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Binghamton, New York, USA

E-33 Puis au bout d’un moment, les voici revenir. Elle est allée le chercher, et il est venu par la route dans une voiture. Alors, ils se sont arrêtés et elle est montée, et elle a dit: «Chéri, j’ai quelque chose à te confesser.» Et elle lui a dit ce que c’était. Et il a dit: «Et tu sais, n’étais-tu pas sorti?» Elle connaissait la femme, elle a dit: «N’étais-tu pas sorti?»

Il a dit: «Non.»

Elle a dit: «Tu étais à un certain endroit, à un certain...» Il a dit: «Où as-tu été?»

Et il a dit... Elle a dit: «J’ai été chez Frère Branham.»

Il a pris–il a dit: «Chérie, c’est la pure vérité.» Et il a dit: «Je vais te dire quoi», il a dit: «Franchement», eh bien, Il a dit à son sujet que c’était quand il était en France, et ainsi de suite; et il a dit: «C’est moi qui ai commencé, c’est moi le coupable.» Il a dit: «C’est moi qui ai commencé...» Il a dit: «Si tu me pardonnes, je te pardonnerai. Nous nous purifierons devant Dieu, et nous irons là-bas, et nous allons prendre nos petits enfants et vivre comme le doivent des chrétiens.» Là, ils ont confessé leur péché l’un à l’autre et à Dieu, ils ont mis cela en ordre avec Dieu.


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E-35 Maintenant, passons vite à notre texte. Eh bien, nous avons environ dix minutes avant de commencer la ligne de prière, quinze minutes. Remarquez. Il y avait un homme, Siméon, un vieux sage, un homme à la barbe blanche, aux longs cheveux, qui était un docteur en Israël. Et c’était un grand homme, il jouissait d’un grand prestige parmi les Juifs. Et les Juifs étaient... La condition de l’église en ce temps-là, c’est comme celle d’aujourd’hui, l’église était plutôt froide et indifférente. Et ils attendaient la Venue de Christ depuis quatre mille ans. Et, à ce moment-là, ils ne se doutaient pas, quand ils étaient dans cette condition, que c’est alors que Christ allait venir. Mais parfois, c’est lorsqu’on y pense pas tellement qu’Il vient. Lorsqu’on pense qu’Il ne viendra pas, c’est à ce moment-là qu’Il vient.

Et puis, dans cette contrée-là, ce vieil homme allait partout témoignant, car, un jour le Saint-Esprit lui avait révélé qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et il allait partout disant à tout le monde qu’il verrait le Christ du Seigneur avant de mourir.

Eh bien, pouvez-vous imaginer l’effet que cela avait fait sur les gens, peut-être des hommes de science et des médecins, et–et des ministres et tout? Savez-vous ce qu’ils disaient probablement de ce vieil homme? «Quelque chose ne tourne pas dans sa tête.» Il est... Considérez-le, il avait alors près de quatre-vingt-dix ans, et sa barbe blanche pendait, un vieillard qui avait... et même David s’était attendu à voir Christ. C’est comme lui ici, qui dit que le Saint-Esprit lui a dit qu’il verrait le Christ avant de mourir. Eh bien, c’est ridicule, cela amène l’opprobre sur notre église. Je peux imaginer cela. Mais il avait vraiment une bonne raison de croire cela, parce que c’était le Saint-Esprit qui lui avait dit qu’il Le verrait.


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E-40 Et je peux considérer que c’était un lundi matin. Et oh! c’était animé tout autour du temple, il y avait beaucoup de gens qui allaient et venaient. Et tout au fond, de ce côté, se tient une longue file, comme une ligne de prière de–de femmes débout là, avec leurs bébés dans les bras. Elles avancent, certains des bébés viennent des parents riches qui avaient des agneaux à offrir; l’offrande du paysan, c’était deux tourterelles. Et ainsi, je peux regarder le long de cette file; je peux voir les mères debout là, avec leurs beaux petits bébés propres et nets, avec de petites couvertures confectionnées à l’aiguille, vous savez, enveloppant le bébé, et ainsi de suite. Et je vois tout au bout de la file, je vois une jeune fille débout là, toutes les autres femmes se tenaient à distance d’elle. C’est à peu près ce que les gens font à l’église aujourd’hui, ceux qui croient au sur-... Ils gardent leur distance. «Ecoutez, n’ayez rien à faire avec eux. Ils ne sont pas dans le bon; ce sont–ce sont des saints exaltés. Ne perdez pas votre temps avec eux.»

