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Chicago, Illinois, USA

E-16 J’allais là, vous savez, et je–je... Mes frères et tous les autres venaient là et me regardaient, vous savez, je rentrais et j’allais derrière la colline, en venant de la maison; j’entrais là et je prenais la selle de papa, vous savez, et je me cherchais une poignée de graterons et la mettait sous la selle, et je plaçais la selle sur le vieux cheval, vous savez, et je le montais.

Le pauvre, il était si fatigué et si vieux aussi, vous savez, et il était raide, il n’était même plus en mesure de soulever ses pattes du sol. Elle braillait tout simplement, vous savez. Je retirais ce chapeau, vous savez, et j’étais un vrai cow-boy; je chevauchais, vous savez, et tous mes frères s’asseyaient là et m’acclamaient, vous savez. J’étais un vrai cow-boy.

Quand j’ai eu environ dix-neuf ans, j’ai quitté la maison. Maman ne m’a pas encore suffisamment fouetté pour cela. J’ai donc quitté la maison, et je suis allé à l’Ouest. Je voulais devenir un cavalier. Je voulais alors remporter la selle d’argent, Frère Osborn. Vous savez de quoi je parle.


Chicago, Illinois, USA

E-18 Et on a fait venir un cavalier célèbre, et j’ai compris qu’il allait gagner environ, oh! je pense, deux cents dollars ou plus en montant un cheval. Et il... Et dans sa grande et belle tenue de beau type, il a sauté sur la selle. Quand il est sorti, s’engageant dans une lutte libre, il est sorti du couloir, et quand il est sorti de là, ce cheval n’a fait qu’environ une seule ruade, s’est cabré et la selle est allée d’un côté, et l’homme est allé de l’autre. Le personnel du ramassage a récupéré le cheval, et l’ambulance a ramassé le cavalier, et il saignait des oreilles et des yeux.

Et l’homme longeait la clôture, et il a dit: «Quiconque d’entre vous les cow-boys qui êtes ici, quiconque d’entre vous peut monter ce cheval et rester sur lui pendant une minute, je lui donnerai cent dollars par minute.» Alors, personne ne disait mot. Il s’est avancé et il a fixé son regard droit sur moi qui étais assis là, vous savez, portant un pantalon Levis, faisant impression, et confondu parmi les autres cow-boys, vous savez. J’étais un enfant. Il a regardé comme cela, vous savez, et il s’est dirigé droit vers moi et il a dit: «Etes-vous un cavalier?»

J’ai dit: «Non, monsieur. Non, monsieur.» Je savais que ce n’était pas le vieux cheval raide de labour de papa. Voyez-vous? Je savais qu’il y avait là quelque chose de différent.

Ainsi donc quand je venais d’être ordonné comme ministre, j’avais l’habitude de porter ma Bible sous le bras. Les gens me demandaient: «Etes-vous prédicateur?»

«Oui, monsieur. Oui, monsieur. Je suis un prédicateur.»


Chicago, Illinois, USA

E-27 Ce chapitre que nous lisons maintenant, nous allons en tirer juste une petite toile de fond. Je crois que je peux voir l’horloge qui est là, ainsi je ne prendrai pas trop de temps. Si vous pouvez simplement m’accorder toute votre attention maintenant... Ne pensez pas à la réunion de ce soir, ou à ce qui va se passer demain. Pensons que le Seigneur Jésus est ici maintenant même, et que chacun dise: «Eh bien, je suis un pécheur, si tu es... mais s’il y a... Seigneur, si Tu as quelque chose pour moi, Seigneur, parle à mon coeur.»

Et que chaque personne qui n’a pas le baptême du Saint-Esprit dise: «Seigneur, je n’ai pas le Saint-Esprit, et je connais tout sauf cela, eh bien, j’ai peur. C’est pourquoi je–je désire naître de nouveau, car Tu as dit: ‘Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume.’ C’est pourquoi je désire naître de nouveau.»


Chicago, Illinois, USA

E-31 Bon, Jésus, par Sa naissance, Il était merveilleux; mais quand Il est venu au monde, Il est venu ici avec une réputation d’enfant illégitime collée à Lui; en effet, les gens disaient que Son–Son père c’était Joseph, et qu’Il était un Enfant qui était... que Sa mère était enceinte avant qu’ils ne soient en fait légalement mariés.

C’est donc ainsi que ça a commencé pour Lui, et ensuite Il est passé par la peine capitale. Il est venu par la porte d’une étable, et Il s’en est alpar la peine capitale. Voilà de quelle manière le monde a reçu le Seigneur Jésus-Christ.

