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Connersville, Indiana, USA

E-86 (97) Et alors, quand elle est descendue du train, sa maman l’a regardée et a reconnu sa fille. Elle a couru, elle l’a entourée de ses bras, disant: «Ma chérie.» Son visage était tout rétréci, ses mains toutes rétrécies. Et elle... tout comme cela. Et elle a dit: «Chérie, embrasse-moi, embrasse-moi.» Et elle essayait d’embrasser sa fille, et celle-ci lui tournait le dos et s’en allait, elle avait honte de sa propre mère.

Alors, un conducteur, qui connaissait le cas, s’est avancé et a saisi cette jeune fille et l’a secouée. Il a dit: «N’as-tu pas honte de toi-même?» Il a dit: «Ta mère était autrefois belle. Et quand tu étais une petite enfant, là à l’étage, la maison avait pris feu. Et on a dit: ‘Laissez-la seule.’ Et tu étais en train de brûler dans cette maison-là. Alors, ta maman, sans se préoccuper de sa propre beauté, est entrée en courant dans cette chambre-là, à toute vitesse, elle a enlevé ses propres habits de son corps, elle t’a enveloppé dedans et t’a fait sortir. Et elle a été roussie, elle s’est brûlée comme cela.» Il a dit: «Si toi aujourd’hui, tu es jolie, c’est parce qu’elle est devenue laide jadis afin que toi, tu deviennes jolie.» Il a dit: «Honte à toi!»


Connersville, Indiana, USA

E-87 (98) Et j’y pense aujourd’hui, frère. Quand Jésus, le Fils de Dieu, était disposé à quitter le Palais en ivoire, dans la Gloire, pour venir ici et prendre un nom infâme, s’humilier dans la chair humaine, être taxé de saint exalté, ou de fanatique religieux, monter là, saigner et mourir comme un maudit sur un arbre, et vous, vous en avez honte. Que Dieu aie pitié de gens. Qu’Il ait pitié! Et vous avez honte de vous associer avec Son peuple.

Si vous n’êtes pas né de nouveau, pourquoi ne pas venir L’accepter maintenant? Je souhaiterais que cette dame aille au piano, pendant que nous avons nos têtes inclinées. Réfléchissez-y. Pensez à Son humiliation: Dieu fait chair! Comment pouvez-vous rejeter pareil amour? Dieu est descendu, Il s’est fait Lui-même un Homme; Il a été taxé de fanatique, de démon, Il a été battu, brisé pour votre péché.

Et vous êtes assis ici ce soir, Le voyant dans Son univers, Le voyant être prêché dans Sa Parole, voyant Sa puissance se mouvant parmi les gens. Vous Le voyez dans tout aspect dans lequel Il peut être vu, et puis, vous avez honte de prendre position pour Lui. Alors qu’Il est allé là au Calvaire, sur le mont Golgotha, marchant avec une vieille croix rugueuse sur Ses épaules au point que, en frottant, cela a fait sortir du sang et les os ressortaient. Et une grande et bonne église... alors qu’Il pouvait venir dominer et être le Roi de la terre, mais Il a été humilié pour vous. Et puis, vous avez peur de l’humiliation, de soutenir qu’Il est votre Sauveur. Pensez-y pendant que nous parlons avec Lui.


Connersville, Indiana, USA

E-90 (101) Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande bien... et que chaque chrétien est en train de prier, s’il vous plaît, n’avez-vous pas plutôt honte de la façon dont vous L’avez traité? Qu’allez-vous donner en échange ce jour-là? Y a-t-il ici un pécheur qui aimerait lever la main pour dire: «Frère Branham, je–je–j’ai honte de la façon dont je L’ai traité. Je–je veux qu’Il me pardonne maintenant même, la façon dont je L’ai traité. Et je–je veux L’accepter comme mon Sauveur.» Voudriez-vous lever la main maintenant même? Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Oh! Partout dans l’assistance.

Regardez, ça peut paraître vieux jeu. John Wesley a prêché à des services comme celui-ci. Dwight Moody a prêché à des services comme celui-ci, Finney, Sankey, Knox, Calvin. Nous nous en éloignons simplement. Voyez-vous? Nous nous sommes simplement éloignés de l’ancien sentier; c’est tout.


