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Connersville, Indiana, USA

E-22 «Mais, a-t-Il dit, si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Et Il est allé de l’avant; et peu après, Il a trouvé où était son problème. Il est allé droit à son problème, et Il lui a dit où c’était. Vous rappelez-vous ce que c’était? Qu’était-ce? [La soeur répond.–N.D.E] C’est vrai. Elle avait plusieurs maris. Elle avait cinq maris. Et Il a dit que celui avec qui elle vivait en ce moment-là n’était pas son mari, cela faisait donc six.


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E-122 Et pour ceux qui cherchent le Saint-Esprit, je crois, si vous allez là et que vous êtes sincères dans votre coeur, chaque homme et chaque femme qui vont là-bas d’un coeur sincère sortiront avec le baptême du Saint-Esprit. Quel temps! Quelle soirée! Que Dieu vous bénisse, monsieur. Continuez simplement à avancer vers la tente. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, alors que vous avancez. C’est parfait; même des jeunes gens. C’est merveilleux. Pendant que vous continuez à venir, amis, je vais demander à Dieu de–de vous bénir et de vous amener... [Espace vide sur la bande–N.D.E]...?... tout le monde avec le baptême.


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E-1b (2) Je me rappelle que nous étions à Durban, il y avait environ une centaine de milliers, à peu près ça, qui étaient assemblés. Nous ne pouvions pas voir ceux qui étaient dans la rue à trois ou quatre pâtés de maisons. Et il y avait donc beaucoup de médecins et de gens assis là. Et sur une estrade érigée là... C’était un champ de course dans ce... mais c’était plus large que Churchill Downs. Durban a le deuxième champ de course le plus vaste du monde. Londres, en Angleterre, a le premier, le champ de course le plus large, ensuite vient Durban, en Afrique du Sud. Je pense que c’est le Churchill Downs qui occupe la quatrième, ou la troisième position, la quatrième, la cinquième, quelque part là donc.

L’endroit était donc archicomble, partout là-bas dans le champ, dans ce sens et tout, et l’estrade était installée là loin dans le champ. Puis, à trois pâtés de maisons, dans chaque–chaque allée, des gens étaient assis dans des rues, à trois pâtés de maisons. On ne pouvait pas faire entrer les gens. Et beaucoup d’entre eux portaient de petites idoles en argile tout en prétendant être chrétiens, ils s’avaaient, mais quand...


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E-1c (3) Cet après-midi-là, le maire de la ville m’avait fait sortir et je... Je parlais à un homme, un homme de couleur là, il était juste... J’ai dit: «Pourquoi portent-ils ces–ces étiquettes?»

Il a dit: «Cela montre qu’ils sont chrétiens.»

J’ai dit: «Eh bien, voilà un homme qui porte une idole, pourtant c’est un chrétien?»

Il a dit: «Oh! Oui.» Il a dit: «Aimeriez-vous lui parler?» Il a dit: «C’est un Zoulou; je peux lui parler.»

J’ai dit: «D’accord.»

Eh bien, il... nous avons garé le véhicule. Il a dit: «Appelle-le simplement John ou par n’importe quel nom que tu veux l’appeler. Il va–il va te répondre.»

Alors, j’ai appelé le... un nom. Eh bien, alors, il a répondu effectivement par l’interprète. Et j’ai demandé: «Es-tu chrétien?»

«Oh! Oui.» Il était un chrétien. Et j’ai dit: «Eh bien, pourquoi cette idole-là?» Cela était aspergé de sang partout, de petites statuettes en argile. Oh! Ils avaient toutes sortes de choses bizarres.

Et j’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce que le–le... Qu’en est-il des idoles?»

«Eh bien, c’est aussi dieu.» Voyez?

Et j’ai dit: «C’est aussi Dieu? Il n’y a qu’un seul Dieu.» Voyez?

Et il a dit: «Oh! C’était dieu.» Il a dit que son père avait porté cela.

Et j’ai dit: «Eh bien, pourquoi–pourquoi votre père avait-il porté cela

Il a dit: «Eh bien, un jour, un lion le pourchassait, et–et il a allumé un petit feu, il a dit une prière, et le lion s’est enfui. C’était donc un dieu de puissance.» C’est pourquoi il portait aussi cela. Si le Dieu des chrétiens faillissait, alors il recourrait à celui-là. Il n’y a pas beaucoup de christianisme là. Voyez-vous?

