Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Connersville, Indiana, USA

E-59 Je vois Schamgar d’autrefois debout là. Il a placé dans son... tous ces... il a dit... On n’a pas beaucoup écrit à son sujet dans la Bible, mais ce qui est écrit suffit. Il se tenait là, ses granges bien aménagées, et tout allait bien. Alors, il se tenait là et regardait, et il s’est dit: «Eh bien, maintenant, peut-être que chaque année ces Philistins viennent. Peut-être qu’ils ne viendront pas cette année-ci. Et je vois ma famille crever totalement de faim, ils ont l’air si pauvres et si maigres. Mais maintenant...»

Et pendant qu’il était là, il a entendu un bruit. Il a ouvert la fenêtre et il a vu venir dans la rue, voici venir six cents Philistins armés. Voilà ses produits de champ partir. Des lances et de l’armure. Les gros pieds lourds là, portant des armes. Tromp, tromp, tromp, des hommes formés, des guerriers-nés, avec des lances en mains, des épées accrochées à leurs flancs. Six cents: «Viens, Schamgar. Tu as fait une bonne récolte cette année. Nous sommes contents que tu aies travaillé pour nous.» Ils se sont approchés comme cela. C’est ce que le diable fait: vous arracher tout ce que vous avez, s’il le peut. Ça, c’est lui.


Connersville, Indiana, USA

E-63 Je me rappelle une fois, je lisais sur César cette histoire où il allait effectuer une grande parade. Et beaucoup allaient le suivre. Il était assis sur son trône, parcourant la rue à cheval. Et alors, il s’est arrêté là, il a dit: «J’aimerais que tous mes officiers me rencontrent demain ici. Et j’ai besoin d’un homme honorable pour chevaucher à mes côtés lors de cette grande parade de demain.»

Alors, tous les officiers, ils ont nettoyé leurs plumes, ils ont astiqué leurs boucliers et tout. Ils font fixé leurs grandes étiquettes et tout. Et ils sont passés à côté de César, chacun avec sa grande et belle plume, marchant droit et ferme en passant. César les regardait, et assis là...

Et peu après, un tout petit sammy [Soldat américain de la Première Guerre mondiale], un de ces petits fantassins, est passé. Et il était couvert d’entailles, d’égratignures, de cicatrices, d’entorses. Il est passé, il a simplement incliné la tête, et il commençait à se retirer, tellement il se sentait embarrassé devant le grand empereur. Et il commençait à partir. Et aussitôt l’empereur a dit: «Un instant.» Il a dit: «Qui es-tu?» Il a dit: «Viens ici.»

Il a dit: «Oui, mon seigneur.» Il s’est approché de lui et il s’est prosterné comme cela. Et il s’est relevé.

Il a dit: «Oh! la la! Tu as des entailles horribles.» Il a dit: «Où as-tu reçu toutes ces cicatrices et tout?»

Il a dit: «Sur le champ de bataille, pendant que je combattais pour mon seigneur.»

Il a dit: «Monte ici et assieds-toi. C’est toi qui le mérites.» Assez de vos D.D.D. J’aimerais montrer les signes de la puissance de l’Evangile de Jésus-Christ quand je m’avancerai. Oui, oui.


Connersville, Indiana, USA

E-65 Et peu après, la piste a bifurqué. Et un chemin allait dans un sens, et un autre dans un autre. Eh bien, celui qui allait dans cette direction avait peu de traces. Mais celui qui allait dans cette direction-là était une voie bien balisée. Et alors, Jack a tourné son cheval pour suivre cette voie-là, et le vieux cheval ne voulait pas suivre celle-là. Il voulait retourner sur cette autre voie. Alors, Jack a cherché à l’éperonner. Il ne voulait pas aller. Il a continué à hennir doucement, cherchant à rentrer dans cette voie-là.

Alors, il s’est vraiment fâché, il l’a cogné à l’aide de ses éperons. Et il l’a blessé au point que le sang coulait de lui comme cela. Et le cheval s’est mis à trembloter. Il allait tomber. Il est descendu du cheval, il s’est dit: «Il m’a transporté à travers ce désert. Il a été bon envers moi, et comment il... Eh bien, il pense qu’il y a de l’eau dans cette direction. Il n’y a pas beaucoup de traces qui mènent dans cette direction.» C’est pareil ce soir, amis. Il n’y a pas beaucoup de traces de pas qui mènent dans cette direction. Mais c’est la voie de la Vie.


