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Wood River, Illinois, USA

E-19 Bien des fois je vois des gens qui–qui sont malades et qui vont mourir, une ombre se forme autour d’eux alors qu’ils se tiennent là. Je sais que c’est la sentence de mort. Je ne sais pourquoi, mais c’est tout; je sais alors comment leur parler. Je prie simplement pour eux, je passe et je dis: «Que le Seigneur vous bénisse.» Ou bien: «Peut-être le Seigneur Jésus vous a guéri.»

A Durban, en Afrique du Sud, une femme est venue sur l’estrade, elle paraissait en aussi bonne santé que la femme qui avait la meilleure santé dans la salle. Cent mille personnes étaient assemblées là. Et cette femme est venue, étant normale et en bonne santé. Elle s’est tenue là et j’ai dit... je l’ai regardée; j’ai dit: «Je vois que vous êtes une chrétienne.»

Elle a dit: «Je le suis.»

Et au... Puis, j’ai encore regardé, je l’ai vue aller à l’église, et elle était en compagnie d’un groupe de gens.

J’ai dit: «Vous êtes membre de telle église.»

Et elle a dit: «C’est ça

J’ai encore regardé et je l’ai vue, l’ombre devenait très sombre autour d’elle. Et j’ai commencé à dire: «Bien, la seule chose qu’elle a, c’est un kyste à l’ovaire.» Elle a été chez le médecin. J’ai dit: «Votre mari porte un complet gris, et il a une moustache noire. Il y a quelques jours il attendait dans la salle pendant que vous étiez examinée par un médecin, un homme aux cheveux gris qui porte des lunettes.»

Elle a dit: «C’est vrai.»

Et j’ai dit: «Il a dit que vous aviez un kyste à l’ovaire.»

Elle a dit: «C’est vrai.»

J’ai dit: «Il a dit que cela devrait être ôté.»

Elle a dit: «C’est vrai.»

J’ai dit: «Il voulait brûler cela au radium.»

Elle a dit: «C’est vrai.» L’ombre devenait de plus en plus sombre autour d’elle. J’ai commencé à dire: «Maintenant, que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous guérisse ma soeur, faites-la descendre de l’estrade.» Puis, j’ai vu passer une procession funèbre qui l’emportait. Je savais que je pouvais tout aussi bien le lui dire. C’était donc fini.

J’ai dit: «Madame, vous avez l’air d’une femme forte, vous n’avez qu’un tout petit problème. Mais préparez-vous à mourir, car vous n’allez vivre que peu de temps.»

Elle a dit: «Monsieur!»

J’ai dit: «C’est vrai, soeur. Préparez-vous simplement pour Dieu. Soyez prête.»

Elle descendit de l’estrade, elle s’assit, regarda son mari et dit: «Que penses-tu de cela?» Et elle tomba morte juste là. On l’emporta. Parce que rien ne pouvait être fait. J’avais vu la procession funèbre. Et ce que Dieu dit est la Vérité.


Wood River, Illinois, USA

E-20 Maintenant, ceci c’est la Vérité de Dieu. C’est la Vérité. Tout ce qui est contraire à cela n’est pas la vérité. Mais ça, c’est le plan du salut pour les nations, pour les gens. Mais alors, parfois pour les individus, après que Dieu a envoyé Sa Parole de cette manière et que les ministres ont prêché cela... Il a envoyé à l’Eglise des apôtres, des prophètes, des dons de langues, l’interprétation des langues; tout cela pour édifier ou garder l’Eglise pure, en rassemblant l’Eglise, en la mettant à part.

Tout récemment, à l’Eglise méthodiste de New Albany (cette personne pourrait être assise ici maintenant), avant d’aller en Afrique... Je venais de rentrer d’un de mes voyages en Californie. C’est juste afin que vous puissiez voir. Des milliers de gens étaient entrés dans la salle où nous tenions des services ce soir-là en Californie.


Wood River, Illinois, USA

E-21 Et il y avait environ vingt ou trente fauteuils roulants installés là et des lits de camp, des civières et autres dans les gradins et sur... Et, mon frère, comme vous le comprenez, pendant ces réunions, je dois me tenir loin des gens. En effet, avec une telle onction, dès que vous parlez à une personne, vous contactez immédiatement son esprit. Voyez? Et quand vous faites cela, vous comprenez.

