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New York, New York, USA

E-51 Il n’y a pas longtemps, quand frère Baxter et moi (C’est ici maintenant parmi nous), nous étions au Canada. (Je me rappelle ceci ici même.) J’étais sorti ce jour-là, je me promenais. Et je chassais un vieil ours. Et le vieil animal s’était éloigné de moi. Et j’étais, eh bien, à mille cent miles [1770 km], je pense, ou quelque chose comme cela, je dirais, au moins sept cents miles [1126 km], ou plus, de la voie macadamisée. Oh! Nous étions là loin en Colombie-Britannique, là loin dans de grandes montagnes, là derrière, deux ou trois jours là, sur des chevaux de bât.

Et je poursuivais des chèvres sur la montagne, j’ai rencontré un vieil ours, et je me suis mis à le pourchasser. Je m’étais un peu perdu du reste de frères. J’ai tournoyé là un petit moment, et il commençait à faire sombre. Et je me suis dit: «Eh bien, par où suis-je venu ici?» Il n’y avait pas de routes, il n’y avait rien.

Alors, je me suis dit: «Eh bien, je pense que je vais m’allumer un feu.» Et je me suis arrêté, j’ai attendu un petit moment, je me suis dit: «Non, ces lumières du nord éclaireront probablement assez pour que je ne tombe pas dans une fissure quelque part. Je vais retrouver mon chemin de retour, car j’arrive à voir. Je suis venu du nord, vers le sud; je dois retourner au nord.»


New York, New York, USA

E-53 Quand Luther a eu un réveil, il a eu un réveil; et quand Wesley a eu un réveil, il a eu un réveil; et eux tous avaient des signes et des prodiges. Mais avec le temps, les jéleks, les gazams, les éthiques et autres, de l’Eglise ont dévoré de l’Eglise toute la source qui donne la vie. Ils ont ôté les miracles.

Vous les méthodistes ici, qui ne croyez pas dans la guérison divine... (Eh bien, j’ai personnellement le manuel de Wesley.): Quand il était ici en Amérique, il était à dos de cheval pour aller prier pour une femme, le cheval est tombé et s’est fracturé la patte. Il est descendu, il a pris son huile d’onction, il a oint le cheval avec l’huile, et il s’en est allé chevauchant. Alléluia! C’est alors que l’église évoluait.

Mais qu’est-il arrivé? Les parasites sont entrés dans l’église. Une autre génération est apparue et a dit: «La guérison divine n’existe pas. Nous ferions mieux d’arrêter ce non-sens, toutes ces choses par ici, tous ces cris et tout ce qui se passe; nous ferions mieux d’instruire l’église.»

Frère, c’est le Saint-Esprit qui conduit l’Eglise. C’est vrai. Si vous ôtez cela de là, vous en ôtez donc la Vie. Cela cessera de croître. C’est vrai. Et quand Dieu envoie le Saint-Esprit, comme Il l’a fait le jour de la Pentecôte, le vent impétueux, tout ce que l’église fait, c’est gémir, se plaindre et dire: «Cela n’existe pas.»

Pourquoi ne pouvez-vous pas vous plier? Parce que vous êtes mort. C’est exact. Pourquoi? Elle n’a pas la vie en elle. Vous restez simplement là, le vent soufflant droit sur vous.

Et vous–vous dites: «Des signes apparaissent dans des journaux: ‘Cet homme qui passe dans la rue, hier soir, il était un estropié; aujourd’hui, il marche. Hier soir, elle était une femme aveugle à l’estrade; aujourd’hui, elle voit.’»

L’Eglise, un grand gaillard dans son église dit: «Oh! C’est de la télépathie mentale. Les jours des miracles sont passés.» Et le Saint-Esprit passe juste par-dessus eux.


New York, New York, USA

E-56 Voyez-vous ces deux arbres? Ils ont poussé depuis Eden. Ils sont ici. Ils ont évolué tout droit, ces deux esprits, ils ont évolué tout droit, tout aussi fondamentalistes. Voyez-vous ce que je veux dire? Ils sont fondamentalistes, ils croient en Dieu, ils adorent Dieu, ils fréquentent l’église, ils paient des dîmes, ils offrent des sacrifices, ils croient toute la Bible. Mais ils renient la puissance de Dieu, le parler en langues, crier, interpréter, avoir des signes, des prodiges et des guérisons. «Ils ont l’apparence de la piété, mais ils renient ce qui en fait la force, dit la Bible, éloigne-toi de ces hommes.» C’est vrai.

