Connersville, Indiana, USA
E-1i (9) Et j’ai entendu une discussion de ce côté ici, à côté de moi, je me suis demandé ce qui se passait. Et je regardais quelqu’un d’autre, m’apprêtant à prier pour lui. Et alors, il m’est arrivé d’entendre... Il y avait un médecin qui cherchait à venir là où j’étais. Et alors, monsieur Baxter lui parlait, disant: «Non, vous ne pouvez pas faire ça.» Et monsieur Bosworth cherchait à l’éloigner, et alors, ils... il continuait d’insister; il tenait à venir de toute façon.
Et alors, je me suis retourné, j’ai dit: «Qu’y a-t-il, docteur?»
Il a dit: «Qu’avez-vous fait à ce jeune garçon, Révérend Branham? Avez-vous hypnotisé cet enfant?»
J’ai dit: «Certainement pas, certainement pas. Je ne peux pas l’hypnotiser. (Voyez?) Je...»
Il a dit: «Eh bien,...»
J’ai dit: «Si l’hypnotisme peut redresser ses yeux...» J’ai dit: «Vous voulez me dire que vous avez l’autorisation de pratiquer l’art de guérir et–et que vous ne connaissez pas plus sur l’hypnotisme?» J’ai dit: «Eh bien, si l’hypnotisme redressait les yeux d’un enfant, vous feriez mieux de vous mettre à pratiquer l’hypnotisme.» Voyez? J’ai dit: «Ce n’était pas l’hypnotisme, c’était la puissance de Dieu.»
Et il y avait de beaux et gros lys, dans cette partie du pays où nous étions. Il y en avait un tas placé à l’estrade. J’ai dit... Ils... Il a dit: «Bon, je sais que Dieu est dans ces lys, a-t-il dit; c’est vrai. Mais, a-t-il dit, eh bien, que Dieu soit ici visible pour redresser les yeux de cet enfant, ça, je n’arrive pas à le comprendre.»
J’ai dit: «Eh bien, alors, tout ce qu’il vous faut faire, c’est... Vous pouvez soit accepter ce que j’ai dit, les yeux du petit garçon...»
Il a dit: «Eh bien, je l’ai fait passer par la porte.»
J’ai dit: «Vous savez donc que ses yeux étaient louches.»
Il a dit: «Assurément, je me tenais ici, je l’observais.»
Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant, ses yeux sont redressés, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «C’est Jésus-Christ, ai-je dit, qui a fait cela. Ainsi donc, tout en est...?...»
Alors, il a dit: «Un instant.» Et on commençait à le retirer, monsieur Bosworth. Et il a dit: «Un instant». Alors, il s’est avancé vers le microphone et il a dit: «Je veux aussi accepter Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel.»
Et puis, peu après, Dieu a opéré un grand miracle sur un homme estropié, et c’est alors que le miracle de Dieu a été accompli, quand trente mille âmes étaient venues à Christ en ce seul jour-là.