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Phoenix, Arizona, USA

E-22 On a un petit réveil parmi les gens, et puis on devient calme, le diable souffle sa brise sur nous, et on prend un vieux magazine True Story quelque part dans la maison au lieu de prendre la Bible. Il y a ce soir dans cette ville beaucoup de chrétiens qui peuvent tout vous dire au sujet d'Hollywood, mais qui n'en savent pas davantage au sujet de Dieu, et ils se disent chrétiens. C'est une honte. Amen.

Quand c'est la soirée de la réunion de prière, vous restez à la maison pour regarder la télévision, au lieu d'aller à la réunion de prière. N'est-ce pas vrai? Certainement. Tout, on a le temps pour lire les journaux, le temps pour faire ceci, le temps pour vos fêtes et tout, mais pas de temps pour Dieu. Ce qu'il nous faut aujourd'hui, c'est un bon réveil à l'ancienne mode à la saint Paul et du retour du Saint-Esprit de la Bible dans l'Eglise, des signes, des prodiges et des miracles. On a le temps pour tout, sauf pour la chose juste.

C'est la raison pour laquelle le monde est dans cette condition aujourd'hui. On n'a pas le temps de s'occuper des enfants, on les laisse courir les rues.

Vous femmes, vous vous dites de véritables mères, et la moitié du temps, vous ne savez même pas où se trouvent vos enfants. Ce n'est pas seulement chez les méthodistes et les presbytériens, c'est aussi chez les pentecôtistes. C'est juste. Vous savez que c'est la vérité. Vous parlez de la délinquance juvénile, il s'agit essentiellement de la délinquance des parents. Ce dont les parents ont besoin aujourd'hui, c'est de faire sortir ces vieilles boites de bière de ce réfrigérateur là-bas, c'est d'ôter les cartes de la table, et de placer la Bible juste là, de L'ouvrir et d'appeler les enfants autour d'Elle pour une réunion de prière. Voilà de quoi nous avons besoin aujourd'hui. C'est juste.


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E-26 Oh! la la! Avançons. Si nous n'avons prêché à l'église que la justification, maintenant amenons les gens un peu plus loin que ça. Allons un peu plus haut. Si nous arrivons là et que Dieu commence à remplir du Saint-Esprit, alors allons vers la guérison divine et recherchons cela.

Eh bien, le Saint-Esprit est simplement une énorme réserve d'un appartement. Les gens qui sont devenus chrétiens ne savent pas ce qu'ils possèdent. Pourriez-vous m'imaginer acheter une maison sans d'abord l'explorer entièrement? Pourriez-vous m'imaginer possédant un endroit comme une grande arcade que quelqu'un m'aurait donnée, une très vaste endroit où on a simplement tout partout. Le tout m'appartient. Eh bien, c'est comme cela quand vous venez à Christ, tout vous appartient. Toutes les bénédictions rédemptrices pour lesquelles Christ est mort sont vôtres. Chaque croyant possède chaque bénédiction rédemptrice (Amen!), cela est donné au croyant.

Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former cette grande Arcade: Jésus-Christ. Oh! la la! Sur cette étagère-ci, c'est la justification par la foi; ici, c'est la sanctification au travers du Sang. Ici, c'est la joie; ici c'est la paix; là, c'est la patience, la bénignité et la bonté. Oh! Oh! la la! tout. Certaines choses peuvent être suspendues un peu haut, je n'arrive pas à les atteindre, mais il y a une échelle là dans le coin. Montons, regardons cela, et voyons de quoi cela a l'air. Si vous n'arrivez pas à atteindre la guérison divine, prenez l'échelle de Dieu. Montez et voyez tout ce qu'il en est; tout vous appartient. C'est juste. C'est ainsi que l'Eglise devrait avancer, monter la route.


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E-29 Voilà le problème que nous avons aujourd'hui. Quand nous recevons un message de Dieu, au lieu d'aller directement et de faire ce que Dieu nous demande, nous nous arrêtons pour une petite histoire du monde. Il faut qu'on ait ceci, quelques soupers à la crème glacée, et tous ces autres genres de choses, on a introduit des histoires du monde dans l'église. Nous devrions apporter le message de Dieu aux morts, à ceux qui sont morts dans le péché et les offenses. Amen.