Voici où l’Eglise doit être.

«Comment y entre-t-on, Frère Branham? En allant adhérer aux milieux pentecôtistes?» Non, non. Les milieux pentecôtistes n’ont rien à faire avec cela, pas plus que ce gars-là. Ils sont tout aussi organisés et tout aussi froids et formalistes que les autres.

L’Eglise du Dieu vivant est constituée de chaque groupe de gens qui sont nés de nouveau, du Saint-Esprit. C’est le véritable, réel Dieu vivant. Ce sont des presbytériens, des méthodistes, des catholiques, et tout le reste, qui sont nés de l’Esprit de Dieu. Ils sont dans cette Eglise-là par le baptême du Saint-Esprit. Amen! Pas l’étiquette de leur dénomination, cela n’a rien à faire avec ça. Ils sont enfants de Dieu par l’élection de Dieu, par la puissance de Dieu, par Jésus-Christ ressuscité en eux. Ils croient au surnaturel, peu importe ce que l’église dit à ce sujet.

Je me sens bien religieux. Amen. Oh! Combien je L’aime, combien je Le loue, combien j’aime Le voir!


New York, New York, USA

E-57 Vous dites: «Frère Branham, vous avez condamné les autres églises.» Non, je ne–je ne condamne pas ces gens-là. Je condamne ces organisations pour avoir enseigné à ces gens une apparence de la piété, et à renier la puissance, alors que ces gens croient que ceci est la vérité.

Dieu a placé une porte ouverte devant vous. Croyez en Dieu de tout votre coeur. Acceptez le Seigneur Jésus dans votre coeur. Vous ne pouvez pas croire tout en étant dans le formalisme; cela n’aurait pas de vie pour croire.

Un brave homme d’église m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Révérend Branham, advienne que pourra, a-t-il dit, je ne crois pas dans ces choses.»

J’ai dit: «Certainement pas. C’est uniquement pour les croyants. Ce n’est pas pour les incroyants. C’est pour les croyants. ‘Celui qui croit et qui sera baptisé. Et voici les miracles qui devront.’ (Pas peut-être. Certainement.) Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’» Ce sont les Paroles mêmes de Jésus. Est-ce vrai?

«Oh! a-t-il dit, Frère Branham, c’était uniquement pour les apôtres.»

«Honte à vous! J’ai chez moi une jeune fille, elle est assise là derrière dans l’église, elle a sept ans, elle connaît mieux que ça. Jésus a dit: ‘Allez partout le monde, et prêchez cette Bonne Nouvelle à toute création.’» Les deux tiers du monde n’en ont pas encore entendu parler, jamais. ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui, dans le monde entier, auront cru; en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues et autres; ils guériront les malades. L’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force; éloigne-toi de ces hommes-là.’» Voyez-vous où cela a commencé? En Eden. Voyez-vous où cela se termine? Ici. Fondamentaliste? Jésus a dit qu’ils seraient si proches qu’ils séduiraient si c’était possible, même les élus, ils séduiraient même les élus.


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E-58 Eh bien, n’allez pas condamner, disant: «Eh bien, je ne serais pas un méthodiste. Je ne serais pas un baptiste.» Frère, si vous êtes un pentecôtiste et que vous avez l’apparence de la piété, parce que vous êtes un pentecôtiste, vous êtes tout aussi mort qu’eux. C’est vrai. L’église pentecôtiste ne vous sauve pas, c’est Jésus-Christ qui vous sauve. C’est vrai.

«Eh bien, dites-vous, Frère Branham, je ne peux simplement pas accepter cela

La pire avec laquelle j’aie jamais traité de toute ma vie, c’était une église pentecôtiste. Celui qui renie le plus la foi que j’aie jamais rencontré de ma vie, c’est un prédicateur pentecôtiste. Quand j’étais dans les pays du Sud, je tenais une grande réunion, et le Seigneur bénissait, une grande arène. Et elle offrait plusieurs centaines de sièges, ça appartenait à l’une des grandes organisations de la pentecôte. Et je suis allé là, les organisateurs sont allés lui demander si on pouvait louer ces sièges à cinquante cents la pièce par jour.

