E-28 C’est à trois milles [cinq kilomètres–N.D.T.] de l’endroit où j’ai été élevé. Nous sommes partis environ un an plus tard à cet endroit, sans avoir jamais eu l’idée d’y aller... New Albany. Tout au long de ma vie, ces choses...
E-43 Il n’y a pas un artiste au monde qui pourrait peindre Son portrait, les traits de Son visage. Le meilleur que j’ai vu, c’est cette Tête de Christ à trente-trois ans, de Hofmann, je l’ai sur toute ma documentation et tout ce que j’utilise. C’est parce que ça semble vraiment identique, et alors... ou c’est très proche, aussi proche que possible.
E-52 J’ai posé la question à plusieurs prédicateurs. C’était toujours la même réponse. Alors, j’avais peur de leur poser la question, parce qu’ils allaient penser que j’étais un démon. Je–je ne voulais donc pas être cela. Je savais qu’il s’était passé quelque chose dans mon coeur. Alors, voilà tout, il–quelque chose s’était passé dans mon coeur. Et je ne voulais pas être cela, jamais.
E-60 Je suis allé passer des vacances là-bas. Et un jour que j’étais là-bas, je suis retourné chez lui, mais il était déjà parti, il était allé quelque part à Indianapolis. Son épouse m’a dit: «Le Seigneur l’aappelé.»
J’ai dit: «Vous voulez dire que vous laissez cet homme partir comme ça?»
E-73 Ainsi donc je–donc je suis arrivé ce matin-là, on disait... Il faut absolument que je vous raconte cette partie-ci. Donc je suis arrivé ce matin-là, et on disait: «Nous cherchons William Branham, un jeune évangéliste qui était à l’estrade hier soir, un baptiste.» On disait: «Nous voulons qu’il apporte le message ce matin.» Je voyais que çaallait être difficile pour moi, avec ce groupe de gens, vu que j’étais baptiste. Alors, je me suis plutôt enfoncé dans mon siège. Je portais un pantalon en coton et un tee-shirt, vous savez, et ils portaient l’habit ecclésiastique, alors... Je me suis assis au fond de mon siège, comme ceci. Alors, il a demandé deux ou trois fois. Et j’étais assis près d’un frère de couleur.
E-86 Ainsi, vous m’avez entendu raconter ces choses dans l’histoire de ma vie, alors je vais m’arrêter ici pour vous dire quelque chose que je n’ai encore jamais dit. D’abord, je veux vous demander... Je ne voulais pas en parler. Je ne l’ai encore jamais raconté en public, jamais de ma vie. Si vous me promettez que vous allez m’aimer, et que vous allez essayer de m’aimer autant après que je vous aurai raconté ça qu’avant que je l’aie raconté, levez la main. Très bien. C’est votre promesse, je vais vous obliger à la tenir.
E-98 C’est tout à fait pareil pour un prédicateur, un bon prédicateur énergique, qui va prêcher rien que pour recueillir des offrandes et de l’argent, Dieu l’en rendra responsable. C’est exact. Vous devez prendre garde à ce que vous faites avec les dons divins. Et, ou bien chercher à avoir un grand prestige, ou à faire un grand nom à une église quelconque, ou à se faire un grand nom. Je préférerais avoir deux ou trois soirs de réunions et m’en aller ailleurs, et être humble, rester petit. Vous comprenez ce que je veux dire. Oui monsieur, restez toujours à votre place, à l’endroit où Dieu peut avoir Sa main sur vous.
Rappelez-vous, il est question ici de la Vie intérieure.
E-108 Et je continuais à l’observer, vous savez. Il ne savait pas ce que je faisais, mais il... Je savais qu’il se sentait un peu drôle, parce qu’il... son regard perdait un peu de son expression, alors qu’il me regardait. Et il... Mais il était vraiment un chrétien. C’était absolument un chrétien, à cent pour cent. C’est exact. Eh bien, je me suis dit: «Gloire à Dieu, ça y est! Je–je dois–je dois aller à cet autel, là, quelque part.»