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Chicago, Illinois, USA

E-70 Bonsoir. Votre enfant... Croyez-vous que je suis le serviteur du Seigneur Jésus? Croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, que–pas la mienne, dans Sa Présence maintenant? Si le Dieu Tout-Puissant, par Son Fils, Jésus-Christ, Lequel m’a oint maintenant pour vous parler, pour votre bien... Croyez-vous que si Dieu me révèle ce qui cloche chez cet enfant, et qui est cet enfant, allez-vous accepter la guérison de l’enfant, car il est trop jeune pour l’accepter?

Le petit garçon souffre d’une sorte de toux. Il est asthmatique, c’est une toux sèche. Est-ce vrai? C’est votre fils, je le vois chez vous. Et dites donc, vous êtes vous-même un ministre. Et vous-même vous souffrez. Vous avez connu récemment une dépression nerveuse, et vous vivez quelque part près d’un fleuve, où coule un grand fleuve. Je crois que c’est le fleuve Mississippi, près de Woodville, ou quelque part comme cela. Est-ce vrai, à proximité de ce fleuve?

Très bien, je vous renvoie tous les deux chez vous au Nom de Jésus-Christ. Vous avez quitté la chaire depuis un certain temps, n’est-ce pas, à cause d’une dépression nerveuse? Rentrez chez vous, vous rentrez guéri. Prêchez l’Evangile du Seigneur Jésus.


Chicago, Illinois, USA

E-76 Bon, pourtant vous êtes ici pour une dame. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Il s’agit d’une dame. C’est votre parente. C’est une nièce. Elle est ici à Chicago, et elle souffre d’une sorte de maladie du sang ou quelque chose de ce genre. C’est une maladie du sang qui la dérange. Et je vois qu’il y a une autre dame que vous avez, à laquelle vous pensez, et c’est une autre nièce. Et elle habite près d’une rivière que plusieurs ponts enjambent d’est en ouest, et elle est dans un hôpital. C’est une femme qui a des enfants. Elle n’a pas de mari, et cette femme a le diabète, elle est dans un état grave. Et elle est à l’hôpital, et cet hôpital est à Saint Louis. Est-ce vrai? Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’impose les mains à cette femme, par représentation, alors qu’elle représente les malades, et que celles-ci soient guéries au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Partez et trouvez la chose ainsi, au Nom de Jésus-Christ.


Chicago, Illinois, USA

E-78 Voulez-vous approcher? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que si Dieu–qu’Il peut me révéler ce qu’est votre maladie? Bien sûr, vous portez des lunettes, mais pouvez-vous croire que s’il y a quelque chose de secret que je ne vois pas, s’Il le révèle, allez-vous accepter ce que je vous ai dit ce soir, que Jésus-Christ est déjà mort pour votre guérison? Allez-vous alors accepter votre guérison? Si Dieu me révèle certains secrets de votre vie, dont je ne sais rien, en dehors de vos yeux, allez-vous croire? Vous avez le diabète. Pas vrai? Avez-vous accepté votre guérison? Dans ce cas vous obtiendrez cela. Que Dieu vous bénisse, au Nom de Jésus-Christ, partez et qu’il vous soit fait selon votre foi.


Chicago, Illinois, USA

E-81 Très bien. Approchez, madame. Vous avez ressenti un drôle de sensation lorsque j’ai dit cela à cet homme, n’est-ce pas? C’est ce qui n’allait pas chez vous aussi. Cela vous a donc quittée. Partez, que Dieu soit avec vous. Cela ne vous dérangera plus, ma soeur, au Nom de Jésus-Christ...?... Croyez de tout votre coeur. Soyez respectueux.

Je ne sais pas, soeur, si vous êtes consciente des ténèbres qui marchent devant vous. C’est la mort qui se trouve sur votre chemin. [Frère Branham s’adresse à cette dame.–N.D.E.] Il l’a fait. Le cancer est mort. Maintenant, vous pouvez partir. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. C’est votre foi qui a fait cela pour vous. Et...?...

Oh! la la! Combien vous devriez croire! La mort peut être changée en vie par la foi en Dieu. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.


Chicago, Illinois, USA

E-82 Vous étiez un peu déçue il y a un moment, madame, vous qui êtes assise là, tenant votre carte de prière. Elle s’est mise à avancer dans la ligne de prière. Oui, soeur, c’est vous. Elle se disait qu’elle allait entrer dans la ligne de prière, et elle n’y est pas parvenue. Croyez-vous que ce diabète sucré vous a quittée, lorsque–il y a quelques instants? Croyez-vous? Tenez-vous simplement là; c’est très bien. Vous n’êtes pas obligée de monter ici. Partez et croyez maintenant. Vous pouvez cesser de prendre de l’insuline. Jésus-Christ vous rétablira, et vos yeux aussi se rétabliront. C’est le sucre qui fait que vos yeux soient dans cet état. Que Dieu vous bénisse donc. Rentrez chez vous en paix. Que Dieu soit avec vous. Grâces soient rendues au Seigneur Jésus-Christ.


