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Houston, Texas, USA

E-66 Quiconque suivait Jésus devait renoncer à revenir dans l’église. Vous savez que c’est vrai. Il était un fanatique, disait-on. On affirmait qu’Il l’était, plutôt. Et quiconque Le suivait était chassé de l’église.

Elles avaient quitté l’église et tout pour Le suivre. Et alors, Il était parti, Il les avait abandonnées, à la mort de leur frère.

Je peux entendre certains d’entre eux dire: «Eh bien, s’il y a quelque chose en Lui, pourquoi n’a-t-Il pas guéri Son ami?»

Je peux entendre les autres dire: «Bah! Ça y est. Voyez, Il est parti discrètement pour y échapper.» Voyez?


Houston, Texas, USA

E-67 Et là, à l’heure la plus sombre qu’ils aient jamais connue, Jésus vint alors. Oh! la la! A l’heure la plus sombre, alors Jésus vint. Il vient généralement à l’heure la plus sombre. C’est vrai.

Oh! Si j’avais le temps ici même! Je sens quelque chose bouillonner en moi. J’aurai souhaité pouvoir faire sortir cela de là. Mais je n’en ai pas. Je parlerai à un autre moment. Cette heure sombre... Je me rappelle, quand je pense... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]


Little Rock, Arizona, USA

E-1 Mais c’est pour Sa gloire que je le dis. Que Dieu vous bénisse.

Maintenant, j’aimerais lire un passage des Ecritures dans Hébreux, chapitre 13, car aucun service n’est complet sans la lecture de la Parole de Dieu. Ma parole faillira, celle de n’importe qui d’autre faillira, seule la Parole de Dieu ne faillira jamais. Hébreux 13.10-14:

Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n’ont pas le pouvoir de manger.

Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur pour le péché, sont brûlés hors du camp.

Jésus... C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.

Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.

(Maintenant, voici mon sujet.) Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.

Je m’imagine que ma voix fait un peu écho là, je reviendrai à ... M’entendez-vous très bien là-haut, là au balcon, au second balcon, ça va?

Ce dont j’aimerais parler, c’est: Nous n’avons point ici-bas de cité permanente, pour un peu soutenir et... Priez avec moi. Il n’y a personne qui...


Little Rock, Arizona, USA

E-13 Mais je me rappelle, papa nous amenait le samedi soir pour régler la facture de l’épicerie et recevoir ces–ces petits sachets de bonbons. Et nous avions ce genre de wagonnet jersey. Vous tous, vous les appelez par ici des calèches, je pense, ou je ne sais comment vous appelez cela. On y mettait de la paille derrière. Et s’il faisait froid, nous nous couvrions de couvertures, et–et nous descendions. Il neigeait un peu. Et on réglait la facture de l’épicerie.

Et tous ces petits Irlandais se tenaient là dans l’attente, vous savez, que ces bonbons viennent. Alors, nous sortions, et–et ces bonbons devaient être coupés en parts égales pour chacun d’eux. Et s’il y avait un morceau qui dépassait, cela était découpé en plusieurs morceaux. Pour être sûrs, tous les petits yeux bleus regardaient droit à ça, pour être sûrs qu’ils n’allaient jamais être floués. Alors, nous nous tenions là et mangions cela.

Je faisais un petit truc avec ça. J’avais... Eh bien, nous ne mangions pas cela, on ne pouvait pas le mâcher, car cela était précieux, cet ancien bonbon avec un bâton. J’avais... Nous le sucions un petit moment, puis, nous le conservions, vous savez, attendant un peu, nous reposant, et nous le sucions encore.


Little Rock, Arizona, USA

E-16 Ainsi donc, je me rappelle ce printemps-là, quand j’ai eu ma première chemise. J’avais une cousine, une jeune fille, Lucille Hare, l’enfant de ma tante paternelle. Elle était venue nous rendre visite. Et quand elle est partie, elle avait laissé l’une de ses robes.