Remarquez. Maintenant, pourquoi Elisée a-t-il envoyé ce bâton? Vous êtes-vous déjà arrêté pour y réfléchir? C'est parce qu'Elisée savait que les vêtements qu'il portait étaient bénis; Il savait que Dieu vivait dans son coeur. Il savait que les vêtements qu'il portait étaient bénis; il savait que tout ce qu'il touchait était béni. Lui-même le savait, aussi sa foi reposait-elle là-dessus. Ainsi il...?... le bâton dessus. Je pense que c'est de là que Paul a tiré la pratique de prendre des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps pour les appliquer sur les malades et les affligés.

Ainsi il... Mais la Sunamite... Eh bien, cela aurait très bien marché; cela aurait été bien, si la Sunamite avait cru cela. Mais elle ne savait pas si Dieu était dans ce bâton ou pas, elle savait que Dieu était dans l'homme. Ainsi, elle a dit: "L'Eternel est vivant et ton âme ne meurt jamais, je ne te quitterai point; je suis maintenant entre tes mains. Je vais rester juste ici jusqu'à ce que je comprenne." Vous savez, j'aime ça, cette détermination, s'en tenir à la chose.

Voilà le problème qu'ont les gens aujourd'hui, ils lisent là où il est dit que Dieu est le Guérisseur, puis ils regardent tout autour et disent: "Eh bien, madame Dupont n'a pas compris cela." Et vous... puis vous abandonnez. Frère, tenez-vous-en à cela. Amen. Si Dieu l'a dit, Dieu est tenu de prendre soin de Sa Parole, pas de la vôtre, de la Parole de Dieu. Tenez-vous-en à Elle.

Elle a dit: "Je ne te quitterai point."


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E-30 Et Elisée ceignit donc ses reins, et le voilà partir sans une vision, sans savoir ce qu'il fallait faire. Et ils sont partis. Guéhazi les devaa. Il les précéda, il entra dans la chambre et posa le bâton sur l'enfant, et attendit. La vie ne revint point. L'enfant était toujours mort. Guéhazi se tourna puis observa un moment, l'enfant était toujours mort. Il prit donc le bâton et retourna à toute vitesse, et il rencontra Elisée et la Sunamite qui venaient.

Et alors il dit: "J'ai posé le bâton sur l'enfant, et il n'y avait point de vie, point de souffle; il n'a pas ouvert les yeux; il est toujours mort."

Vous voyez donc, la femme n'avait pas foi dans le bâton; elle avait foi dans le prophète. Eh bien, cela dépend de là où repose votre foi. Certaines personnes disent: "Il faut que l'on vous impose les mains."

L'autre dit, le Romain a dit: "Prononce simplement la Parole, et mon fils vivra."

Et pourtant, une femme ne voulut pas qu'Il lui imposât les mains; elle toucha Son vêtement. Et dans la leçon d'il y a quelques soirées, le petit Jaïrus, eh bien, lui a dit: "Viens et impose les mains à ma fille." Cela dépend de là où repose votre foi. Elisée avait donc raison.


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E-31 Maintenant, je crois qu'il était simplement en train de sonder. Mais il savait que Dieu bénissait tout ce qu'il touchait. Vous comprenez cela? Il croyait que Dieu bénissait cela. Il a donc dit: "Dieu a béni ceci. Et si tu poses cela sur l'enfant, je crois que Dieu va le rétablir."

Maintenant, peu importe sa foi, si la femme n'avait pas la même foi, alors ça ne marcherait pas. Voyez-vous ce que je veux dire? Il faut votre foi et la foi de votre pasteur ensemble. Vous aussi vous devez avoir la même foi. Et si vous croyez la même chose que ce que l'homme de Dieu vous a dit, alors quelque chose doit arriver. L'homme de Dieu croyait donc qu'il ne serait pas obligé d'aller là; qu'il enverrait tout simplement le bâton. Mais la femme a dit: "Non, non, non. Je ne te quitterai point. Je vais rester juste ici jusqu'à ce que je comprenne."

