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Binghamton, New York, USA

E-74 Nous sommes donc scellés dans le Royaume de Dieu jusqu'à ce que Jésus revienne. Le Sang a été répandu. C'est pour quiconque veut, qu'il vienne. Le Saint-Esprit se tient ici ce soir comme un témoin pour rendre témoignage du ministère de Jésus-Christ. Des miracles et des prodiges ont lieu. L'Evangile est prêché. Tout s'accomplit selon Sa Parole. De nombreux signes de Sa Venue se manifestent partout, partout. Ne voulez-vous pas vous en aller quand Il viendra? La seule chose que vous pouvez faire, si vous êtes baptisés du Saint-Esprit et scellés dans le Royaume de Dieu, soyez-en sûrs, si vous demeurez dans cette Eglise du Dieu vivant, vous irez dans la résurrection. Obligatoirement. Obligatoirement. Oui, oui. Restez dans l'Eglise de Dieu. Je ne veux pas dire la dénomination, l'Eglise de Dieu. Je veux dire qu'il n'y a qu'une seule Eglise. Et il s'agit de ceux qui sont nés de nouveau.


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E-83 Comme vous avez levé la tête juste un moment... J'ai dit aujourd'hui quelque chose qui était peut-être un peu étrange. Je vais les avoir à l'appel à l'autel dans un instant. Je veux que tout le monde reste respectueux et tranquille.

J'ai essayé de faire quelque chose. Une fois, j'ai essayé à travers le pays de rencontrer les gens, de leur serrer la main et d'être - d'avoir communion avec eux, et de faire tout ce que je pouvais. En effet, dans mes réunions de guérison, l'onction me frappe et je ne peux simplement pas... Je... Toute personne que je rencontre, c'est une vision. Et j'essaie d'éviter cela tant que je le peux.

Mais je ne suis pas un prédicateur capable de retenir l'attention de mon auditoire. Je m'en rends compte. C'est... Mon ministère, c'est la guérison. Dieu voulant, demain soir, nous allons commencer à dix-huit heures trente ou à dix-neuf heures; les cartes de prière seront distribuées. Je vais jeûner à partir de cette heure même, à partir de ce soir. Je vais croire que le Seigneur Jésus-Christ (ou peut-être à partir du matin) me ramènera de nouveau l'onction de l'Ange de Dieu. Si je ne peux pas exercer une influence sur les gens en prêchant l'Evangile que je crois, je prierai alors pour les enfants de Dieu qui sont malades. Et demain soir, nous tiendrons un service de guérison ici. Demain après-midi, j'aimerais prêcher sur Pourquoi je suis ce que je suis, Dieu voulant, demain après-midi ou demain soir, juste pendant l'école du dimanche. Venez. Si vous avez... C'est... Soyez là après que les réunions de votre église seront terminées peut-être. Demain soir.


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E-95 Ne Lui dites donc pas comment vous voulez Le recevoir; dites-Lui que vous En avez besoin. Peu importe comment Il vient, vous avez besoin. Vous désirez Quelque Chose où ancrer votre coeur et votre âme jusqu'à ce que tous les doutes et toute peur disparaissent et que les cloches de joie du Ciel résonnent dans votre âme. Dieu prendra soin du reste; demandez-Lui seulement de vous donner le baptême du Saint-Esprit.

Maintenant, pendant que j'offre la prière, j'aimerais que vous, les ministres, si vous le voulez bien, vous vous approchiez et vous leur imposiez les mains.

Bien-aimé Père céleste, pendant que les gens, dans cette église, ont la tête inclinée dans la prière, nous savons que les Anges de Dieu campent tout autour. En effet, beaucoup ici Te craignent et ont confiance en Toi. Et ces chers enfants qui sont appuyés contre cet autel, avec des coeurs consacrés, sont venus pour recevoir le baptême du Saint-Esprit; puisse-t-Il ce soir descendre dans une grande puissance. Puisse le Saint-Esprit descendre majestueusement à cet autel comme un vent violent. Innonde chaque âme. Et puissent-ils se lever à partir d'ici dans la victoire pour ressusciter avec Jésus dans la résurrection, s'en aller en criant les bénédictions de Dieu. Accorde cela, Père.

