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Wood River, Illinois, USA

E-28 Je m’imagine bien qu’il y en a, pas vous, frère? Oui, oui. Et Il se tenait là. Et tout d’un coup, vous savez, la foule était très serrée, les gens Le bousculaient pour entendre la Parole de Dieu. Oh! J’aime entendre de bons prédicateurs. J’aime vraiment les entendre.

Mais, oh! je sacrifierais tout cela si je pouvais L’entendre, juste en un sermon. Pas vous? J’aurais voulu L’entendre quand Il se tenait là, disant: «Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés. Je vous donnerai du repos.» J’aurai voulu entendre cela. Nous n’entendrons jamais cela, je pense. Mais nous entendrons ceci: «Ça a été bien fait, mon bon et fidèle serviteur.» C’est l’essentiel. Ce sera alors terminé.

Et Il se tenait là, Il parlait aux gens. Et je peux m’imaginer voir environ trois pêcheurs fatigués, ou quatre, assis là sur une souche, ou sur un gros morceau de bois, qu’ils avaient installé là.

Ils ont dit: «Ecoutons ce que cet Homme a à dire. Nous avons écouté le docteur Jones et tous les autres. Ecoutons ce qu’Il a à dire.»

Je peux m’imaginer Simon, il se gratte la tête et dit: «Dites donc, vous savez ce que...» Juste comme n’importe quel autre pécheur quand il vient à l’église, il occupe le tout dernier siège qu’il peut trouver (Voyez?), il s’assoit loin derrière. Vous savez cela, frères, dans votre église. Alors, il se met à se gratter la tête, vous savez. Et il a dit: «Vous savez, il y a quelque chose de différent chez cet Homme-là.» Il a simplement pris son gros morceau de bois et s’est approché un peu plus près.


Wood River, Illinois, USA

E-32 Or, Il ne peut pas vous guérir, ou Il ne peut pas non plus vous sauver, ou Il ne peut rien faire pour vous avant que vous acceptiez premièrement cela, que vous croyiez cela et que vous confessiez cela. C’est vrai. Vous devez le confesser. Non pas que vous devez sentir cela, vous devez confesser cela. Il n’est pas le Souverain Sacrificateur de vos sensations. Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession (C’est exact.), ce que vous confessez.

Or, si on prie pour vous, ou que vous êtes assis dans cette salle cet après-midi, le Saint-Esprit entrera ici et vous sentirez Sa Présence bénie, vous entendrez Sa Parole être proclamée, disant qu’Il vous tous a guéris et autres, comme cela; vous verrez la puissance de Dieu. La voici être proclamée et on sait que c’est pour tout le monde, vous sortirez d’ici en disant: «Eh bien, je me sens tout aussi mal qu’avant d’entrer.» Il ne pourra rien faire pour vous.

Et vous direz: «Eh bien, je suis... Je–j’accepte cela maintenant.» Et puis, le matin, vous vous levez et vous dites: «Eh bien, j’ai toujours ces maux de tête; je me sens toujours aussi mal qu’auparavant.» Vous avez alors directement rechuté. Vous ne vivrez jamais au-dessus de votre confession. Que la personne la plus sainte dans cette salle maintenant même prenne une résolution dans son esprit qu’elle n’est plus un chrétien, c’est alors qu’elle ne sera plus un chrétien. Voyez-vous?

Quand vous sortez et qu’on vous demande: «Etes-vous un chrétien?»

«Non, je l’étais autrefois, mais je–je ne le suis plus.» Vous êtes déchu de la grâce là même. Voyez-vous? C’est la foi. Voyez-vous? C’est soit la foi, soit l’incrédulité. Vous êtes possédé par ces deux puissances: Soit la foi, soit l’incrédulité. Si vous avez la foi, vous êtes sauvé parce que vous êtes un croyant. Si vous n’avez pas de foi, cela... vous êtes un pêcheur.


Wood River, Illinois, USA

E-36 Je pense à Pierre, quand le Seigneur lui avait parlé, disant: «Viens», pendant qu’Il marchait sur les eaux. Eh bien, Pierre n’avait jamais marché sur l’eau, il n’avait jamais entendu parler de quelqu’un d’autre qui avait déjà marché sur l’eau. «Je ne sais comment marcher sur l’eau, Seigneur, mais sur Ta Parole, me voici venir.» Et il l’a fait. C’est vrai.

