E-38 Très bien, approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Aimeriez-vous prendre votre souper, savourer votre repas comme autrefois? Vous avez aussi un trouble des reins, n’est-ce pas? Vous avez un problème au dos. Est-ce vrai? C’est ça. Et puis vous avez aussi un–un ulcère peptique dans l’estomac, qui est dû à la nervosité. Est-ce vrai? Cela rend votre nourriture aigre, et vous vomissez cela et vous avez un trouble d’estomac. Est-ce vrai? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Le croyez-vous? Vous désirez aussi avoir une vie plus intime avec Dieu. N’est-ce pas? Vous avez confessé être chrétienne, mais vous ne vivez pas tel que vous le devriez pour être une chrétienne. N’est-ce pas vrai? C’est exact. Allez donc dire à Dieu, dès à présent, que vous allez Le servir de tout votre coeur. Allez-vous le faire? Allez-vous le faire? Alors, au Nom de Jésus-Christ, partez, et portez-vous bien, et prenez votre souper. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» Amen.
Madame, si Dieu ne vous vient pas en aide, vous allez mourir d’un cancer dans peu de temps. Et vous savez cela. Est-ce juste? Croyez-vous qu’Il vous aide maintenant même? Que Dieu vous bénisse. Partez et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» Dieu est ici.
E-40 Croyez simplement de tout votre coeur. Oh! n’est-Il pas aimable? Croyez-vous, madame, de tout votre coeur? Vous avez une sorte de sinusite. N’est-ce pas vrai? Vous avez une sorte de–de–des calculs dans les reins aussi, a dit le médecin. N’est-ce pas vrai? Autre chose. Je ne lis pas votre pensée et je ne suis pas ici pour vous dire quoi que ce soit, mais vous réalisez que vous êtes dans la Présence d’un Etre surnaturel. Vous ne vivez pas... ne menez pas la vie que vous devriez mener, qui répond aux exigences de Dieu. N’est-ce pas vrai? Celaa disparu. Vous priiez pour cela ces quelques derniers jours. Vos péchés vous sont pardonnés maintenant, et vous êtes guérie. Continuez votre chemin. Dieu vous guérit. Amen.
Disons: «Gloire au Seigneur!» Non, je n’ai pas pardonné ses péchés. Cependant j’ai vu Dieu le faire. Elle aaccepté cela, alors qu’elle se tenait juste là. C’est à ce moment-là que Dieu l’a rétablie. Amen.
E-42 Voulez-vous guérir de cette prostatite, vous qui êtes assis là, monsieur? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Vous qui êtes assis là derrière, dans la deuxième rangée, si vous le croyez, Dieu va vous rétablir. Le croyez-vous? Très bien, tenez-vous debout, acceptez alors votre guérison. Tenez-vous debout, dites: «J’accepte ma guérison.» Que Dieu vous bénisse. Vous êtes nerveux, vous vous leviez, vous faisiez des va-et-vient la nuit, cela va cesser maintenant. Amen! Alléluia!
Voulez-vous guérir de cette hernie, monsieur, vous qui êtes assis là au bout de la rangée? Vous aimeriez bien, alors tenez-vous debout, et dites: «J’accepte ma guérison pour cette hernie.» Que Dieu vous bénisse, et vous pouvez rentrer chez vous, recevez votre guérison si vous croyez cela.
Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.
Qu’en penses-tu, jeune homme assis là avec ce col retourné, qui te réjouis parce que cet homme a été guéri? Crois-tu cela? Tu n’as pas une carte de prière, n’est-ce pas? Voudrais-tu guérir de ce rhume des foins que tu as? Le voudrais-tu? Très bien. Tiens-toi debout et reçois ta guérison. Très bien. Que Dieu te bénisse. Tu peux partir et être guéri.
Grâces soient rendues à Dieu! Amen. Il nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.
Maintenant, vous êtes–vous êtes dans Sa Présence; et Il est ici, l’onction du Saint-Esprit.
E-44 Combien parmi vous qui êtes ici veulent être guéris en ce moment même, pendant que le Saint-Esprit est en train d’agir? Nous avons encore des soirées à passer ici. Je vais vous demander quelque chose. J’aimerais que vous placiez vos mains les uns sur les autres, et que vous me laissiez prier pour que Dieu chasse chaque mauvais esprit de...