J’ai parcouru les sept mers, j’ai fait trois fois le tour du monde, et je n’ai jamais vu une église de saints exaltés, je n’en ai jamais vu une jusque-là, c’est simplement un faux nom que le diable a collé à l’Eglise du Dieu vivant. Il y a neuf-cent-soixante-six différentes églises ou je reçois chaque année des statistiques officielles sur ces églises. Et pas une seule d’entre elles ne s’appelle «sainte exaltée», pas une seule. C’est simplement un nom calomnieux que le diable leur colle.


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E-41 Je peux donc voir ces femmes avec leurs beaux petits bébés vêtus de tous ces beaux petits vêtements confectionnés à l’aiguille et tout, de petites robes roses et ainsi de suite, elles se tiennent à distance, tenant leurs agneaux, et tout, elles avancent alors que le sacrificateur fait le service à l’autel. Et cette jeune fille se tient là toute seule, il n’y a personne près d’elle.

Je peux entendre certaines parmi elles dire: «Ecoutez. Est-ce que vous la voyez? Oui, ce Bébé-là est né hors du saint mariage. Cet homme de Joseph, ils ne sont même pas mariés. Regardez-les là. Et ce Bébé est né, regardez-Le là. C’est tout simplement une disgrâce. Tenez-vous à distance.»

Cette pauvre petite mère, avec ce petit Bébé dans les bras, comme ceci, elle s’était peut-être voilé le visage, elle berçait le petit Enfant alors qu’Il gazouillait comme cela... De quoi était-Il vêtu? De langes, pas de beaux vêtements confectionnés, c’étaient des langes. Où était-Il né? Dans une étable. Pourquoi était-Il né dans une étable? Parce qu’Il était un Agneau. Les agneaux ne naissent pas dans des maisons; ils naissent dans des étables, sur la paille. Il était l’Agneau de Dieu, immolé dès la fondation du monde. Et Il était là.

Savez-vous ce que c’est qu’un lange? C’est ce que l’on arrache de l’arrière du joug d’un boeuf. J’ai appris que c’est ce que l’on fait en Orient, quand ils labourent avec un boeuf, ils mettent–ils enveloppent le joug de quelques chiffons pour éviter la friction contre les épaules du boeuf. Et dans les étables principales ce soir-là, il y avait quelques langes; ils n’avaient rien du tout pour Le vêtir. Nous ne sommes pas dignes d’avoir les vêtements que nous portons ce soir, alors qu’on avait ôté ce tissu du cou du boeuf, du joug du boeuf et qu’on en avait enveloppé le Sauveur du monde.


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E-49 Dieu est obligé, si vous croyez à la guérison divine, de vous conduire à la fontaine qui est ouverte. Ne le croyez-vous pas? Oui, monsieur. Si nos coeurs appellent, la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Croyez cela, et Dieu vous a conduit ici dans ce but-là ce soir. Vous ne seriez pas venus par une soirée où il neige et où les routes sont glissantes comme ceci juste pour montrer le genre de vêtements que vous portez. Vous n’êtes pas du tout venus ici pour autre but, c’est parce que vous croyez que c’est Dieu qui guérit. Et aussi longtemps que cela se trouve en vous, Dieu est obligé de placer cela devant vous, parce que vous réclamez cela. Et Dieu placera cela devant vous; alors il vous appartient d’en faire tout ce que vous voulez.

Siméon aurait pu Le voir et s’en éloigner. Mais il a embrassé cela. Et ce soir, pendant que le Saint-Esprit se met à se mouvoir à travers cette salle, dans la ligne de prière, tendez vos bras et embrassez la promesse de Dieu. Elle est pour vous. Cela importe peu que vous montiez ici ou pas. Ça n’a rien à voir avec cela. Ici à l’estrade, cela n’a rien... Embrassez simplement cela juste là où vous êtes. Et Dieu est obligé de vous l’apporter. Ne le croyez-vous pas?

Conduit par l’Esprit de Dieu... Combien ces vies qui sont remplies de l’Esprit sont toujours conduites par l’Esprit de Dieu. Certainement. Je vais juste vous mettre au courant d’un petit quelque chose maintenant, si vous voulez bien m’excuser pour encore quelques secondes ici, quelques minutes. J’aimerais dire quelque chose maintenant même. Croyez-vous au fait d’être conduit par l’Esprit de Dieu?


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E-51 Le Saint-Esprit m’a dit: «Va vers lui.»