La femme qui... Oh! Souvent, nous nous arrêtons bien sur différentes choses dans les Ecritures, pourvu que nous en ayons le temps, des gens qui ont eu des choses... Marie n’avait jamais su comment un enfant pouvait naître d’une vierge, mais elle a pris Dieu au Mot. «Sur Ta Parole, Seigneur.» Elle est allée témoigner avant que n’importe quoi arrivât; elle a témoigné que cela arriverait, parce qu’elle avait pris Dieu au Mot.

Cet après-midi, prenons Dieu au Mot maintenant. Et voici ce qu’Il a dit dans Sa Parole: «Tout (Marc 11.24), tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Vous l’aurez. Eh bien, n’est-ce pas simple?

Maintenant, je vous aime, je n’aimerais pas qu’il y ait ici une seule personne dans cette salle, cet après-midi, qui ne sera pas guérie. Voyez-vous? Et je crois de tout mon coeur, en brandissant ma foi, comme je priais dans la pièce il y a quelques instants, avant de quitter: «Ô Dieu, s’Il Te plaît, guéris tout le monde, ou secoue-les si durement qu’ils sauront au jugement que je leur ai dit la vérité à ce sujet (Voyez?), qu’il ne restera aucune personne faible au milieu d’eux.» C’est vrai.

Maintenant, je vois des visions au-dessus des gens, mais je ne peux pas dire qu’ils sont guéris avant qu’Il me dise qu’ils sont guéris. Et Il ne peut pas le dire avant que votre foi agisse réellement. Et en agissant, votre foi amène la Parole de Dieu à s’accomplir. Vous devez croire cela, accepter cela, témoigner cela. Dites: «Je reçois cela maintenant, Seigneur, et c’est réglé une fois pour toutes. Peu importe l’impression que j’ai, rien à ce sujet; je vais croire cela de toute façon.»


Wood River, Illinois, USA

E-37 Vous vous rappelez quand je souffrais de l’estomac, la régurgitation, eh bien, les frères Mayo m’ont parlé, disant que je n’avais même pas une chance sur terre, pas une chance sur dix millions, pour vivre, et que mon estomac n’était qu’un sensible ulcère saignant. Je suis allé à table, je suis assis; j’ai demandé la bénédiction... On me donnait un sirop d’orgeat et du jus de pruneau, et un biscuit cracker, un biscuit graham cracker, à peu près deux de cela au souper, deux au petit-déjeuner, et on me laissait prendre cela deux fois par jour. J’ai simplement lu là ce que Dieu a dit. J’ai donc demandé la bénédiction. Mon pauvre vieux père, je me rappelle la mine qu’il avait affichée quand j’ai demandé la bénédiction. Je pense que c’était la première fois que la bénédiction soit jamais sollicitée à notre table. J’ai dit: «Juste une minute, papa, j’aimerais prier.» Et maman s’est mise à pleurer.

Et nous avions des haricots, du pain de maïs, des oignons comme dîner. Vous savez ce que c’est, cela gonfle très bien les côtes. Alors, je–j’ai dit, après qu’elle eut dit, maman, qu’elle eut dit: «Je vais verser ton sirop d’orgeat.»

J’ai dit: «Donne-moi les haricots.»

Et elle a dit: «Ô chéri, le médecin a dit: ‘Non.’»

J’ai dit: «Mais Dieu a dit: ‘Oui.’» Voyez?


Wood River, Illinois, USA

E-39 Et papa a dit: «Comment te sens-tu?»

J’ai dit: «Merveilleux.» Je continuais à mâcher. J’ai ravalé cela, voilà cela revenir. J’ai tenu ma main dessus. J’ai dit: «...?... Excusez-moi, je faisais un renvoi.» C’était dégueulasse. C’étaient ces haricots qui remontaient. J’ai simplement continué à manger comme cela. Et quand j’ai quitté la table, maman est allée appeler le médecin. Elle a dit: «Eh bien, il mange des haricots et du pain de maïs.» Il a dit: «Il lisait la Bible.» Il a dit: «Il dit que Dieu l’a guéri.»

«Eh bien, a-t-il dit, cela tuera ce jeune garçon.» Il a dit: «Il aura une indigestion aiguë et il mourra.» Il a dit: «Nous allons devoir lui vider cela dans l’heure qui suit.»

Je me suis dit: «Oh! C’est ce que vous pensez.» Je suis donc entré dans la maison, je traversais la maison en me tenant l’estomac comme ceci, vous savez?

