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Wood River, Illinois, USA

E-6 Y a-t-il peut-être un temps pour un tout petit témoignage ici même? Au début, quand je–je suis alparmi les pentecôtistes, que j’ai vu ces danses dans la salle, eh bien, c’était vraiment trop pour mes manières de prétendu baptiste, vous savez. Je disais donc: «Regardez ça. Eh bien, la danse, c’est pour les gens du dehors, pour l’autre type de gens, disais-je, pas pour les croyants.» J’entends la musique se mettre à jouer, les gens se mettre à crier, se mettre à pousser des cris, peu après, quelqu’un se met à danser. Je disais: «Dites donc, je–je n’aimerais pas être critiqué, mais assurément, je–je redouterais de dire quelque chose contre Dieu, ça ne serait pas en ordre.» Je n’ai jamais critiqué quoi que ce soit de ce genre. Et je disais: «Eh bien, je... Mais vous savez, je n’arrive pas à comprendre cela.» Je disais: «J’aurais voulu voir cela dans la Bible.»


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E-7 Alors, un soir, j’apportais un enseignement sur un tableau, sur la Seconde Venue de Christ. Un groupe de gens de Louisville, dans le Kentucky, était venu. Il y avait des jeunes filles, elles avaient... l’une d’elles était pianiste, et l’autre avait des cymbales et une planche à laver. Et, oh! la la! elles produisaient avec ça autant de musique qu’une fanfare, pratiquement. Et elles étaient...

J’apportais donc un enseignement sur la Seconde Venue et... Ainsi donc, quelques jours avant cela, j’avais été là à Salem, dans l’Indiana, là où il y avait des pentecôtistes; je venais de faire leur connaissance, ils dansaient et faisaient des choses. Je me suis mis à parcourir les références. J’ai alors découvert que la danse, la première référence où j’ai vu ça, c’est quand Marie s’est mise à danser. Je me suis dit: «Eh bien, cela doit venir de Dieu et le diable n’a fait que copier cela.» Voyez-vous? Eh bien, puis la référence suivante, j’ai vu que David avait dansé quand il avait vu l’arche descendre la route. Voyez?

Et je me suis dit: «Oh! la la! C’est merveilleux!» Et j’ai constaté que le roi avait une fois fait un voeu risqué. Et il s’était engapar un voeu, d’offrir la première chose qui sortira de sa maison. Et voici venir sa fille Mir... Et la fille se réjouissait en dansant. Et je–j’ai vu que la danse, c’était la victoire. Et je me suis dit: «Eh bien, peut-être que je n’ai pas emporté assez de victoires. Peut-être que c’est ce qu’il y a. Peut-être qu’un peu de moi-même doit encore mourir.»


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E-10 Maintenant, nous sommes... J’aimerais vous remercier tous une fois de plus pour votre gentillesse. Et nous allons essayer, le Seigneur voulant... J’ai envoyé Billy il y a quelques instants, et–et je lui ai parlé, disant: «S’il y a déjà des gens rassemblés, eh bien, vas-y et donne aux gens des cartes de prière. Peut-être que nous pourrons former une petite ligne afin de prier pour quelques malades cet après-midi.» Généralement, mon service de l’après-midi, c’est pour prêcher, mais je me suis donc proposé de peut-être prier pour quelques-uns qui sont malades.

Il nous faut conduire cependant sur un long trajet cet après-midi et ce soir, arriver à la maison vers minuit. Et puis, me coucher assez suffisamment pour avoir un peu de repos, me réveiller, et le mardi soir, je dois commencer à Hot Springs, en Arkansas. Et puis, le mercredi, à Shreveport, en Louisiane. Dimanche, on commence à Phoenix, en Arizona. Et cette semaine-là, jusque dimanche prochain. Et puis, le lundi après-midi, je commence à la Réserve des Apaches, là où l’une des réunions les plus puissantes que j’aie jamais tenues dans les premiers jours avait eu lieu, à la Réserve des Apaches. Des milliers d’Indiens étaient assis là. Vous parlez de la guérison, oh! je n’oublierai jamais une soirée. (J’espère que je ne prends pas trop de temps.) Mais, un soir, j’avais terminé... j’étais là et je leur parlais.


Wood River, Illinois, USA

E-11 Eh bien, s’il y a au monde des gens qui ont été maltraités comme le font les Américains, ce sont des Indiens. C’est vrai. Après tout, nous sommes des étrangers. C’est à lui que Dieu a donné le privilège d’être Américain. C’est vrai. Nous l’avons simplement tabassé. Nous avons tué son bison. Nous l’avons repoussé là, et nous l’avons installé sur un terrain où des milliers d’entre eux crèvent de faim chaque année. Si jamais il y a eu une tache sur le drapeau américain, c’est celle du traitement infligé aux Indiens. C’est cela. Ce n’est pas correct d’envoyer des milliards de dollars à l’Allemagne, à l’Angleterre, au Japon, pour leur développement afin qu’ils nous fassent exploser cela en retour. La charité bien ordonnée commence par soi-même. C’est vrai. Et nos propres concitoyens crèvent de faim.