Qu’est-ce que notre Seigneur Jésus doit faire de plus pour vous prouver qu’Il est dans cette salle? Moïse avait reçu deux signes. Il est allé et les aaccomplis une fois devant Israël, et ils l’ont écouté. Si vous croyez que je suis le serviteur de Dieu, écoutez-moi. Jésus-Christ vous a guéris il y a dix neuf cents ans lorsqu’Il est mort pour vous. Il est juste ici, en ce moment même, dans cette salle. Sa Présence, le Seigneur Jésus ressuscité, est juste ici, et chacun de vous peut être guéri. La seule chose que je vous demande, c’est d’être profondément sincère, et voyez si Dieu ne vous guérit pas.
Je vois Dieu guérir les gens carrément dans toute la salle. Je vois une femme assise là, en chapeau noir, qui avait l’hypertension. Elle vient juste d’être guérie. Elle est assise à côté d’une femme qui porte un chapeau brun, qui vient d’être guérie à l’instant. Ici, cette dame par ici qui avait une maladie gynécologique, elle vient d’être guérie. Dieu guérit les gens là partout dans l’assistance.
E-8 Eh bien, voici comment j’ai foi en Dieu: premièrement c’est par SaParole. Et si une vision ou une personne disait quelque chose de contraire à laParole, alors n’écoutez pas cela. Ceci est le fondement fondamental de tout ce que Dieu a dit à Son Eglise. Et la foi de chaque personne devait être souverainement bâtie sur la Bible. C’est juste.
Bon, parfois Dieu ferme les yeux sur notre ignorance, des choses que nous faisons qui ne sont pas tout à fait correctes; Il en tire gloire malgré tout. Ainsi tenez-vous simplement tranquilles, laissez Dieu avoir... Allez de l’avant, Il prendra soin du reste. Mais à ce propos... Eh bien, voilà laParole adressée à la nation, aux gens, à tout le monde. C’est vrai.
Mais alors, si Dieu a établi dans l’Eglise un don divin, ce don est une Parole directe de Dieu à l’individu, quelque chose de personnel. Si je pouvais tenir un réveil ici pendant trois ou quatre mois, et chaque soir raconter toute la nuit durant des expériences sur ce que j’ai vu se produire, je ne toucherais même pas un brin de cela, des choses en rapport avec les gens qui sont passés dans les lignes de prière et ainsi de suite, et qui sont ensuite revenus. Et Dieu leur révélait et leur disait très exactement la chose qu’ils auraient dû faire il y a longtemps ou quelque chose qu’ils auraient dû faire, ou qu’ils n’ont pas fait, ou autre chose. Et par là, ils trouvaient la voie pour la guérison divine...
E-10 Ainsi en tant que chrétiens, nous devons être respectueux; nous devons être sincères et faire tout soit transparent, de sorte que tout le monde peut examiner, scruter et voir que Christ est le–est le Fils de Dieu né d’une vierge et que Ses Paroles sont parfaitement et absolument vraies.
J’étais en route pour visiter frère Bosworth à Miami, en Floride pour la première fois. Je traversais le Kentucky et le Tennessee ici par train. J’ai vu en vision un petit garçon qui s’était fait tuer dans un accident, j’ai vu l’endroit où il était étalé. Juste comme ceci, j’ai écrit ici... Celaarrive beaucoup et beaucoup de fois et ces visions annoncent des événements. Je n’habite pas loin d’ici, c’est à cent dix-neuf miles [191,45 km] d’ici. Vous pouvez aller dans la ville où je réside pour vous enquérir de cela une fois, de toutes les fois qu’elles annoncent quelque chose, si cela n’est pas accompli très exactement comme annoncé, alors épinglez sur mon dos un écriteau disant: «Un faux prophète», et je vais me promener à travers vos rues. En effet, il ne s’agit pas de moi-même, je suis un homme, mais Lui est Dieu. Et c’est Lui qui accomplit ce qui est annoncé. Si c’est moi qui annonçais cela, ça pourrait être un mensonge, parce que je suis sujet à toute sorte–toute sorte d’erreurs, de mensonges, à toute autre chose, comme toute autre personne.
E-11 Mais lorsque c’est Lui qui annonce la chose, ce n’est pas moi qui parle; c’est Lui. Et lorsqu’Il parle, moi je m’en tiens à SaParole. Et je sais qu’Elle est la Vérité. Elle ne faillit jamais. Observez-La à l’estrade. Bien des fois Il annonce aux gens exactement ce qui–ce qui cloche en eux. Moi, je prie pour la personne. Mais lorsque vous entendez cette Parole déclarer: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», observez ce qu’Elle annonce, reposez simplement votre vie là-dessus, parce que la chose arrivera à la lettre.
