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Chicago, Illinois, USA

E-5 Eh bien, il me reste très peu de temps pour parler juste une minute ou deux. Cet après-midi, je pense que j’ai peut-être prêché trop longtemps cet après-midi, et je pense que je dois pratiquement présenter mes excuses. Quand je suis sorti, frère Moore m’a dit, il a dit: «Frère Branham, ce fou que vous avez eu était dans son bon sens lorsque vous m’avez parlé... Je... Il... après sa guérison, il descendait la rue, se comportant de nouveau comme un fou, courant de toutes ses forces et criant: ‘Gloire à Dieu’, et tout.»

J’ai dit: «Eh bien, il était simplement doté de son bon sens à ce moment-là pour adorer. Voyez-vous?» C’est juste. Jésus lui a accordé son bon sens pour qu’il adore. Il était alors de nouveau fou aux yeux des gens, parce qu’il avait recouvré son bon sens.


Chicago, Illinois, USA

E-7 Eh bien, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à ces Paroles. Nous allons de nouveau parler de Jésus. Tout ce dont nous savons parler, c’est de Lui. Et nous Le voyons cette fois-ci, Il s’occupait des affaires du Père, Il faisait ce qui était... le Père Lui avait ordonné de faire. Et nous Le voyons à bord d’un bateau, traversant de nouveau, pendant une autre tempête. Nous L’avons vu cet après-midi calmer la mer et faire recouvrer au maniaque son bon sens. Et maintenant, nous Le voyons ce soir après avoir parlé pratiquement toute la journée. Et pendant Son discours, ou plutôt Son sermon... Beaucoup de gens L’avaient suivi hors de Jérusalem. Peut-être une foule comme celle-ci, ou un peu plus grande L’avait suivi hors de Jérusalem, jusque dans le désert. Et le temps de manger arriva, mais il n’y avait pas de nourriture. Et Jésus a dit à Pierre: «Donnez-leur à manger; nourrissez-les.»

Avez-vous remarqué, les mêmes choses que Jésus a faites, Il s’attend à ce que Son Eglise fasse les mêmes choses que Lui. Car Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» Alors, Il a dit: «Donnez-leur du pain.»


Chicago, Illinois, USA

E-9 J’ai remarqué hier soir, lorsqu’on a amené sur l’estrade cet homme qui était aveugle et qui a recouvré la vue, cela a aussitôt amené un embrasement. Voyez-vous? La femme sourde qui est venue, pendant que je lui tenais encore la main et que j’ordonnais au démon de la quitter, elle a commencé à trembler de tout son corps; elle a dit: «Je vous entends, je vous entends.» Immédiatement, cela a amené un embrasement. Et au moment où je m’en allais, c’était comme si toute la salle était illuminée par la Présence de Dieu.

Jésus a pris la foi que l’aveugle avait, ou la foi que cette femme sourde avait, et avec cela Il a commencé à édifier la foi. Voyez-vous ce que je veux dire? Il prend quelque chose à partir duquel Il doit faire quelque chose.

Maintenant, pour qu’Il obtienne quelque chose, quelqu’un aabandonner quelque chose. C’était le petit garçon; il aabandonner son repas. Eh bien, pour le jeune gamin, le repas dans la main du petit garçon ne représentait pas grand-chose; avec cela il ne pouvait lui-même être rassasié qu’à moitié, peut-être. Mais une fois placé entre les mains de Jésus, cela a nourri cinq mille personnes.


Chicago, Illinois, USA

E-10 Eh bien, peut-être que votre foi ne représente pas grand-chose, mais si vous... cette petite foi que vous avez, si vous la mettez entre Ses mains, elle pourrait faire éclater un réveil ici dans tout Chicago. Voyez-vous? Vous devez avoir quelque chose à partir duquel faire quelque chose. Et ce que vous avez dans votre main, cela ne représente rien dans votre main. Mais dans la main de Dieu, c’est merveilleux ce qu’Il peut faire avec une si petite chose.

Une fois, un vieux berger du nom de Moïse paissait les brebis un jour, et il avait à la main un vieux bâton sec, et Dieu lui parla à travers le buisson ardent. Et Moïse se détourna pour voir. Et Dieu lui a accordé une audience et lui a dit qu’Il allait l’envoyer en Egypte pour prendre le contrôle de l’Egypte, et en faire sortir Son peuple.