Il a dit: «Je ne permettrais pas à un homme qui croit dans cette guérison divine de s’asseoir sur mon siège.» Pentecôtiste!

Ne dressez pas votre tête, parce que vous êtes un pentecôtiste. Vous devez appartenir à Christ, sinon vous êtes perdu. C’est vrai.


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E-62 Un vieux frère avait l’habitude de chanter:

Nous avons laissé tomber les barrières,

Nous avons laissé tomber les barrières,

Nous avons fait des compromis avec le péché;

Nous avons laissé tomber les barrières,

Les brebis sont sorties.

Mais comment les chèvres sont-elles entrées?

Vous avez laissé tomber les barrières, c’est ce qui est à la base de cela. Exact.

J’étais dans un petit restaurant là, prenant un repas, ce petit restaurant Dunkard. Ces dames propres passaient, tout propre, sans histoires sur leurs ongles et les yeux, et autres, elles entraient. C’était agréable de rencontrer et de sentir cet Esprit réel, chaud et chrétien. Et nous nous asseyions là, prenant nos repas, frère Baxter et moi. Dimanche, c’était fermé; elles allaient à l’église.

Nous avons eu à traverser pour aller à un–un restaurant ordinaire, populaire, américain, pour manger. Je suis entré là. Aussitôt que j’avais franchi la porte, un agent de police se tenait là, un policier, en train de jouer à une machine à sous, un homme de mon âge, avec son bras autour d’une femme. La loi du pays! Et dans l’Ohio, c’est illégal de jouer à l’argent. Et la loi était là, elle-même, violant la loi. Quelle corruption!

Je ne crains pas que le communisme s’empare de ce pays; je n’ai pas peur que la Russie vienne ici s’en emparer, ou l’Allemagne, ici; ce n’est pas ce qui va se faire. C’est notre propre pourriture, parmi nous, qui nous tue. C’est tout à fait vrai. Je n’ai pas peur du rouge-gorge qui picore la pomme, il ne va pas détruire la pomme, c’est le ver qui est dans le trognon qui détruit la pomme. Oui, c’est vrai.


New York, New York, USA

E-64 Je suis allé à ce restaurant, et là se trouvait l’agent de police en train de jouer à une machine à sous. Je me suis dit: «Quoi? La loi de notre pays?» Et je me suis retourné, il y avait des jeunes gens assis là et une jeune fille, habillée de façon immorale; et les autres avaient mis leurs mains sur elle, autour de son corps, à un endroit où elles ne devraient pas être. Je me suis dit: «Oh! la la!» J’ai regardé là, il y avait une vieille femme assise, à peu près assez vieille pour être ma grand-mère, environ soixante-cinq ans, en tout petits habits, et des histoires rouges sur ses lèvres, sur les ongles des mains et des orteils. Et sa pauvre vieille peau était tellement ridée; elle avait une grosse fleur dans ses cheveux, et une petite chevelure grisonnante, d’apparence bleue, et là, comme ça, toute coupée à la garçonne.

Eh bien, vous pensez que je–je suis... Je ne plaisante pas. Je prêche l’Evangile, et je veux que vous compreniez cela. Assurément, Dieu ne m’accorderait pas la puissance d’avoir des visions et autres si je ne savais pas de quoi je parlais. Je vous dis ce qu’est la vérité. C’est ce dont vous avez besoin ici à New York. Oui.

Et alors, qu’arriva-t-il? Je l’ai regardée et je me suis dit: «Oh! Bonté divine!» Elle était assise là, avec deux vieux ivrognes, et eux étaient assis là, avec une bouteille de whisky entre eux. Et je me suis dit: «N’est-ce pas là une disgrâce? Une vieille mère comme cette vieille grand-mère», et je me suis dit: «Ô Dieu, comment peux-Tu supporter cela? Pourquoi n’effaces-tu pas toute la chose et n’oublies-Tu pas cela?» Et je condamnais cette femme de tout mon coeur.

