E-43 Peu importe ce que c’est. Et quand l’apôtre a jeté le filet, à l’endroit où il avait pêché toute la nuit (Jésus lui a demandé de retourner exactement dans ces mêmes eaux et d’y jeter encore le filet.), alors quand il l’a fait, il aattrapé une grande quantité de poissons. Et il est tombé devant l’apôtre et a dit... devant Jésus et a dit: «Retire-Toi de moi, ô Seigneur, parce que je suis un homme pécheur.»
Comment se fait-il qu’il n’était pas... Et dès ce moment-là, il a été au service du Seigneur. Les grandes bénédictions que Jésus lui avait données... Il a dit: «Désormais, tu deviendras–tu deviendras un pêcheur d’hommes.»
E-49 Donnez à manger à votre poisson rouge et observez ce qu’il fait. Il va tout droit au fond, il étale ses petites nageoires et se repose. Eh bien, ce ministre, le prophète Jonas avait été avalé par une baleine, et il avait les mains liées derrière lui. Il était rétrograde; en effet, Dieu lui avait demandé d’aller à Ninive, mais lui est allé à Tarsis, il était en route pour Tarsis. Il était rétrograde.
Et les gens disent que la mer par là a une profondeur de plus d’un mile ou deux, par là. Et cette baleine était alors descendue au fin fond de la mer avec ce prédicateur dans son estomac. Et lorsque ce dernier regardait de ce côté-ci, c’était le ventre de la baleine; lorsqu’il regardait de l’autre côté, c’était le ventre de la baleine. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine.
Et vous parlez d’être dans un état... Il n’avait que la possibilité d’avoir des symptômes. Tout ce qu’il voyait, c’était le ventre de la baleine. Mais qu’a-t-il dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je refuse de les considérer.» Il a dit une fois de plus, au milieu des vomissements, la... dans l’estomac de la baleine, avec les algues enroulées autour de son cou... Dans cette condition...
E-50 Personne ici ce soir n’est dans cette condition-là. Nul n’a jamais été dans cette situation. Regardez à l’impossibilité dans laquelle il se trouvait. Cependant, il a refusé de regarder aux symptômes qui l’environnaient. Il a dit: «Une fois de plus, je regarderai vers Ton saint temple, ô Seigneur.» C’est juste. Pourquoi? Quand Salomon avait fait la dédicace du temple; dans sa prière il avait dit: «Seigneur, si Ton peuple est en détresse quelque part, et qu’il tourne les regards vers ce temple et prie, alors exauce des cieux.»
Et Jonas croyait que Dieu avait exaucé la prière de Salomon. Et il a tourné son regard vers le temple, et Dieu l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits dans le ventre de cette baleine, conformément à laParole de Dieu. Et si Jonas, dans ces circonstances, a pu croire en Dieu comme cela, à combien plus forte raison vous et moi devrions-nous le faire ce soir?
E-53 Et ce soir, testez-moi avec un steak et vous verrez si je peux en manger ou pas. Voyez-vous? Je suis en bonne santé et fort. Je ne pesais à l’époque que cent dix-huit [53,5 kg], cent dix-neuf livres [53,9 kg]. Et maintenant, je pèse cent soixante-cinq livres [74,8 kg]. Oui, oui. Pourquoi? Parce que je crois en Dieu. J’ai eu foi en Lui. Ceci est SaParole. Ce n’est pas maparole. C’est SaParole. Dieu a dit qu’Il le ferait.
Et quand Jésus a dit qu’Il était le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il reviendrait sous cette forme, et qu’Il ferait les mêmes choses qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici, je crois que chaque Parole de cela est la Vérité. Et mon espoir n’est bâti sur rien d’autre que le Sang et la justice de Jésus. C’est juste.
Voilà SaParole. Et Son Sang doit prendre soin de cela. Tout ce qu’Il a mis dans l’expiation nous appartient. Nous recevons celapar la foi. Acceptez simplement cela et allez de l’avant, confessez cela et voyez ce qui arrivera. Celaagira.
Lorsque vous êtes sauvé à l’autel, croyez au salut. Quand vous sortirez, et les anciens amis que vous avez rencontrés diront: «Oui, il porte toujours la même cravate, la même veste. Ses yeux sont toujours bleus ou bruns ou quoi que ce soit. Eh bien, il n’a pas changé.»
Physiquement vous ne pouvez rien exhiber pour prouver que vous êtes sauvé. Mais dans votre coeur, vous croyez que vous êtes sauvé. Témoignez donc ce que vous croyez.
E-54 Si vous pouvez accepter Jésus comme votre Guérisseur, alors peu importe l’apparence extérieure, les symptômes apparents, témoignez ce que vous croyez. C’est cela. Tenez-vous-en à cela. Et Dieu est tenu d’amener cela à s’accomplir. Oh! la la!
Je me souviens lorsque j’en étais à mes tout débuts. L’amour pour Dieu, combien les gens affluaient de partout. Je me souviens que je suis allé à Jonesboro, dans l’Arkansas. J’étais sorti depuis environ six mois. J’ai fait venir ma femme. Et je me sentais si solitaire que je voulais la voir, elle, et le bébé. Et elles sont venues par train. Je me souviens, elles nous ont vus. Le Soleil de l’Arkansas a déclaré: «Il y avait vingt-huit mille personnes à la réunion.» Et si le journala dit que ces gens étaient là, c’est qu’ils étaient bien tous là.
E-57 Et cette femme est ressuscitée des morts, elle était montée juste à la... et elle est vivante aujourd’hui. Demandez... Il y a là son adresse, son... Il n’y a rien de fictif. Demandez et vous verrez. Vous avez le droit de vérifier cela. Les hommes de par le monde entier ont appelé pour vérifier cela. Et des milliers de ces choses se sont accomplies. Pourquoi? «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et ce qu’Il dit est la Vérité. C’est juste.
