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Des Moines, IA, USA

E-2 Vous savez, Jésus a dit: «Lorsque l’esprit impur est sorti d’un homme, il va par des lieux arides et il ne trouve point de repos. Ensuite il revient et amène sept autres démons pires que lui.» Et alors, si le maître de la maison (c’est-à-dire votre foi) ne se tient pas là, prêt à s’opposer, eh bien, alors il entrera, et votre dernière condition sera pire que la première.

Donc, bien des fois, les gens qui ont une tumeur maligne ou quelque chose comme ça, ou une tumeur, ou un genre de grosseur, lorsque cela meurt, la vie en sort, à ce moment précis ces gens sentent un soulagement. Deux jours après vous vous sentez mieux. Ensuite après environ soixante-douze heures, vous commencez à vous sentir malade, alors très malade, parce que c’est une masse de chair morte. Et ensuite, quand cela se désagrège, c’est–s’il n’y a pas moyen que cela tombe, peut-être que cela se trouve à l’intérieur de...?... et ainsi de suite qui retient cela, cela va tomber dans le diaphragme ou quelque part. Alors vous avez une masse de–de chair en vous qui est pourrie. Bien sûr, votre coeur, le sang circule et purifie le corps, cela est pompé par votre coeur. Cela rend le patient terriblement malade, cela entraîne une infection, la fièvre et tout. Et alors la personne dit: «Eh bien, je sais que lorsque je me tenais là, j’étais guéri et cela a duré deux ou trois jours. Mais je pense que j’ai perdu ma guérison.» Eh bien, c’est le meilleur signe au monde que vous avez obtenu votre guérison. Voyez?


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E-3 Eh bien, dans le cas d’un miracle, cela aurait pourtant disparu, une guérison miracle. Mais les miracles et la guérison sont deux dons tout à fait différents. L’un a le don des miracles, l’autre a le don de la guérison, ou bien vous pourriez avoir à la fois le don des miracles et celui de la guérison. Il y a neuf dons spirituels, et ils peuvent tous opérer au cours d’une seule réunion. On ne sait pas. Cela dépend de Dieu. Mais, de toute façon, si la personne, par la guérison... La guérison, c’est lorsque dans votre coeur vous êtes certain que Dieu l’a fait pour vous, et rien ne peut vous bouger de là. Et c’est à ce moment-là que vous allez être guéri. Vous allez vous rétablir.

C’est pareil pour ceux qui sont infirmes. Combien de fois j’ai vu notre Seigneur Jésus... Et la manière dont nous conduisons nos réunions, c’est pratiquement de temps en temps que nous avons des infirmes dans l’assistance.


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E-5 Maintenant, Dieu voulant, étant ici, je voulais vous lire la vision qui m’a été donnée, comme je vous l’ai annoncé.

Je venais de rentrer de l’Afrique, et comme vous le savez tous, pour avoir désobéi à Dieu, je–j’ai attrapé des parasites, et j’ai failli mourir. Les gens... Franchement, les gens disaient que j’allais mourir. Et cela–j’étais couché dans ma chambre un matin, et pendant que j’étais couché sur mon lit ce matin-là, je me suis retrouvé tout à coup dans une vision, et j’ai vu quelqu’un venir vers moi comme un homme descendant des cieux. Il avait dans ses mains un papier à dactylographier, ça semblait être des feuilles vierges. Par terre, il y avait à mes pieds des feuilles qui portaient des écrits. J’étais étonné alors que je pouvais voir d’autres dans la chambre, des visages dans la chambre, et voir cet homme se tenir là. Et il a dit: «Comme tu te demandes ce que sera ton futur...»

J’ai dit: «Oui. C’est à cela que je pensais.»

Il a jeté les papiers vers les cieux, et ils se sont envolés, ils ont plané, l’un après l’autre, et une voix a crié du haut des cieux et a dit: «Ton futur est clair.»