Et–et–et je–j’ai coupé la partie de la jupe, et–et j’ai porté la partie supérieure comme chemise. Je suis allé à l’école. Et cela avait ici ce petit... C’est quoi cette histoire qui va de haut en bas, vous savez, comme cela, on le place aux bords des vêtements? Rickelty-rackelty? Oh! Quelque soit le... J’ai oublié cela. Rick quoi? Rick-rack [ganses en zigzag]. Et–et alors, nous–nous... Partout là-dessus, partout, des ganses partout au-dessus. Cela est donc... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]


Little Rock, Arizona, USA

E-17 Nous descendions la colline, rivity, rivity, rivity, rivity. Bon, nous ne glissions pas comme les autres jeunes gens, mais nous glissions quand même. Nous–nous allions là de toute façon dans cette vieille bassine à vaisselle. Eh bien, c’était en ordre, mais... Certains jeunes gens avaient des traîneaux. Voyez-vous? Alors, peu après, son fond cédait. Alors, nous n’avions donc plus de traîneau. Et nous descendions la rivière, je me trouvais un gros vieux rondin, je mettais un câble dessus, je le tirais jusqu’au sommet de la colline. Et nous montions sur ce rondin et nous chevauchions, chevauchions jusqu’au bas de la colline.

Je n’oublierai jamais un événement–événement qui s’était produit. Il y avait un jeune homme du nom de Lloyd Ford. Frère Graham, où que vous soyez, mon pasteur associé est ici quelque part. Lloyd Ford s’était attrapé un travail. C’était pendant la guerre mondiale. Il s’était donc attrapé un travail, la vente de Pathfinders [Eclaireurs], ou quelque chose comme cela, des magazines. Alors, il portait l’un de ces uniformes de jeunes scouts. Et tout était alors la guerre, vous savez, et l’armée. Et, oh! combien je voulais m’habiller comme un soldat!


Little Rock, Arizona, USA

E-20 Alors, je me rappelle avoir demandé à Lloyd, disant: «Lloyd, voudras-tu me donner ce costume quand tu l’auras usé?»

Il a dit: «Oui, je te le donnerai.» Et c’était le costume qui a duré le plus longtemps que j’aie jamais vu. Il avait porté ce costume-là, on dirait... Quand je l’ai vu une fois venir sans cela, alors j’ai dit: «Lloyd, qu’en est-il de ce costume?»

Il a dit: «Je vais voir si je peux le retrouver, Billy.» Il a cherché partout, il a dit: «Non, mon cher. Tu sais, ma mère a rafistolé les habits de papa avec cela, les chiens s’en sont servi comme grabat et l’ont emporté.» Il a dit: «Tout ce qui en reste, c’est une jambière.»

J’ai dit: «Apporte-moi cela

Et alors, c’était juste une vieille jambière à peu près... comme cela, attachée de côté. J’ai donc pris cette jambière-là, vous savez, et je l’ai portée à la maison. Je l’ai enfilée. Oh! la la! J’avais l’air... Quel bel aspect cela avait, vous savez, une seule jambière! Je me suis dit: «Ça alors, c’est confortable.» Je voulais porter cela à l’école, mais je ne savais simplement pas à quelle occasion j’allais porter cette jambière à l’école. J’ai donc mis cela à l’intérieur de mon manteau.


Little Rock, Arizona, USA

E-26 Et pendant que je me tenais là, appuyé sur ce mur de clôture-là, je me suis souvenu de toutes ces choses. Il est parmi ceux qui sont partis. Il était mort à l’hôpital en me réclamant alors que je me retrouvais en Arizona, il y a de cela plusieurs, plusieurs années.

Amis, si j’avais cent millions de dollars placés devant moi, je donnerais tout ce que j’avais si je pouvais lui rendre cette poignée de pop-corn. Je ne pourrais pas le faire. Il s’en est allé. Et je me suis dit: «Quelle vie difficile il a eu à mener! Il est mort alors qu’il n’était qu’un jeune garçon.» Et nous essayions de partager nos habits l’un avec l’autre. Et juste avant sa mort, il a placé la main sur son coeur et a dit: «Je ne vivrai plus jamais pour revoir Bill. Mais, a-t-il dit, dites-lui qu’il est mon frère favori.» Et pendant que j’étais là, je me souvenais donc de cela. Je me suis mis à pleurer. Ma femme a dit: «Pourquoi ne rentres-tu pas à la maison te reposer?» Elle avait vu ce qui se passait, aussi m’a-t-elle éloigné, et nous avons remonté la route. La vie, quand on est enfant! C’était l’enfance. Je vais me dépêcher.