Alors je restais dans une salle; deux hommes se tenaient à la porte tout le temps. Et ils vinrent me prendre ce soir-là. Je suis allé à la salle, et je me souviens que c’était juste en entrant. Je me tenais juste à côté de l’escalier, le manager, l’un des managers, M. Baxter, a commencé à chanter Crois seulement et je me suis présenté devant l’auditoire. Et je regardais de ce côté et j’avais passé plusieurs soirées, et je suis... devenais très faible. Les réunions devenaient sans cesse de plus en plus puissantes. Bien entendu, vous entrez davantage dans l’Esprit.


Wood River, Illinois, USA

E-22 Et je regardais comme cela, et je vis un petit garçon qui jouait sur une meule de foin, juste devant moi. Et il tomba de la meule de foin et se heurta le... contre un gros support grossier... Son dos heurta cela. Je vis un homme le prendre. Je me suis simplement mis à parler. C’était juste devant moi, comme vous le voyez se faire chaque soir. Et cela a juste dit ce qui était en train de se passer.

Je vis un médecin le soigner, et je vis quel genre de médecin c’était. J’ai dit: «Je le vois faire des trous dans le plancher et fixer son lit. Il ne peut même pas supporter la vibration due aux pas des gens sur le plancher. Et alors on le met dans un lit. On le fait pivoter et on le met dans ce lit. Mais il devient un grand homme.» J’ai dit: «Maintenant, il devient même un homme beaucoup plus important. Il est assis près des gradins ou quelque chose comme cela. Ils ont placé une–une chaise là... on l’a déjà installé. Et–et les gens applaudissent ses discours.» Et la vision me quitta.


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E-23 J’ai regardé. Et les voilà qui entrent, ils venaient de descendre d’un avion. Et voilà venir un fauteuil roulant. Ils venaient juste d’entrer dans la salle et cela a commencé à venir... Cela fut amené jusque-là où il y avait les autres fauteuils roulants. J’ai dit: «Il s’agit du vieux monsieur maintenant.» C’était à une distance correspondant à environ deux fois la longueur de cette salle. J’ai dit: «Il s’agit du vieil homme maintenant.»

Et il était en train de pleurer, j’ai continué et j’ai dit à mon frère d’appeler la ligne de prière. Et nous nous sommes donc mis à aligner les gens, et alors, la chose suivante qui se produisit, eh bien, on avait installé ici un micro baladeur, et M. Baxter a dit: «Frère Branham,» a-t-il dit–a-t-il dit: «Ce vieil homme à qui vous parliez est un membre du Congrès des Etats-Unis. C’est William D. Upshaw.»

J’ai dit: «J’ignore qui c’était.»

Il a dit: «Il désire vous parler par ce micro.»

Et il a dit: «Mon fils, comment avez-vous su que j’étais tombé et me suis fait mal lorsque j’étais petit?»

J’ai dit: «Je ne peux pas vous le dire, monsieur. Je n’ai jamais entendu parler de vous de ma vie. Je suis désolé.»

Et il a dit: «Eh bien, j’étais le président de la Convention Baptiste du Sud.» Il a dit: «C’est le Docteur Davis, la personne qui vous a ordonné dans l’Eglise baptiste, qui m’a envoyé ici vous voir.»

J’ai dit: «Je connais bien le docteur Davis.»

Il a dit: «On avait prié pour moi.» Il a dit: «Je suis un infirme et je suis resté dans ce fauteuil roulant pendant soixante-six ans.»

Et il a dit: «J’ai maintenant quatre-vingt-six ans.» Et il a dit: «J’ai fait confiance à Dieu depuis que j’avais dix-sept ans, quand j’ai été blessé, qu’Il me guérirait.» Il a dit: «Pensez-vous que je serai guéri?»

J’ai dit: «Je ne saurais vous le dire, monsieur.» J’ai dit: «Je ne peux dire que ce que je vois.»