Et maman a dit: «Tu es malade au possible.»

J’ai dit: «Maman, je me sens bien.» J’ai dit: «Oui, vraiment bien.» Je suis entré, et quand je suis entré dans la pièce, j’ai dit:

Je peux, je vais, je crois vraiment;

Je peux, je vais, je crois vraiment;

Je peux, je vais, je crois vraiment,

Que Jésus me guérit maintenant.

Je Le prendrai au Mot.

C’est vrai.

«Sur Ta Parole, Seigneur, je crois cela.» Je suis entré, j’étais très faible, et tout commençait à bouger devant moi. Je continuais simplement à parcourir la pièce, disant: Je peux, je vais.

Maman disait: «Billy, tu es malade.»

Je disais: «Non, maman; je suis très heureux, je ne peux guère me tenir calme.»

J’ai dit: «Oh! Je peux, je vais.»

Je crois vraiment.

Je suis entré dans ma chambre. J’ai dit: «Je vais lire ma Bible un moment.» Je suis entré là, je me suis couché de travers sur le lit et, oh! la la! nous avons commencé là. Et moi: «Hein-hein; non, non.» Je me suis levé, je suis allé vers le chemin de fer, je continuais à marcher jour après... Quand le temps de souper arrivait, eh bien, nous étions pauvres, il nous fallait prendre des haricots et du pain de maïs encore au souper. Mais quand je me suis mis à table, j’ai encore demandé la bénédiction. On m’a encore passé les haricots et du pain de maïs. J’ai encore donné du bon travail à l’estomac. Et je... Toute cette nuit, je n’ai pas dormi dix minutes. Oh! la la! Je me couchais, et mon coeur palpitait et bondissait comme cela. Je me levais et je disais: «Je peux, je vais, je crois vraiment.»

Cela reprenait. Le lendemain matin, cela était là même. Et alors, je–je leur donnais autre chose. Et j’ai continué, j’ai continué, j’ai continué et je descendais la rue.


Wood River, Illinois, USA

E-40 Et j’ai repris le travail, je me tenais dans un fossé, dans mes vieux pantalons comme cela, damant le fossé comme ceci. Et, oh! très malade. Quelqu’un s’approchait et demandait: «Salut, Billy; comment vas-tu?»

Je disais: «Vraiment bien. Gloire au Seigneur. Je me sens vraiment bien.» Déblayant à la pelle encore un tas de sable et damant comme cela. Il me fallait parcourir la rue, et quelqu’un demandait: «Comment allez-vous, monsieur Branham?»

Je disais: «Vraiment merveilleux. Le Seigneur m’a guéri.» J’étais tout aussi malade que possible.

Quelqu’un a dit: «Eh bien, vous mentez.»

J’ai dit: «Oh! Non.» Je confessais ce qu’Il avait fait: «C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri.» Alléluia! Ne m’invitez pas à un steak d’aloyau, car je vous consommerai tout. C’est vrai.

Jamais de ma vie je n’avais pesé plus de cent dix-huit ou cent vingt livres [53,52 kg ou 54,4 kg]. Et je pèse cent soixante [72,57 kg] cet après-midi. Gloire à Dieu! Grâce étonnante, oh! quel doux son, qui sauva un vil comme moi!


Wood River, Illinois, USA

E-45 J’ai commencé à...?... peut-être, je ferais peut-être mieux de ne pas le faire. Eh bien, je vais le faire. Regardez. Souvent, vous entendez ces émissions à la radio: «Ecrivez-nous une carte, donnez-nous une carte.» C’est simplement pour avoir votre adresse afin de faire de la sollicitation. Mais, chers amis chrétiens, ce n’est pas ce que je dis. Je dis cela parce que je vous aime. Si vous avez besoin d’un tissu sur lequel on a prié ou de n’importe quoi, envoyez le chercher chez moi. C’est absolument gratuit. Ou n’importe quand que je peux faire n’importe quoi pour vous, dans ce sens, ce n’est pas pour avoir votre adresse de courrier. Je n’ai pas d’émissions à la radio. Je n’ai rien à vendre, pas de journaux, ni rien d’autres. Je vous prêche simplement l’Evangile. Et il ne s’agit pas de mes frères ici et autres comme cela, ils ont leurs programmes et tout comme cela. Supportez-les dans cela. Mais quant à moi, si je peux vous accorder une faveur, eh bien, vous savez où j’habite, à Jeffersonville, dans l’Indiana.