Ainsi donc, j’ai dit: «Il n’y a rien dans cette idole-là.»


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E-1d (4) Mais ce jour-là, le premier à monter à l’estrade, je n’oublierai jamais cela. On ne pouvait pas distribuer les cartes de prière. Nous avions simplement demandé aux missionnaires d’aller là et de prendre un certain nombre de gens de chaque groupe et de les amener à l’estrade. Et il y avait...

Je me rappelle, la première femme a traversé le... ce qu’on m’a dit, et les bandes le rapportent. Il y avait une femme qui souffrait d’une–d’une maladie gynécologique. Et c’était une musulmane; elle avait une tache rouge entre ses yeux. Il y en avait quelque vingt ou trente mille d’entre eux là, là loin à ma gauche (Voyez?), dans cette direction-là: Des musulmans très loyaux. (Le fils de Mahatma Gandhi était là.)

Et alors, ils disaient, ils avaient une tache rouge; c’est le prêtre qui met cela entre leurs yeux. Et cela veut dire qu’ils nient l’existence de Jésus comme Fils de Dieu. Ils croient en Dieu, Jéhovah Dieu, mais ils croient que c’est Mahomet qui était Son prophète (Voyez-vous?), et non Jésus. Ils disaient que Jésus était un Homme de bien, mais qu’Il–Il n’était pas le–le vrai prophète comme–comme Mahomet. A Jérusalem, ils ont construit un mur là et, à un bout, ils ont une toute petite tour, c’est–c’est là que Jésus viendra. Et ils ont une très grande tour, c’est là que Mahomet viendra. Vous parlez des superstitions, ce monde en a certainement.


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E-1e (5) Alors, quand–quand cette femme s’est avancée, eh bien... On parlait par un interprète, et on disait, on demandait... je lui ai demandé si elle croyait. Elle a dit: «Oui.»

Il lui a donc été révélé ce qu’était sa maladie.

Elle m’a regardé, elle a dit: «C’est vrai» (Voyez?), par l’intermédiaire de l’interprète, évidemment.

Et j’ai dit: «Votre mari vous avait accompagnée quand vous étiez allée chez le médecin.»

Elle a dit: «Oui.»

J’ai dit: «Il porte un costume gris, n’est-ce pas? N’a-t-il pas de moustache?»

Elle a dit: «Oui.» C’était vrai. Voyez?

Et alors j’ai dit: «Pourquoi êtes-vous venue vers moi, et–et pourquoi n’êtes-vous pas allée vers le prêtre au temple?»

Elle a dit qu’elle croyait. Et j’ai dit: «Eh bien, croyez-vous en–en Christ?»

Elle a dit: «Krishna

Et j’ai dit: «Pas Krishna, Christ.» Krishna, c’est leur dieu incarné. J’ai dit: «Pas Krishna, Christ.»

Et elle–elle a dit... J’ai dit: «Eh bien, maintenant, croyez-vous que je suis le... Son serviteur?»

«Oui.»

J’ai dit: «Si donc je suis Son serviteur, je parle de Jésus-Christ.» J’ai dit: «Allez-vous L’accepter comme votre Sauveur?»

Elle a dit: «Oui», elle allait L’accepter. Et puis, nous avons prié pour elle.


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E-1f (6) Après, la suivante qui était passée, c’était une femme qui avait une chose très drôle. Cette femme avait à peine, j’oublie, juste une toute petite chose qui ne faisait rien. Mais pendant que cette femme se tenait là, ça a commencé à devenir très sombre autour d’elle. Et j’ai observé cela; et cela a disparu; j’ai vu les gens l’emporter. Eh bien, souvent, je vois la mort sur quelqu’un, mais je ne dis rien à ce sujet; je dis simplement: «Que le Seigneur vous bénisse.» Je prie pour lui, et je le renvoie. Voyez? En effet, la prière peut changer cela. Voyez? Ezéchias l’avait fait dans son cas, n’est-ce pas? Elle avait changé cela. Ainsi, je ne leur dis pas à moins que je voie que c’est déjà... Cette femme était amenée à la tombe.