Connersville, Indiana, USA

E-69 Alors, il a pris son fusil 30.30, il l’a chargé d’une balle. Si quelqu’un sait ce que ça représente là dans le désert; une fois ce Winchester 30.30 brandi en l’air, cela veut dire que quelque chose va arriver.

Alors, il a tiré le 30.30 comme ça, et il a dit: «Maintenant, regarde, Jack.» Il a dit: «Eh bien, tu... Si tu... Si notre viande de chevreuil est assez bonne pour être mangée par toi, alors notre whisky est assez bon pour être bu par toi, avec nous. Si tu es trop parfait pour ne pas boire notre whisky, eh bien alors, a-t-il dit, tu peux payer. Que tes os blanchissent dans ce désert.»

Il a dit: «Attendez juste une minute, mes gars, avant de le faire.» Il a dit: «J’apprécie votre viande de chevreuil. Je vais vous payer.»

«Nous ne voulons pas que tu paies. Nous voulons que tu prennes une gorgée et que tu sois amical.» Vous savez comment sont les ivrognes, comme cela.

Il a dit: «Mes gars, juste une minute, a-t-il dit, je ne vais pas boire, mais avant que vous tiriez ce fusil (quand il l’ajustait), a-t-il dit, j’aimerais vous poser une question.»

Il a dit: «Tiens, prends ce pichet, et prends-en une gorgée, sinon je vais tirer sur la gâchette de ce fusil.»

Il a dit: «Juste une minute, avant que vous tiriez sur la gâchette, permettez-moi de vous donner mon témoignage.» Il a dit: «Je viens de la région couverte de prés du Kentucky.» Il a dit: «Il y a des années, a-t-il dit, un matin, je me tenais dans un coin d’un petit lit gigogne. Mon papa était mort. Ma maman était étendue là et, a-t-il dit, la lumière du matin traversait graduellement le petit pavement nu.»


Connersville, Indiana, USA

E-70 Le même genre de lieu où j’ai moi-même grandi. Sans–sans planches sur le pavement, juste la terre. Notre–notre table de cuisine, c’était une souche avec des pieds. Et puis, alors... C’était un rondin scié, et juste enfoncé comme ça. C’est ce que cela... C’est ce qu’était notre table de cuisine. Certains parmi nous mangeaient couchés sur le lit. D’autres mangeaient assis sur un vieux fauteuil, fabriqué à partir d’une planche de grange. Et alors, il y avait...

Il a dit: «Il y avait une étole légère par là.» Il a dit: «Dieu ramenait à la maison la personne la plus douce au monde: ma mère.» Et il a dit: «Moi, un petit garçon aux pieds nus, je courais là, sans savoir où j’allais.» Il a dit: «J’ai franchi la porte et elle a dit: ‘Jack, mon chou? Viens ici.’»

Et il a dit: «J’ai couru pour voir ce qu’elle voulait.» Il a dit: «Elle m’a entouré de ses bras.» Il a dit: «Ses cheveux grisonnants lui descendaient sur le visage. Elle a dit: ‘Jack, tu sais que ton père est mort ici dans un bar, les bottines aux pieds. Il était... il est mort ivre. Et, Jack, maman s’en va.’ Et elle a dit: ‘Voici la Bible qui est ici, a-t-elle dit, promets-moi, Jack, que tu ne boiras jamais.’»

Et il a dit: «J’ai embrassé ma mère mourante sur le front.» Et il a dit: «Elle m’a pris dans ses bras, elle m’a serré jusqu’à ce que le souffle eût quitté son corps. Alors, j’ai dû retirer mes mains de son flanc pour reculer et les plier sur sa poitrine comme ceci, alors que ma mère mourait.»


Connersville, Indiana, USA

E-71 Il a dit: «Et là, je n’ai jamais bu mon premier verre depuis ce temps jusque maintenant. Maintenant, si vous voulez me tirer dessus, tirez dessus.»