Connersville, Indiana, USA

E-92b (105) J’étais là à un réveil dans une grande église baptiste, et nous tenions une réunion. Je m’étais senti conduit, lors d’un appel à l’autel ce soir-là, d’aller au fond, vers une jeune fille. Je raconte simplement ceci. Je l’ai rencontrée il n’y a pas longtemps. Et j’ai dit... Je suis allé là derrière et j’ai dit: «Soeur, je crois que Dieu t’appelle ce soir.»

Elle a dit: «Ecoutez çà, révérend Branham, a-t-elle dit; je sais quand Dieu appelle.»

J’ai dit: «D’accord, soeur, j’ai simplement fait tout ce que je pouvais.» C’était une bonne jeune fille de la ville, là, elle avait une bonne réputation et tout. Et alors, j’ai dit: «Je sens...»

Et je me retournais; le Saint-Esprit a dit: «Fais encore l’appel à l’autel.» J’ai encore fait cela. Et j’ai dit: «Maintenant, jeune fille, ai-je dit, je crois...»

Elle a dit: «Révérend Branham, si je veux que quelqu’un me parle à ce sujet, comme cela, je me trouverai quelqu’un qui a un bon sens; pas vous.»

J’ai dit: «Très bien. J’ai fait tout mon possible. Souvenez-vous, soeur, vous, si vous blasphémez le Saint-Esprit, vous ne serez jamais sauvée.»


Connersville, Indiana, USA

E-92c (106) Ainsi donc, je suis sorti de la salle ce soir-là et je me suis tenu à la porte. Une belle jeune fille, et les roses avaient fleuri autour de la porte, je n’oublie jamais; et le vent soufflait, il y avait le clair de la lune. Elle–elle ressemblait à un ange, pratiquement, elle se tenait là. Elle était juste dans sa jeunesse, dix-sept, dix-huit ans. J’ai dit... Elle a dit: «Révérend Branham, vous m’avez embarrassée dans cette église ce soir.» Et elle a dit: «Je n’oublierai jamais cela

Et j’ai dit: «Oui, je sais que vous n’oublierez jamais cela. Vous n’oublierez jamais cela.» Environ trois ou quatre ans après cela, je parcourais la même ville et je descendais la rue. J’ai regardé. Je quittais, le chantier du chemin de fer et j’ai regardé: Une jeune dame passait dans la rue, la jupe pendant bas. Et je me suis dit: «Ça ne peut pas être cette jeune fille-là!» J’ai continué à descendre. Elle s’est retournée vers moi; j’ai simplement continué à marcher. Et je la suivais. Et elle... tout d’un coup... Elle a attendu que je la rattrape. Elle a dit: «Salut, prédicateur...» Vraiment de l’argot, on dirait. Vous savez?

Et j’ai dit: «Eh bien, je dirai...» J’ai dit: «Vous êtes la...» Elle a dit: «C’est... pas plus que ça donc.»

Ainsi donc, je suis arrivé à sa hauteur. Elle s’est arrêtée là à une petite place. Elle a dit: «Entrez.»

J’ai dit: «Non, madame. Merci.»

Et elle a dit: «Eh bien, ne voudriez-vous pas entrer dans mon appartement?» En plein dans notre quartier de prostituées.

Et j’ai dit: «Non. Non, je–je ne veux pas. Merci.» J’ai dit: «Une–une... Jeune fille, vous rappelez-vous...?»

Elle a dit: «Un instant.» Elle a fait sortir une cigarette, elle l’a allumée comme cela. Elle a dit: «En voulez-vous?»

J’ai dit: «Vous savez que je suis chrétien.»

Elle a dit–elle a dit: «Eh bien, comment, aimeriez-vous prendre un petit verre?» Elle a fait sortir une bouteille.

J’ai dit: «Honte à vous.» Voyez-vous?

Elle a dit: «Attendez, un instant. Je vais vous quitter, je vais entrer ici, mais, a-t-elle dit, vous rappelez-vous ce soir-là, prédicateur, ce que vous m’aviez dit, que Dieu me donnait mon dernier appel.»

J’ai dit: «Oui.»

Elle a dit: «C’est la vérité.» Elle a dit: «Vous avez le privilège de le dire n’importe où vous voulez.» Elle a dit: «Mais je suis perdue pour toujours.» Elle a dit: «Mon coeur est devenu si noir que je peux...» Voici les commentaires qu’elle a faits: «Je peux voir l’âme de ma propre mère frire en enfer comme une crêpe et en rire.» C’est cela le danger de rejeter Jésus-Christ. Demain, c’est un autre moment, vous vous endurcissez beaucoup et vous devenez si insensible que vous n’avez besoin de rien à ce sujet. Et c’est ce que ce monde est devenu aujourd’hui. Il devient si insensible qu’il n’a pas besoin de Christ, il a trop d’objets de luxe et tout.


