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Minneapolis, MN, USA

E-3 Et maintenant, nous n’allons pas vous garder plus longtemps que possible en parlant. Comme je l’ai dit, je ne suis pas un prédicateur, j’aime simplement parler de la Parole. Autrefois, je... Tout au début, quand j’étais ordonné comme prédicateur baptiste, oh! la la! c’était la–l’une des plus glorieuses heures de ma vie. Je...

Quand j’étais un petit garçon, je me disais qu’il fallait être une poule mouillée pour porter une Bible. Mais quand j’ai été sauvé et que j’ai été ordonné, je descendais la rue avec ma Bible sous le bras. Et, oh! la la! quand on m’appelait «frère» ou quelque chose du genre, je gonflais simplement. Je pensais être un véritable prédicateur. Et on a eu juste une licence locale pour exhorter, juste pour l’Etat de l’Indiana où je pouvais prêcher, célébrer les mariages, officier à l’ensevelissement ou baptiser. Je pensais donc être un vrai prédicateur, jusqu’au jour où j’ai entendu un vrai prédicateur. Et alors, je me suis rendu compte que je n’étais pas un prédicateur.


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E-4 Cela me rappelle quand j’étais chez moi. Mon père dressait des chevaux sauvages. Il était né dans l’Etat du Kentucky. Ma mère vient d’Oklahoma et elle a déménaau Texas, juste au nord de Paris. Et mon papa est allé à l’ouest dresser les chevaux. Et c’était un bon cavalier et un très bon tireur et... avec un fusil. Et il est allé à l’ouest dresser les chevaux, et c’est ainsi qu’il a rencontré ma mère.

Ainsi, j’avais toujours pensé que je voulais devenir un cavalier. J’entendais mon papa parler de la façon dont il dressait les chevaux et écorchait le... vous savez, l’attelage et autres. Et nous habitions dans une ferme; alors, je me disais: «Oh! la la! Quand je serai un peu plus grand, je deviendrai un vrai cavalier.» Je suis alau cinéma à quelques reprises et j’ai vu certains films, vous savez, certains là-dessus, sur ces ranch-hôtels. Et je me disais: «Oh! Je deviendrai bien un véritable héros.»


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E-6 Et un jour, je pensais être un vrai cavalier. J’avais donc quitté la maison et j’étais parti à l’ouest pour devenir un cow-boy; j’avais débarqué en Arizona. Ainsi donc, j’étais à Phoenix. Eh bien, il y avait un rodéo. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, je suis fauché, je vais donc me faire un peu d’argent.»

Il s’est fait que, un peu plus tard, en identifiant l’époque, c’est au même moment que frère Lindsay était là, pas très loin de là, en train de prêcher l’Evangile. Et nous ne savions pas cela jusque tout récemment quand nous identifions les moments où nous étions là.

Alors, il y avait un rodéo là-bas, après le rassemblement. Et on disait (oh!) qu’on pouvait sortir monter le cheval, et qu’il y aurait des prix pour les cavaliers.

Eh bien, je me suis dit: «Il me faudra me procurer une paire de jambières en cuir, vous savez, avant de me présenter là.» Je suis allé à l’un des magasins d’équipements, et j’ai choisi une belle paire, vous savez, portant de très grosses lettres A-R-I-Z-O-N-A dessus, et les têtes des boeufs, vous savez. Je les ai enfilées. Il y avait à peu près une telle quantité de cuir là par terre, comme ça. J’avais l’air de l’un de ces petits coqs agressifs avec ces... avec toutes ces plumes qui pendaient.

Eh bien, les gens n’allaient pas... je savais que ce n’était rien. J’ai donc fini par découvrir leur prix; je n’avais pas d’argent. Alors, je me suis procuré une paire de Levis, et je suis alau parc.


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E-7 Ils étaient... Je suis monté là, à côté des autres cow-boys défigurés, vous savez, aux jambes arquées; et ils étaient assis là. Ils appellent... il circulait, disant qu’on allait demander à un cavalier de monter un cheval donné. Je me suis dit: «Oh! la la! Je vais l’observer.» Et j’ai dit: «S’il n’arrive pas à le monter, moi, j’y réussirai.» Aussi, je–je n’avais jamais vu un rodéo auparavant.