Il a dit qu’à ce moment là, un–un fusil a retenti, et le pot a éclaté dans la main de cet homme. Un tout petit cow-boy s’avaait du canyon, les larmes lui coulant sur les joues, ses deux gros revolvers en mains. Il a dit: «Ne bougez pas. Juste une minute.» Il a dit: «Vous n’allez pas tirer?» Il a dit: «Non, monsieur.» Il a dit: «Moi aussi, Jack, je viens de la vieille patrie, là-bas, là dans ce bel Etat couvert de prés du Kentucky.» Il a dit: «Ma mère était chrétienne et elle avait cette religion de l’ancien temps.» Il a dit: «Je lui avais promis sur son lit de mort que je ne boirais pas. Mais, a-t-il dit, je regrette d’avoir failli à cela plusieurs fois. Mais, a-t-il dit, les grands canyons du ciel ont entendu mon coup de fusil lorsqu’il a retenti il y a quelques instants. J’ai scellé mon engagement avec Dieu, je ne boirai plus jamais une autre goutte à partir de ce moment-ci. Cela me rappelle la religion de l’ancien temps que ma mère avait.» Il a dit: «Je ne boirai plus jamais cela.» Et là, ces deux hommes ensemble ont converti tout un groupe d’ivrognes au Seigneur Jésus-Christ.


Connersville, Indiana, USA

E-72 Je crois ce soir que ce qu’a laissé le hasil là derrière, le gazam l’a dévoré. Mais je crois que cette même religion du Saint-Esprit de l’ancien temps vit dans le monde aujourd’hui et elle est prête à sauver n’importe qui de la vie du péché. Amen. Voyons... Oh! la la! Inclinons la tête.

Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir de ce que les sous-bois sont en train de pousser. Le figuier bourgeonne de nouveau. Ô Dieu, envoie la pluie, la pluie de la première et de l’arrière-saison ensemble afin que les arbres puissent grandir, ô Seigneur, poussant dans ce monde condamnable couvert par le péché. Puisse cela se faire pour accomplir ce qui a été dit par le prophète Joël. Je crois que Tu le feras.

Ô Dieu, je Te prie ce soir de bénir de façon merveilleuse ces gens. Que la Parole de Dieu s’enfonce profondément dans le coeur de quelqu’un, quelqu’un qui avait une vieille mère, un vieux père, qui Te connaissaient. Mais aujourd’hui, comme c’est triste, la religion de cette mère, on s’en moque et on la ridiculise. On dit que c’était pour les anciens.

Ô Dieu, c’est le même Saint-Esprit aujourd’hui. Oui, ils sont allés et ils ont ôté l’écorce de leurs églises et des arbres, ils en ont dépouillé toute la vie; toute la religion qui touche le coeur; tous les cris; toutes les louanges; toute la joie; toutes les puissances de la guérison; tout ce dont parle la Bible, c’est juste comme une loge. Aller là, revenir, faire les mêmes choses que le reste du monde. Ô Dieu, fais pousser les sous-bois, rapidement, Seigneur; envoie la pluie. Fais que les coeurs soient convaincus ce soir; ceux qui sont nécessiteux ici, qu’ils trouvent Christ comme leur Sauveur. Car nous le demandons en Son Nom.

Et pendant que vous avez vos têtes inclinées, je me demande ce soir, pendant qu’on est ici, si vous pouvez vous souvenir d’une vieille mère, d’un vieux papa, à qui vous avez dit il y a des années: «Maman, je te rencontrerai de l’autre côté.» Vous vous rappelez quand Dieu avait repris un enfant à la maison, vous avez dit: «Seigneur, je–je Te servirai.» Et vous avez manqué de le faire. Etes-vous ici et voulez-vous recevoir Christ comme Sauveur et voulez-vous qu’on se souvienne de vous dans un mot de prière? Voudriez-vous lever la main, très vite?

Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous. Quelqu’un à ma droite qui dirait: «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière. Je–j’ai besoin de Christ comme mon Sauveur. Je crois dans la religion de l’ancien temps qui touche le coeur. Je crois que la chose...»? Que Dieu vous bénisse, là au fond, monsieur; je vois. Quelqu’un d’autre qui dirait: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham», ici dans les allées du milieu? Voudriez-vous dire: «Souvenez-vous de moi»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Je vous vois. Quelqu’un d’autre qui dirait: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, j’ai besoin de Christ comme mon Sauveur personnel»? Levez les mains pour dire: «Je veux accepter Christ maintenant.»