Eh bien, quelle chose étrange que Dieu prenne un homme de quatre-vingts ans, un rétrograde, fuyant Dieu, et âgé de quatre-vingts ans, et qu’Il l’envoie en Egypte pour vaincre une grande nation comme celle-là! Ce serait comme envoyer un homme en Russie aujourd’hui pour en prendre le contrôle. L’Egypte était la nation la mieux armée du monde. Leurs grandes unités de chars, avec des hommes armés de lances, et des cavaliers, des archers, des frondeurs, c’était... faisaient trembler le monde entier à ses pieds. Et cependant, Dieu va auprès de ce vieil homme, ayant une longue barbe blanche et une longue chevelure blanche, et Il lui dit: «Moïse, va prendre le contrôle.»

Combien cela semblait ridicule pour la raison. Vous ne pouvez pas saisir Dieu par la raison. Vous ne pouvez pas saisir Dieu par la raison. Dieu ne doit pas être saisi par la raison; Il doit être obéi. Ce que Dieu dit, ne Le raisonnez pas, faites-le tout simplement. La raison est forcément un non-sens dans cette situation. Moïse a dit: «Que puis-je faire pour y aller?» Il lui a donné un signe.

Et il avait un... Il a dit: «Qu’y a-t-il dans ta main?»


Chicago, Illinois, USA

E-12 Ça semble ridicule pour le monde, mais pouvez-vous imaginer combien cette scène était ridicule, avant que nous la quittions? Là se trouvait Moïse, un vieil homme de quatre-vingts ans, descendant en Egypte, pouvez-vous vous imaginer, avec ce vieux bâton à la main, sa femme avec deux enfants, un sur chaque hanche, assise à califourchon sur un mulet? Le voilà partir, la tête haute, souriant, se réjouissant tout simplement. Quelqu’un dit: «Où vas-tu, Moïse?»

«Je vais en Egypte pour prendre le contrôle.» L’invasion par un seul homme, allant en Egypte. Pouvez-vous vous imaginer pareille chose? Le monde a regardé et a dit: «Ridicule!» Mais ce qui est glorieux là-dessus, c’est qu’il l’a fait. Pourquoi? Dieu l’avait dit. Peu importe combien cela semblait ridicule et minable, ce bâton dans la main de foi de Moïse, soutenu par la Parole de Dieu, valait plus que toute l’armée que Pharaon pouvait mobiliser. Amen.


Chicago, Illinois, USA

E-13 Il en était ainsi de ces petits poissons ce matin-là. Il les a donnés à Jésus. Il a pris ce pain et l’a brisé, puis Il s’est mis à distribuer cela, et Il coupait un morceau de poisson et distribuait cela.

J’aimerais vous poser une question, auditoire: quel genre d’atome avait-Il libéré à ce moment-là? Pas seulement le poisson, nous savons qu’Il était le Créateur. Christ était le Créateur. Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui, mais le monde ne L’a point connu. Non seulement Il a brisé le blé, mais Il a brisé le blé déjà préparé et cuit au four. Non seulement Il a brisé le poisson, la chair, mais Il a brisé la chair déjà cuite et apprêtée. Quel atome avait-Il libéré alors, vous les hommes de science? Qu’est-ce qui multipliait ce poisson? Chaque fois qu’Il en coupait un morceau, il y en avait un autre là, déjà préparé et cuit au four. Qu’a-t-Il fait avec le pain lorsqu’Il l’a brisé, et que ce dernier était déjà doré, juste après cela, venant du four? Il le donnait directement, comme cela.

Voilà notre Dieu. Il est le même Seigneur Jésus ce soir qu’Il l’était à l’époque. Bien que le poisson ne représentait pas grand-chose dans la main du petit garçon, mais dans la main de Jésus, cela a nourri cinq mille personnes.

Puis j’ai remarqué qu’Il a envoyé Ses disciples; Il a dit: «Maintenant, il faut que Je m’en aille; vous, allez donc de l’avant et apprêtez une barque pour traverser, parce que nous allons aller de l’autre côté de la mer.»


Chicago, Illinois, USA

E-15 Ils avaient confiance en leur barque. Il n’y a pas longtemps, lorsque nous avons établi cette nation, nous étions un peuple merveilleux. Lorsque cette nation a été établie à Plymouth Rock, des hommes sont tombés sur leurs faces, ils ont prié et ont remercié Dieu pour une nation où il y a la liberté de religion, où ils pouvaient adorer Dieu. Nous étions jeunes; c’étaient nos balbutiements.

Puis, après cela, ils ont déclaré un jour de Thanksgiving, quand Dieu a béni leurs terres, ils sont venus et ils ont offert des actions de grâces. Nous étions alors jeunes; la nation était jeune. Nous étions un grand peuple lorsque nous étions jeunes et que nous rampions, quand nous étions dans notre berceau. Mais j’ai peur, après que nous avons grandi, que nous soyons partis sans Jésus. Nous avons ouvert des bars. Nous ne pouvons pas marcher sur le chemin étroit et resserré. Nous nous moquons du prédicateur, nous crachons sur ses pieds si cela nous est possible. Quand le Saint-Esprit descend dans nos réunions, nous en savons trop maintenant. Nous savons que nous avons les meilleures églises; nous avons les meilleurs bâtiments; nous avons les prédicateurs les mieux instruits. Nous avons les meilleurs orateurs.