Mais juste avant Sa–Sa naissance... Dieu prend toujours des dispositions pour les choses. Ne le croyez-vous pas? Je désire que vous écoutiez attentivement. Aujourd’hui, je crois de tout mon coeur... Eh bien, ça c’est juste frère Branham qui parle. Vous voyez? Je crois que ces choses que vous voyez arriver maintenant, ce sont des dispositions qui se prennent. Dieu prend des dispositions pour quelque chose juste avant le point culminant. Dieu avertit toujours le monde, et alors si les gens ne veulent pas–ne reçoivent pas l’avertissement, alors il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement.

Noé a averti le monde, et les gens n’ont pas voulu recevoir cela. Et tout au travers des âges, Dieu a toujours averti les gens. Il envoie la miséricorde, et si les gens rejettent la miséricorde, la seule chose qui reste, c’est le jugement. Mais le Père miséricordieux envoie d’abord la miséricorde.


Chicago, Illinois, USA

E-33 Quand Aaron entrait dans le Saint des saints une fois l’an, il devait porter un certain genre de vêtement, il devait être oint, et il devait emmener du sang avec lui. Est-ce juste? Et sur le bord de son vêtement, il portait une grenade et une clochette... une grenade et une clochette; et en marchant il devait faire que cela résonnant dise: «Saint, saint, saint est l’Eternel.»

Et le seul moyen que les gens avaient pour savoir que cet homme était encore en vie, que Dieu ne l’avait pas tué là-bas derrière le rideau, c’était ce bruit-là. Ils pouvaient entendre cette clochette résonner. Je vous assure; le seul moyen de savoir qu’il y a la vie dans l’église, c’est quand il commence à y avoir un peu de bruit quelque part, vous savez, juste un petit «amen», de temps en temps, ou quelque chose comme ça, vous savez, qui fait un peu de bruit.

Certains d’entre eux ont dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est de l’émotion.» Eh bien, je peux vous prouver scientifiquement que tout ce qui est dépourvu d’émotion est mort. Si donc votre religion ne contient pas d’émotion, enterrez la chose (c’est exact), car elle n’est bonne à rien. Elle est morte.

Je peux donc voir maintenant ce Zacharie. Présentons ici un petit drame. Il est là, lui et sa femme, ils avaient désiré avoir un enfant depuis des années et des années; ils avaient prié et avaient vécu droitement. Il semblait que la chose allait tout simplement passer, qu’ils n’allaient pas avoir l’enfant. Mais c’est justement à l’heure la plus sombre que Jésus vient, c’est à ce moment-là que Dieu répond toujours.


Chicago, Illinois, USA

E-34 Nous, nous sommes pressés. «Eh bien, on a prié pour moi hier soir. Ce matin, je ne me sens pas du tout mieux.» Vous êtes trop pressé. Acceptez la promesse de Dieu et tenez-vous-en à elle. Tenez-vous-en à cela.

Ils avaient prié et prié pendant des années. A présent, Elisabeth avait vieilli. Elle n’était plus en âge d’avoir des enfants. Il semblait que tout espoir d’avoir un–un enfant était perdu.

Eh bien, un jour Zacharie, je peux me représenter le temple, il faisait brûler l’encensoir comme ceci, il est alau fond et il se tenait là, balaant l’encensoir à plusieurs reprises tandis que le parfum s’en échappait, à mesure qu’il faisait brûler l’encensoir. Et tout à coup il aperçut un Ange debout du côté droit.

Dieu a toujours eu des anges, des esprits qui sont à Son service. Croyez-vous cela? Les anges ne meurent pas. Que se passait-il? Dieu s’apprêtait à faire quelque chose sur la terre. C’est pourquoi avant de faire quelque chose, Il envoie toujours une annonce.


Chicago, Illinois, USA

E-35 Or, quand... Des anges viennent. Il est possible que l’ange puisse me visiter et... vous visiter et ainsi de suite... Il peut y avoir des anges mineurs, mais quand vous apprenez que cet Ange Gabriel est venu, faites attention, il se passe quelque chose. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus-Christ, et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus-Christ. Est-ce exact? Amen. Je commence déjà à me sentir religieux. Ecoutez.

Quand je pense à Sa Venue... Zacharie se tenait là. Il a regardé, et il était effrayé, et l’Ange lui a parlé, disant: «Zacharie...», ce qui allait arriver; et après les jours de ce service-ci, il allait rentrer chez lui, être avec son épouse qui allait concevoir et enfanter un fils.

Maintenant, je désire que vous remarquiez ce prédicateur; c’est comme certains prédicateurs d’aujourd’hui. «Oh! a-t-il dit, comment cela pourrait-il se faire? Eh bien, mon épouse aussi est avancée en âge», quelque chose comme ça.

Il a dit: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu. Parce que tu as douté de ma parole, tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant.» C’est exact.


