Louisville, Kentucky, USA
E-6 Là où monsieur Rader, comme j’avais commencé à le dire, a composé ce cantique, il y eut un érudit qui est entré là, et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, vous avez une grammaire très médiocre.»
Et j’ai dit: «Oui, monsieur, c’est vrai.»
Et alors, il a ajouté: «Oh! J’ai relevé certaines fautes de grammaire que vous avez commises ce soir.» Il a dit: «Oh! C’était terrible.»
Et j’ai dit: «Oui, monsieur, je n’ai pas acquis une grande instruction.» J’ai dit: «J’ai grandi dans une famille très pauvre de dix enfants.» Et j’ai dit: «C’est moi l’aîné, et j’ai dû travailler pour subvenir aux besoins des autres.»
Il a dit: «Eh bien, cela n’est plus une excuse maintenant, a-t-il dit, vous êtes un homme.»
J’ai dit: «Eh bien, c’est aussi vrai, mais, ai-je dit, depuis que le Seigneur m’a envoyé prier pour les malades, je ne reste plus assez tranquille pour étudier la grammaire.» J’ai dit: «Je dois simplement prier pour les malades.»
Et il a dit: «Oh! Mais vous pouvez suivre cela par correspondance.» Il a dit: «Eh bien, par exemple ce soir, je vous ai entendu utiliser ce mot-là.» Il a dit: «Vous avez dit: ‘Vous tous maintenant, montez ici au polepit, ici. Et il a dit: «Eh bien, savez-vous que ces gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit plutôt que polepit»?
J’ai dit: «Eh bien, frère, je ne sais pas s’ils le feraient ou pas, ai-je dit, je crois que ce que ces gens veulent de moi, c’est que je mène le genre de vie correct et que je manifeste ce dont je parle, ils ne se soucient pas que je dise pulpit ou polepit.» C’est vrai, n’est-ce pas? Comme le vieux dicton le dit: «C’est à l’oeuvre que l’on connaît l’artiste», n’est-ce pas? C’est vrai? Vous savez, je...
Et je ne cherche pas à soutenir mon ignorance avec ça. Je me rappelle... J’aurais voulu connaître de meilleurs mots et la meilleure grammaire, mais si cela ôte quelque chose de Jésus, je préférerais connaître Jésus n’importe quand, Le connaître dans la puissance, comme Paul l’a dit: «dans la puissance de Sa résurrection.»