Little Rock, Arizona, USA

E-27 Quand j’étais un jeune homme, je–je voyais comment vivaient les femmes. Je n’aimais jamais les jeunes filles, je n’aimais jamais les femmes, car je–j’en avais marre en voyant comment elles vivaient. Et s’il y a quelque chose que j’honore dans une femme, c’est la fidélité. Peu m’importe qu’elle soit une–une femme de couleur, une blanche, ou je ne sais quoi; si elle est une vraie dame, elle mérite le plus grand respect. Dieu le sait. Et j’avais résolu, alors que j’étais un petit garçon, de ne jamais avoir à faire avec des femmes. J’ai été un chasseur toute ma vie. Et c’est ce que j’ai fait, ami. J’habitais dans les bois, je chassais toute la nuit. C’est pourquoi... C’est là que j’ai appris au sujet de Dieu, c’était par la nature.

Je me rappelle quand... Evidemment, quand j’ai atteint environ dix-sept ou dix-huit ans alors, comme tous les jeunes gens, ils... Un jeune garçon, un ami à moi, son papa avait un véhicule, James Poole. Et il avait une petite fille qu’il voulait que je rencontre. Et vous, vous connaissez. J’ai vu cette petite fille-là, je m’étais dit que c’était la petite créature la plus jolie que j’aie jamais vue. Vous savez, avec des dents comme des perles, des yeux comme ceux d’une colombe, le cou comme un cygne. Oh! la la! La plus belle créature que vous ayez jamais vue.

Alors, il a dit: «Elle aimerait te rencontrer, Bill.»

Et j’ai dit: «Oh!» J’ai dit: «Je ne sais comment parler à une femme.» J’ai dit: «Je–je ne peux pas le faire.»

Et il a dit: «Oh! Vas-y donc!»

Alors, je lui ai parlé quelques instants. Et peu après, il a dit: «Je vais prendre la vieille voiture de mon papa

Il a dit: «Nous–nous allons amener nos amies faire un tour.»

Je me suis dit: «Eh bien, là, ça ne serait pas mal


Little Rock, Arizona, USA

E-32 Alors, je me suis dit: «Eh bien, si je la fréquentais encore, je lui ferais perdre son temps. Elle était une trop bonne jeune fille pour la laisser aller. Elle ferait une bonne femme pour un homme.» Il me fallait donc soit la laisser aller soit lui demander de m’épouser, et je n’avais pas assez de courage pour faire cela. Je pense donc que vous vous demandez comment je me suis pris... Je lui ai écrit une lettre, je lui ai demandé de vouloir m’épouser. Et j’ai dit: «Eh bien, je...» Eh bien, ce–ce n’était pas du genre: «Chère mademoiselle, voudriez-vous m’accepter»? C’était un peu, ce qu’on appelle, plus à l’eau de rose que cela. Et je–je–je lui ai plutôt parlé...

Mais ici... Je me rappelle, je me suis dit: «Je dois faire quelque chose, car ce n’est pas correct de prendre le temps de la jeune fille.» Alors, je lui ai écrit une lettre.

Je suis alau travail ce matin-là, je travaillais pour le service public. Et j’étais très nerveux en déposant cela dans la boîte aux lettres; c’était un lundi matin. J’ai déposé cela dans la boîte aux lettres. Et toute la journée, j’y pensais. Et je me disais: «Ce soir, oh! oh! j’en aurai des nouvelles ce soir. Sa mère m’appellera et me fera passer un savon.» Je suis allé de l’avant. Ce soir-là, c’était très bien.


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