Parfois je vois des personnes à l’article de la mort. En Afrique, à l’une des réunions une dame est venue, une femme corpulente, apparemment en très bonne santé, et il lui fut dit de se préparer à mourir. Elle avait simplement un kyste à l’ovaire. J’ai fait enregistrer cela sur une bande magnétique. J’ai dit: «Préparez-vous à mourir, car la mort est proche, à votre porte.» Et dix minutes après, la femme était un cadavre. Si j’étais un guérisseur, je l’aurais guérie. Mais je ne suis pas le guérisseur; je ne peux dire que ce qu’Il me dit de dire. C’est tout ce que je sais faire. C’est tout ce que je peux faire. Pourquoi Dieu l’a prise? Ça, je l’ignore. Il ne me l’a jamais dit, Il l’a simplement prise. J’ai vu son–son cortège funèbre passer. Et j’ai donc compris qu’elle s’en allait.
E-15 Pendant que je fais ce témoignage, Frère Bosworth, je ne sais pas si j’ai déjà raconté ceci. Le soir où la photo de l’Ange du Seigneur a été prise là-bas, deux jours après frère Bosworth m’aamené une–une photo de Florence Nightingale. C’est sa grand-mère qui est la fondatrice de la Croix Rouge en Angleterre. Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de Florence Nightingale, la mère de la Croix Rouge. Elle se trouvait à Durban, en Afrique du Sud, et l’Afrique du Sud est sous l’administration britannique, et cette femme pesait approximativement soixante livres [environ 27 kg]; elle souffrait d’un cancer au duodénum, duodénum, un cancer d’estomac. Et elle m’avait envoyé chercher pour aller prier pour elle. On m’avait envoyé deux billets d’avion. Eh bien, je ne pouvais pas aller. Frère Bosworth m’aamené la photo, le télégramme, et j’ai déposé cela sur le plancher; puis nous avons prié et j’ai dit: «Seigneur, si Tu la guéris, alors j’irai en Afrique.»
E-16 Et j’ai tout simplement offert une prière, ensuite je suis rentré chez moi, et j’ai oublié la chose. Lorsque je suis allé à Londres, le jour où nous sommes arrivés à l’aéroport international de Londres pour prier pour le roi, alors qu’on était en route vers la région scandinave, j’ai entendu mon nom appelé par haut-parleur. Et monsieur Baxter, monsieur Lindsay, beaucoup de ces hommes que vous connaissez, étaient avec moi. Et ils sont entrés là, et c’était un ministre anglican. Ils avaient amené mademoiselle Florence Nightingale depuis l’Afrique du Sud. Comment avait-elle su, si ce n’est par le truchement de la couronne, je ne pouvais pas le savoir toutefois. Mais elle savait que nous allions atterrir là ce jour-là. Et elle est arrivée environ quinze minutes avant notre arrivée, et je ne pouvais même pas atteindre la femme... On ne pouvait pas faire sortir cette femme de l’avion, on pensait qu’elle était alors morte.
Et j’ai dit: «Eh bien, il y a des milliers de gens d’ici jusqu’à l’avion. Il m’est impossible d’arriver là. Je vais au Palais de Buckingham, puis à l’abbaye de Westminster, et ensuite je–je me rendrai à l’hôtel Piccadilly; venez me prendre et nous irons prier pour elle.»
E-17 Et lorsque nous sommes arrivés là, évidemment, la nuit était tombée et je suis rentré tard. Le lendemain matin nous sommes arrivés là, et nous sommes allés prier pour mademoiselle Nightingale. Ils ont dit: «Elle vit encore.»
Amis chrétiens, si je vis jusqu’à devenir un vieil homme, je n’oublierai jamais cette expérience. C’était à Londres en avril, le temps était très humide, avec du brouillard partout. Nous sommes montés à l’étage à l’endroit où on avait déposé son brancard, près du presbytère d’une grande église anglicane. Et dans la pièce se tenaient son médecin, deux infirmières, et deux ou trois ministres, lorsque l’organisateur–les organisateurs des campagnes ainsi que moi-même sommes entrés. Et je me suis avancé là; ils l’avaient couverte d’un drap blanc. Et j’ai dit: «Bonjour.» Et tous se sont levés.
Et j’ai dit: «Est-ce–est-ce là la patiente?» Et j’ai dit: «Bonjour! Est-ce vous Mademoiselle Nightingale?»