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Wood River, Illinois, USA

E-66 Etes-vous la personne pour laquelle je venais de prier, monsieur? J’aimerais que vous me regardiez. Je voulais dire par là, comme Elie avait dit à Achab, il a dit: «Si ce n’était par égard pour Josaphat, je ne t’aurais même pas regardé.» Mais, il l’a regardé. Si nous ne nous connaissons pas, qu’il n’y a aucun contact entre nous deux, Dieu devra établir le contact, n’est-ce pas? Si Dieu me fait connaître quelque chose à votre sujet, qui vous aiderait, allez-vous alors accepter Jésus comme votre Guérisseur? Ou bien, si c’est... Si c’est de la guérison que vous avez besoin. Et c’est cela.

C’est de la guérison que vous avez besoin, parce que c’est un trouble gastrique qui vous dérange. N’est-ce pas juste? Si c’est juste, levez la main. C’est un... de l’estomac. C’est dû à la nervosité. Cela a provoqué un ulcère, une maladie de l’estomac. Vous avez eu des ennuis avec cela. Et vous avez... Vous n’êtes pas de cette ville. Vous–vous avez roulé pour venir ici. Vous venez de–de loin, vraiment d’une longue distance. Je vois cela... Je pourrais dire une distance comprise entre cinquante [80 km–N.D.T.] et cent miles [160 km]. Quelque chose comme cela. Vous êtes venu. Vous–vous êtes...

Il y a simplement quelque chose d’étrange à votre sujet. Un instant. C’est un... Vous avez un ami, et cet ami souffre d’un trouble cardiaque. Et cela–cela... Je crois que l’homme en question est un Juif. Et il–il est un petit... ne sait rien au sujet de Jésus. Il n’est pas converti au christianisme, pourtant il voudrait avoir un... Cet homme est ici dans cette salle. Le voici même assis juste ici, il est assis juste par ici, à côté d’une dame, juste là. Mon ami, Jésus est le Messie, le Fils du Dieu vivant, acceptez-Le maintenant comme votre Sauveur et votre trouble cardiaque va vous quitter. Si tu peux croire, tout est possible. Votre trouble gastrique vous a quitté. Rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez maintenant. Que Dieu vous bénisse.

Voici votre heure, mon ami Juif. Le Messie de Dieu qui connaissait Philippe vous connaît vous et votre compagnon. Et voici l’heure de prendre votre décision.


Wood River, Illinois, USA

E-69 Et vous-même, vous priez pour les malades. Oui, oui. Vous allez partout prier pour les malades. Vous avez donc développé une sorte de rhume, cela–cela vous dérange. Et vous avez passé une radiographie. Et on vous a dit que vous avez une tache aux poumons. Alors au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne cette tache, que cela vous quitte! Et puissiez-vous être rétablie au Nom de Jésus-Christ. Je condamne ce démon qui voulait ôter la vie à cette femme. Ce dont vous vous inquiétez, ce sont les ténèbres. Voyez?...?.. les ténèbres vous ont quittée. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en remerciant Dieu et en vous réjouissant, étant heureuse.

Pouvez-vous croire? Tout est possible, si vous pouvez croire.


Wood River, Illinois, USA

E-77 Oh! Dieu s’approche de vous. Vous étiez très nerveux, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Absolument. On pensait parfois que vous souffriez d’un trouble cardiaque, n’est-ce pas? C’est une dépression nerveuse, une sorte de tremblement... Un... Oui. J’ai vu lorsque le médecin vous a parlé de votre trouble cardiaque, cela vous a secoué. Si vous acceptez Jésus comme votre Sauveur maintenant, ce qu’était votre désir depuis longtemps... Vous êtes un pécheur et vous avez besoin de Jésus-Christ comme votre Sauveur. L’acceptez-vous comme votre Sauveur maintenant? Partez, vous êtes guéri, frère, et vos péchés vous sont pardonnés. Que Dieu vous bénisse.

Croyez-vous ceci? L’Ange du Seigneur est tout près pour guérir. Venez.

Pauvre vieille mère qui êtes assise là, souffrant de cette névrite, voulez-vous que Dieu vous guérisse? Croyez-vous qu’Il va le faire? Si vous le croyez de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir. Tenez-vous debout, et acceptez alors cela. C’est juste. Cela vous a quittée, mère.


Wood River, Illinois, USA

E-6 Ce vieux frère... J’étais là en train de parler comme ceci, alors il s’est levé et a dit: «Dites donc, Frère Branham; j’aimerais vous poser une question.» Tout en désordre...

anmoins, j’ai dit: «D’accord, frère; c’est quoi?»

Il a dit: «Je suis vraiment très heureux, je ne sais que faire.»

J’ai dit: «Eh bien, c’est bien.»