Et peu après, quand il est sorti, j’ai vu cet homme monter dans la glissière, se tenir comme ceci, et il va faire une lutte libre en se présentant. Et, oh! la la! quand il a atterri sur ce cheval-là, celui-ci a braillé à deux reprises et on dirait qu’il avait... C’était un de ces irréguliers, vous savez. Et il a pu mettre ses deux pattes dans un bassin et projeter la selle par-dessus le mur du corral.

Donc, aussitôt que cet homme s’était mis sur lui comme cela, il a effectué environ trois mouvements précipités en avant comme ceci, et il a sautillé en abaissant chaque épaule à tour de rôle. Et quand il a fait cela, cet homme a été projeté en l’air en se tordant, il est tombé par terre. Le personnel de ramassage a pris le cheval.

L’homme est revenu faire l’appel, disant: «Je donnerai cinquante dollars à tout homme qui fera dessus une minute; cinquante dollars.» Et il parcourait du regard toute la clôture. «Cinquante dollars, qui en veut?» Il est avancé tout droit vers moi, il a demandé: «Es-tu cavalier?»

J’ai dit: «Non, monsieur.» Eh bien, cela... Je n’étais pas un cavalier... Je pensais en être un jadis jusqu’à ce temps-là.


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E-9 Mais j’aime vraiment me présenter, quand on n’est pas sous cette onction pour les malades, vous savez. Et on peut bien être libre, on se sent libre de prêcher ou de parler de la Parole, ou de n’importe quoi. Et c’est ce qu’il y a. On m’accorde un peu de temps, de temps en temps, afin que je puisse plutôt me réjouir.

Eh bien, quand l’onction pour la guérison est là, je continue simplement à prier et à jeûner. On en arrive à éprouver une sensation calme et très sacrée, pas comme la joie; on éprouve juste une sensation très sacrée. Mais quand vous parlez du Saint-Esprit, alors Cela vient avec joie, avec bonheur, avec allégresse, et le rafraîchissement de la Présence du Seigneur. Et je suis très content de–d’avoir cela cet après-midi.

Juste avant que nous commencions le service, je lis un texte comme... si nous pouvons appeler cela un texte. Je pensais m’expliquer d’abord sur le fait que je n’étais pas un prédicateur. Comme vous entendez ces bons prédicateurs par ici, eh bien, alors, vous ferez la différence dans quelques minutes.


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E-12 Eh bien, voici ce qui se passe. C’est le péché qui a introduit la maladie dans le monde. La maladie est la conséquence du péché. Eh bien, avant que nous ayons une quelconque maladie, nous n’avions pas de péché. Et quand le péché est apparu, la maladie a été la conséquence du péché. Jésus est alors venu pour nous débarrasser du péché et débarrasser... Il n’y a pas un prédicateur de l’Evangile dans le monde qui ne croit pas que Jésus-Christ est mort pour nos péchés.

Eh bien, ils... C’est là que ça se trouve, ici, à cet endroit-ci. Eh bien, suivez attentivement. Voici là où Il avait payé le prix. Et quand Il est mort pour notre péché, comme résultat de Sa mort, la maladie est tombée directement avec cela. Voyez-vous?

En d’autres termes, si mon pied était ce que vous vouliez détruire, détruisez la tête et vous aurez eu le pied. Voyez? Le pied va avec cela donc.

C’est en faisant l’expiation pour les péchés qu’Il a fait l’expiation pour les conséquences du péché. La maladie est un attribut du péché. Et Jésus est mort pour nos péchés. Et la maladie, l’iniquité, et tout, étaient inclus dans Sa mort pour nos péchés. Voyez-vous cela? Donc, quand Il est mort pour les péchés du monde, là au Calvaire, Il vous a guéri, vous, vous, vous, chacun de vous. Et vous êtes déjà guéri. Il vous a déjà pardonné vos péchés si seulement vous acceptez cela.


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E-13 Eh bien, vous n’allez pas en enfer parce que vous êtes un pécheur; vous allez en enfer parce que vous avez refusé d’accepter la voie qui éloigne de l’enfer. Il y a une échappatoire, c’est Christ. Il y a une échappatoire de votre maladie, de la mort rapide, de la tombe prématurée, c’est par Christ. Mais maintenant, vous êtes–vous êtes... Vous avez péché au commencement, et Christ est mort pour vos péchés. Par conséquent, Il vous a sauvé quand Il mourut. Il vous a sauvé, et Il vous a guéri quand Il mourut, car Il avait pris votre place.