Lorsque nous étions jeunes, Dieu pouvait traiter avec nous. Mais lorsque nous avons grandi, nous en savons plus que Lui. Et je crains que notre nation avance par elle-même, laissant Dieu de côté. Nous allons certainement nous buter à des problèmes.


Chicago, Illinois, USA

E-17 Lorsque Jésus est venu et qu’Il a regardé sur le rivage, et que Sa barque était partie, Il n’a pas fait demi-tour pour les laisser. Mais Il a gravi la montagne, cherchant à voir où ils se trouvaient. Il a regardé au loin sur la mer, et les voilà, essayant d’avancer de leur propre force, essayant d’avancer par leur propre puissance, essayant d’avancer d’eux-mêmes, après L’avoir laissé. Et ils étaient dans le pétrin.

C’est là qu’Il a regardé et vu la–l’église américaine récemment, lorsque nous étions tout ballottés par n’importe quoi, les églises étant formalistes et reniant la puissance et tout. Ce qu’Il avait fait à l’époque, c’est exactement ce qu’Il a fait aujourd’hui. Il nous a envoyé un réveil. Il a donné à l’Eglise pentecôtiste un réveil. Il a donné au monde un réveil, ramenant la bénédiction.

Il a gravi la montagne, Il a regardé. Je suis si reconnaissant ce soir que le Seigneur Jésus-Christ ait gravi les remparts de la Gloire, loin au-dessus de tous les Archanges, de toutes les dominations, et Il est assis à la droite de la majesté divine ce soir, observant cette chose alors qu’elle est ballottée. Il a vu lorsque cette Amérique était établie sur la liberté de religion; Il a vu les églises devenir formalistes et s’éloigner, mais Il ne nous a pas oubliés.


Chicago, Illinois, USA

E-18 Juste au milieu de cette nuit inoubliable, où tous les espoirs d’être sauvés s’en étaient allés pour ces petits disciples, ils ont compris qu’ils étaient partis sans Jésus. Qu’ont-ils fait? Là, sans doute, dans la détresse, ils ont tous prié, désirant que le Seigneur vienne vers eux. Ils se sont levés et ils ont regardé partout, et Le voici venir, marchant sur l’eau. Et ce qui est tragique... Ecoute, Chicago. Ecoute, monde. Ce qui est tragique, c’est qu’ils ne L’ont pas reconnu. Ils ont eu peur de Lui. Ils pensaient que c’était un esprit ou un fantôme ou quelque chose de ce genre. Ils ont eu peur de Lui.

Et maintenant, vous avez crié. Ce qui est sage, ce qui est raisonnable lorsque vous êtes malade, c’est d’aller voir le médecin. C’est juste. Lorsque votre médecin échoue, alors vous dites: «Je dois aller ailleurs.» Lorsque vous venez à la réunion et que vous voyez Jésus-Christ accomplir ces signes, vous en avez peur. Vous dites: «C’est du spiritisme; c’est le diable, c’est quelque chose de ce genre.»


Chicago, Illinois, USA

E-19 Le seul secours que ces disciples avaient, ils en ont eu peur. Et ce soir, le seul salut que nous avons aussi bien pour la nation, pour l’église que pour l’individu et sa guérison, c’est Jésus-Christ. Et les gens ont peur de Lui lorsqu’Il entre dans l’église. Ils ont peur. Ils s’en vont; ils sont assis dans l’église avec un air curieux sur les visages. «Je ne sais qu’en penser. J’en ai simplement peur. Je ne sais pas; il se peut que ce soit de la psychologie. Il se peut que ce soit de la télépathie. Il se peut que ce soit le diable. Il se peut que ce soit un devin. Il se peut que ce soit un astrologue. Il se peut que ça soit un sorcier. Il se peut que ça soit un diseur de bonne aventure.» N’ayez pas peur. C’est le Seigneur Jésus-Christ, qui sauve les malades et les affligés.

C’est le seul espoir de salut en ce jour où nos nations et le monde sont dans le chaos. Alors que nos nations se disloquent partout, et que nos églises sont formalistes et indifférentes, alors que la puissance de Dieu n’a pas été prêchée à la chaire, Jésus-Christ descend dans cette eau agitée. N’ayez pas peur de Lui; acceptez-Le. Car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, disant: «Vous ferez aussi les choses que J’ai faites.» N’ayez pas peur.


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