Bénis-les pendant qu'ils T'attendent. Puisse Ton Saint-Esprit se mouvoir dans la salle et les bénir. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus.


Binghamton, New York, USA

E-1 Bonsoir, amis chrétiens. C’est certainement un privilège d’être de nouveau ici ce soir, en cette occasion, pour prêcher aux nécessiteux les bénédictions du Seigneur Jésus-Christ. Et je suis très heureux de vous revoir tous. Après avoir eu deux soirées de services où j’ai parlé, eh bien, c’était juste la prédication de l’Evangile, au mieux de ma connaissance, alors ce soir, à... Nous devons avoir des services de prière pour les malades et de guérison.

Et je crois que vous prierez donc pour moi. Et ceci est la première fois depuis que je suis venu... La dernière fois que j’ai tenu un service de guérison dans une réunion, on a dû me transporter aussi bien pour me faire entrer que pour me faire sortir, c’était en Inde. Et mes vêtements étaient presque déchirés et tout, là où environ cinq cent mille personnes étaient réunies.

Et c’est merveilleux de connaître le Seigneur Jésus-Christ dans la puissance de Sa résurrection, et Son amour envers nous.

Bon, avant que nous commencions à prier pour les malades, je désire ardemment que vous priiez tous pour moi ce soir. Et j’aimerais prendre le thème habituel que nous avons toujours utilisé dans nos campagnes. C’est Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et c’est le thème que nous utilisons, car nous croyons qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

Et maintenant, comme passage des Ecritures, j’aimerais que vous lisiez (peut-être pas maintenant, mais lorsque vous serez en mesure de le faire), dans Saint Jean, chapitre 12, les versets 20, 21 et 22. J’aimerais lire ceci. Car étant un homme, mes paroles failliront. Mais lorsque je lis Sa Parole, Celle-ci ne peut faillir. C’est la Parole de Dieu. Et nous croyons que ce sont Ses Paroles. Et puis, je sais que si rien d’autre ne se produit à part la lecture que je fais de la Parole, Dieu bénira Sa Parole. Il a dit qu’Elle ne retournerait pas à Lui sans effet. Elle accomplira le dessein pour lequel Elle a été envoyée.


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E-2 Maintenant, nous lisons ceci à partir du verset 20:

Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,

S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.... le dire à André, puis André et Philippe le dirent à Jésus.

Et maintenant, inclinons nos têtes juste un moment pendant que nous parlons à l’Auteur de Ceci, s’il vous plaît.

Notre Bienveillant Père céleste, c’est avec des coeurs reconnaissants et pleins de cette assurance que Tu exauces les prières de Tes enfants, que nous nous approchons ce soir, sachant que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Tes voies merveilleuses et Ton attitude à l’égard des gens de l’époque où Tu étais ici dans la chair sont les mêmes ce soir, car Tu es le même.

Et je Te prie de manifester Ton amour à ceux-ci ce soir, au pécheur, au rétrograde, à l’impie, au malade, au nécessiteux, à l’infirme, à l’affligé, à l’aveugle, au boiteux. Et que ceci soit une soirée, Père, où lorsque nous terminerons les réunions pour partir, nous pourrons dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?»

Ô Dieu, nous Te prions de nous prendre ce soir, comme Tu l’avais fait à Emmaüs. Eh bien, Père, Tu es tout amour et Tu aimes Tes enfants où qu’ils se trouvent. Mais lorsque Tu t’es retrouvé seul avec ces disciples, et qu’ils se sont enfermés, laissant le monde à l’extérieur, Tu étais seul avec eux dans une pièce. Alors Tu as accompli quelque chose qui était un peu différent de ce que l’homme ordinaire pouvait faire, bien que Tu leur avais prêché durant toute la journée, et qu’ils ne T’avaient toujours pas reconnu. Mais à la manière dont Tu as fait quelque chose, ils ont compris que cela ne pouvait être que Toi et Toi seul qui pouvais le faire de cette manière-là. Et ils ont alors compris que c’était Toi.