Et alors, j’étais–je suis sorti de la vision. Et je suis de nouveau entré dans une vision, et j’ai demandé: «Dois-je avoir peur ou bien ces parasites ne vont plus me tourmenter?»

Le médecin me croyait tout simplement condamné, il avait dit qu’ils allaient me mettre dans un–dans un endroit par ici, c’est une sorte de lazaret, comme je revenais de là avec des parasites. Et il m’a dit que j’aurais une fièvre dans dix heures. Si cette fièvre montait jusqu’au cerveau, je mourrais en dix heures, et si cela touchait le coeur, j’allais mourir. Si cela touchait le foie, ils... mon côté allait ressortir et on devrait opérer.


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E-6 Et j’aurais aimé avoir le temps pour vous raconter comment ça s’est passé là en Afrique, lorsque le Seigneur m’a donné une vision, Il a dit: «Ne va pas là-bas.» J’ai laissé des prédicateurs me convaincre d’aller ailleurs, de cet autre côté. Avec l’aide de Dieu, je ne le ferai plus jamais.

Et Il m’a parlé, Il m’a dit: «C’est fini.»

Et ce même jour-là, je suis allé chez le docteur Lucas de Louisville, et j’ai dit: «Faites-moi un examen.» Il m’avait simplement renvoyé à la maison deux jours avant cela. Il ne voulait me permettre d’aller nulle part avec ces parasites.

Et j’ai dit: «Donnez-moi...»

Il a dit: «Vous en avez.»

J’ai dit: «Examinez-moi.»

Il a fait un nouveau prélèvement, et il est revenu, il a dit: «Puis-je faire encore un prélèvement?»

J’ai dit: «Oui, monsieur.»

Et il l’a fait de nouveau, il a dit: «Que vous est-il arrivé? Vous n’avez aucun parasite.»

Et je lui ai dit: «Le Seigneur Jésus m’a guéri.» Je lui ai raconté l’histoire, lui qui est un catholique. J’ai dit: «Est-ce que vous croyez cela

Il a dit: «Eh bien, je suis obligé de croire.» Il a dit: «Jusqu’avant-hier, vous veniez ici pendant six mois souffrant des parasites qui augmentaient sans cesse, et voici deux jours après, vous n’en avez pas un seul.» Il a dit: «Je ne peux m’empêcher de le croire.»


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E-8 Et ensuite, lorsque je suis revenu à moi et que je remerciais le Seigneur dans la chambre, mon souffle semblait venir faiblement, et alors j’ai de nouveau regardé, j’ai entendu le bruissement des feuilles de ma Bible, et voici venir ma Bible, Elle venait dans la pièce, et Elle s’est arrêtée devant moi, puis s’est ouverte sur le premier chapitre de Josué. Et alors, j’en suis sorti, et ma femme, au même moment, cela... dormait dans une autre pièce, allait entrer dans ma chambre, à trois heures du matin. Et comme elle entrait, quelque chose lui a parlé et a dit: «N’entre pas dans cette chambre, car une vision est en cours.» Et ces trois visions ont eu lieu des heures plus tard, à six heures, alors elle m’a appelé à la porte. Cela n’était jamais arrivé auparavant dans ma vie.

Et ma belle-mère, qui vit juste à l’étage inférieur, est montée immédiatement chez moi; c’est une chrétienne très connue, et elle a dit: «Que s’est-il passé ici? J’ai commencé à faire ma vaisselle, et quelque chose m’a parlé et a dit: ‘Monte écouter les nouvelles ce matin.’»


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E-9 Je suis allé à la banque pour voir si j’allais devoir–devais l’impôt sur le revenu, pour retirer mon reçu, et j’ai vu un des banquiers en train de pleurer. Lorsque je suis entré dans la salle, il m’a regardé et a baissé la tête. Jai traversé la salle, et j’ai pris mes chèques qui étaient annulés, et qui m’étaient retournés, quelque chose m’a dit: «Va lui parler.»