Je me demande pendant que nous avons la tête inclinée, et nous sommes horriblement pressés par le temps. J’ai prêché juste un peu longtemps, mais je sentais que le Saint-Esprit voulait que je fasse ceci. Assurément, vous honorerez cela comme Parole de Dieu. Je me demande, pendant que la soeur nous donne un accord sur le piano, si ceux qui veulent accepter Christ maintenant comme Sauveur personnel (On n’a pas le temps de venir à l’autel), mais vous voudriez bien vous lever pour dire: «Frère Branham, je me tiens debout maintenant en guise de témoignage que j’ai renoncé au péché et que j’accepte Christ comme mon Sauveur. Priez pour moi maintenant»? Voudriez-vous simplement vous lever si vous voulez, juste comme un signe que vous voulez L’accepter, et alors, j’offrirai la prière pour vous ici même? Tenez-vous juste là où vous êtes et acceptez-Le. Allez-vous le faire? Allez-vous vous lever pour dire simplement: «Je me lève maintenant en guise de signe»?

Ne laissez pas cette personne qui est à côté de vous vous barrer la voie. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Restez simplement debout. Quelqu’un d’autre qui aimerait Le recevoir, levez-vous. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Restez simplement debout. Quelqu’un d’autre maintenant? Que Dieu vous bénisse, soeur, restez simplement debout. Que Dieu vous bénisse, là derrière, je vous vois. Quelqu’un ici derrière maintenant qui dit... Que Dieu vous bénisse, monsieur, restez simplement debout. Quelqu’un d’autre? Dites: «Je veux accepter Christ comme mon Sauveur personnel.» Dieu vous voit. Il vous voit là même, tout comme Il vous voit ici. Que Dieu vous bénisse, jeune dame, je vois. C’est un acte de bravoure que vous posez. Que Dieu vous bénisse, soeur; je vous vois. Quelqu’un ici en bas... ici de ce côté, qui dit: «Je veux me lever, Frère Branham»? Dites simplement: «Je veux maintenant accepter Christ, à l’ancienne mode, je veux...» Que Dieu vous bénisse toutes les deux dames. Restez simplement debout, s’il vous plaît.


Connersville, Indiana, USA

E-73 Maintenant, y a-t-il quelqu’un d’autre, juste avant que nous clôturions maintenant? Nous allons offrir la prière pour ces gens-ci. Eh bien, là tout au fond, je vous vois avec votre main levée. Je sais que Dieu vous voit aussi. Il connaît votre coeur. Y en aurait-il encore un là qui aimerait accepter Christ? Je vous vois, soeur, avec le petit enfant dans les bras; c’est bien. Maintenant, quelqu’un d’autre, voudriez-vous vous lever très vite maintenant? Dites: «Je veux...» Que Dieu vous bénisse, frère; je vous vois. Que Dieu vous bénisse, soeur; je vous vois. C’est bien. Restez simplement debout. Ô Dieu... Que Dieu vous bénisse, jeune fille, je vous vois aussi.

Quelqu’un d’autre qui se lèvera simplement pour dire: «Je veux accepter Christ maintenant même, Frère Branham. Je crois de tout mon coeur cette religion à l’ancienne mode que John Wesley avait prêchée, qui...?... Jadis, du temps de Calvin et Knox.» Pensez donc à–à George Whitefield, il prêchait si durement et à si haute voix qu’on pouvait l’entendre à deux miles [3 km], prêchant le même Evangile que vous entendez maintenant même. Mais que se passe-t-il? Les grandes et bonnes églises ne prêchent plus cela. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Combien vont croire maintenant de tout leur coeur là dans l’assistance? Très bien, donc. Soyez respectueux. Ceci est la chose la plus difficile à faire. Si seulement vous saviez, amis, ce que ça représente de basculer d’une chose à l’autre. C’est comme courir dans une voie, puis suivre une autre. Tout cela, c’est le Saint-Esprit. Tout cela, c’est Dieu, mais ce sont des ministères différents.

Maintenant, je ne suis pas un prédicateur, pas... Je suis un pneu de réserve. On dirait donc que je... quand le prédicateur n’est pas là, j’essaie de le remplacer. Mais je–j’aime le Seigneur. Mais mon don divin, de la part de Dieu, c’est d’être ici, prier pour les malades. C’est ce qu’Il m’avait commissionné de faire: Prier pour les malades. Mais j’essaie de prendre la place du prédicateur et aussi ceci, également.


Connersville, Indiana, USA

E-75 Mais essayez de croire la Parole de Dieu. Recevez simplement Sa Parole là-dessus. Maintenant, si je témoigne de quelque chose, et que Dieu ne rend pas témoignage à cela, alors j’ai dit un... quelque chose qui n’est pas la vérité. Mais si je témoignage de la Vérité, et que Dieu a témoigné que c’est la Vérité, alors vous ne... vous ne devez pas douter de Dieu. Vous devez croire Dieu.