Chicago, Illinois, USA

E-1 Bonsoir, mes amis. Vous pouvez vous asseoir. C’est vraiment un privilège d’être ici cet après-midi, de servir encore une fois au Nom de notre Seigneur. Et juste avant de commencer le service, je vois certains de mes frères assis là dans la pièce d’enregistrement, avec des enregistreurs; et Billy Paul, mon fils, a demandé à frère Wood, qui est un ami, de bien vouloir le rencontrer devant le bâtiment, aussi vite que possible là devant, à propos des livres et des photos en rapport avec les réunions.

Et d’avoir cette présentation qui a été si bien faite, pendant que je... quel genre de personne... je devais mener une très bonne vie pour vivre à la hauteur de cela, n’est-ce pas? Mais, c’est parce que frère Mattsson m’aime. C’est un ami intime.

Et ainsi, nous sommes très heureux du privilège que nous avons d’être ici, et je commence les réunions à Chicago, à ce qu’il semble. Durant toutes les années de mon ministère, c’est la première fois dans tout mon ministère, que je tiens une réunion l’après-midi. Durant tout mon ministère, du mieux que je me souvienne, je n’ai jamais tenu une–une réunion pour donner un enseignement l’après-midi. Et maintenant, cela fait environ neuf ans, je pense, depuis que je tiens les services. Et ainsi, je recommence à Chicago, chez frère Joseph. Et alors, je ne connais pas de meilleur endroit pour commencer ou débuter mes réunions.

[Frère Joseph parle de frère Branham à l’assemblée.–N.D.E.] Merci. Merci, Frère Joseph. Merci, mes chers amis chrétiens.


Chicago, Illinois, USA

E-3 J’ai quarante-cinq ans depuis le mois d’avril, et j’ai vu des visions depuis... l’une des premières visions dont je me souviens, ça parait étrange, mais je me souviens que c’était lorsque je marchais encore à quatre pattes. A notre époque, lorsqu’un bébé marchait à quatre pattes, on lui faisait porter une longue robe. Et je me souviens que ma mère avait cousu un petit ruban sur ma robe. Et je marchais à quatre pattes sur le plancher d’une cabane, là loin dans les montagnes du Kentucky où je suis né. Et je mangeais la neige qui était sur les pieds d’un homme. C’est la première chose dont je me souviens. Et la chose suivante dont je me souviens, c’était Dieu qui m’avait parlé dans une vision, et qui me disait que j’allais passer la plus grande partie de ma vie près d’une ville appelée New Albany. Et ces quarante dernières années, j’ai vécu à quelques kilomètres de New Albany, dans l’Indiana, qui se trouve à deux ou trois cents miles [321 ou 482 km] de l’endroit où cela s’était passé. Et aucun membre de ma famille, jusqu’à présent, n’a été hors de l’Etat du Kentucky, à ce que je sache. Mais toujours, et à chaque fois... Voyez-vous?

Les dons et les appels sont sans repentir. Tout d’abord, ces choses, c’est Dieu qui les donne. Ces offices ont été placés dans l’Eglise par Dieu. Et à mon avis, c’est là que bien des gens ont commis une erreur aujourd’hui, lorsque nous disons: «Maintenant, je vais aller chercher la face de Dieu pour qu’Il fasse de moi ceci ou cela.» Ne le faites pas. Voyez-vous? Vous êtes ce que vous êtes par la grâce, il n’y a rien que vous puissiez faire par vous-même. C’est Dieu qui donne. Dieu a établi dans l’Eglise des apôtres, des docteurs, et des prophètes. Est-ce vrai? Dieu les a établis dans l’Eglise pour le perfectionnement... Alors, ce n’est pas l’évêque qui les a placés, ni l’ancien ni quelqu’un d’autre, mais c’est Dieu, et Il... ils sont... Ce sont des offices qui ont été placés dans l’Eglise.


Chicago, Illinois, USA

E-6 Et il y a quelques jours, j’ai eu un entretien avec un prêtre; ce prêtre a dit... Je lui ai posé quelques questions, comme ma famille avant moi était catholique. Et j’ai dit: «Je–j’aimerais vous poser quelques questions en rapport avec les Ecritures.»