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E-94 (111) Et puis quand vous... C’est la seule chose que vous puissiez faire: Croire en Lui maintenant. Maintenant, quand vous inclinez la tête ici, j’aimerais que ces gens qui se tiennent à l’autel répètent cette prière après moi, pendant que vous autres, vous gardez la tête inclinée, dans la prière. Maintenant, je vais dire les paroles, mais maintenant, vous exprimez cela du fond de votre coeur alors que vous avez la tête inclinée maintenant. Eh bien, répétez simplement après moi, ceux qui sont ici à l’autel.

Dieu Tout-puissant [Ceux qui sont à l’autel répètent après frère Branham.–N.D.E.], je viens devant Toi comme une âme qui se repent. J’ai honte de ma vie. J’ai honte de la façon dont j’ai traité Ton Fils bien-aimé. J’ai rejeté Son amour, j’ai honte de cela ce soir. Et veux-Tu me recevoir, Père, comme Ton enfant qui se repent? Je Te promets ce soir: J’abandonnerai le péché, je m’attacherai à Toi tant que je vivrai.

Maintenant, conformément à Ta Parole et à la Parole de Ton Bien-Aimé Fils, Tu as promis de ne pas me rejeter. Tu es mon Père, je ne peux pas croire que Tu fasses cela. Ainsi, sur base de mérite de Jésus-Christ, je confesse mes péchés et je L’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel. Ô Dieu, garde-moi et aide-moi à être un chrétien. Remplis ma vie du Saint-Esprit, afin que je vive au-dessus du péché dans le monde présent. A l’heure de ma mort, reçois mon âme, Seigneur, dans Ton Royaume. Je demande ces choses au Nom de Jésus. J’accepte cela maintenant comme une oeuvre achevée du Calvaire. Amen.


Connersville, Indiana, USA

E-96 (113) Que certains parmi les prédicateurs commencent juste à partir du bout là, que tous ceux-ci passent directement pendant que je fais un autre appel ici; passez directement par là. Je vais aller là et prier avec vous. Maintenant, traversez directement. Combien là sont heureux? Maintenant, tournez-vous vers cette assistance d’abord avant de partir, et dites ceci en vous retournant: «J’accepte Jésus-Christ... (Répétez mes paroles) J’accepte Jésus-Christ [Ceux qui sont à l’autel répètent après frère Branham.–N.D.E.] comme mon Sauveur personnel. Je sollicite vos prières en ma faveur.»

Maintenant, si vous voulez... aller aider, prier et prier pour eux, levez la main et dites: «Je le ferai»? Que Dieu vous bénisse.

Maintenant, j’aimerais que vous priiez personnellement Dieu, chacun de vous, alors que vous passez. Tout le monde, passez directement par là. J’aimerais être avec vous dans...


Connersville, Indiana, USA

E-1 Salutations, le Nom de notre Seigneur Jésus. C’est un grand privilège d’être ici ce soir, de prêcher encore en Son cher et précieux Nom. Et maintenant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Père céleste, nous Te remercions déjà de ce que Tu nous exauces d’après nos–nos désirs quand nous les faisons connaître, et notre coeur, Tu connais même les pensées de notre coeur. Notre frère est très malade, peut-être que je ne l’ai jamais rencontré de ma vie, mais Toi, Tu le connais. J’envoie ce mouchoir au Nom du Seigneur Jésus; et je prie, ô Dieu, quand il sera posé sur son corps, que la prière de la foi sauve le malade et que Dieu le relève. Accorde-le, Seigneur, épargne-le cette nuit, je prie, au Nom de Christ. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Il y a de petites choses qui me dérangent; et cela depuis un temps. Et je–je ne connais pas de meilleure ville dans ma vie par où commencer si ce n’est à Connersville, dans l’Indiana, pour faire ce que je suis sur le point de faire. Voyez, c’est vrai. C’est un peu... probablement mon dernier réveil avant d’aller outre-mer. Et on se prépare maintenant, et je ne sais exactement à quel moment. Je suis un peu très surpris. Frère Beeler ici... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Je–je n’avais pas... Je savais que l’homme jouissait d’une grande réputation, et je suis passé discrètement derrière une machine à coca afin de prier pour lui. Il m’a entendu confesser cela l’autre soir quand il était assis ici. Et puis, je suis rentré chez moi, on m’a rappelé, disant: «Venez.» Je suis donc allé là, je me suis simplement agenouillé et, pendant que j’étais à genou là, notre Seigneur Jésus a arrêté l’hémorragie et il n’en a plus jamais souffert depuis lors, voyez. Il est parfaitement normal et bien portant depuis lors. Il ne fait qu’assister aux réunions, c’est un très bon frère.