Père, nous avons fermé les portes de nos coeurs aux choses du monde, à toutes les pensées sceptiques. Nous désirons être enfermés avec Toi ce soir. Ô Dieu, accorde ce soir que Tu fasses quelque chose qui sera un peu différent de ce que Tu fais d’habitude, afin que les gens sachent que Tu les aimes, que Tu es ici, et que Tu désires les guérir et leur pardonner leurs péchés. Accorde-le, Père.

Et maintenant, en tant que Ton humble serviteur, me soumettant à Toi, ainsi que cette église, pour l’opération du Saint-Esprit, nous demandons ces bénédictions dans le merveilleux Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.


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E-3 Juste pendant un moment, pour que nous puissions en quelque sorte nous habituer les uns aux autres, j’aimerais juste vous poser une question. Nous allons en parler dans quelques instants, Dieu voulant.

Ces Grecs étaient le genre de personnes qui sont curieuses. Ils... La Bible dit, je crois que c’est Paul qui a dit: «Les–les Grecs cherchent la sagesse. Les Juifs cherchent des miracles.» Et ces Grecs, lorsqu’ils sont venus demander Jésus, ils ne désiraient pas exactement voir Ses miracles. Ils voulaient juste voir Jésus. Et je crois que ce serait l’attitude de chaque Grec ici, pas seulement des Grecs, mais de toute autre nationalité qui est représentée ici ce soir, des nations et des tribus de la terre, étant donné que l’Amérique est un creuset ethnique, où nous tous, gens de différentes nationalités, nous nous rassemblons. Je crois que c’est le désir de chaque homme qui ait jamais lu la Bible ou qui ait jamais pensé qu’il existe un Dieu au Ciel, son désir c’est de voir Jésus. Et je sais qu’ils Le verront tous un jour. Et tout genou fléchira, toute langue confessera qu’Il est le Fils de Dieu.

Mais j’aimerais poser cette question: Devons-nous mourir pour Le voir? Non. Et maintenant, l’Ecriture qui est notre thème dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, par conséquent, lorsqu’Il est mort, Il n’était mort que pendant quelques heures. Mais Il est ressuscité.

Et je soutiens dans l’Eglise chrétienne aujourd’hui, au-delà du monde de la théologie, je soutiens que Jésus est vivant parmi les chrétiens et qu’Il est tout aussi réel qu’Il l’a toujours été, se manifestant dans Sa divinité et dans Sa puissance pour pardonner les péchés et guérir les malades, pour faire marcher les boiteux, faire voir les aveugles, et accomplir tout ce qu’Il faisait lorsqu’Il était ici sur terre; Il le fera encore maintenant. C’est... Soit c’est la vérité, soit la Bible est fausse.

Et quant à moi, si je ne croyais pas que la Bible est entièrement la Vérité et la Parole de Dieu, je ne serais certainement pas ici à New York ce soir, essayant de présenter Cela aux gens. J’ai une femme et deux petits enfants chez moi. Et ma femme va bientôt avoir encore un enfant. Et je... Vous savez qu’ils ont vraiment besoin de moi à la maison.


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E-8 Maintenant, d’abord, tout au début de Son ministère, il y avait un homme–homme du nom de Philippe qui fut converti. Et aussitôt qu’il fut converti, il alla chercher son ami Nathanaël, c’était un bon, un vrai signe qu’il était converti. Une fois qu’un homme a été avec Jésus, il désire que tout le monde connaisse Jésus.

Et ainsi, Philippe est allé chercher Nathanaël, et il l’a trouvé sous un arbre. Et alors il a dit: «Viens voir qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

Alors Nathanaël, un gars très particulier, un homme juste, s’est levé et a dit: «Jésus de Nazareth? Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

Philippe lui a donné la réponse qu’il faut: «Viens, et vois.» C’est le meilleur moyen de savoir s’il y a–si une chose est réelle ou pas. Aller voir la chose. C’est de cette manière que Moïse a su ce qu’était le buisson ardent. Il s’était détourné pour observer cela, pour voir pourquoi cela brûlait.


