoir fait cela." J'ai dit : "Je ne le savais pas, ô Dieu. J'aurais dû le faire. Mais, ai-je dit, si c'est Ta divine providence, si Tu as cherché ceci, si Tu veux que je prie pour cet opossum, je le fais au Nom de Christ. Viens-lui en aide, Père, vu que son amour pour ses petits a été si grand." Je me suis dit : "Ô Dieu, ce que... Voudrais-Tu bien le faire?" Et quand j'ai dit cela...

Bon, ça peut paraître étrange. C'est alpartout... J'ai reçu des lettres d'Afrique, de l'Inde, du monde entier à ce sujet. L'Associated Press (je pense), a publié cela. Et cette pauvre mère opossum s'est levée, elle a mis ses petits dans sa poche, a descendu cette allée, marchant aussi normalement que n'importe quel autre opossum, avec sa queue en l'air. Arrivée à la porte, elle s'est retournée comme pour dire : "Merci, gentil monsieur." Et ayant traversé la route, elle s'est enfoncée dans les bois, et autant que je sache, ce soir, elle est heureuse avec ses petits.

(36) Si Dieu a pu avoir de la considération pour un opossum, combien plus Il peut vous accorder de la considération quand vous avez produit l'amour et que celui-ci a été projeté vers le coeur du Dieu vivant? Si Dieu... Uniquement par instinct, cet opossum n'avait pas d'âme; c'était un animal muet. Et si cela a pu se faire de cette façon par instinct, et que le Saint-Esprit a pu conduire là une pauvre mère opossum, sachant qu'Il m'amènerait à prier pour cet opossum et que sa vie serait épargnée, combien valez-vous plus qu'un opossum? Qu'est-ce qui a fait que vous êtes venus ici ce soir pour qu'on prie pour vous? Ma question c'est de savoir où en est votre âme avec Dieu.

[ Espace non enregistré sur la bande - N.D.E.] Je crois que ce sera le cas.

(37) Il n'y a pas longtemps, là, j'étais absorbé par un grand cas en rapport avec M. Krause des Hommes d'Affaires Chrétiens du Plein Evangile; beaucoup parmi vous le connaissent. C'est un très grand ami à notre très honorable et bien-aimé frère Oral Roberts. Et ainsi, quand... M. Krause était un très grand ami d'Oral Roberts. "Oh, a-t-il dit, si jamais quelque chose m'arrivait, je suis l'ami d'Oral Roberts." Enfin un jour, M. Krause a contracté une maladie des reins. Il est donc allé dîner avec frère Roberts.

Et frère Roberts a dit : "Oh, Frère Krause, ce n'est qu'une petite chose pour Dieu." Il a levé les mains et frère Oral avec cette véritable (excusez-moi l'expression, mais...) foi de bouledogue [c'est-à-dire tenace ­ N.D.T.], lui a imposé les mains et a dit : "Je réprimande cette chose." Il a dit: "Ne vous inquiétez pas, Frère Krause; vous allez vous rétablir."

Et frère Krause a dit : "Je me suis senti vraiment mieux."

Mais quelques jours après, c'est revenu. Il a dit : "Je suis retourné chez frère Roberts, a-t-il dit, la même chose avait repris." Il a dit : "J'ai ensuite pensé que j'irai donc chez William Branham que je connaissais." Et il a dit : "Il voit des visions. Je me tiendrai donc devant William Branham; c'est un cher ami à moi, et alors, William Branham pourra m'aider."

Il a donc téléphoné çà et là et a appris que j'étais à Shreveport en Louisiane. M. Krause et son épouse ont pris l'avion jusqu'à Shreveport, et ils sont venus à la réunion. Et il a dit : "Frère Branham, je n'ai que peu de temps. Allons à l'écart, je veux voir ce que le Seigneur me dira."

J'ai dit : "D'accord, Frère Krause, allons à l'écart." Je suis resté là pendant quarante-cinq minutes, et le Seigneur n'a rien dit. J'ai dit : "Je vais prier, Frère Krause."

Il a dit : "Si le Seigneur vous montre quoi que ce soit, téléphonez-moi." J'ai prié pour lui. Il a dit : "Vous savez, je me sens mieux. Je crois que le Seigneur m'a guéri sans me révéler la maladie."

J'ai dit : "Bien, nous sommes reconnaissants à Dieu."

(38) Ainsi, ce soir-là, étant un cher ami à frère Krause, j'ai prié pour lui, j'ai prié pour lui continuellement. Et environ quelques semaines après, il est revenu. Il a dit : "Tenons-nous dans la Présence du Seigneur, et voyons ce qu'Il me dira. Je suis dans un état critique." Je me suis tenu là pendant une heure ou plus, mais le Seigneur ne m'a rien dit.

