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Owensboro, Kentucky, USA

E-63 Plus je parle, soeur, naturellement, plus il sera dit. Mais vous vous rendez compte que cela affaiblit et affaiblit, et je–j’ai encore une bonne petite ligne de prière qui a été formée là. Si seulement Il parle de ce qui cloche chez vous, allez-vous croire cela? Vous le croirez.


Owensboro, Kentucky, USA

E-67 Maintenant, partez en croyant, soeur. Partez en vous réjouissant, partez, heureuse; allez en annonçant à tout le monde votre guérison. Oui, oui.


Owensboro, Kentucky, USA

E-90 Seigneur Jésus, je Te prie d’être miséricordieux maintenant même envers ces pauvres êtres mortels qui souffrent et qui sont dans le besoin. Comme la force du corps de Ton serviteur diminue, je Te prie d’être miséricordieux, ô Dieu, et d’envoyer le Saint-Esprit maintenant même. Et que les gens, pour ainsi dire, pincent leur esprit par la Parole de Dieu, se réveillent et comprennent que c’est l’heure de la visitation pour Owensboro, dans le Kentucky, alors que le Saint-Esprit est en train d’agir parmi les gens et de montrer des signes et des prodiges. Ô Dieu éternel, envoie Ton Saint-Esprit, et guéris chacun d’eux au... de Jésus-Christ...



Owensboro, Kentucky, USA

E-6 J’aimerais lire quelques passages des Ecritures juste avant que nous commencions la réunion; cela se trouve dans Hébreux, chapitre 13, du verset 10 au verset 14.

Et maintenant, est-ce que vous entendez mieux, parpartout? M’entendez-vous là derrière dans ce coin? Je constate qu’il y a même beaucoup de gens qui sortent, c’est comme s’ils se regardent les uns les autres et secouent la tête, puis ils se lèvent tout simplement et sortent. Ils n’entendent pas. Supportez-moi pendant un instant, s’il vous plaît.

Je lis les Paroles suivantes:

Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n’ont pas le pouvoir de manger.

Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur, pour le péché, sont brûlés hors du camp.

C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.

Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.

Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente...


Owensboro, Kentucky, USA

E-8 Et aujourd’hui, alors que nous avons l’intention de faire un petit tour, si c’est Ta volonté, sur le petit sentier, en retournant là où nous marchions il y a des années, nous Te prions d’être avec nous et de nous aider. Et beaucoup qui se sont éloignés de la maison, dans un pays étranger, je Te prie, ô Dieu, de les rapprocher de Toi. Car nous reconnaissons que nous sommes pèlerins et étrangers dans ce monde. Nous cherchons une cité à venir dont le Constructeur et l’Architecte est Dieu. Bénis tout le monde. Que quelque chose de miraculeux se produise aujourd’hui, parce que ces pauvres gens ont fourni un effort pour sortir de chez eux et venir s’asseoir dans cette salle où il fait froid, dans ces conditions difficiles, juste pour se rassembler pour l’amour de l’Evangile. Nous Te prions d’accorder ces choses, au Nom de Jésus. Amen.


Owensboro, Kentucky, USA

E-9 Puissions-nous, aujourd’hui, alors que... Et je vais me dépêcher et surveiller ma montre. C’est... La vie est–n’a pas été un lit fleuri d’aisance pour moi, mes amis chrétiens. Ça a été une vie de peines et de luttes successives. Y entrer vraiment pour raconter ce que Dieu a accompli prendrait des heures, alors nous devons plutôt abréger cela dans quelques instants, afin que vous n’ayez pas trop froid, alors que nous allons essayer de le faire cet après-midi.

Mais il n’y a personne ici qui n’aimerait penser à son enfance, n’est-ce pas? La majeure partie de mon assistance cet après-midi est constituée tout au moins des gens d’âge moyen, il y a peu de jeunes. Mais peu importe où vous irez, vous ne trouverez jamais un endroit semblable à votre maison, où que ce soit.

Beaucoup parmi vous les personnes âgées qui êtes ici cet après-midi, vous qui avez des cheveux gris, si seulement vous fermiez les yeux et fassiez encore un petit voyage en esprit sur ce vieux sentier que vous empruntiez lorsque vous étiez petits, et de penser à la vieille porte du jardin, et à bien des choses, à une mère qui est morte il y a bien des années, un vieux papa, cela–cela ramènerait quelque chose que nous chérissons, comme un tableau, dans notre coeur; mais rien ne peut ôter cela de là. Combien parmi vous se souviennent cet après-midi de leur vieille maison? Faites voir vos mains. Regardez tout simplement. Combien parmi vous sont loin de chez eux, loin de leur maison familiale? Faites voir vos mains. Regardez.


Owensboro, Kentucky, USA

E-10 Il y a quelque chose dans l’enfance et dans l’adolescence, tel que rien d’autre dans la vie ne peut remplacer cela. Vous souvenez-vous du vieux... Combien nos mères nous attrapaient, ainsi que papa, lorsque nous faisions quelque chose de mal, et nous donnaient une petite fessée? Oh! c’était horrible. Mais, vous savez, beaucoup parmi vous cet après-midi, y compris moi-même, je donnerais tout ce à quoi je penserais, si mon papa était sur cette terre, pour m’avoir donné une fessée. Cependant il ne peut plus être de ce monde, mon père est déjà mort, et il en est de même de beaucoup d’entre vous. Rien ne ressemble à l’enfance.