Il a dit: «Que Dieu vous bénisse, mon garçon.»

Et j’ai dit: «Merci, gentil monsieur.» Et je me suis tourné de ce côté et alors, mon frère, qui était le huissier en chef dans la réunion, était en train d’aligner les gens là.


Wood River, Illinois, USA

E-25 Et ils devaient donc aligner un groupe de gens, parce qu’on n’est pas censé monter sur l’estrade sans carte de prière. En effet, c’est le moyen légitime que nous avons pour le faire. C’est le seul moyen par lequel nous pouvons le faire. Alors les huissiers devaient la faire partir de la ligne. Et ils ont dû frayer une voie là. Et elle criait et faisait des histoires.

Elle a dit: «Pasteur, c’était mon enfant.» Elle a dit: «Va-t-elle se rétablir?»

J’ai dit: «Je ne sais pas, Tantine. La seule chose que je peux dire, c’est ce que je vois.» Voyez-vous? «Mais cela...»

Elle a dit: «C’était exactement la description du médecin. Et ça fait à peu près deux ans.»

J’ai dit: «C’est la même fillette.» On avait retiré d’elle la couverture. J’ai dit: «C’est la même fillette.»

Elle a dit: «Eh bien, est-elle guérie?»

J’ai dit: «Tantine, je ne saurais vous le dire. La seule chose que je sais, c’est juste ce que je regarde et vois.» J’ai dit: «C’est seulement par vision.»

Et elle a dit: «J’ai prié, prié et prié pour cela

Et j’ai dit: «Bien; je ne sais pas, Tantine.»

J’ai dit: «Howard, es-tu prêt pour que la première personne vienne?»

Il a dit: «Oui.»


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E-26 Une dame a commencé à monter. Je me suis retourné pour regarder encore l’auditoire afin de leur demander d’être révérencieux. J’ai vu juste comme une traînée noire se déplacer. Et cela continuait à venir comme cela. Et en fait, c’était comme une rue, ou quelque chose comme ça, ou une route. Et cette fillette de couleur descendait la route avec une poupée dans les bras, la berçant comme ceci. La chose était là.

Eh bien, c’est la Parole du Seigneur rendue manifeste. Voyez-vous? Maintenant, peu importe ce qui pouvait arriver, toutes les forces de l’enfer ne pourraient pas faire face à cela. Cette femme n’avait même pas besoin d’avoir la foi. Elle n’avait pas besoin d’avoir quoi que ce soit, parce que Dieu l’avait dit. C’était la Parole de Dieu matérialisée. J’avais alors l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

J’ai dit: «Tantine, comme vous avez été aussi respectueuse, Dieu vous a récompensée. Et votre enfant est guérie.» Elle s’est mise à crier et à embrasser son enfant.

Elle a dit: «Oh! pasteur, quand mon enfant va-t-elle se rétablir? Quand...?»

J’ai dit: «Elle est guérie maintenant, Tantine.» J’ai dit...

Elle a dit: «Peut...?» Et l’enfant...

Elle a dit: «Regarde ici, maman.» Et elle s’est levée comme cela. Et la pauvre est tombée à la renverse comme cela et s’est mise à crier, et les femmes ont commencé à s’évanouir et à s’écrouler.


Wood River, Illinois, USA

E-29 Et un homme, alors que normalement Dieu aurait dû le guérir lorsqu’il était jeune (dix-sept ans) et non pas attendre qu’il ait soixante-six ou–ou plutôt quatre-vingt-six ans. Et son dos, tous ses os étaient fragiles. Mais cet homme, pour la première fois, à quatre-vingt-six ans, depuis qu’il était infirme pendant soixante-six ans, s’est levé.

Oh! bien sûr, Satan disait: «Tu vas lui briser le dos s’il se lève de là.» Mais ça c’est ce que Satan disait, mais Dieu l’avait dit. Voyez? Dieu l’avait dit. Ensuite la Parole fut manifestée. Voyez-vous? Et l’homme marchait normalement et bien. Il a parcouru les Etats-Unis, la Grande Bretagne, partout dans le monde connu, et il a même envoyé une lettre à Joseph Staline sur cela. C’est un ami intime de Churchill. Beaucoup parmi vous ont vu le sénateur Upshaw, je pense, après sa guérison. Combien? Levez la main ceux qui savent cela. Voyez...?...