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E-10 Un jour, au cours de Son voyage, Il est passé par–Il devait passer par la Samarie. Je me demande pourquoi. A partir de Jéricho... Il se rendait à Jéricho, et en partant de Jérusalem la route mène directement à Jéricho, mais Il a fait un détour par la Samarie. Je me demande pourquoi. Et Il a envoyé Ses disciples au loin. C’était vers onze heures, et ils sont allés chercher quelque chose à manger. Et pendant qu’ils étaient partis, Jésus était assis à côté d’un puits, et une prostituée est sortie, une femme. Peut-être qu’elle avait passé toute la nuit dehors, et qu’elle s’était levée tard, ou peut-être qu’elle ne pouvait pas sortir en même temps que les autres femmes, elle avait honte d’être en leur compagnie. Mais de toute façon, elle est sortie, étant une Samaritaine, et elle a laissé descendre sa–sa–sa cruche pour puiser de l’eau.

Vous devriez voir comment les gens le font là en Orient. Elles laissent descendre sa cruche au fond du puits afin de puiser de l’eau. Et lorsqu’elle est venue au puits, Jésus a dit: «Femme, apporte-moi à boire.»

Et elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous.» En d’autres termes, c’était un problème racial, comme c’est le cas aujourd’hui entre les gens de couleur et les Blancs. Elle a dit: «Eh bien, nous n’avons pas de relations entre nous.»

Elle a dit: «Mais si...»

Jésus lui a dit: «Mais si tu savais à qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire, Je te donnerai une eau qui n’est pas celle que tu viens puiser ici.»

Eh bien, elle L’a regardé. «Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.»

Il a dit: «Mais les Eaux que Je donne, ce sont les Eaux de la Vie, qui jaillissent comme un geyser dans ton âme, jusque dans la Vie Eternelle.» Voyez-vous ce qu’Il essayait de faire? Eh bien, voici ce que je pense: Il essayait de contacter son esprit; en effet, Il possédait toutes les qualités de Dieu. Mais tout d’abord, Il devait parler à cette femme, capter son esprit, la mettre directement au diapason. Et ainsi, pour capter son esprit, Il a dû engager cette conversation.

Et alors, quand Il a capté son esprit et qu’Il a vu quelque chose qui est capital dans sa vie, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq.» Eh bien, elle L’a regardé.


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E-11 Remarquez. Elle a dit: «Eh bien, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit... Maintenant, suivez attentivement. Elle a dit: «Nous savons que le Messie viendra, et lorsqu’Il viendra, ces signes L’accompagneront. Mais étant donné que Tu es un Prophète–Tu dois être un Prophète pour avoir ces signes messianiques.»

Remarquez. Le signe de voyant était le signe du Messie. Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. Mais Toi qui es-Tu? Tu dois être Prophète.» Elle a dit: «Mais lorsque le Messie viendra, Il fera ceci.»

Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Voilà! C’était Jésus hier. C’était Jésus il y a mille neuf cents ans. C’est Jésus ce soir. Ne le croyez-vous pas? Certainement. C’est le même Jésus.

Eh bien, elle est entrée dans la ville en courant, tout excitée et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.» Eh bien, ce n’est pas ce qu’Il avait fait. Il ne lui avait dit qu’une seule chose. Mais si Dieu a pu lui révéler une seule chose, Il pouvait tout révéler s’Il le voulait. Alors Il... Elle a compris que si Dieu Lui avait donné la puissance pour regarder dans sa vie et voir qui elle était, alors, Dieu était avec Lui. Et Il a affirmé qu’Il était le Messie. Ainsi elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas Christ même?»

Ainsi les gens sont sortis de la ville et L’y ont amené. Il s’est mis à leur parler. Et pendant qu’Il parlait, ils se sont rendu compte qu’Il était différent du clergé ordinaire qu’ils avaient en ce temps-là, parce qu’Il parlait comme un homme qui savait de quoi Il parlait. Cela ne venait pas d’une théorie, ou–ou théologie, Il parlait de ce qu’Il savait être la vérité, sans crainte ni hésitation; Il savait où Il se tenait.