Chicago, Illinois, USA

E-37 Eh bien, quand il est ressorti, bien sûr, nous savons que les gens... il était muet. Il ne savait plus parler, et il leur faisait des signes et ensuite il est rentré chez lui. Et quand les jours de son service là furent accomplis, il est rentré chez lui, et son épouse a conçu; et elle s’est cachée pendant six mois.

Et alors, au bout de six mois, voilà revenir cet Ange. Amen. Et il y avait une jeune fille qui vivait à Nazareth, la ville la plus méchante du pays, presque aussi mauvaise que Chicago, excusez-moi. De toutes les façons, aussi méchante que Jeffersonville où j’habite... Oh! une ville très mauvaise, très méchante, mais peu importe combien la ville est mauvaise, vous pouvez toujours mener une vie correcte dans la Présence de Dieu. Et Dieu cherche un coeur fidèle comme Il l’a fait en ce temps-là.

Il a trouvé cette jeune paysanne. Disons que c’était un lundi matin; c’est le jour de la lessive. Et la voici qui vient marchant avec une cruche d’eau sur la tête et une autre sur la hanche. Et elle revient du puits, et elle se prépare à épouser un homme. Elle n’est qu’une jeune fille, et aussitôt, une Lumière brille devant elle; et dans cette Lumière se tient Gabriel, le grand Archange; qui dit: «Je te salue, Marie!»


Chicago, Illinois, USA

E-38 Et elle... Cela l’a effrayée... Il lui dit qu’elle allait mettre au monde un Enfant sans connaître un homme. Il lui a parlé d’Elisabeth, sa cousine, qui avait conçu et qui allait avoir un enfant. Et il a dit qu’on L’appellerait du Nom de Jésus, parce qu’Il sauverait Son peuple du péché.

Oh! Cela a effrayé la petite vierge, une telle salutation, cela vous effraierait aussi. Que feriez-vous si vous rencontriez un Ange se tenant là sur votre chemin comme cela, les bras étendus et disant: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu.» Certainement que cela vous ferait peur.

Et alors, je vois la petite vierge qui dit... Maintenant, je veux que vous remarquiez. Tenez. J’espère que cela pénètre profondément, que cela s’enfonce sous la cinquième côte du côté gauche et s’y ancre. Voilà un sacrificateur, un prédicateur, qui connaissait la Parole, et qui avait beaucoup d’exemples. Agar avait reçu des enfants, Sara de même, et beaucoup d’autres avaient reçu des enfants. Il avait beaucoup d’exemples, mais il a douté de l’Ange. Mais cette jeune fille, elle n’en a pas douté un seul mot.

Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole!» Amen. Voilà comment s’y prendre. Prenez Dieu au Mot.

Considérez Marie. Avant d’être certaine, avant de ressentir un quelconque signe de vie... Je suis dans un auditoire mixte, mais vous... ou écoutez. Avant qu’il y ait un quelconque signe physique, elle a commencé à louer et à glorifier Dieu de ce qu’elle allait avoir un enfant, avant qu’il y ait un quelconque signe.

Ô Dieu, donne-nous quelques-unes de ces Maries cet après-midi à Chicago (Amen), qui prendront Dieu au Mot. Amen. Ne pensez pas que je suis excité. Je–je–je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais amen veut dire qu’il en soit ainsi, donc je crois la chose. Très bien.


Chicago, Illinois, USA

E-40 C’est de cette façon que les femmes se rencontraient autrefois, mais, frère, vous savez quoi, ces temps-là ont changé maintenant. Les gens n’ont plus ce genre d’amour là les uns pour les autres. Maintenant les gens sont tels qu’ils ne vous parlent même pas. N’est-ce pas vrai?

Oh! autrefois là dans la ferme, quand–quand un homme tombait malade, on allait là et on coupait du bois pour lui, ou on coupait du foin ou quoi que c’était, pour nous ce n’était pas un problème, et on allait là et on restait là la nuit.

Aujourd’hui, vous n’êtes même pas au courant du décès de votre voisin, à moins que vous le lisiez dans le journal. C’est une honte que l’amour fraternel ait disparu. C’est exact. Nous n’en avons simplement plus comme à l’époque.

Oh! papa, quand il était à court d’argent, il allait là et il empruntait cinquante dollars pour lui permettre de s’en sortir jusqu’à la récolte. Il n’y avait pas de problème. Nul n’était besoin de mettre quelque chose en gage. Oh! aujourd’hui vous ne pourriez pas emprunter cinq dollars sans mettre quelque chose en gage. L’amour fraternel est en train de disparaître. Dieu a dit qu’il en serait ainsi. Oui, oh! combien nous en avons besoin!


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