E-65 Et cent vingt personnes s’étaient assemblées dans la chambre haute, attendant la puissance qui allait les soutenir pour descendre parmi les gens. Et soudain, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, il remplit toute la maison où ils étaient assis, et des langues séparées apparurent et se posèrent sur...?... dans les rues...
Et permettez-moi de vous dire quelque chose maintenant même. La vierge Marie et les autres étaient juste là parmi eux. C’est vrai. Et si Dieu n’a pas fait d’exception pour la sainte vierge Marie pour qu’elle aille au Ciel autrement qu’en recevant le Saint-Esprit, femme, qu’en est-il de vous? C’est vrai. Il vous faudra payer le même prix, avoir la même expérience, avoir la même chose qu’eux avaient eue jadis au commencement.
E-68 Cela me rappelle quand j’étais un petit garçon, je me promenais le long de la rivière une fois, j’ai vu une vieille tortue. C’était la créature la plus amusante que j’aie jamais vue, une vieille tortue. Elle lançait ses pattes comme ça. Mon jeune frère et moi avions regardé comment elle marchait. Nous nous sommes approchés d’elle, alors elle est rentrée dans sa carapace. Juste comme certains de ces chrétiens formalistes et froids, comme quand on se met à leur parler de la guérison divine: «Oh! Docteur Untel a dit que c’est faux.» Oh! la la! Retirez-vous dans votre carapace. C’est en ordre. Très bien.
J’ai dit: «Faisons-la marcher de nouveau.» Je me suis procuré un bâton, c’est comme si je l’avais frappée à mort. Elle n’a pas marché. On ne peut pas la faire sortir d’elle en la frappant. C’est tout. Elle va simplement se retirer et haleter.
J’ai donc dit: «Je vais te dire ce que je vais faire. Je vais la faire marcher. Je vais l’amener ici dans l’eau, et je vais lui régler son compte.» Je l’ai amenée à la rivière et je l’ai plongée. Il y a juste eu quelques bulles qui sont montées et c’était tout. Frère, vous pouvez les baptiser de telle façon et de telle autre façon, les asperger, les plonger face en avant, face en arrière. Il descend un–un pécheur sec et remonte un pécheur mouillé. Il reste toujours un pécheur. Ce n’est pas votre baptême d’eau qui vous sauve.
E-69 Je vais vous dire ce que j’ai fait. Je suis allé me procurer un morceau de papier et j’ai allumé un petit feu, et j’ai mis cette vieille créature dessus. Elle aalors marché, je–je dis vrai. C’est vrai.
Et ce dont l’Eglise a besoin aujourd’hui, c’est de l’Evangile de Feu–Feu du Saint-Esprit à l’ancienne mode, qui descend à l’autel et dans chaque coeur. Cela constituera une église, aussi certainement que deux fois deux font quatre. C’est vrai. Oui, oui. Ramenez la puissance de Dieu. Ramenez une fois de plus le Saint-Esprit dans les coeurs des gens, de telle sorte que vous pouvez avoir une foi vivante en Dieu, lorsque vous parlez de la guérison divine: «Oui, j’accepte cela.» Alléluia! C’est vrai. Revenez à la Bible et revenez au Saint-Esprit. Assurément! Comme c’est merveilleux!
E-70 Eh bien, Jésus, dans Son ministère, on allait écouter SaParole précieuse. Il en arriva à devoir quitter la maison. Et quand Il est parti, la tristesse et les ennuis ont commencé. Et chaque fois qu’Il sort de chez vous, la tristesse et les ennuis entrent. Chaque fois qu’Il sort de votre église, la confusion et l’état de rétrograde entrent. Quand vous...?... les troubles sont en route; gardez-Le avec vous tout le temps.
Maintenant, dans ce cas-ci, évidemment, Il n’avait pas été chassé, mais Son oeuvre L’avait amené ailleurs. Et aussitôt qu’Il était allé ailleurs, Lazare, Son ami intime, est tombé malade à mort. On a envoyé chercher Jésus afin qu’Il vienne prier pour lui. Et au lieu que Jésus vienne, Il a simplement poursuivi Son chemin. Et on a encore envoyé Le chercher. Et Il a tout bonnement continué Son chemin, ignorant apparemment cela. Jésus connaissait tout ce que le Père Lui avait montré.
E-71 C’est pourquoi... (Amis, j’ai dépassé le temps.) Et maintenant, si vous envoyiez appeler votre pasteur et qu’il ne venait pas prier pour vous, alors que vous êtes malade, eh bien, vous diriez: «Ce vieil hypocrite, je vais aller adhérer à l’église de voisins, ou de quelqu’un d’autre.» C’est pourquoi votre pasteur ne peut rien faire pour vous. Vous devez avoir foi en lui, confiance en lui en tant qu’homme de Dieu, et savoir que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. C’est vrai. Eh bien, votre pasteur ne m’a pas dit de dire cela non plus.
Mais je sais ceci: vous devez avoir confiance dans l’homme avec qui vous traitez, sinon cela ne vous feraaucun bien d’avoir une quelconque relation. C’est vrai. Vous devez croire votre pasteur. C’est un homme de bien, sauvé par Dieu, il prêche l’Evangile; soutenez-le avec tout ce que vous avez. S’il ne l’est pas, allez ailleurs où on fait cela. C’est vrai. Eh bien, cela met les choses au point de part et d’autre. Eh bien, rappelez-vous ceci. S’il prêche l’Evangile, restez avec lui, aidez-le, car il est un homme envoyé de Dieu, ordonné par Dieu pour nourrir votre âme.