Eh bien, j’ai dit au policier, j’ai dit: «Je vais là-bas.»

Il a dit: «Révérend Branham, vous ne pouvez pas faire cela. Vous êtes dans le Sud.» Il a dit: «Si vous allez vers cet homme de couleur, a-t-il dit, vous allez déclencher une émeute raciale, aussi sûr que le monde existe.» Il a dit: «Ces Blancs ne tolèreront pas cela

J’ai dit: «Peu m’importe ce qu’ils pensent, le Dieu Tout-Puissant me dit d’aller vers cet homme-là.» Et je me suis dirigé vers lui. Ils ont couru par là, et ils ont pris... formé un cercle.

Et j’ai entendu Sa femme lui dire: «Chéri, voici venir le pasteur.»

Je–je suis arrivé là, et il–j’ai dit: «Que voulez-vous, oncle?» Et ils avaient formé un cercle comme cela pour empêcher les gens d’approcher, et les gens criaient et faisaient des histoires, vous savez.

Et alors ils ont dit: «Voici venir le pasteur.» Et je me suis avancé vers lui, j’étais toujours sous l’onction, on me ramenait de la réunion. Et ainsi, alors... J’ai eu...

Il a dit... Il s’est avancé et il a dit [Frère Branham produit un bruit pour illustrer comment cet homme-là essayait de parler.–N.D.E.], il tâtait comme cela, il a dit: «Est-ce–est-ce vous, pasteur?» Il a tâté mon visage.

J’ai dit: «Oui, monsieur.»

Il a dit: «Pasteur, vous appelez-vous Branham?»

Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»


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E-53 Ohhhh! quel sentiment! Je ne savais quoi faire. J’ai posé ma main sur ce vieil homme; j’ai dit: «Ô Dieu, je ne comprends pas ceci; Ton Esprit m’a conduit par ici, Il l’a conduit ici. Nous ne nous connaissons pas; mais si Tu l’as envoyé, Seigneur, alors Tu confirmeras certainement Ta Parole.»

J’ai retiré ma main de lui, comme cela, et les gens se bousculaient, vous savez, ess-... essayant de briser cette ligne, ces policiers les retenaient comme cela, les empêchant de traverser. J’ai baissé mes mains comme cela, j’ai fait demi-tour. Et...?... Il a dit: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur.»

Et sa femme a dit: «Est-ce que tu vois, chéri?»

Il a dit: «Bien sûr.»

Elle a dit: «Oh! est-ce que tu vois réellement, chéri?»

Il a dit: «Bien sûr.» Il a dit: «Je vois cette voiture rouge parquée là, dans laquelle on va amener le pasteur Branham.» Tout le monde s’est mis à crier. Voilà.

Oh! il y a environ deux ou trois ans, j’ai eu de ses nouvelles. Il prêche l’Evangile, ce vieil homme, il tient des réunions. Et comment? Il était conduit par l’Esprit.


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E-54 Un jour, ici à Fort Wayne, dans l’Indiana, c’était juste peu avant que cet–cet homme soit guéri là-bas, il me fut demandé d’aller auprès du roi d’Angleterre. Et il était assis... Il s’appelait Lehman. Et les réunions continuaient, il se faisait de grands miracles.

Vous les pentecôtistes vous savez qu’Evangel a publié cela, et We the People, là: cette fille aveugle, lorsque tous les Etats-Unis ont examiné cela, l’association médicale a examiné cela, pour voir si c’était vrai ou pas. Et cette petite fille du nom de Béthel qui avait été aveugle. Je l’ai prise dans mes bras, et j’ai commencé à prier pour elle, et une vision est apparue et a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», et elle a été guérie là comme cela. Et on a même examiné cela partout.

Et cela a été publié dans le journal des Assemblées de Dieu, cela a été publié dans le We The People, ce grand magazine. We The People, cela sort chaque–va partout dans le monde entier. A cette même réunion, c’était juste peu après cela, un homme était assis là, souffrant d’une sclérose en plaques au dos. Et j’étais assis là. Et les gens observaient. Le soir... C’était la dernière soirée du service. Et ils voulaient que cet homme parvienne là où j’étais. Certains d’entre vous ont peut-être assisté aux réunions de Fort Wayne. Le vieux docteur Bosworth et les autres étaient là. Et ils ont commencé...?... les réunions. Et ils ont placé cet homme sur mon passage, afin qu’il puisse juste... Il–il voulait toucher les jambes de mon–les jambes de mon pantalon, lorsque je sortirais.