Ainsi donc Guéhazi a dit: "Il n'y a point de souffle dans l'enfant. Il est toujours mort."

Ils sont donc partis, ils sont entrés dans la cour, et alors ils ont vu la foule, tout le monde tout autour, en train de se lamenter et de crier. Quel endroit pour la foi! Elisée se tenait là, sans vision, ne sachant quoi faire, tout ce qu'il pouvait faire c'était regarder tout autour. Le père était là, en train de crier, tous les voisins étaient là, et tout le monde faisant des histoires. Eh bien, il se rendit dans sa vieille petite chambre et la femme avait étendu l'enfant sur le lit, il fit donc sortir tout le monde, tira la porte et resta seul. Il est allé dans un coin, s'est agenouillé et s'est mis à prier. Quand il eut fini de prier, il se releva, se mit à faire les cent pas, marchant de long en large, faisant des va et viens, parcourant le plancher jusqu'à ce que l'Esprit de Dieu vînt sur lui. Quand l'Esprit de Dieu vint sur lui, sans doute qu'il vit une vision. Il avaa et étendit sur l'enfant, mettant son nez sur son nez, sans prier; juste le nez sur son nez, les lèvres sur ses lèvres, les yeux sur ses yeux, les mains sur ses mains, et l'enfant éternua sept fois et revint à la vie. Qu'était-ce? Ce n'était pas ce prédicateur. C'était Christ dans ce prophète qui ramena l'enfant à la vie. Alléluia!

Oh! la la! Quand il se tint là cette fois-là, il dit: "Guéhazi, appelle cette Sunamite." Amen. La femme vint à la porte. Alors toutes les bonnes choses qu'elle avait faites, elle ne se doutait pas, quand elle faisait faire ce lit-là pour Elisée (et elle avait fait son lit de ses propres mains) qu'un jour son enfant mort y serait étendu et que le corps de ce prophète, par Christ, ramènerait cet enfant à la vie. Vous ne savez pas ce qui se passe quand vous essayez de faire quelque chose les uns pour les autres. Essayez de vous entraider les uns les autres. C'est juste. C'est comme le pain jeté sur l'eau, cela vous retournera un jour.


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E-32 Son attitude envers Elisée lui donna la victoire. Si elle était allée vers Elisée en disant: "Eh bien, regarde ici, espèce d'hypocrite. Après tout, mon pasteur avait raison." Vous voyez, si elle y était allée avec ce genre d'attitude, elle n'aurait jamais rien obtenu de lui. Mais son attitude envers l'homme de Dieu a produit exactement ce qu'elle a obtenu, sa victoire, car elle croyait. C'est la seule manière d'y arriver. Si vous croyez que Jésus-Christ est une histoire mythique, une histoire de père Noël qu'on raconte aux enfants, ou quelque chose comme ça, vous n'obtiendrez jamais rien, jusqu'à ce que vous croirez vraiment dans votre coeur qu'Il est le Fils de Dieu, qu'Il est mort, est ressuscité, est monté dans les hauteurs et qu'Il est vivant juste ici parmi nous ce soir, et qui fera tout ce qu'Il a promis dans la Bible qu'Il ferait. Quand vous en arrivez là, quelque chose va se produire.

Elle prit alors l'enfant et se prosterna devant lui, et elle reconnut qu'il était un serviteur de Dieu, et elle s'inclina et sortit, sortit le coeur plein d'amour. Toute la grande crise... Que serait-il arrivé si elle s'était tenue tout simplement tranquille et avait dit: "Eh bien, tout espoir est perdu. Le docteur vient de partir et il a dit qu'il n'y a plus rien à faire. Et maintenant mon enfant est mort, je pense donc que c'est tout ce qui pouvait être fait." Si elle avait dit: "C'est désespéré," cette histoire n'aurait jamais été racontée. Si la foi n'était pas venue dans son coeur, cela aurait été ainsi. Mais Dieu dans Sa miséricorde plaça quelque chose dans le coeur de cette mère, qui fit qu'elle soit sûre que quelque chose pouvait être fait. Il se peut que vous soyez dans le même cas ce soir dans votre famille. Peut-être que tout espoir que vous aviez eu, que vous aviez eu de vous rétablir, les médecins vous ont découragé. L'homme a fait tout ce qu'il pouvait et a dit: "Cela dépasse la médecine. On ne peut plus rien faire." Mais si quelque chose peut se produire ici au fond de ce coeur, quelque chose qui vous dit: "Si, quelque chose peut être fait. Si, quelque chose peut être fait." Alors accrochez-vous à cela.