Il a dit: «Vous savez, la chose étrange cependant, a-t-il dit, quand je vous ai entendu prêcher, j’étais sûr que vous étiez nazaréen.» En effet, lui-même était nazaréen, vous savez. Il a dit: «Je–j’étais sûr que vous étiez nazaréen. Et puis, a-t-il dit, j’ai vu tous ces pentecôtistes par ici, et quelqu’un m’a dit que vous étiez pentecôtiste.» Et il a ajouté: «Maintenant, je vous ai entendu dire il y a quelques instants que vous étiez baptiste.» Il a dit: «Je–je n’arrive pas à comprendre cela

J’ai dit: «C’est très facile.» J’ai dit: «Je suis un baptiste pentecôtiste nazaréen.» Et j’ai dit... [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E.] Nous sommes tous un en Jésus-Christ. Amen...?...


Wood River, Illinois, USA

E-7 Ce soir-là, Mr Brown m’a parlé, disant: «Frère Branham, aussitôt que... attendez une petite pause pour vous reposer encore.» On me laissait me reposer quelques minutes. Je devenais vraiment engourdi, partout, alors on me mettait à l’écart et on me laissait me reposer quelques minutes, juste pendant qu’on chantait des cantiques, et peut-être un prédicateur prêchait un petit sermon. Je me reposais un peu et je revenais. Alors, cela... Je n’étais pas alors sorti prier pour les malades, mais juste, oh! deux ou trois mois.

On m’a donc amené à l’écart et il a dit: «J’aimerais vous montrer une scène comme vous n’en avez jamais vue.»

J’ai dit: «C’est quoi?»

Il a dit: «Une folle.»


Wood River, Illinois, USA

E-11 «Oh! ai-je dit, je pense que je peux lui parler.» (J’étais juste un enfant dans le ministère. Je–je ne savais pas alors ce que... Je me rends compte maintenant que le mieux est d’attendre et laisser Dieu le dire.) Je me suis donc avancé dans la pièce. Elle était juste...?... couchée sur le dos. Il a dit qu’elle ne s’était pas relevée du dos ça faisait deux ans, elle était juste couchée comme cela. Elle avait les mains en l’air comme cela, et je me suis directement avancé là, j’ai dit: «Bonsoir, soeur.» Elle est simplement restée couchée là, les yeux enfoncés et... J’ai tendu la main, j’ai dit: «Bonsoir.» Et j’ai saisi sa main. Oh! la la! Heureusement, Dieu était avec moi.

Aurait... Tout celui qui est possédé de démon, sa force augmente beaucoup, vous savez. Elle m’a saisi par la main, comme ça, très vite. Et j’ai été un boxeur. J’ai détenu le titre de champion poids coq non vaincu, pour trois Etats, alors... Je savais ce que c’est une prise.

Mais elle m’a saisi comme ça, elle a saisi comme ça, et alors, n’eût été le fait que j’ai très vite lancé mon pied et que je l’ai tapée aux seins avec mon pied pour me ressaisir, elle aurait... Eh bien, elle m’aurait probablement brisé les os là même par terre, là où elle me tirait brusquement comme cela. Cela a fait dégager sa main, comme cela, et elle a soufflé très fort comme un–comme un–un crocodile, ou quelque chose comme cela, produisant un très grand soufflement, un bruit étrange [Frère Branham souffle dans le micro.–N.D.E.], comme ça.

Eh bien, oh! la la! Et alors, elle s’est mise à tournoyer. Eh bien, je–je me suis éloigné d’elle. Et alors, elle a commencé à me pourchasser, on dirait comme un serpent rampant par terre. On pouvait entendre cela, juste–juste comme–comme quelque chose qui rampe, là où elle... Elle m’a pourchassé sur le dos, sur les marches comme cela. Et là, elle rampait sur le pavement. Et j’ai dit: «Oh! la la


Wood River, Illinois, USA

E-12 Eh bien, c’est seulement la grâce de Dieu, sinon–sinon être comme cela...?... vous les femmes, ou les hommes aussi (Voyez?), rien que la grâce de Dieu.

Et quand elle a mis ses membres très forts contre le–le paroi du mur, comme cela, et qu’elle s’est appuyée au mur comme cela, elle a donné un coup de pied très fort, et alors, elle s’est avancée sur le pavement et a cogné un banc placé là et un côté de sa tête... C’était une belle dame, charmante, d’environ quarante-cinq ans, elle s’est cognée la tête comme ceci, et les cheveux... Et le sang a giclé quand elle a cogné, elle a détaché un morceau du banc. Eh bien, ses jambes étaient très fortes pour lancer des coups de pied comme cela. Et un morceau de banc s’est envolé, elle a tenu cela entre ses mains, comme cela, et elle l’a lancé. Cela a raté son mari de justesse, et ça a détaché le plâtre du mur.