Et j’ai dit, je lui ai parlé de sa maladie, et elle a dit: «C’est vrai.» C’était une–une afrikaans. En effet, une Africaine... Nous pensons généralement, nous pensons que les Afrikaans sont des–des noirs, mais un Afrikaans est un blanc. Un Africain, c’est un noir, appelé Kafir.

Mais cette–cette femme, quand elle est venue, je lui ai révélé sa maladie, c’était très bénigne, mais j’ai dit: «Madame, préparez-vous à mourir, car vous n’allez vivre que peu de temps.» En moins de vingt minutes, elle était un cadavre. Voyez? Elle a directement quitté l’estrade, elle s’est assise, on a commencé à dire: «Eh bien, maintenant...» Elle parlait à son mari et aux autres là dans l’assistance, disant: «Je ne peux pas comprendre cela; je n’avais point eu de maladie, si ce n’est qu’un... peut-être un petit kyste ou quelque chose comme cela.» Et–et dans l’espace de quelques minutes, elle était là, riant au sujet de quelque chose, et juste là, elle s’en est allée. Et c’était ça. Elle est morte là même. Et, voyez, si–si j’étais un guérisseur, je l’aurais guérie. Voyez? Voyez? Je ne suis pas le Guérisseur; le Guérisseur, c’est Dieu. Voyez? Ainsi, je ne pouvais que dire ce qu’Il m’avait dit.


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E-1g (7) Et puis, le suivant à passer, c’était un petit garçon noir. Eh bien, certains parmi vous les petits enfants ici, quand vous allez ici à cette fontaine vous abreuver, et beaucoup d’autres choses que vous avez, vous savez comment les petits garçons africains sont obligés de boire? Ils s’étalent juste là et s’abreuvent n’importe où qu’ils peuvent trouver de l’eau. Que ça soit boueux et ce que c’est, ils doivent boire cela de toute façon; ils n’en ont pas d’autre. Et quand ils mangent, ils se trouvent simplement n’importe quoi qu’ils peuvent trouver; ils doivent manger cela. En effet, eh bien, ils n’ont rien d’autre à manger. Et ces petits enfants, quand ils–ils ont une vache, ils prennent le piquant du porc-épic et lui enfoncent dans la gorge, ici, dans sa veine jugulaire, et font cou-... écouler cela dans ce qu’ils appellent une–une calebasse, mais ce n’est pas ça, c’est en peau d’animal, un petit sac, à peu près comme cela. Ils extraient la moitié du sang, et puis le lait, ils extraient le reste de cela, avec le lait, ils mettent un bâton et barattent cela, comme ça, et en font un gâteau pareil à une–pareil à une sucette. C’est ce qu’ils ont. Et ce petit garçon avait eu cela comme régime alimentaire. Il n’avait pas d’habits, juste un petit collier.

Et alors, son petit ventre, c’était tout aussi ensanglanté que possible, suite au repas qu’il prenait. Et il... le pauvre petit enfant avait des yeux louches, et il se tenait là. Et j’ai dit: «Maintenant, évidemment, tout le monde sait que je ne peux pas guérir cet enfant.» J’ai dit: «Vous pouvez voir qu’il a des yeux louches, mais, ai-je dit, Dieu est le seul qui peut le guérir.» J’ai dit: «Je ne peux rien avoir à faire avec cela.» J’ai dit: «En ce qui concerne sa petite vie, comment... ce qui est arrivé... ou ce qu’est... s’il y a quelque chose qui fait obstacle, Dieu me montrerait peut-être cela.» Mais j’ai dit: «Maintenant, quant à le guérir, je ne le peux pas, car je ne suis qu’un homme.»


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E-1h (8) Et je pense qu’il y avait vingt médecins ou plus assis à l’estrade. La–l’association médicale m’avait donné la main d’association d’un bout à l’autre de l’Afrique. Ils avaient dit: «C’est de la véritable guérison divine.» Et alors, nous avions publié tout dans les journaux. Si quelqu’un, n’importe quel médecin, qui était présent et qui voulait examiner cela, eh bien, c’est parfaitement en ordre. Voyez? Ce serait avec joie qu’on vous permettrait de voir cela.