Moi, comme beaucoup d’entre vous ici cet après-midi, nous sommes nés ici au Kentucky, par ici dans une petite cabane en bois. Eh bien, nous avons déménagé pour l’Indiana, juste de l’autre côté du fleuve, lorsque je n’étais qu’un petit garçon, encore très jeune, je n’avais pas plus de deux ou trois ans.

Je me souviens de notre première expérience ici, nous étions très, très pauvres. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui moi, mon choix... Et je–je dis ceci avec révérence. J’ai choisi d’être un homme pauvre. J’aurais pu être un multimillionnaire, si je l’avais voulu. Une personne m’avait apporté un chèque, un agent du FBI, un chèque d’une valeur d’un million cinq cent mille dollars, une traite bancaire, et j’ai refusé de regarder à cela, ça venait de la Mission Bell Winery, en Californie. Une femme avait été guérie, c’était à St. Louis, et elle avait subi une ablation de deux seins, et elle était... Le cancer s’était répandu dans son corps, et un médecin a été converti à cause de cela, le docteur Theodore Palvias qui prêche l’Evangile cet après-midi à Oakland, en Californie. Et le Seigneur a parlé à cette femme, Il lui a dit que dans trois jours elle serait en train de faire des achats dans la rue. Il lui a dit que sa fille était inconsciente. Le médecin a dit: «Quelle idée! Révérend Branham, vous donnez à quelqu’un une fausse espérance comme cela, alors que cette femme est étendue là, en train de mourir.»


Owensboro, Kentucky, USA

E-11 J’ai dit: «Je suis prêt à rester ici. Si cette femme ne marche pas en bonne santé dans trois jours, je vais mettre un écriteau sur mon dos, disant que je suis un faux prophète; et vous, vous allez me promener simplement à travers la ville devant votre voiture. Et si donc ce n’est pas le cas, c’est ce que je ferai. Mais si elle est en bonne santé, laissez-moi en placer un sur votre dos et m’en aller.»

Ce médecin a été converti, il prêche l’Evangile aujourd’hui. C’est l’un des meilleurs chirurgiens de la côte ouest, les gens partent même de New York en avion pour se faire opérer par lui. Et ces gens m’avaient envoyé un–un million cinq cent mille dollars dans une traite bancaire; deux agents avaient apporté cela. Et en ce temps-là je vivais dans une baraque à deux pièces. Mais ce n’est pas l’argent qui fait le bonheur, cela...

Le bonheur ne consiste pas dans le nombre de biens de ce monde que vous possédez, mais en la satisfaction que vous tirez de la portion qui vous est allouée. Soyez simplement satisfait aussi longtemps qu’une chose vous apporte la satisfaction, et cette seule chose, c’est Jésus-Christ.


Owensboro, Kentucky, USA

E-12 Tout récemment, monsieur Avak, là dans la même contrée, avait reçu une très grosse et très belle Cadillac. J’apprécie cela. Tout homme qui peut en conduire une, j’apprécie cela. Et à ce moment-là, j’avais une vieille Chevrolet, une vieille camionnette, toute déglinguée, âgée d’environ huit, dix ans. Et certains de ces braves Arméniens riches ont dit: «Frère Branham, nous avons offert une Cadillac à Avak. Nous en avons une pour vous.»

Et j’ai dit: «Merci, mais je ne crois pas que je puisse l’utiliser.»

Ils ont dit: «Eh bien, nous allons vous l’offrir. Nous allons vous offrir une Packard, ou tout ce que vous voulez.»

Ils ont dit: «Cette vieille camionnette, à bord de laquelle vous roulez...»

J’ai dit: «Si ce que j’ai, c’est ce que j’ai mérité, je vais rouler avec.» Et c’est vrai. Mais comment pourrais-je traverser l’Arkansas, là où se tiennent certaines de mes réunions parmi les gens les plus pauvres, une vieille petite mère par là traînant un sac de coton, à moitié morte des troubles gynécologiques ou quelque chose de ce genre, prenant du bacon avec du pain de maïs au petit déjeuner, et elle met une offrande d’un dollar le soir, et moi je viendrais passer là à bord d’une grosse et jolie Cadillac! «Voilà Frère Branham qui passe.» Je–je–je ne saurais pas faire cela. Non, non, je–je–je ne... Je préférerais trouver grâce devant Dieu que d’avoir quoi que ce soit à ma connaissance au monde. Et si j’ai trouvé grâce devant Dieu, je pourrais servir Son peuple.


Owensboro, Kentucky, USA

E-16 Ainsi, je l’honore aujourd’hui comme mon papa. C’est dur. Je me souviens lorsque nous sommes allés à l’école. J’étais fermement opposé à l’alcool. Je me souviens que je lisais l’histoire d’un homme qui était né à cent miles [160 km] de chez moi, cent ans avant ma naissance, dans une petite cabane en bois. Il s’appelait Abraham Lincoln, l’un des plus grands hommes que le Kentucky ait jamais produits, à mon avis. Et Abraham Lincoln, lorsqu’il est sorti du bateau là à la Nouvelle-Orléans, il a vu qu’on vendait aux enchères un homme de couleur comme esclave, un homme très costaud. Sa petite et pauvre petite femme et ses enfants étaient là, en train de pleurer. On voulait le croiser, comme on croise le bétail, avec une femme plus grande et plus corpulente pour avoir de meilleurs esclaves. Lincoln, comme beaucoup parmi vous le savent par l’histoire, alors qu’il croisait ses mains, et il a tapé des mains et a dit: «Ça, c’est un mal. Et avec l’aide de Dieu, même si cela me coûte la vie, je frapperai cela avec tout ce que j’ai.» Et il l’a fait.


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