J’avais l’habitude de dire aux gens: la pluie ne tombera jamais trop abondamment, ni la nuit ne sera jamais trop sombre, pour m’empêcher de venir auprès de vous. Mais je... il y en a tellement que je ne peux plus dire cela maintenant. Voyez? En effet, il y a peut-être, il y a une demi douzaine de billets d’avion déposés là maintenant, à mon retour ce soir, pour que j’aille quelque part prier pour les malades. A côté de ça, il y aura une moyenne de soixante ou soixante-dix appels par jour, peut-être plus que cela, rien que des appels urgents pour aller. On ne peut donc pas en venir au bout. Voyez-vous? Il n’y a pas moyen. Mais j’amène vraiment chacun d’eux sincèrement devant Dieu et je prie. C’est vrai. Que le Seigneur vous bénisse pendant que nous inclinons la tête.


Wood River, Illinois, USA

E-48 Je n’avais jamais pensé qu’il était si tard. Très bien. Nous allons former une ligne de prière. [Frère Branham parle en aparavec quelqu’un.–N.D.E.] Un garçon difficile à élever. Eh bien, quelle est... je ne t’ai point demandé quelle carte. Eh bien, qu’avons-nous donc, la série J?

Commençons donc avec la série J aujourd’hui. Très bien. Commençons et terminons celles que nous avons commencées hier soir. Peut-être que si nous avons une occasion, nous pourrons en faire passer d’autres. Mais maintenant, les cartes de prière, c’est simplement pour faire monter quelqu’un ici. Cela n’a rien à faire avec la guérison. Il y a plus de gens qui sont guéris pendant qu’ils sont assis là dans l’assistance, sans cartes de prière, qu’il y en a ici avec des cartes de prière.

Qui a J numéro 1? Nous avons commencé à partir de 50 la nuit dernière. Qui a J numéro 1? Vous, madame? Très bien. Venez ici même. J-2, qui a cela? J-2. Peut-être que nous en prendrons quelques-unes. Et puis, nous allons prendre une autre lettre. 2? Très bien. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]


Phoenix, Arizona, USA

E-2 Alors que j’étais censé être en Inde ce mois-ci, et par une révélation, ou plutôt par une vision du Seigneur, Il m’a dit d’aller en septembre, pendant que... Ils ont demandé et j’avais quelques jours, d’ici mi-août, et les frères ici m’ont appelé et m’ont écrit une lettre, alors je leur ai répondu, en leur disant que nous avions du temps. Ils ont donc organisé cela.

Nous sommes contents d’être ici, de voir ces bons groupes de gens ici et à l’estrade, tout ce bon groupe d’hommes. J’ai vu que beaucoup de leurs noms figuraient dans le–dans le journal qui m’a été donné, parmi les pasteurs associés. Et les autres qui sont avec nous, nous sommes très très heureux de vous saluer tous au Nom du Seigneur Jésus.

Je pense être arrivé à Phoenix au bon moment. C’est merveilleux. Le désert commence simplement à bourgeonner. Il fait très froid là dans ma contrée.


Phoenix, Arizona, USA

E-18 Nous avons donc dit aux frères, alors que nous arrangions ces réunions, de les placer sous, eh bien, sous l’étiquette des réunions d’évangélisation. En fait... avec ça, on a au cours d’un service, à un moment ou deux, on a juste des services de prédication chaque après-midi à quatorze heures.

Et puis, chaque soir à dix-neuf heures trente ou vingt heures, eh bien, nous venons et–et nous prêchons l’Evangile et nous avons simplement une prière d’ensemble pour les gens quand le... des malades, car, ils peuvent entrer. On appelle les pécheurs à se repentir et les gens qui n’ont pas le Saint-Esprit à venir pour naître de nouveau, et nous avons trouvé que cela était un grand succès dans toutes les parties du pays. Et ensuite, quand nous en sommes arrivés à notre dernière réunion à Wood River, nous avons fait un appel à l’autel ce soir-là, et les gens se sont simplement entassés autour de l’autel; mais lorsque j’allais sortir, il y avait pratiquement (Oh!), je pense, trois cents ou quatre cents à l’autel en train de chercher le salut. Puis, quand je suis sorti, il y avait mille cinq cents ou plus qui se tenaient dans la ligne pour qu’on prie pour eux.


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