Eh bien, Jésus... Y en a-t-il qui sont ici pour la première fois? C’est un petit groupe ce soir. Eh bien, regardez juste là, pour la première fois, s’il vous plaît. Oh! la la! C’est là que ça devient pénible (Voyez?), cela rend la chose difficile, quand il vous faut trouver le petra-... des gens qui connaissent à peine quoi faire.

Eh bien, c’est la raison pour laquelle je continue à citer ceci. Voyez, amis, l’Esprit du Seigneur–l’Esprit du Seigneur, quand Il était sur Son Fils Jésus-Christ, Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur divin. Il affirmait simplement être ce qu’Il était: le Fils de Dieu. Mais Il a dit: «Je ne peux faire que ce que mon Père Me montre d’abord.» Est-ce l’Ecriture? Saint Jean 5, quand Il passait à côté de tous ces estropiés, aveugles, handicapés, boiteux et infirmes, Il n’a guéri aucun d’eux, Il est allé là guérir un homme, peut-être qu’il souffrait de la prostatite ou de quelque chose comme cela.

Comment vont les nerfs, frère, mieux? Eh bien, j’espère que c’est maintenant le moment pour vous de recevoir votre guérison. Très bien. Vous venez de la Virginie, n’est-ce pas? Quelque part dans la région? Très bien. C’est la Virginie de l’Ouest. Très bien, monsieur. D’accord. Maintenant, ayez simplement foi. Il est ici (Oui, oui), l’Ange du Seigneur.

Et maintenant, Il a dit, quand ils L’ont interrogé après qu’Il eut dépassé tous ces gens et qu’Il eut guéri ce seul homme qui souffrait de diabète, ou de quelque chose comme cela, ils–ils ont essayé de demander ce qu’était le problème. Ils ont donc interrogé ce Jésus. Et Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils, et le Fils fait ce qu’Il... Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi, J’agis.» Est-ce vrai? Donc, Il ne faisait rien à moins que Dieu Lui ait dit de le faire, qu’Il Lui ait montré comment le faire. Ses Paroles sont la Vérité.

Croyez-vous que c’est inspiré? Assurément: Saint Jean, chapitre 5. Certains cherchent à retrancher Marc 16, mais qu’en est-il alors de Saint Jean 5? Voyez? Très bien. Maintenant, ayez foi et croyez.

Or, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? Eh bien, Il–Il connaissait les pensées des coeurs de gens. Quand Il se tenait dans des foules, Il parlait aux gens. Quand Il parlait–parlait... Il a parlé une fois à une femme au puits, Il a dit: «Viens ici. Apporte-moi à boire.»

Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains, car nous n’avons pas de relation.»

Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais point puiser ici.»

«Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond.»

Et ils sont allés de l’avant avec une longue conversation. Peu après, quand Il a découvert son problème à elle, Il est allé tout droit, et Il lui en a parlé, disant: «Va chercher ton mari.» Est-ce vrai? Eh bien alors, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, ici cet Esprit... Si vous me jugez correctement, je–je serai soit l’Esprit de Dieu, soit l’esprit du diable. On ne peut pas être les deux à la fois. Il n’y a pas d’oiseau qui soit tout blanc tout noir; pas d’homme qui soit tout sobre tout ivre, tout pécheur tout saint. On est soit vrai, soit... Soit on est chrétien, soit on n’est pas chrétien. C’est soit l’Esprit de Christ, soit ce n’est pas l’Esprit de Christ. D’une même source ne peuvent sortir de l’eau douce et de l’eau amère. «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»

J’ai habité l’Indiana pendant pratiquement quarante ans. J’en suis à mon troisième voyage autour du monde. Le monde scientifique et tous en ont témoigné, et nous avons... Je pense qu’on a des photos ici ce soir. Avez-vous tous obtenu une... êtes-vous parvenus à voir une, l’Ange du Seigneur? Les frères en ont ici.

Maintenant, ce n’est pas juste une illustration, une photographie; cela est à Washington, D.C.: l’unique–l’unique Etre surnaturel, dans toute l’histoire du monde, qui ait jamais été photographié. C’est ce que les hommes de science ont dit. George J. Lacy, dans votre journal, vous verrez cela là; vous avez une photocopie de sa signature.