Et euh–euh, il a dit: «Juste un instant, Monsieur Branham, a-t-il dit, voyez-vous, nous les catholiques, nous allons à l’église et nous adorons. Vous les protestants, vous restez à la maison et vous lisez la Bible, mais nous, nous allons à l’église et nous adorons.»

J’ai dit: «Alors, quoi?» Voilà la chose suivante. «Alors, quoi?»

Eh bien, il a dit: «Voyez-vous, nous ne prêtons pas attention à ce que... Ce que dit la Bible, c’est très bien, mais si l’église dit le contraire, alors c’est l’église qui a raison, parce que Pierre était le pape, et le pape est le successeur de Pierre, et tout ce que l’église a établi, c’est ça l’ordre. C’est ce qu’on suit. Dieu continue d’avancer...»

«Eh bien, ai-je dit, évidemment, c’est en ordre. Chaque personne... C’est ce qui fait cette Amérique: chacun sa croyance.» Mais je crois que tout ce que Dieu a dit ... La Parole de Dieu ne peut pas être altérée. La Parole de Dieu ne change pas: «Pas un iota, ni un seul trait de lettre de Cela ne passera, jusqu’à ce que chaque point soit accompli.»

Et je crois que Paul a dit: «Quand un ange du Ciel viendrait annoncer un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème.» Galates 1.8.

Alors, je suis un croyant fondamentaliste de la Bible. Ce que dit la Bible, c’est ce que je crois. Et je crois que c’est la vérité, et je suis prêt à faire reposer mon âme sur chaque portion de la Bible, ou sur chaque–chaque phrase, chaque virgule, tout, car la Parole de Dieu est la Vérité éternelle. Elle est inspirée et écrite, et nous nous y accrochons.


Chicago, Illinois, USA

E-8 Par hasard, ma femme était restée dehors hier soir. «Aussitôt que le...» Elle a dit: «Deux ou trois personnes sont passées sur l’estrade, a-t-elle dit, un groupe de gens s’est levé et est sorti.» Elle a dit: «L’un d’eux a regardé l’autre, et a dit: ‘Qu’en penses-tu?’ L’autre a dit: ‘Oh! de la foutaise! Ça ne vaut rien.’» Et un autre est sorti après quelques minutes, il a dit: «Eh bien, c’était un très beau spectacle, n’est-ce pas? Et l’accès est gratuit.»

Et ça, c’est l’opinion des gens empesés de ce monde. Voyez? Ça, c’est leur opinion. Ç’a toujours été leur opinion. C’était leur opinion... Leurs pères avaient la même opinion et ils sont en enfer aujourd’hui. Et, souvenez-vous, qu’en serait-il si ce qu’ils ont entendu hier soir était la vérité? C’est qu’alors, ils ont blasphémé contre le Saint-Esprit, et il n’y aura jamais de pardon ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir pour cela. Est-ce vrai? C’est vrai. Vous feriez mieux de rester tranquille si vous n’êtes pas certain. Que le Seigneur vous bénisse donc.


Chicago, Illinois, USA

E-9 Maintenant, cet après-midi, comme nous sommes rassemblés ici, c’est pour un seul but, celui de donner des instructions pour le service de guérison de ce soir. Lorsque je reviendrai d’outre-mer, Dieu voulant, j’aimerais commencer mes services d’une manière différente. Je venais de parler à l’un des organisateurs, il y a quelques instants, notre cher frère Moore, et je lui disais ce que Dieu a placé sur mon coeur: de venir à un endroit comme Chicago, ou quelque part, et non pas juste pour repartir précipitamment, mais il faut qu’on vienne pour quelques soirées, et–et obtenir... Vous... cela m’épuise tellement qu’on est obligé de me faire sortir. Mais je dois aller là où je tiens tout simplement la ligne de prière, de sorte que je continue tout simplement à prier pour les gens l’un après l’autre, jusqu’à ce que le Saint-Esprit s’empare de ce don pour opérer Lui-même (Voyez-vous?), de cette manière, si un pécheur ou quelqu’un passait sur l’estrade sans s’être repenti, Cela l’interpellerait. Voyez-vous? Mais de cette manière, par ce don divin et Sa Présence, juste en quelques minutes, je suis presque épuisé. Cela m’affaiblit tellement que j’ai de la peine à sortir de la salle. Bien des fois je m’évanouis complètement sous cette onction. Et une fois, je suis resté hors du champ des missions pendant huit mois ou plus. Vous vous souvenez donc de ce moment-là, beaucoup parmi vous.


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