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E-33 Paul Rader, un ami, un prédicateur baptiste (il est mort il y a quelques années ici en Californie) était un homme merveilleux, un missionnaire, et un grand croyant de la guérison. Une fois, il a raconté une petite histoire, il a dit qu'il se trouvait loin en Amérique du Sud, quelque part dans un voyage missionnaire, lui et son épouse. Et il contracta une sorte de fièvre, la fièvre jaune. Je crois qu'il s'agissait de la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Et cela vous tue juste en quelques heures. Et il était dans un coin reculé, à des kilomètres et des kilomètres dans les jungles avec les indigènes, il était allé là au fond à bord d'une petite embarcation.

Et il a dit que ce soir-là, après le souper qu'ils avaient pris, il alla dans sa chambre. Il devenait de plus en plus malade. Et il parla à sa tendre épouse et lui dit: "Chérie, si tu veux bien t'agenouiller ici et te mettre à prier pour moi, dit-il, je crois que... c'est comme si je suis... il fait sombre dans la chambre."

Elle s'est donc agenouillée, elle a levé les mains et a dit: "Chéri, veux-tu que j'aille chercher un médecin?"

Il dit: "Non, ne va pas chercher le médecin; ça prendrait trop de temps." Il a dit: "C'est difficile à expliquer, il commence à faire nuit comme ceci, dit-il, tu ne pourrais pas amener le médecin maintenant." Il a dit: "Prie tout simplement pour moi, chérie, et garde les mains sur moi." Et il faisait de plus en plus sombre dans la chambre, tandis que sa vie commençait à s'éteindre, et au bout d'un moment il faisait complètement noir.

Il dit qu'il fit un songe dans lequel il était de retour dans l'Oregon. C'était chez lui, là où il abattait les arbres. Et c'était un homme très fort. Et il dit qu'il... Son patron lui parlait une fois. Dans le songe il lui disait: "Gravis la montagne, Paul, et coupe-moi un rondin de telle taille et amène-le."

Il a dit: "D'accord, patron."


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E-34 Il gravit le flanc de la colline en courant, dit-il, ayant encore la souplesse de la jeunesse dans ses jambes, dans son songe pendant qu'il était inconscient. Et il dit qu'il abattit l'arbre très facilement. Il dit qu'il pouvait sentir la hache, tandis qu'elle s'enfonçait dans le tendre sapin de l'Oregon. Et l'arbre tomba; il le tailla comme cela, enfonça sa hache dans l'arbre pour essayer de le soulever.

Oh! il dit que sa force l'avait quitté. Il dit qu'il fit tout son possible pour le soulever. Il dit: "Eh bien, ma force s'en est complètement allée." Peut-être que c'est là que vous en êtes ce soir, votre force s'en est complètement allée. L'espoir est parti, tout est parti. Il dit qu'il peina. Et il dit: "Eh bien, je devrais être en mesure de soulever ceci. Je devrais être en mesure de ramasser ceci. Eh bien, j'en ai soulevé de pareils auparavant."

Il se peut que vous ayez été guéri auparavant, il se peut que vous soyez passé par des lignes de prière et que vous ayez été guéri, mais cette fois-ci vous - vous n'arrivez simplement pas à réunir assez de foi pour soulever cela d'une manière ou d'une autre.

Il dit qu'il était complètement épuisé. Il s'est donc simplement assis, il a baissé la tête et s'est mis à pleurer. Il a dit: "Je suis si faible que je ne peux pas bouger; et je n'ai plus de force et je ne sais que faire."

Il dit qu'il entendit la voix de son - la voix de son patron, si aimable et si gentille. Il dit que le patron dit: "Paul, qu'y a-t-il?"