Connersville, Indiana, USA

E-76 Maintenant, ici se tient... Cette femme m’est inconnue. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu la connaît; pas moi. S’il y a quelque chose qui cloche chez la femme, Dieu le sait. Mais moi, je ne le sais pas. Sommes-nous inconnus, madame? Nous sommes inconnus. Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement... (Je parle aux nouveaux venus maintenant; les anciens comprennent cela.) Alors, s’Il est le même... Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai? Alors, s’Il est le même, Il fera ici ce soir la même chose qu’Il ferait s’Il était ici dans la chair. Est-ce vrai?

Or, quant à vous sauver, Il ne pourrait pas le faire s’Il se tenait ici ce soir. Il l’a déjà fait. Quant à vous guérir, s’Il se tenait ici ce soir, Il ne pourrait pas le faire. Il l’a déjà fait. Il a déjà fait tout ce qui peut être fait. Tout ce qu’Il peut faire, c’est venir se présenter par la prédication, ou par un genre de don divin, pour vous montrer cela.

Mais maintenant, si cette femme m’est inconnue, et que moi, je lui suis inconnu, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Dieu peut me révéler, tout comme Il l’avait fait pour la femme au puits, là où était le problème de cette femme. Est-ce vrai? Ou Il... Comme Il avait dit à Philippe quand Philippe était venu auprès de Lui, Il a dit: «Voici un Israélite qui ne connaît point de fraude.»

Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?» Il a dit: «Quand...» Nathanaël, je voulais dire.

Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Est-ce vrai?

Maintenant, que le Seigneur Jésus bénisse. Je sais qu’Il est près, mais j’aimerais que vous croyiez maintenant de tout votre coeur, que vous soyez plutôt détendus, et que vous vous mettiez à regarder dans cette direction. Ayez foi.

Et vous là dans l’assistance, sans carte de prière ni rien, vous les malades qui n’êtes pas ici, croyez simplement de tout votre coeur. Et maintenant, regardez. Si je vous ai dit la vérité, que Jésus vous a guéris il y a mille neuf cents ans, chacun de vous qui avez assez de foi pour croire cela, votre guérison est complète en Christ. Si donc c’est la vérité, Dieu parlera par ici et dira que c’est la vérité. C’est juste, n’est-ce pas?

Eh bien, j’aimerais vous parler juste un instant, madame. Vous... Comme vous êtes la première patiente, j’aimerais juste vous parler quelques instants pour amener l’Esprit du Seigneur à agir. Voyez-vous? Donc, il me faut avoir quelque chose pour me croire. Voyez? Et s’Il ne vient pas, eh bien alors, je suis parfaitement impuissant.

Mais vous souffrez depuis peu de temps. Et cette souffrance provient des organes féminins: c’est le cancer. Est-ce vrai? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Venez ici juste une minute.

Maintenant, Père, au Nom de Ton Fils Jésus, je réclame la vie de cette femme, sachant que cet ennemi s’est emparé d’elle, je Te demande de le repousser loin d’elle. En tant que Ton humble serviteur, je Te prie de l’accorder. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ne doutez pas. Allez, en croyant.

Ayez foi maintenant. Tout le monde, croyez de tout votre coeur. Très bien.

Juste respectueux. Très bien, madame. Sommes-nous inconnus? Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Vous avez reçu une carte il y a quelques minutes là. Votre numéro a été appelé et vous êtes montée à l’estrade. C’est aussi loin que la vie... que si nous nous sommes vus ou nous nous connaissons. Est-ce vrai? Alors, Dieu seul connaît votre coeur. Pas moi. Mais vous êtes–vous êtes... savez que quelque chose est près. Vous savez que l’Esprit du Seigneur...

Vous avez une chose étrange. Vous–vous–vous voulez avoir des enfants. N’est-ce pas vrai? Eh bien, Siméon était assis dans le temple autrefois... ou Eli plutôt, il a dit: «Seigneur, bénis Agar.» Elle a enfanté un enfant. Vous êtes stérile. Approchez-vous juste un instant.

Père céleste, en ce jour si mauvais maintenant, voici une femme qui veut avoir un enfant. Bénis-la, Dieu, comme Tu as béni plusieurs centaines à travers le pays. Rétablis-la de cela et qu’elle embrasse ce bien-aimé qu’elle désire. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, recevez-le, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.


Up