Et alors, ils... ce petit garçon se tenait là. Et en le regardant, j’ai dit: «Eh bien, je vois...» J’ai dit: «Le petit garçon est né comme cela.» J’ai dit: «Il est venu par là.»

Et alors, et l’interprète Zoulou... On avait quinze différents interprètes là, pour quinze différentes tribus de gens. Ainsi, ils–ils... L’interprète Zoulou a rendu cela, et la maman s’est levée pour montrer que c’était la vérité, elle était là, l’endroit là sur la–la plaine, là. Ainsi donc, c’était vrai. Elle a levé la main. Et puis, pendant que je regardais le petit garçon, je l’ai regardé de nouveau. Il venait d’une famille chrétienne. J’ai encore regardé, ses petits yeux étaient tout aussi droits que les miens ou les vôtres.

Alors, j’ai dit: «Eh bien, évidemment, tout le monde sait qu’il est déjà guéri.» Il était à une distance d’ici jusqu’à ce fauteuil-là, à peu près. J’ai dit: «Il est guéri. Voici ses yeux; vous le voyez.» Alors, j’ai dit: «Faites passer le petit garçon.»

Et l’interprète a dit: «Passe.»


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E-1i (9) Et j’ai entendu une discussion de ce côté ici, à côté de moi, je me suis demandé ce qui se passait. Et je regardais quelqu’un d’autre, m’apprêtant à prier pour lui. Et alors, il m’est arrivé d’entendre... Il y avait un médecin qui cherchait à venir là où j’étais. Et alors, monsieur Baxter lui parlait, disant: «Non, vous ne pouvez pas faire ça.» Et monsieur Bosworth cherchait à l’éloigner, et alors, ils... il continuait d’insister; il tenait à venir de toute façon.

Et alors, je me suis retourné, j’ai dit: «Qu’y a-t-il, docteur?»

Il a dit: «Qu’avez-vous fait à ce jeune garçon, Révérend Branham? Avez-vous hypnotisé cet enfant?»

J’ai dit: «Certainement pas, certainement pas. Je ne peux pas l’hypnotiser. (Voyez?) Je...»

Il a dit: «Eh bien,...»

J’ai dit: «Si l’hypnotisme peut redresser ses yeux...» J’ai dit: «Vous voulez me dire que vous avez l’autorisation de pratiquer l’art de guérir et–et que vous ne connaissez pas plus sur l’hypnotisme?» J’ai dit: «Eh bien, si l’hypnotisme redressait les yeux d’un enfant, vous feriez mieux de vous mettre à pratiquer l’hypnotisme.» Voyez? J’ai dit: «Ce n’était pas l’hypnotisme, c’était la puissance de Dieu.»

Et il y avait de beaux et gros lys, dans cette partie du pays où nous étions. Il y en avait un tas placé à l’estrade. J’ai dit... Ils... Il a dit: «Bon, je sais que Dieu est dans ces lys, a-t-il dit; c’est vrai. Mais, a-t-il dit, eh bien, que Dieu soit ici visible pour redresser les yeux de cet enfant, ça, je n’arrive pas à le comprendre.»

J’ai dit: «Eh bien, alors, tout ce qu’il vous faut faire, c’est... Vous pouvez soit accepter ce que j’ai dit, les yeux du petit garçon...»

Il a dit: «Eh bien, je l’ai fait passer par la porte.»

J’ai dit: «Vous savez donc que ses yeux étaient louches.»

Il a dit: «Assurément, je me tenais ici, je l’observais.»

Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant, ses yeux sont redressés, n’est-ce pas?»

Il a dit: «Oui.»

J’ai dit: «C’est Jésus-Christ, ai-je dit, qui a fait cela. Ainsi donc, tout en est...?...»

Alors, il a dit: «Un instant.» Et on commençait à le retirer, monsieur Bosworth. Et il a dit: «Un instant». Alors, il s’est avancé vers le microphone et il a dit: «Je veux aussi accepter Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel.»

Et puis, peu après, Dieu a opéré un grand miracle sur un homme estropié, et c’est alors que le miracle de Dieu a été accompli, quand trente mille âmes étaient venues à Christ en ce seul jour-là.


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