Connersville, Indiana, USA
E-43 (54) Je pense à un–un vieux... Vous parlez de s’abreuver, j’avais l’habitude d’aller dans des montagnes. Je pense à un puits où j’allais, là-bas, et comment ce puits était le puits le plus joyeux que j’aie jamais vu. Eh bien, il ne faisait que bouillonner, bouillonner, bouillonner, bouillonner tout le temps. Chaque année, quand j’allais là, il bouillonnait toujours. Un jour, je me suis assis pour parler à ce puits-là. J’ai dit: «Monsieur Puits, qu’est-ce qui te rend si heureux? Est-ce parce que les biches s’abreuvent pour toi... à toi?» S’il pouvait parler, il aurait parlé, disant: «Eh bien, non, Frère Branham.»
J’ai dit: «Peut-être que les ours s’abreuvent à toi, c’est ce qui te rend si heureux. C’est ce qui te fait bouillonner.»
Il aurait dit: «Non.»
J’ai dit: «Peut-être que c’est parce que je viens ici chaque année et que tu m’aimes, c’est cela qui te fait bouillonner.»
«Eh bien, aurait-il dit, non. Ce n’est pas moi qui bouillonne. Il y a quelque chose derrière moi qui me fait bouillonner, qui me pousse.»
Et c’est pareil pour un chrétien à l’ancien temps, né de nouveau. Ce n’est pas lui qui est très bruyant. Il y a Quelque Chose derrière lui qui le rend bruyant, qui le fait bouillonner, qui le pousse, qui le bouscule, qui l’élève à des hauteurs plus élevées et l’enfonce dans des profondeurs plus basses en Christ. Amen. C’est vrai. Ce n’est pas lui.