Il dit: "Patron, je - je - je - je n'ai simplement pas la force pour soulever cela. Je ne peux simplement pas amener cela là-bas."

Il dit: "Paul, tu t'efforces en vain. Tu te débats en vain." Et il dit: "Paul, ne vois-tu pas ce ruisseau qui descend là?" Il dit: "Ce ruisseau va directement jusqu'à côté du camp." Il dit: "Pourquoi ne fais-tu pas rouler cela jusque dans l'eau et ne sautes-tu pas dessus pour le chevaucher?"

Et il dit que lorsqu'il regarda en arrière, son Patron, c'était Jésus. Il dit: "Fais-le simplement rouler jusque dans l'eau, Paul; n'essaie plus. Monte simplement dessus et chevauche."


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E-38 Eh bien, autrefois j'étais aveugle, je portais des verres très épais, on me conduisait par la main comme ceci dans les rues, je ne pouvais voir que sur une petite distance devant moi. Et ce soir, par la grâce de Dieu, je peux lire le journal à cinq pieds [environ 1,50 m - N.D.T.] de moi. J'ai subi un test des yeux il y a des années, c'était dix dix. C'est vingt vingt, puis quinze - quinze, puis dix - dix. Qu'était-ce? J'avais pris Dieu à Sa promesse et j'ai chevauché cela, jusqu'à ce que Dieu m'a rendu la vue.

Maintenant, je peux chanter:

Grâce étonnante! Combien doux est le son

Qui sauva un malheureux comme moi!

Autrefois j'étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé;

J'étais aveugle, mais maintenant je vois.

C'est la grâce qui m'a enseigné la crainte,

La grâce a ôté mes craintes;

Combien précieuse parut cette grâce
Au début, quand j'ai cru.

Alléluia! Oh! Quand je pense à cela... Prenez Dieu à Sa promesse et allez de l'avant, allez de l'avant dans la foi. Quoi? La foi dans quoi? Croyant que ce que Dieu a dit est ancré ici dans mon coeur et que c'est ma propriété personnelle, car Jésus est mort pour cela. Je chevauche cela. Je crois cela.


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E-39 Et, mon ami pécheur, ce soir, alors que le monde est dans le chaos, les bombes atomiques et au cobalt sont suspendues partout. Une bombe... Il y a quelque temps, je parlais à un prospecteur qui m'a dit la puissance qu'il y a dans une livre [453,6 g - N.D.E.] d'uranium, des milliers et des milliers et des milliers de tonnes de TNT [abréviation de trimtotoluène, un explosif puissant - N.D.T.] qu'il faudrait pour produire la - la pression de cette livre d'uranium.

Et j'ai entendu monsieur Moore dire qu'un de ses amis pilotes des avions à réaction lui a raconté qu'il transportait une bombe dans son avion, et j'oublie combien de centaines de wagons remplis de TNT, bien chargés sur tout le trajet de Shreveport à Houston, au Texas. Ou que si on envoie des wagons comme cela chargés de TNT; cette bombe avait plus de pression et de puissance que toute cette file de wagons contenant du TNT. Une grosse bombe au cobalt, la bombe au cobalt qui est proche de la bombe atomique peut être lancée là-bas avec force par nos ennemis à partir d'un - un missile dans l'air, et en quelques heures, la terre entière sera totalement détruite.

Il suffirait que le vent commence à souffler, et pas un seul vivant ne pourrait subsister dans la zone, et la terre serait complètement annihilée, cela pourrait se faire juste en quelques minutes. Nos ennemis mêmes, de véritables athées qui sont insensibles, brutaux et dépourvus de bon sens, ont cette chose entre leurs mains ce soir. Et pourquoi vous confierez-vous dans la chair des chevaux? Pourquoi vous confieriez-vous dans la puissance atomique? Pourquoi vous confieriez-vous dans les choses de ce monde, dans vos maisons, dans vos lieux d'habitation, dans vos postes? Prenez Dieu au mot et chevauchez cela à travers les atomes là-bas, jusque dans les sphères là-bas, jusque dans les cieux. Tout ce que Dieu a promis, Il le fera. Croyez-vous cela ce soir?


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