Et je suis allé lui parler. Il a tendu la main; il a dit: «Billy, c’est la chose la plus étrange.» Il a dit.: «Savez-vous que les gens de ma famille sont morts du cancer. Cette nuit, à trois heures du matin, j’ai fait un songe où vous êtes venu vers moi, et vous m’avez imposé les mains, et j’étais guéri.» Et maintenant, il est en parfaite santé.

Il est écrit dans les Ecritures: «Que chaque parole soit établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Cela a été le cas pour ceci. Maintenant, gardez cela à l’esprit, et souvenez-vous simplement que c’est le Seigneur Jésus qui m’envoie pour que je...


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E-11 Bien sûr, en Inde on ne peut pas dépenser un seul sou; vous devez envoyer l’argent à l’avance. Ils ont besoin d’avoir notre argent pour tout. Et aucun de ces autres pays, leur monnaie ne vaut rien ici. Voyez-vous? C’est pourquoi nous devons envoyer l’argent.

Et j’ai dit: «Je pense que ça suffira, peut-être, pour payer nos billets pour aller là-bas.»

Et il a dit: «Eh bien, programmons cette série de réunions, a-t-il dit, pour le mois de février, le 23. Je demanderai à monsieur Nehru d’offrir un dîner pour vous cet après-midi-là du 23, cela m’accordera l’occasion d’aller en Afrique et de tenir cette réunion et tout.»

J’ai dit: «Ça me va.» J’ai appelé monsieur Baxter, nous avons fixé cela. Et ce soir-là, ma femme, qui est présente maintenant, elle est assise ici au fond, je–il y avait des gens dans le bureau, et des gens dans l’autre pièce, je m’occupais des malades, j’avais eu un appel longue distance pour un cas d’urgence, un homme qui allait se suicider.

Il a dit: «Je voulais juste vous appeler, prédicateur, et vous dire que je ne vaux rien, et je me prépare–vous allez entendre le coup de feu dans une minute.»

Et j’ai dit: «Eh bien, un–un instant. Déposez ce fusil; baissez le chien.» J’ai continué à parler jusqu’à ce que j’ai entendu–je l’ai entendu le déposer, et je l’ai conduit à Christ. Et il fut sauvé juste là.


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E-12 Ainsi j’étais en train de retourner pour aller m’occuper encore des gens, et à la porte se tenait un homme habillé bizarrement. Je n’avais pas remarqué qu’il était habillé comme cela, mais il avait une sorte de serviette sur la tête. Son nez était un peu retroussé, comme ça. Et il m’a dit... J’ai dit: «Bonsoir, monsieur.» Je pensais qu’il était tout simplement–que quelqu’un parmi eux l’avait fait entrer. Il était là afin que l’on prie pour lui.

Et il a dit, il a levé les yeux comme cela, il a dit: «Frère Branham, n’allez pas outre-mer avant décembre.»

«Eh bien, ai-je dit, pourquoi?» Et cet homme a disparu. Et je suis entré dans l’autre pièce, et je leur ai demandé s’il avait vu quelqu’un comme cela; ma femme ne l’avait pas fait entrer dans la maison, il... Personne ne savait rien à son sujet. Et alors, ce soir-là, après que la maison se fut vidée, je suis entré, et je me suis couché vers une heure du matin, et j’ai rêvé que je ne devrais pas aller en Afrique jusqu’à–ou plutôt en Inde avant septembre. Je suis entré, j’ai réveillé ma femme, et je lui ai raconté cela. Nous sommes restés là pendant un instant; je suis retourné et j’ai fait encore le même songe. Et nous avons dit: «Peut-être que c’est le Seigneur, Il ne veut pas que j’aille là-bas.» Et je suis entré, j’ai dit: «Seigneur, dans ce cas je reconnais que cette vision, c’est Toi qui m’avertis, de même que les deux songes, de ne pas aller là-bas avant septembre.» Je suis allé me coucher et j’ai dormi comme un bébé. Nous irons donc en septembre au Nom de Jésus-Christ. Observez ce qui va arriver. Je sais que notre Seigneur sera bon envers nous. Il l’a promis.