Et une nuit, j’ai dit à Dieu là au Bird Auditorium, à Phoenix, que s’Il guérissait... La première fois que j’aie jamais prié pour les Indiens, trois Indiennes, et Dieu les a guéries toutes. Je suis donc allé là à la Réserve. Vous rappelez-vous cette nuit-là? Je n’arrivais pas... Je parlais seulement par un interprète. Et, oh! la la! vous parlez d’une langue! Vous devriez entendre cela. Il n’y a pas de phrase, ni rien d’autre, ils commencent vraiment très bas, se mettent à crier et retombent. Vous savez, c’est bien terrible. Il n’y avait donc qu’un seul interprète, et c’était une–une femme, et elle était une métisse, elle pouvait donc parler un anglais assez bon, elle pouvait parler l’apache.


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E-12 J’ai donc constaté, c’était le tableau le plus beau. Il y avait une petite église de l’Assemblée de Dieu là. Je me tenais à l’estrade, et les Indiens étaient simplement assis par milliers, dans l’assistance là. Le tableau le plus beau, ils chevauchaient leurs poneys, vous savez, et ils avaient allumé de petits feux. Et je leur parlais.

Et j’ai dit: «Maintenant...» Je leur ai parlé, disant: «Je pense qu’on vous a très mal traités, mais ce n’est pas moi qui dirige le gouvernement; je suis juste quelqu’un de l’Etat comme vous. Si je m’y prenais à ma manière, ce serait différent.»

Ils étaient étendus là dans de vieilles petites tentes, la moitié d’entre eux se mouraient de tuberculose, de glaucome, et tout. J’ai dit: «C’est une–c’est une disgrâce, mais je n’y peux rien.» Mais j’ai dit: «Ce que j’essaie de vous apporter ce soir, c’est Quelqu’Un qui vous traitera correctement, c’est Jésus-Christ.» C’est exact. J’ai dit: «Il ne vous rejettera jamais. Il ne fera jamais de discrimination raciale à votre détriment, quoi que ce soit. Il sera juste le même envers vous qu’Il l’est envers tous.» J’ai dit: «Maintenant, évidemment, je ne peux que dire ces choses et Dieu les confirmera, confirmera ce que je dis à ce sujet; alors, croyez le Seigneur.» Ainsi donc, j’ai dit: «Y a-t-il quelqu’un ici qui aimerait qu’on prie pour lui maintenant?» J’ai dit: «Nous avons une ligne.» Je... c’était avant que nous ayons assez d’ordre pour distribuer des cartes de prière. Alors, nous–nous devions simplement les faire passer le mieux que nous pouvions. J’ai donc dit: «Levez-vous.» Et généralement, oh! la la! ce serait partout, mais eh bien, personne ne s’est levé. Un Indien, c’est quelqu’un de très étrange. Vous devez le surveiller.


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E-14 Alors, ils l’ont annoncé à l’estrade, ils ont donc commencé à parcourir la tente. Et les Indiens étaient tous assis en cercle, dehors, comme ceci. Billy parcourt donc l’assemblée en distribuant les cartes. Et un homme tournoyait, un Indien, il lui a donné un coup dans le dos et a dit: «...?...»

Et il a dit, Billy a dit: «Eh bien alors, papa m’a dit de distribuer ceci aux gens qui sont vraiment malades.» Il a dit: «Quel est votre problème, chef?»

Il a dit: «Moi malade.»

Il a dit: «De quoi êtes-vous malade? Quelle est la vôtre? De quoi êtes-vous malade, chef?»

Il a dit: «Moi malade.» C’est tout.

Mais il a dit: «Allez vous asseoir, chef, je vais vous donner une carte d’ici quelques minutes si je le peux.» Peu après donc, le chef continuait à surveiller le niveau de ces cartes qui diminuait de plus en plus. Alors, le chef s’est avancé, il l’a tapoté dans le dos une fois de plus et a dit: «Hmm.»

Il a dit: «Quel est votre problème, chef?»

Il a dit: «Moi malade.»

Il a dit: «De quoi êtes-vous malade, chef?»

Il a dit: «Moi malade.» Alors, il s’est retourné, et il est reparti et le chef l’a suivi. Il l’a tapoté dans le dos et il a dit: «Moi malade.»

Billy lui a donné une carte de prière et il a dit: «S’il vous plaît, écrivez là-dessus: ‘Moi malade’, s’il vous plaît. ‘Moi malade.’» C’est étrange.

Cette nuit-là, peu après, quand on en avait fait sortir quelques-uns de... fait entrer à l’intérieur de la petite église de l’Assemblée de Dieu, il y avait donc une femme là, c’était le pasteur de cette église. J’oublie son nom. Mais de toute façon, ils... Votre Evangile a publié l’article là-dessus. Il y a de cela environ six ans ou sept. Quand cela est arrivé... La première personne à passer, c’était une dame, c’était une femme très costaude.


