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Evansville, Indiana, USA

E-58 Lorsque j’étais jeune, nous allions souvent nager. Et, généralement, j’avais moins d’habits que tous les autres, je n’avais qu’une salopette avec une ficelle et un clou servant de bouton. Avez-vous déjà porté ça, vous tous les jeunes gens de la campagne? Nous nous mettions tous à courir et, vous savez, c’est à peine qu’on savait qui serait le dernier à entrer dans l’eau. J’étais toujours le premier, parce que je n’avais pas à me déchausser. Je n’avais pas de chaussures à enlever. Tout ce que j’avais à faire, c’était tirer un clou. Les habits s’envolaient en l’air et j’étais dans l’eau. Alors, ils regardaient pour voir ce que je... ce que... comment était l’eau. Si l’eau était froide, je levais un doigt, c’est que c’était froid. Si je levais deux doigts, c’est que c’était bon, entrez-y. Les habits s’éparpillaient alors partout. Tout le monde se jetait dans l’eau.

Et, frère, je vous le dis donc à vous qui n’avez jamais été dans une piscine, j’ai mes deux doigts levés; c’est vrai. Plongez-y, vous verrez. Vous verrez que c’est merveilleux. Les gens se baignent dans l’Esprit de Dieu, le Saint-Esprit, la puissance qui sanctifie, purifie et guérit. Oh! c’est merveilleux! Amen.


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E-59 Remarquez, oh! je peux me souvenir de Jean, lorsqu’il est né. Quel genre d’enfant il a dû être! Il n’est pas alau séminaire, mais il est allé dans le bois, en plein air, et il est resté avec Dieu. Au lieu d’étudier la généalogie, il est allé sur ses genoux, et il a appris la genoulogie. Il savait de quoi il parlait. Il est sorti du désert, frère, avec un... pas en smoking, avec le col tourné vers l’arrière, mangeant du poulet grillé trois fois par jour. Non, non. Ce jeune homme est apparu revêtu d’une large peau de brebis comme ça. Mais il prêchait la repentance.

Alléluia! Et il a prêché un message qui a secoué toutes les contrées tout autour du Jourdain.

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui à Evansville et partout ailleurs, c’est des prédicateurs baptistes qui prêcheront comme cela, qui ne feront pas de compromis avec le péché (C’est vrai), qui prêcheront l’Evangile.


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E-64 Cela me rappelle ce que j’avais dit ici il n’y a pas longtemps, ici, alors que j’étais de passage. J’aime aller chasser, parce que j’aime simplement me retrouver seul dans les bois. Un soir, je suis passé par un endroit, là dans la Colombie-Britannique, il y a de cela environ deux ans. Je chassais, et là, je m’étais perdu. Et cet endroit bizarre était à 1100 miles [1.770 km] de la grand-route. On était monté sur un groupe de chevaux, et je chassais l’ours grizzly. Donc, je m’étais égaré là quelque part, et je ne savais quel chemin prendre. J’ai donc pensé: «Eh bien, Seigneur, aide-moi à retourner, C’est Toi–Toi qui es avec moi.»

Je chevauchais là et il faisait sombre. Je suis arrivé à un endroit où il y avait des arbres abattus par le vent, ou plutôt brûlés par le feu; c’était un grand tas d’arbres très hauts. Et–et la lune brillait. Et si jamais vous parlez d’un lieu hanté, vous devriez aller à l’un de ces endroits. Hum! C’est pire qu’un séminaire.


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E-66 Je pensais: «Seigneur, où est-ce que cette partie apparaîtra?» Il m’est arrivé de regarder vers le bas, et ce vent est descendu encore là. J’ai arrêté mon cheval, j’agissais vraiment comme un saint exalté, je criais de toutes mes forces là-même allant simplement de l’avant, les mains en l’air, glorifiant Dieu. Alors, il m’est arrivé de regarder le cheval, tout, avec ses oreilles; il me regardait, se demandant: «Quoi diantre se passe avec lui?» Et je ne faisais que courir tout autour de l’arbre, criant et louant simplement le Seigneur; je passais de bons moments, parce que j’avais vu quelque chose.