Mais maintenant, tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela par la foi, et vous le recevrez. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, il n’y a rien de plus à faire, car le prix de votre guérison a déjà été payé. Vous pouvez avoir cela juste cet après-midi. Vous pouvez avoir cela maintenant même, en cette minute même où vous croyez cela. Quand votre foi satisfait aux exigences de Dieu, croire que Christ est mort pour votre maladie, quand Il mourut pour vos péchés (et Il est mort pour vos péchés au Calvaire), et que vous acceptez cela sur cette base-là; en ce moment-là, vous êtes guéri aux yeux de Dieu. Voyez? Ensuite, mettez-vous à en témoigner, en le croyant.

Vous ne... nous... vous témoignez des choses que vous ne voyez pas. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Et nous regardons à l’invisible.


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E-14 Abraham, vingt-cinq ans avant la naissance d’Isaac, témoignait et croyait Dieu alors qu’il avait cent ans. Paul, avant que la tempête eût donc cessé, savait ce qui arriverait, car il avait reçu la Parole de Dieu pour ça.

Eh bien, vous avez eu la Parole de Dieu pour cela cet après-midi. Et je souhaiterais que vous fassiez cela. Si vous le faites... Voici un défi que j’aimerais lancer en tant que prédicateur de l’Evangile. Si cet après-midi vous croyez, et que le Saint-Esprit descende parmi nous, et vous pouvez en fait, pendant que vous priez, sentir le Saint-Esprit dans votre coeur, qu’Il a accepté votre prière, si vous vous tenez là-dessus là même et que vous croyez cela... Ne perdez plus le temps dans la ligne de prière; vous n’en avez pas besoin. Si vous croyez cela là même où vous êtes, alors c’est réglé pour la maladie, pour le reste du chemin. Ça se fera. Alors, levez-vous avec une foi ferme, marchez avec hardiesse. On vous demande: «Comment savez-vous que vous êtes guéri?»

«C’est parce que Dieu a dit que j’étais guéri, et je crois Sa Parole. Voilà pourquoi.»


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E-15 Eh bien, vous n’êtes pas sauvé parce que vous sentez comme cela, que vous êtes sauvé. Si je... si quelqu’un disait: «Je sais que je suis sauvé, car un frisson m’a parcouru, ainsi de suite», ce n’est pas à cause de cela que je suis sauvé. Satan peut me flouer n’importe où et il peut aussi vous flouer sur base de vos sentiments. C’est vrai. Mais quand je reviens et que je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ma foi est basée sur la Parole de Dieu», alors, il ne peut pas me flouer là-dessus

Rappelez-vous. Jésus avait en Lui toutes les qualités du Père. Croyez-vous cela? Assurément qu’Il en avait. Tous les merveilleux dons de Dieu étaient en Christ, Son Fils, car Il était le Rejeton de Dieu. Mais remarquez, quand Il a rencontré Satan, pour vous donner un exemple, Il ne s’est jamais servi d’un don contre lui. Quand Satan L’a affronté, Lui, Il a dit: «Il est écrit (Deutéronome 7.14, je pense, ou c’est 8.14, et aussi dans les Psaumes): L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Satan L’a encore élevé sur le haut du temple. Jésus a dit: «Il est écrit.» Et il L’a amené au sommet de la montagne. Jésus a dit: «Il est écrit.» Voyez? «Il est écrit.»


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E-17 Eh bien, que fait le fermier? Il sème le blé. Eh bien, il attend la récolte. Le matin suivant, et s’il allait là déterrer cela, disant: «Eh bien, cela n’a pas encore germé. Il n’y a rien là. Alors, je–je n’aurais pas de blé»? Eh bien, s’il ne va pas avoir de blé... S’il continue à déterrer cela, à regarder cela, il n’aura jamais de blé. Semez simplement cela et laissez cela tranquille. Amen.

C’est ça. C’est à Dieu de faire se reproduire cela. C’est à Dieu d’envoyer la pluie. Et c’est à vous d’accepter Dieu sur base de Sa Parole. Alléluia! C’est à Dieu de faire s’accomplir la Parole. Et aucun homme ne vaut plus que sa parole. Et Dieu ne vaut pas du tout plus que Sa Parole.

Et je dis ceci en laant un défi par la foi, que chaque promesse de Dieu s’accomplira si vous affichez une bonne attitude mentale vis-à-vis de cela. C’est vrai. Regardez cela. Croyez cela


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