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E-14 Et j’apprécie... beaucoup d’entre vous sont des gens pauvres, et ce soir, vous avez probablement donné la dernière pièce de cinq cents que vous aviez. Et en ce grand jour là, lorsque nous nous tiendrons là au Trône de Jugement de Christ, et que vous entendrez ces païens crier, lorsque je–après que vous aurez entendu mon nom être appelé, et que je devrai m’avancer et me tenir sur... que les enregistrements seront joués, et que les écrans montreront tout cela, et que certains de ces natifs et de ces païens viendront des autres pays, en disant: «Oh! Frère Branham, si tu n’étais pas venu, je serais perdu», alors Dieu baissera les yeux vers vous et dira: «C’est vous qui l’aviez envoyé.»

S’il y a des bénédictions à en tirer, puissiez-vous les recevoir. En effet, moi, je le fais tout simplement par devoir. Chacun de vous peut le faire. Dieu m’a envoyé, et c’est vous qui m’aidez à y aller. Que Dieu vous bénisse richement et vous le rende au centuple. Je serais heureux de prier avec vous à n’importe quel moment. Priez pour moi. Ma prière est que nous puissions encore nous rencontrer quelque part de ce côté de la rivière de la vie, et que nous puissions avoir encore une bonne réunion à l’ancienne mode ici en Amérique avant que nous ne traversions les eaux. Je veux dire la dernière rivière.


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E-15 Je ne suis plus un jeune homme. J’ai déjà quarante-cinq ans, et ces années ont été difficiles. Et un de ces jours, je me rends compte que mon–je me rapproche de la rivière. Chaque fois que mon coeur bat, je me dirige vers une grande chambre appelée la mort. Chacun de nous se dirige vers cela. Un jour mon coeur battra pour la dernière fois, et je devrai y entrer. Je ne veux pas y entrer comme un poltron. Je veux y entrer, je veux tout simplement m’envelopper de la robe de Sa justice, entrer dans cette chambre de la mort sachant ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection. Afin que lorsqu’Il appellera d’entre les morts, je puisse sortir.

Quand la dernière bataille aura été livrée, je me suis souvent demandé, la plupart des Branham... et la chose la plus malheureuse aussi, c’est du côté de ma mère. Ils attrapent la paralysie agitante lorsqu’ils deviennent très âgés; ils tremblent beaucoup. C’est le genre de personnes qui sont nerveuses, tendues. Grand-père est mort récemment, à près de cent ans, il tremblait. Moi aussi, je pourrais attraper la paralysie agitante lorsque je deviendrai vieux, je ne sais pas, mais je peux m’imaginer devenu un vieil homme, venant lorsque chaque–mon travail sera fini, et que les vagues froides du Jourdain me frapperont au visage, et je saurais que je dois traverser. Je–j’aimerais tout simplement regarder en arrière sur le sentier que j’aurai parcouru, pour voir plusieurs sentiers dans les carrés de ronces et dans les endroits difficiles. Je ne veux pas un lit fleuri d’aisance, alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix, et ont navigué sur des mers de sang. Empruntons aussi le chemin difficile. Je dois combattre si je dois régner. Je dois passer par quelques difficultés. Je veux retirer le casque du salut, le déposer sur le rivage, glisser la vieille épée de la Parole ici dans le fourreau de l’éternité, et crier à tue-tête: «Père, envoie le canot de sauvetage, je rentre à la Maison ce matin.» Je crois qu’Il sera là pour m’accueillir. C’est juste. C’est cela ma foi qui est bâtie sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa justice, et lorsqu’autour de moi tout cède, Il est toute ma confiance et tout mon soutien, car sur Christ le Roc solide nous nous tenons. Tout autre terrain c’est du sable mouvant.


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