E-72 Et alors, quand ils ont envoyé chercher Jésus, Celui-ci a poursuivi Son chemin. Je pense que Jésus savait alors ce qui arriverait. Eh bien, si vous prenez... Quand Il passait près de la piscine de Béthesda... Regardez là. Un grand nombre de gens étaient couchés là.
Quand la Bible parle d’un grand nombre, cela veut probablement dire dix mille au moins, des boiteux, des estropiés, des aveugles, des paralytiques–paralytiques, des aveugles, des estropiés, des muets, attendant le mouvement des eaux, car Dieu envoyait un ange à certaines périodes. Est-ce vrai?
La guérison venait alors par l’ange, n’est-ce pas? Ce n’était pas l’eau, mais l’ange. Et si l’eau disait: «Regardez quelle grande eau je suis»? Non, ce n’était pas l’eau; c’était l’ange. En effet, quand l’ange s’en allait, ça restait juste de l’eau (Est-ce vrai?), juste de l’eau.
E-73 Alors, Jésus passa près de cette piscine et Il vit tout ce grand nombre, et Il a guéri un seul homme. Il n’était pas estropié; il avait une indisposition depuis trente-huit ans. Il l’a guéri, et Il s’en est allé, laissant chacun de ces estropiés couchés là. Est-ce vrai? Saint-Jean, chapitre 5. Il les a laissés tous. On dirait que Son coeur compatissant aurait dû sympathiser et guérir eux tous. Il pouvait probablement le faire.
Mais observez le chapitre 19, le verset 19 de ce même chapitre, quand les Juifs L’interrogeaient. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Dieu devait premièrement le Lui montrer. Aussi, Il n’a pas dit qu’Il était un Guérisseur divin. Il attendait que Dieu Lui montre en vision ce qui allait arriver, ensuite, Il l’allait accomplir.
E-74 N’est-ce pas ainsi qu’Il opère aujourd’hui? Il en sera donc tel que Dieu le dit. Mais vous ne pouvez rien dire avant que Dieu le dise premièrement. Ainsi, si quelqu’un pense...
Quelqu’un disait l’autre jour... J’ai entendu quelqu’un dire: «Oh! C’est de la supercherie.» Si vous pensez que c’est de la supercherie, alors que pensez-vous de Jésus-Christ? C’est vrai. Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père; le Fils aussi le fait pareillement.» Il a dû attendre que Dieu le Lui montre, et puis Il est allé accomplir cela. Eh bien, Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait premièrement.
E-75 Je crois qu’Il avait vu la résurrection de Lazare. C’est vrai. Et quand Il est allé...?... Alors, Il s’est présenté. Peu après, Il a dit: «Lazare, notre ami, dort.»
Les disciples ont dit: «Il fait bien.»
Il leur aalors parlé ouvertement, de façon qu’ils comprennent cela. «Il est mort.» Il a dit: «Mais...» Ecoutez, j’aime ça. Il a dit: «Et Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Il savait ce que le Père Lui avait ordonné de faire, car Il a dit: «Je vais le réveiller.» Et Il s’en alla, Il prit le chemin du retour.
Eh bien, lorsque l’état de santé de Lazare s’empirait de plus en plus malade et qu’ensuite on L’envoya chercher... Oh! Comme c’était décourageant! Ils ont envoyé chercher le Pasteur pour venir prier pour lui. Ils avaient quitté leur église. Ils avaient tout abandonné pour suivre cet Homme, ce Guérisseur divin, il n’y avait pas d’espoir qu’Il vienne. Il poursuivait Son chemin, ignorant leur message. Quelle heure sombre! Puis, tout à coup, vous savez, la mort frappa, tua Lazare. On l’a emmené et on l’a enseveli.
E-76 Le premier jour passa. Oh! la la! Comme c’était sombre! Le deuxième jour passa; sombre. Le troisième jour, le quatrième jour, il n’y avait plus d’espoir. Il pourrissait déjà dans la tombe, et les vers de son corps grouillaient en lui. Il n’y avait d’espoir nulle part. Elles étaient découragées, leur Pasteur les avait abandonnées, leur Bien-aimé. Celui qui opérait des miracles les avait abandonnées, Il n’était pas venu à leur secours. Et Marie et Marthe étaient restées seules là, leur père et leur mère étant morts; maintenant, ces deux jeunes filles étaient restées seules au monde.
Quelqu’un était venu pour–pour les encourager. Elles étaient assises, vêtues de sacs, portant des voiles noirs, pleurant et gémissant à cause de leur frère. Et alors, à l’heure la plus sombre, puis Jésus vint. C’est ainsi qu’Il s’y prend. Amen.
Frère, c’est peut-être l’heure la plus sombre pour vous maintenant même. Mais Jésus vient juste à l’heure la plus sombre. Quand j’y pense, c’était l’heure la plus sombre jamais connue pour la femme à la perte de sang; elle avait dépensé tout son argent. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue pour Jaïrus; sa fillette était couchée, morte. Puis Jésus vint. C’était l’heure la plus sombre jamais connue sur la mer pour Pierre et les apôtres; on dirait qu’ils allaient être noyés. Puis Jésus vint.