Vous avez perdu votre foi en Lui, mes amis. Revenez à Dieu. Revenez à une foi vivante. Eloignez-vous de ces petites théologies familières et de ces trucs, et servez un Dieu véritable et vivant par une expérience de la nouvelle naissance. C’est juste. C’est ce que vous devez faire pour vivre correctement avec Dieu. Si un homme naît de nouveau, alors la Vie surnaturelle de Dieu entre dans cet homme et lui fait croire des choses, parce qu’il est une partie de Dieu.
E-58 Maintenant, lorsque cette... Je me souviens de ce soir-là où je suis arrivé et où j’essayais d’atteindre l’auditorium. Ma femme était debout là, et elle a dit... Nous étions à environ trois pâtés de maisons, et les rues étaient complètement obstruées. Et ma femme a dit: «Billy, tous ces gens, c’est pour t’écouter qu’ils sont venus?»
Et j’ai dit: «Non, chérie, ils viennent voir Jésus.» Alors elle s’est tenue là, la pauvre petite créature, et elle a chanté Ils viennent de l’est et de l’ouest. Quelques huissiers, tout un groupe d’huissiers, sont venus me prendre pour me faire passer à travers la foule. Et je suis entré. C’était la dernière soirée que je passais à la réunion. Nous allions ensuite partir à Little Rock, en venant de Jonesboro.
Il m’est arrivé de regarder par là et l’ambulance... Il y avait partout des civières. Et une petite fille était étendue là, et une vision est venue. J’ai noté de ce côté-ci que quelqu’un n’arrêtait de faire signe comme ceci. Il portait un complet sombre et tenait un képi bleu en main. Et j’ai vu qu’il avait l’air d’un ambulancier.
E-59 La veille au soir, il y avait un homme à Kennett, dans le Missouri, qui avait été aveugle pendant vingt ans, un cordonnier, et qui avait recouvré la vue ce matin-là. Et il est rentré chez lui; il courait à travers la ville. Il est entré en courant dans une église méthodiste avec son chapeau sur sa canne d’aveugle. Quelque chose de blanc parcourait l’église. Et on l’a chassé de là. Et il est allé chez les catholiques, on l’a chassé de là. On... Il était en train d’embraser la ville.
Alors le monde affluait de partout. Et ainsi, les gens... J’ai regardé par là et cet homme me faisait signe sans arrêt comme ceci avec son képi. J’ai dit: «C’est moi que vous appelez, monsieur?»
Il a dit: «Oui, monsieur.» Il a dit: «Je viens du Missouri.» Et il a dit: «J’ai un autre déplacement à effectuer ce soir.» Il a dit: «J’ai une patiente par là.» Et il a dit: «La patiente est déjà morte. Et nous avions un médecin de garde.» Et il a dit: «Je ne le vois nulle part. Je ne sais quoi faire. Pourriez-vous venir la voir?»
J’ai dit: «Eh bien, monsieur, les gens ne pourront pas me croire sur parole, déclarez-la morte.» J’ai dit: «Il faudra l’amener chez l’entrepreneur des pompes funèbres.»
Il a dit: «Je souhaite que vous veniez dehors. Son mari est vraiment hors de lui là dehors. Et peut-être que vous pourriez le calmer.»
E-63 Il a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, la pauvre mère, a-t-il dit, elle avait ardemment désiré vous voir, avant de mourir.» Il a dit: «Elle est une très bonne femme, Frère Branham.» Il a dit: «Elle hersait ces vieilles mottes de terre là-bas et a fait de moi ce que je suis.» Et il a dit: «Elle aattrapé le cancer il y a deux ans.» Et il a dit: «Nous l’avons amenée à St Louis. Les médecins ont opéré. Ils ont tout fait.» Il a dit: «J’ai même vendu mes mulets et tout, a-t-il dit, pour chercher à–pour chercher à la faire soigner.» Et il a dit: «Les médecins l’ont abandonnée. Nous avons entendu parler de cet homme qui est venu ce matin et qui a témoigné.» Et il a dit: «Nous sommes allés vendre des édredons qu’elle avait confectionnés et des mûres qu’elle avait mises en conserve l’année passée, pour obtenir l’ambulance afin de l’amener ici.» Et il a dit: «Maintenant, elle est morte, Frère Branham.» Et il a dit: «Oh! je ne sais pas ce que je vais faire sans elle. Rentrer à la maison, c’est être tout seul.»
E-66 Lorsqu’il a regardé, il a dit... «Maman.» Et le pauvre vieil homme l’a saisie dans ses bras comme cela et a commencé à hurler et à crier. Elle a suivi les réunions pendant des mois et des mois; j’ai eu de ses nouvelles. Eh bien, cela fait neuf ans maintenant. Et j’ai eu de ses nouvelles ici, il y a deux ou trois mois environ, juste avant que j’aille outre-mer, elle se porte à merveille. Elle n’a pas du tout de problème, elle est tout à fait normale et en bonne santé au possible.
Alors–alors le chauffeur a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, ces hommes qui vous ont amené ici, ils sont retournés au parking, a-t-il dit, ou plutôt là au fond.» Il a dit: «Maintenant, vous ne saurez pas passer là, car des milliers de gens se sont attroupés par ici sachant que vous êtes dans la voiture.» Il a dit: «Rentrez en contournant par ce chemin, et on va se rencontrer là derrière près de la salle.» Il a dit: «Personne ne vous connaît là derrière. Retournez par là.»