Eh bien, ça c’était Jésus il y a mille neuf cents ans. Maintenant, donnons un petit quelque chose. Croyez-vous qu’Il était plein de miséricorde? plein de compassion? plein d’amour? Très bien. Je ne cherche pas à vous tenir en suspens, mais je désire vous montrer maintenant quelque chose, étant donné que nous parlons tel que nous le faisons.

Il est descendu à la piscine de Béthesda (C’est ce que dit la Bible, c’est dans Saint Jean, chapitre 5, vous qui désirez lire cela.), Il s’est rendu à la piscine de Béthesda. Et dans ce–près de cette piscine était couché en grand nombre de gens. C’était un portique; par-dessus il y avait cinq portiques, où les gens... l’endroit où les gens se lavaient et ainsi de suite, la porte des brebis. Et les gens étaient... Il y avait des gens couchés en grand nombre. En effet, Dieu a toujours eu un moyen pour la guérison. Peu importe ce qu’était ce moyen, depuis le commencement, Dieu a toujours préparé un moyen pour la guérison de Son peuple.


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E-13 Par exemple, si un–un dragon ou un reptile m’attrapait avec sa patte ce soir, me déchirant le côté, je ne suis pas obligé de couper sa patte pour me débarrasser de lui. Il suffit de le frapper à la tête, cela tue le corps tout entier. Et la maladie est un attribut du péché. Avant que nous ayons le péché, nous n’avions pas de maladie. Et la maladie est venue à cause du péché. Voyez-vous cela? C’est pourquoi vous ne pouvez aucunement traiter du péché sans traiter de la maladie, des soucis, et de chaque attribut qui découle du péché. Voyez-vous ce que je veux dire?

Maintenant, voici venir Jésus, l’expiation pour notre maladie et notre péché, qui traversait la piscine, ou plutôt passait à côté de la piscine, et des hommes et des femmes étaient couchés là partout dans cette... pathétique. Il me semble qu’Il aurait pu dire: «Tenez-vous tous debout et partez. Vous êtes guéris.» S’Il était plein d’amour et de compassion, pourquoi ne l’a-t-Il pas fait? Y avez-vous déjà pensé? C’est peut-être une lumière un peu différente de ce que vous lisez dans la Bible. Voyez-vous?

Pourquoi n’a-t-Il pas dit: «Vous tous qui êtes malades, tenez-vous debout et rentrez maintenant chez vous.» S’Il les aimait et qu’Il avait pitié d’eux... Mais, vous savez, le Jésus d’il y a mille neuf cents ans a carrément traversé cette piscine où de grandes multitudes (et il faut deux mille personnes pour faire une multitude), des multitudes de gens étaient couchés, des estropiés (C’est ce que dit la Bible), des estropiés, des boiteux, des aveugles, et des paralytiques. Est-ce juste? Quelle scène pathétique, et voici Emmanuel qui passe à côté de ce bébé hydrocéphale, Il passe à côté, le Fils de Dieu, plein d’amour et de compassion; Il passe à côté de ce vieux papa aveugle, Il passe à côté de cet homme souffrant de l’arthrite, sans dire un seul mot au sujet de sa guérison. N’est-ce pas étrange, car Il était plein d’amour et de compassion? Mais c’est l’Ecriture: Saint Jean 5. Lisez cela; c’est dans le Nouveau Testament.

Et Il s’est approché d’un homme qui était couché sur un grabat (nous appelons cela «grabat» dans le Sud. Je ne sais pas, c’est juste quelque chose qui était étendu là sur quoi il était couché.), couché sur un grabat. Peut-être qu’il avait, oh! la prostatite, ou peut-être la tuberculose. Peu importe ce que c’était, il en souffrait depuis tente-huit ans. C’était devenu chronique. Cela n’allait pas le tuer. Il en souffrait depuis trente-huit ans. Il n’était pas infirme, ni aveugle, ni estropié, ni boiteux. Il pouvait se lever et marcher. Il a dit: «Pendant que j’y descends, quelqu’un descend avant moi.» Il en souffrait depuis trente-huit ans, et peut-être qu’il avait cet âge ou plus lorsqu’il avait contracté cela, donc il avait peut-être soixante ou soixante-dix ans. Mais il était étendu là. Il était malade, et il était triste, il était étendu sur ce grabat.


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