Je regardais ces immenses vieux arbres debout là, je me suis dit: «Oui, c’est juste comme ces vieilles et grandes églises imposantes qui sont là, et chaque fois Dieu envoie un vent impétueux comme au jour de la Pentecôte, elles... Tout ce qu’elles pouvaient faire, c’était se tenir là comme une vieille grosse pierre tombale, faisant: «Hmm, les jours des miracles sont passés. Hmm, la guérison divine n’existe pas. Hmm, c’est le saint exalté. Hmm, n’ayez rien à faire avec cela. Hmm», ne faisant que gémir, gémir, gémir. C’est tout.


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E-69 Oh! Certainement, oui, oui. Dieu tient Sa Parole. Il a tenu Sa Parole pour Moïse. Il La tient toujours. Et je pense à cette nuit-là lorsqu’ils sont entrés là, ils n’avaient pas de pains. Le peu de pains qu’ils transportaient sur la tête, dans cet abreuvoir, était complètement épuisé le jour suivant.

La journée entière, ils n’avaient rien à manger. Lorsqu’ils sont allés dormir, ils n’avaient pas à s’inquiéter. Il n’y avait rien à manger, il n’y avait pas de champs de maïs où entrer. Il n’y avait pas d’endroit où semer le maïs, il n’y avait qu’un grand et vieux désert, même pas un brin d’herbe. «Comment aurons-nous quelque chose à manger?»

Ce n’est pas votre affaire; c’est l’affaire de Dieu. Il a dit: «Je prendrai soin de vous. Je suis l’Eternel. Je suis Jéhovah-Jiré, le Seigneur a pourvu à un sacrifice. Je frayerai une voie là où il n’y en a pas. Je suis le Chemin.»

Très bien. Le lendemain matin, lorsqu’ils sont sortis, il y avait du pain partout sur terre: La manne. Est-ce vrai? Ils ont ramassé cela et se sont mis à manger. «Hm! ont-ils dit, ça a le goût du miel.» En avez-vous déjà goûté? Eh bien, c’était le début du pèlerinage de la première Eglise dans le naturel.


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E-75 Frère, vous pouvez le baptiser comme ceci, comme cela, vers l’avant, vers l’arrière, deux fois, trois fois, tout ce que vous voulez, il descendra juste un pécheur sec et se relèvera un pécheur mouillé. Pas de changement, il y a tout autour quelques bulles qui se formeront et s’éclateront, mais il n’est pas changé, non.

Savez-vous ce que j’ai fait? J’ai pris un morceau de papier, un tas de bois, j’ai allumé un feu et je l’ai déposée dessus. Frère, elle a alors marché. Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui, ce dont j’ai besoin aujourd’hui, ce dont l’Eglise a besoin, ce n’est pas de discuter sur le baptême, de discuter sur telle église ou telle autre, ce dont nous avons besoin, c’est de l’effusion du Saint-Esprit et du feu; les gens marcheront lorsque Dieu déversera le Saint-Esprit sur eux, ils sortiront et se mettront en action; ne vous en faites pas. Amen. C’est vrai.

Oh! la la! Je vois Jésus revenir. Oh! la la! Notre temps s’épuise carrément. Je ne sais pas, peut-être que je suis bien verbeux. Mais, observez, frère, lorsque je peux Le voir ici en ce moment de notre texte, Il avait été obligé de quitter la maison parce que Son ministère était devenu très grand. Mais lorsqu’Il a quitté la maison, la maladie est entrée.


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E-76 Permettez-moi de vous dire quelque chose ici aujourd’hui, chrétiens: Lorsque Jésus quitte votre maison, il y aura la maladie, ne vous en faites pas. Des ennuis sont en route lorsque vous chassez Jésus. Lorsque vous placez un jeu de cartes là au lieu d’un lieu secret de prière–prière, vous placez une table pour les cartes, ça y est, des ennuis sont en route. C’est vrai. Lorsque vous prenez certains de ces vieux magazines de récits d’amour, vous les mettez là à la place de la Bible, des ennuis sont en route. Ne vous en faites pas. Oui, oui. Lorsque vous cessez d’aller à l’église et que vous explosez parce que le prédicateur vous a dit que ce n’est pas digne pour une dame de porter des shorts, vous êtes en route; ne vous en faites pas, des ennuis sont en route. Continuez simplement, et vous verrez.