Et pendant que nous étions assis, causant avec frère Beeler, ici, celui qui s’occupe des enregistrements ici... C’est un évangéliste, un vétéran de la guerre mondiale, il avait connu un accident, il s’était blessé à l’une de ses mains et on a dû l’amputer. Et Dieu... Si vous entendez son histoire, si vous êtes dans... évangélique... vous avez besoin d’un évangéliste, je vous recommanderai l’évangéliste Beeler, comme l’un de mes amis intimes et co-ouvrier avec moi au tabernacle, à Jeffersonville. Et il est ici, il ne m’a point dit de dire cela, mais je l’ai dit simplement parce que je me suis senti conduit à le dire. Et c’est un frère très aimable. Et pendant que nous étions assis, prenant ensemble un repas, je me suis mis à dire quelque chose au docteur Cauble, et je me suis mis à parler à frère Bosworth qui se tenait juste devant moi; et il est en Afrique; il y est ça fait pratiquement un an, organisant des réunions ensemble. Et alors, j’ai vu frère Bosworth, il venait dans cette direction, vers moi. Je lui parlais, à frère Bosworth, et frère Cauble et frère Beeler regardaient tout autour. Pourquoi parlais-je à frère Bosworth pendant que je leur parlais? Et il traversait les eaux comme cela. Je ne sais pas ce que cela signifie, tout ce que je peux dire, c’est ce que c’était.

Il s’est passé quelque chose quelque part récemment. Un soir, je parcourais la route en voiture, il y a de cela environ cinq ou six mois. La maison avait été archicomble toute la journée et–et j’ai dit à ma femme: «Si tu peux attendre juste un peu, laisse-moi... Ne fais entrer personne d’autre jusqu’à ce que je puisse me reposer un peu. Et je suis bien sur le point de me tirer les–les cheveux.» Alors, je suis sorti et je descendais la route, roulant à bord d’un véhicule; et, tout d’un coup, j’ai vu quelque chose, le pare-brise a commencé... J’ai regardé et cela... Quelque chose s’est produit. Et–et j’ai vu frère Bosworth venir, marchant vers moi, il s’est écroulé par terre et des médecins l’ont soulevé et l’ont déposé sur un lit, et il pleurait, citant mon nom.

Et je–j’ai entendu ma femme dire: «Qu’y a-t-il?» Elle a dit: «Tu es resté très calme pendant cinq minutes.» Et je contournais un escarpement très raide, sur une vieille route rurale comme cela, et je ne savais même pas que je conduisais. Je me suis donc arrêté et j’ai dit: «Chérie, quelque chose est arrivé à frère Bosworth; prions. Le Seigneur veut que je prie maintenant même.» Et nous nous sommes mis à prier, et juste vingt-quatre heures après (Nous avions vérifié l’heure; j’étais assis à la maison avec un certain nombre d’amis), le téléphone sonna, et c’était un télégramme en provenance de Durban, en Afrique du Sud, rapportant qu’à sa descente du train, la prostate avait bloqué, et il avait été acheminé dans un hôpital; il m’appelait pour que je prie pour lui. Eh bien, exactement, l’Ange du Seigneur avait devancé ce télégramme ici de vingt-quatre heures. C’est–c’est ainsi que je m’étais mis à prier. Et puis, aussitôt après ça, nous l’avons appelé, et il s’était déjà relevé et il avait donc repris. Le Seigneur avait déjà exaucé et répondu à la prière. Eh bien, n’est-ce pas merveilleux? Et Dieu au Ciel sait que c’est vrai, et combien Il a–Il a été merveilleux!

Quand l’Ange du Seigneur... Je reçois beaucoup de critiques. Je–j’espère que vous croyez que je suis une personne honnête. Je–j’essaie d’être honnête. Je–j’essaie... J’aimerais être un homme honorable, et un homme honorable sera véridique et honnête. Et je–j’ai essayé de toutes mes forces de servir le Seigneur. Et je... quand je... Ce que je vais dire maintenant, c’est juste... pendant juste quelques instants, si vous voulez saisir cela maintenant, j’aimerais que cela soit publié dans les magazines.