Alors, il est donc allé chez le médecin. Le médecin a dit : "Cela me dépasse; vous feriez mieux d'aller chez Mayo." Il est allé chez Mayo.

Mayo l'a examiné, et il a dit : "Monsieur, vous avez une chance sur mille de vivre. Il faut une opération dans l'immédiat."

Il a dit : "Eh bien, je la subirai."

(39) Et il est sorti, et il a dit : "Je me disais qu'étant si près de la mort, je ferais mieux de consulter Dieu." Il a donc dit : "Seigneur, Tu sais que je T'aime. Et j'ai essayé de tout mon coeur de soutenir tout ce qui est correct." (C'est un homme riche.) Et il a dit... Il fabrique des charrues; il se peut que vous le connaissiez, vous qui êtes du Kansas. Et il a dit : "J'ai essayé de vivre correctement, et Tu sais, Seigneur, que je T'aime. Eh bien, si Tu veux que je rentre à la maison, je suis disposé à venir. J'ai vécu beaucoup de jours et je suis disposé à venir. Mais, Seigneur, si Tu peux m'utiliser pendant que je suis disposé..." Il a dit : "Je me suis tenu devant Tes serviteurs, Oral Roberts et William Branham, et on dirait que leurs prières n'ont pas pu me guérir." Et il a dit : "Il se peut qu'il y ait quelque chose que j'ai fait, et sûrement que Tu l'aurais révélé quand je m'étais tenu là pendant le discernement." Il a dit: "Mais si c'est le moment pour moi de venir, je suis prêt à partir, et je T'aime. Je vais donc à la salle d'opération, la seule chance que j'ai."

(40) Et les médecins l'ont encore examiné Et ils ont dit : "M. Krause, êtes-vous sûr de vouloir la subir?"

Il a dit : "J'ai prié, et je suis sûr de vouloir la subir." Ils sont donc entrés dans la salle d'opération. Et il a dit que la dernière chose dont il se souvient, c'est qu'il disait : "Seigneur, si c'est Ta volonté pour moi, je T'aime, Seigneur. Je T'aime, Seigneur." Et ils l'ont endormi. Et quand il est revenu à lui-même, la salle entière commença à s'éclairer. Et il a vu les médecins se tenant tout autour.

(41) Et ils se sont rués vers lui, et ils ont dit : "Monsieur Krause, quelque chose est arrivé. Nous n'avons jamais vu une opération aussi parfaite. Et nous pensions que vous alliez mourir, mais tout à coup, vous étiez normal." Qu'était-ce? Quand l'amour divin a été projeté, la grâce souveraine est venue prendre place. Elle le doit. [ Espace non enregistré sur la bande - N.D.E.]

(42) Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu'on prie pour vous? Ma question c'est où en êtes-vous avec Dieu? Inclinons la tête juste un moment.

[ Espace non enregistré sur la bande - N.D.E.]...


Edmonton, Alberta, Canada

E-46 Maintenant, regardez dans cette direction-ci. Je ne prendrai plus de temps. Je sens que le Saint-Esprit est ici. Dieu est toujours ici, mais je sens que Sa Présence est ici. Maintenant, dans cette salle, spécialement dans cette salle où je peux voir distinctement, car j'ai prêché durement... Et dans cette salle, si le Saint-Esprit peut venir dans cette salle et accomplir ici même, depuis cette estrade, les mêmes miracles qu'Il avait accomplis quand Il était sur terre, combien diront: "Cela augmentera ma foi et me rendra heureux." Maintenant, nous n'allons même pas... Nous voulons des gens de la salle, partout, où que vous soyez. Maintenant, soyez simplement respectueux et restez assis tranquillement juste un moment.

Je désire simplement regarder de ce côté et prier. Maintenant, je n'ai aucun moyen au monde... Je... si quelqu'un veut bien venir ici... Si cet homme veut bien se lever et dire: "Frère Branham, qu'est-ce qui ne va pas..."

Si ma mère était couchée ici et disait: "Billy, qu'est-ce qui ne va pas en moi, chéri? Je t'ai allaité quand tu étais un bébé. J'ai pris soin de toi. Je t'ai nourri. Chéri, quel est mon sort?" Je ne le saurais pas. Dieu devrait me le dire pour ma pauvre mère. Je n'ai aucun moyen de contrôler cela. C'est la grâce de Dieu qui fait cela, la même grâce de Dieu.


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