J’ai dit: «Oh! la la! Elle est dans un état horrible.»

Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Maintenant, Frère Branham, vous faudra-t-il lui imposer les mains?»

J’ai dit: «Je–j’aurais voulu pouvoir le faire.»

Et il s’est mis à pleurer. Il a dit: «Maintenant, je ne sais pas ce que...»


Wood River, Illinois, USA

E-16 Environ deux mois après cela, j’étais à Little Rock, ou pas à Little Rock, mais à Jonesboro. Et là était assis... Je voyais quelqu’un qui me faisait continuellement signe de la main, comme ça, à la réunion. Je me suis dit: «Eh bien, je ne me souviens pas de ces gens», et j’étais en train de prêcher. J’ai encore regardé, et je me suis dit: «Eh bien...» Et alors, la dame s’est levée, ou plutôt l’homme, et il a dit... Il avait des petits enfants là, il a dit: «Frère Branham, est-ce que vous nous reconnaissez?»

J’ai dit: «Je ne pense pas.»

Il a dit... La dame a dit... Elle s’est aussi levée; elle a dit: «Excusez-moi, Frère Branham, mais, a-t-elle dit, on me dit que j’étais couchée sur mon dos la dernière fois que vous m’avez vue.»

Et j’ai dit: «Avez-vous été guérie quelque part?»

Elle a dit: «Oui. C’est moi la dame qui était dans le sous-sol dans ce...»

J’ai dit: «Oh! la la

Elle était là avec ses cinq petits enfants, qui l’étreignaient, normale, bien portante et dans son bon sens.


Wood River, Illinois, USA

E-19 Eh bien, demain, à notre regret, j’aurais voulu, du fond de mon coeur, avoir une série de réunions un peu plus longue, si nous pouvions avoir cela, pour au moins une autre semaine. J’ai envie, si je pouvais, de prendre la semaine prochaine, juste à peu près quatre jours pour juste prêcher l’Evangile ordinaire, et faire les appels à l’autel. Il serait difficile de dire ce qui arriverait. Après que les gens se sont déjà fait une idée sur la puissance de Dieu qui délivre, que chacun de vous amène alors son ami pécheur, la semaine prochaine, ce serait peut-être en ce moment-là même que nous–nous pourrons gagner des âmes à Christ. Généralement, dans ce genre de réunions, il n’y a que des chrétiens qui viennent. Des pécheurs viennent de temps à autre, mais généralement, ce ne sont que des chrétiens. Et puis, le–le croyant croit déjà. Voyez?

J’espère donc que ça sera la volonté de Dieu pour moi de revenir une fois de plus vers vous très bientôt. Vous avez certainement un groupe de braves frères et de braves... Jamais à aucun moment, nulle part, je n’ai trouvé davantage de collaboration de l’Esprit de Dieu plus que ce que j’ai trouvé ici même en ce lieu. C’est vrai. C’est vrai. C’est la vérité.

Je n’ai jamais vu un lieu, que j’ai déjà fréquenté, où des ministres sont assis derrière moi à l’estrade. Et c’est... La première soirée, cela m’a dérangé un peu, car j’étais conscient de leur présence là, mais c’était juste ce mur de foi là. J’ai dit qu’on les laisse simplement tranquille. Ce–c’est bien; ce sont mes frères. C’est–c’est merveilleux, et j’en suis ravi. Quand vous trouvez une telle foi là pour croire, tout peut alors arriver.


Wood River, Illinois, USA

E-20 Maintenant, nous vous remercions pour tout, et demain après-midi, si vous le pouvez, je pense que les services commenceront à quatorze heures. Est-ce vrai? Quatorze heures. Cela me permettra d’être ici à quatorze heures trente, peut-être. Et je parlerai un peu, et puis, je prierai pour les malades. Et alors...

Vous avez été une assistance très gentille, et qu’il pleuve ou qu’il y ait de mauvaises soirées, vous êtes venus de toute façon. Vous nous avez aidés avec de l’argent pour payer des dettes. Je pense qu’on va tout rassembler. Monsieur Brewer va donner cela à mon fils ce soir, et les dépenses à couvrir, s’il n’y en a pas assez pour couvrir toutes les dépenses, cela sera couvert le matin. Sinon, eh bien, après que mon offrande d’amour aura été prélevée demain, cela sera fait, ça les couvrira. Sinon, en effet... Je pense, c’est déjà plus que payé. Et s’il en reste quelque chose, n’importe quoi, je ne le prendrai pas pour moi-même; je l’affecterai droit aux oeuvres missionnaires à l’étranger, envoyer outre-mer pour faire tout mon possible. S’il en manque un peu, alors je vais prélever sur mon offrande d’amour, je couvrirai avec cela. Voyez?


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