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E-83 Mais vous savez, Marthe avait lu la Parole. Elle avait une fois lu là qu’à la femme Sunamite, Dieu avait donné un enfant, et c’est Elie qui le lui avait annoncé. Et cet enfant était mort. Elle ne comprenait pas pourquoi cet enfant était mort, et elle était partie voir Elie. J’aime ça. Elle a dit: «Selle ce mulet, va de l’avant, ne t’arrête pas, à moins que je ne te le demande.» Elle a dit qu’elle allait au mont Carmel voir le prophète. Elle savait que ce prophète représentait Dieu. Elle ne savait pas pourquoi l’enfant avait été repris. Elle était stérile, et Elie lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant; elle l’a eu. Et le petit enfant était âgé de dix ou douze ans; et il était environ 11 h quand il a attrapé une insolation, je pense, et s’est mis à crier, disant: «Ma tête.» Le père l’a renvoyé du champ. La maman l’a donc placé sur ses genoux et, vers midi, il est mort. Elle l’a fait monter et l’a déposé sur le lit d’Elie.


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E-86 Je pense que si nous les prédicateurs, nous faisons cela davantage, obéir à la commission de Dieu, cesser d’écouter ce que les gens disent, nous serons de loin mieux et nous ferons plus. Et il a dit: «Ne parle à personne.» Elie l’avait donc suivi.

Guéhazi est parti et a mis ce bâton... Certainement, cela ne pouvait pas marcher, certainement. La foi de la femme n’était pas dans le bâton; sa foi était dans le prophète. Et lorsque le prophète est arrivé là, remarquez, il n’est point entré pour se mettre à agoniser avec Dieu. Il est entré, il a fait les cent pas dans la pièce, des va-et-vient, les cent pas dans la pièce. «Seigneur...» Il ne savait que faire. Il a continué...

Il savait que Dieu était en lui. Aussi a-t-il étendu son corps sur cet enfant mort, il a placé ses lèvres contre celles de l’enfant; son nez contre celui de l’enfant, il s’est simplement étendu là un petit instant. Il a palpé l’enfant; il était chaud. Il a fait des va-et-vient, il a prié, il a encore fait des va-et-vient, il est allé, s’est encore étendu sur l’enfant, celui-ci a éternué sept fois et il est revenu à la vie. Est-ce vrai?


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E-92 Elle s’est référée à Jean 11. Elle a dit: «Jésus, en allant à la tombe de Lazare, a pleuré.» Et elle a dit: «Cela prouve qu’Il n’était pas Dieu, parce qu’Il a pu pleurer.»

J’ai dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Cet argument est plus léger que le bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Ça ne tient pas.» J’ai dit: «Voulez-vous me dire que c’est pour cette raison que vous croyez qu’Il n’était pas–qu’Il n’était pas Dieu, parce qu’Il avait pleuré?»

Elle a dit: «Oui.»

J’ai dit: «Lorsqu’Il allait à la tombe, Il allait en pleurant, c’est vrai. Mais il était Dieu-Homme, Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Et j’ai dit: «Il était un Homme lorsqu’Il pleurait, mais lorsqu’Il s’est tenu là, avec Son tout petit visage, comme cela, avec un homme qui gisait là depuis quatre jours, Il a redressé Son petit corps et a dit: ‘Lazare, sors.’ Frère, c’était plus qu’un homme, c’était Dieu parlant par ces lèvres d’un Mortel.»

Un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur terre et a de nouveau vécu. Son mort... son corps avait effectué un voyage de quatre jours quelque part. Je ne sais où il était, vous non plus, nous n’allons donc pas discuter là-dessus. Mais de toute façon, il était mort depuis quatre jours, et lorsque Jésus a dit: «Lazare, sors!» Un homme mort depuis quatre jours, avec les vers grouillant dans son corps, s’est levé et a de nouveau vécu. Frère, ça, c’était plus qu’un homme.


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