Et le pauvre homme était étendu là, portant une chemise blanche, et les gens lui marchaient dessus, j’ai dit: «Quelle honte. Ne laissez pas cet homme étendu là. Relevez-le.» Et alors ils se sont mis à le remettre sur une chaise.

Et les gens sont même montés sur le toit pour... oh! Je crois que c’était... Oh! J’oublie sur combien de pâtés de maisons c’était, une vingtaine de pâtés de maison, des voitures étaient stationnées partout, et les gens étaient debout dehors dans la rue. Vous qui étiez à la réunion de Fort Wayne, vous savez comment c’était.


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E-55 Et alors, lorsque nous... C’était juste après les réunions de Paul Rader, mon vieil ami, là, et ainsi de suite. Alors, lorsque j’ai commencé, j’ai regardé, j’ai vu une vision de monsieur Lehman qui marchait.

Je connais madame Morgan, l’infirmière de chez Mayo, qui souffrait du cancer et qui était abandonnée, il y a des années, elle est jusqu’à présent sur la liste des personnes décédées. Et allez à Louisville, au Kentucky, et voyez si elle n’est pas censée être morte depuis huit ans. Et allez à l’hôpital de Jeffersonville et voyez-la soigner les gens. Et ainsi, elle était censée être morte il y a de cela huit ans. Elle était morte, elle était déjà déclarée morte, et son nom figure encore sur la liste des décès du Kentucky, du service des recherches sur le cancer. Et alors, pendant qu’elle était là, elle a eu pitié de cet homme, parce qu’il était–ressemblait beaucoup à son mari. Et j’ai vu une vision de cet homme en train de marcher.

Mais dans la vision, Il m’avait dit: «Descend et prie pour cet homme.» Et je suis descendu, je lui ai imposé les mains, sans carte de prière du tout ni rien, je suis descendu et j’ai dit: «Le Seigneur a dit: ‘Impose les mains à ton frère, au Nom du Seigneur Jésus’.» Et je suis remonté. Et j’ai vu quelqu’un qui était étendu sur un lit de camp, on essayait de le faire avancer, et un homme qui avait l’arthrite m’a touché comme cela, et il s’est cramponné à ma veste, pendant que je passais.

Environ quatre ou cinq jours après cela, ou peut-être six jours... Je vais vous donner leurs adresses, si vous désirez leur écrire. Celui-ci était un fermier, étendu là, souffrant de l’arthrite, et lorsqu’il... Cet homme m’a tiré, je me suis retourné, je l’ai vu qui faisait quelque chose dans la ferme. J’ai dit: «Vous êtes un fermier.»

Il a dit: «Oui, monsieur.»

J’ai dit: «Ne vous en faites pas. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vous rétablir.» Et quatre jours plus tard, monsieur Lehman descendait la route, au volant de sa voiture, et il a jeté un coup d’oeil dans le champ, et voilà que ce fermier était assis là sur un tracteur, conduisant le tracteur; et il est descendu de sa voiture, cet homme-là est descendu de son tracteur; ils ont couru et se sont embrassés, et ils se sont soulevés l’un l’autre, en louant Dieu pour la manière dont le Seigneur avait fait cela.


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E-57 Le matin précédent, un grand homme de la Compagnie de la Baie d’Hudson au–au–au Canada avait été guéri d’une maladie de l’estomac, il était assis juste là, lorsqu’une vision est venue, et lui a dit qui il était, et tout ce qui le concernait, juste là dans ce–juste là dans le restaurant, lui a dit qu’il était guéri. Il a dit: «C’est juste, monsieur. Je suis en voyage par ici, a-t-il dit, c’est exactement mon nom, et c’est de là que je viens.» Il a dit: «Je souffre de l’estomac.»

J’ai dit: «Vous êtes guéri, monsieur.»

Et il a dit: «Eh bien, vous êtes un ange, mon garçon.» Et il est venu là-bas.

J’ai dit: «Attendez simplement et voyez si vous... Vous pouvez y aller et prendre votre petit déjeuner, tout ce que vous voulez, parce que le Seigneur vous a guéri.»

Je voulais aller... J’ai commencé à descendre pour aller à ce même endroit, et le Saint-Esprit m’a dit: «Va de ce côté.»

Et je me suis retourné dans cette direction; madame Morgan a dit: «Où allez-vous?»

Ma femme a dit: «Ecoutez. C’est l’onction du Saint-Esprit, a-t-elle dit, suivons tout simplement.»


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