Ainsi donc, à cette assistance ici ce soir, et c’est une–une confession, au début de mon ministère... Quand un petit enfant naquit dans les collines du Kentucky, cette Lumière que vous voyez sur cette photo ici que nous avons ce soir et qu’on vend à la réunion, juste à... ce que cela... Il nous faut envoyer les chercher nous-mêmes, cela est sous droit d’auteur. Cette même Lumière entra dans cette petite cabane et se tint au-dessus du lit, un petit lit en paille de maïs, là où j’étais né, dans une cabane dans le Kentucky, le 6 avril 1909.

Et depuis que j’étais un tout petit... un petit garçon, je suppose, d’environ deux ans, c’était la première fois, d’après mes souvenirs, que Cela m’avait parlé. Et Il m’avait annoncé que j’habiterais près d’une ville appelée New Albany, dans l’Indiana.

Eh bien, c’est là que j’ai habité. Et j’étais... C’était à cent quatre-vingts ou cent quatre-vingt-dix miles [289,69 ou 305,77 km], là dans le Kentucky, près de Burkesville, dans le Kentucky.


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E-3 Mais une nuit, là dans l’Indiana, je priais dans un ancien camp de pêche où j’allais souvent pêcher. Je m’y retirais plusieurs fois pour prier. Alors, Il est venu vers moi. Sous cette Lumière se tenait un Homme de six pieds [1,82 m] environ, pesant cent et... deux cents livres [90,7 kg], Il avait de gros bras, des cheveux noirs qui Lui retombaient sur les épaules. Et Il se tenait là sous cette Lumière. Et Il m’a dit que j’étais né dans ce monde afin de prier pour les malades. Eh bien, c’est ce qu’Il m’a dit.

Et Il a dit: «Tu vas être... prier pour les gens à travers le monde: pour des rois, des monarques et autres...» Comment pouvais-je croire cela avec mon instruction de l’école primaire?

Et je Lui ai dit, j’ai dit: «Monsieur, j’habite parmi les miens qui sont pauvres, et je suis sans instruction, je ne pourrais donc pas faire cela.» Il a dit... J’ai dit: «Ils ne me croiront pas.»

Et Il a dit: «De même qu’il a été donné au prophète Moïse deux signes, il te sera aussi donné deux signes pour confirmer ton ministère.»

Et–et j’ai dit: «Moi, prier pour les rois?»

Il a dit que c’est ce que je devais faire. D’accord. Et alors après, Il a dit... Je Lui ai posé des questions et Il m’a dit ce que–ce que ça serait. Comment je dirais... prier pour les gens. Il a parlé de la guérison divine. Et puis, Il a dit: «Tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur.»

Et j’ai dit: «C’est ce pour quoi je priais ici. On m’a dit (les prédicateurs et les autres)–on m’a dit que c’était du diable.»

Et Il m’a dit que ça venait de Dieu, et Il s’est référé à ces passages des Ecritures auxquels je me réfère, comment Jésus-Christ connaissait les pensées des gens... de la femme au puits et autres.


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E-4 Eh bien, je Lui ai dit que j’irais, et cela fait six ans, oui, pratiquement sept. En ce temps-là, j’avais visité trois palais des rois, qui m’avaient appelé afin de prier pour eux. Des médecins et de grands hommes du genre membres du Congrès et autres ont été guéris à travers le monde entier, des hommes d’Etat et autres.

Je vais vous dire ce que j’ai fait, mon ami chrétien, sous forme d’une confession. Je dis ceci sans–sans amertume. Je dis ceci dans la sincérité de mon coeur, devant Dieu qui est mon Juge solennel. Je crois que j’ai mal fait dans un sens. Je crois que j’ai trop compté sur cet esprit de discernement plutôt que de prier pour les gens.

Or, Il ne m’avait jamais dit d’aller révéler à tout le monde; juste leur parler. Il a dit: «Prie pour les malades.» C’est ce pour quoi j’ai été envoyé. Et voici ce qu’Il avait dit: «Si tu es sincère quand tu pries et que tu amènes les gens à croire, rien ne résistera à la prière.» Beaucoup parmi vous ont lu cette histoire-là, n’est-ce pas? Combien ont lu l’histoire de ma vie là-dessus? Je pense tout le monde ici présent. Voyez?


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