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E-15 Je me suis tenu à côté d’elle juste un petit moment jusqu’à ce que j’eusse senti l’onction de l’Esprit. J’ai dit: «Maintenant, votre problème, c’est que vous souffrez d’une maladie vénérienne», non pas qu’elle était immorale, c’est parce qu’elle était forcée de vivre de façon si souillée. C’est tout. J’ai dit: «Une maladie vénérienne.» Elle s’est retournée et m’a regardé, quand l’interprète a dit cela. Comment avais-je su cela? Voyez? Alors, cela l’a un peu eue. Eh bien, une bonne femme, juste la façon dont elle avait eu à vivre dans l’impureté.

Et alors, et, peu après, le suivant est passé. C’était un homme qui souffrait de glaucome à l’oeil. Et puis alors, plusieurs Indiens continuaient à se regarder les uns les autres comme ça. Et le suivant à passer, c’était un petit garçon, il ne relevait pas sa tête comme cela. J’ai dit: «Dites-lui de lever les yeux vers moi, j’aimerais lui parler.» Et la maman, elle a été très brutale. Elle a tenu le petit garçon juste par le dessus la tête, comme ça, il elle basculé sa petite tête vers l’arrière, et ses pauvres petits yeux étaient louches au possible. Je me suis dit: «Eh bien, c’est–c’est en ordre.»


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E-17 Eh bien, alors, cela a vraiment déclenché une agitation. Vous... On dirait une débandade, je vous assure, la poussière s’envolant de partout. Tout le monde était alors dans la ligne de prière. Et je n’oublierai jamais ce soir-là. Je... Il y avait tellement... le–l’homme blanc n’arrivait pas à les tenir à distance, comme cela. Il y eut juste un murage si compact. Et ils ont rempli une petite ligne là, frère Moore et un groupe d’entre eux là retenaient la–la ligne comme cela. Et puis, j’ai dit: «Qu’ils sortent d’abord de cette salle.» Ils ont commencé les premiers.

Et le suivant à passer, c’était une pauvre vieille mère indienne, avec deux manches à balai coupées avec...?... servant de béquilles, avec des lambeaux enroulés au bout. Et elle cherchait à m’atteindre. Alors, un petit garçon indien voulait la devancer. Frère Jack n’arrivait donc pas à lui faire comprendre. Alors, il l’a simplement soulevé et l’a mis derrière, dans la ligne. Un petit garçon d’environ dix sept, dix-huit ans. Frère Moore est un peu fort, c’est le genre d’Irlandais fort, il l’a simplement renvoyé derrière dans la ligne.


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E-19 Vers l’aube, ce matin-là, j’avais prié toute la nuit alors. Et vers l’aube, le lendemain matin, j’ai constaté, je les faisais simplement passer. On n’avait pas à leur dire quoi que ce soit de plus, juste–juste leur imposer les mains, c’est tout ce qu’ils voulaient que vous fassiez. Alors, le lendemain matin, quand ils... vers l’aube, frère Brown s’est avancé et a dit: «Frère Branham, vous êtes sur le point de vous évanouir maintenant, a-t-il dit, je dois vous faire partir.»

J’ai dit: «Eh bien, essaie d’en faire passer le plus.» J’ai dit: «Qu’est-ce...» J’ai dit à l’interprète: «Qu’est-ce qui vous inquiète? Pourquoi ces gens sont-ils si mouillés?» Ils étaient mouillés jusqu’à la taille, ici. Elle a dit: «Eh bien, au départ, ils pensaient que c’était faux, mais, a-t-elle dit, maintenant, a-t-elle dit, ils–ils vont dans le désert et amènent leurs bien-aimés et, a-t-elle dit, ils ne vont pas effectuer vingt miles [32 km] jusqu’ici, au gué, ils traversent en pataugeant directement la rivière Gila Bend, là même, traversant de ce côté-là, pataugeant dans l’eau.


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E-27 Maintenant, de penser à Jésus juste au commencement de Son ministère là et (Oh!) comme c’était merveilleux de Le voir, c’est Son... Oh! Comme dans Sa puissance, Il est alaccomplir des signes et des prodiges. Et ici, Il est à Génésareth, un lac, là. Je peux m’imaginer l’agitation parmi les gens. Il y avait eu une réunion le soir ou la veille au soir. Ainsi donc, de grands signes avaient été accomplis. Ils disent donc: «Dites donc, vous connaissez ce jeune Evangéliste qui prêche ici, le Guérisseur. Eh bien, Il est en train de tenir un service ici sur le rivage ce matin. J’ai vu toutes les femmes descendre la colline, s’y rendre. Les hommes ont abandonné leur labour dans les champs pour aller L’entendre parler. Il a un petit quelque chose qui parait différent.»


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