Maintenant, juste une minute. J’ai reculé derrière la porte pour offrir la prière, et alors, j’ai eu une vision. J’ai vu un monde, il tournait en l’air. En l’air, j’ai vu, comme un arc-en-ciel autour d’elle. Il a dit: «Ceci est le Sang.» Et cela: «Chaque pécheur au monde serait condamné, et Dieu vous ôterait la vie en cette même minute, n’eût-été le Sang de Jésus-Christ qui retient la colère de Dieu contre vous.»


New York, New York, USA

E-66 Je suis allé vers elle et je me suis assis, après la vision. Les hommes s’étaient levés. Ils étaient allés aux toilettes ou quelque part. Et j’ai dit: «Madame?»

Elle a dit: «Salut, là, chéri.» Elle allait faire passer son bras autour de moi.

J’ai dit: «Juste une minute, madame.» Je l’ai tenue par la main. J’ai dit: «Etes-vous une mère?»

Elle a dit: «Oh! Oui. Comment l’avez-vous su?»

J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Je suis le révérend Branham. En avez-vous déjà entendu parler?»

«Oh! a-t-elle dit, cet homme qui est là dans cette arène. Oui.» Elle a dit: «Enchanté de faire votre connaissance.»

J’ai dit: «Avez-vous déjà été une chrétienne?»

Et j’ai vu ses yeux rougir en quelques instants; elle pleurait.

Elle a dit: «Oui, je l’ai été; oui, je l’ai été; j’ai grandi une chrétienne.» Elle a dit: «Mais j’ai pris la mauvaise voie à cause du mauvais traitement d’un mar-... mauvais traitement d’un mari.» Elle a dit: «J’ai pris une voie. J’ai des filles dans le monde aujourd’hui.»

Je suis allé de l’avant, je me suis mis à parler, disant: «Madame, Jésus vous aime toujours.» Je lui ai raconté la vision.

Elle a dit: «Voulez-vous dire qu’Il me recevra maintenant?»

J’ai dit: «Juste telle que vous êtes, Il vous veut maintenant même.» Et là, à côté de ce box, parmi tous ces gens, nous avons mis fin à cette machine à sous et transformé cela en une réunion de prière, et la femme a été glorieusement sauvée là.

Et si je m’en étais allé en la condamnant? Frère, ce n’est pas une condamnation qui fait rentrer les gens dans la bergerie du Dieu vivant. Et puisse, s’il y a quelqu’un ici aujourd’hui, qui est hors du Royaume de Dieu, puisse-t-il venir pendant que nous prions.


New York, New York, USA

E-1 ... qui pouvait guérir les malades. La guérison ne vient que de Dieu seul. Jésus-Christ n’a pas prétendu être un Guérisseur. Il a dit... Il a renié le fait qu’Il était Guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, le Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.» Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même, Je ne fais que ce que Je vois faire au Père; c’est ce que le Fils fait pareillement.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19, Il a dit: «Je ne fais que ce que Mon Père Me montre.» Ensuite, quand Philippe est allé trouver Nathanaël et qu’il l’a amené là, je m’imagine que le Père lui avait montré là même ce qui allait se passer. Ne croyez-vous pas cela? Et Il a dit à Philippe, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»


New York, New York, USA

E-19 Tenez, tout ce que je sais, c’est que celui-ci est un homme. Approchez, monsieur. Posez votre main sur mon épaule, ou... C’est en ordre, juste ici. Croyez-vous que je suis un serviteur du Seigneur? Je ne vous ai jamais vu. A ce que je sache, je ne vous ai jamais regardé en face. Et pour lire la pensée, il me faudrait vous regarder, vous le savez, mais je regarde ici. Si le Saint-Esprit me révèle, pendant que je parcours cette assistance du regard, s’Il me déclare, le Glorieux Père céleste, par Son Ange, s’Il me déclare ce qu’est votre maladie, allez-vous accepter Jésus comme votre...? [Le frère dit: «Amen.»–N.D.E.] Allez-vous le faire? Puisse-t-Il m’accorder cela, mon frère.


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