Wood River, Illinois, USA

E-33 Mais écrivez-lui et demandez-lui à ce sujet. C’est un spécialiste. J’ai appelé le docteur Adair et je lui ai demandé s’il pouvait aller voir M. Hall.

Il a dit: «Je vais aller voir les clichés de la radiographie à l’hôpital.» Il est parti. Il m’a rappelé et a dit: «Oui, Billy. Il a le cancer.»

J’ai dit: «Je vous en prie, y a-t-il un endroit où vous pouvez l’envoyer?»

Il a dit: «Vous pouvez l’envoyer à la clinique Able, à Louisville, pour que le cas soit examiné.» On a pris une–une ambulance, et on l’a emmené là-bas. Il était alors à l’article de la mort. On l’a emmené là-bas, et ils n’ont pas voulu leur remettre le diagnostic. Ils ont rappelé le docteur Adair. Et il m’a appelé; il a dit: «Billy!»

J’ai dit: «Oui.»

Il a dit: «Votre ami prédicateur va passer par-dessus bord dans quatre jours.»

J’ai dit: «Il va mourir, docteur?»

Il a dit: «Oui.»

J’ai dit: «Oh! la la! il n’y a rien que vous puissiez faire?»

Il a dit: «Billy, on ne peut pas lui enlever le foie sans qu’il meure.»

Il a dit: «Il n’y a rien que l’on puisse faire. Cet homme est mourant.» Il a dit: «C’est un prédicateur. Il devrait être prêt.»

J’ai dit: «Oh! il est prêt. Mais c’est un jeune homme.» J’ai dit: «Il n’a pas plus de cinquante-cinq ans. Il peut faire encore beaucoup pour le Seigneur.» J’ai dit: «J’ignore la raison pour laquelle Dieu le reprend.»

Il a dit: «Bien, Bill, c’est difficile à comprendre pour quiconque. Nous devons simplement accepter cela

J’ai dit: «C’est vrai.» C’était donc dur d’aller le dire à ma soeur Hall.


Wood River, Illinois, USA

E-35 Le jour suivant, j’avais un jour de congé. Et je–j’aime chasser l’écureuil. Mais alors, j’avais là un vieux petit calibre 22. Je comptais aller chasser l’écureuil dans les bois afin de me reposer un peu. D’habitude je pars m’asseoir sous un arbre et je m’endors, et je dors le reste de la journée. Parce que je suis–je m’éloigne simplement des foules pour un petit moment; en effet, vous savez ce qui se passe là-bas à la maison.

Le lendemain matin, de bonne heure, nous avons terminé avec la foule qu’il y avait à la maison vers minuit ou une heure. Et j’ai réglé le réveil à trois heures. Je me suis réveillé de bonne heure, et j’ai pris mon vieux petit fusil pour chasser l’écureuil et mon vieux chapeau, et je commençai à sortir pour aller chasser l’écureuil. J’ai regardé dehors sur la route. Il n’y avait personne là-dehors, alors je... Et lorsque j’ai traversé la chambre... Et lorsque je suis entré dans le vestibule, il y avait, suspendue là dans la pièce, une toute petite vieille pomme d’à peu près cette grosseur; elle était verte, noueuse, rongée par les vers. Et je me suis dit: «Pourquoi ma femme a-t-elle accroché ça au mur?» C’était la chose à l’apparence la plus horrible. Vous avez déjà vu ces vieilles petites pommes, comme celles d’un arbre qui n’a pas été traité, vous savez, qui sont vraiment noueuses et vilaines.

Et alors j’ai dit: «Pourquoi a-t-elle accroché cela au mur?» Et je me suis mis à passer, et j’ai regardé encore. Et elle n’était pas accrochée au mur; elle était simplement suspendue en l’air. Et j’ai compris que cela signifiait quelque chose. Je me suis agenouillé. J’ai dit: «Qu’est-ce que Mon Père céleste veut faire connaître à Son serviteur?»


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