Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Phoenix, Arizona, USA

E-57 J’ai dit à ma femme que j’allais faire la chasse à l’ours, et j’ai dit: «Je me rends là pour chasser le cerf, et je vais attraper un cerf, puis je vais revenir; je serai de retour d’ici midi.»

Elle a dit: «Je t’attendrai.» Il avait fait froid cette nuit-là; nous avions dû prendre le petit Billy et le placer entre nous deux, pour qu’il ne meure pas de froid; par ce temps froid de novembre les branches d’arbres gelaient et tombaient de ces derniers. Il y avait un petit abri pour se reposer, et la cabane était fermée.

Le mont Hurricane, la tour le surplombait là, et nous voulions aller tout au fond dans l’autre partie de la contrée pour chasser.

Ainsi il allait ouvrir la cabane, et elle pourrait y entrer, et elle et Billy pourraient y rester pendant que nous effectuerions une petite randonnée et que nous serions partis. Ainsi, elle était presque une enfant elle-même, dans les vingt et un, vingt-deux ans. Et ainsi, cette nuit-là–cette nuit-là nous avons failli geler. Alors on a fait un petit feu et un petit appentis, et puis alors le lendemain matin, je suis sorti pour aller attraper un cerf, parce qu’il était censé venir ce jour-là.

Et ainsi, je lui ai dit que je serais de retour à midi. Et je suis allé de l’autre côté de la colline pour relever les traces du gibier. Je suis revenu en longeant la crête, et je–j’ai vu un lynx roux traverser, et je ne pouvais pas m’approcher assez de lui pour l’abattre, alors j’ai gravi une colline. Et j’ai longé la piste le long du flanc et je suis entré dans une grosse tanière d’ours. Et il n’y avait rien dedans; je suis revenu, je suis descendu vers les géants, ce qu’on appelle les géants. C’est une grande forêt dense qui s’étend là sur des kilomètres et des kilomètres, qui ressemble complètement à une forêt des régions basses par là et dont les arbres sont couverts comme d’une sorte de bitume.


Phoenix, Arizona, USA

E-58 Alors je suis descendu très loin là sur le côté, et j’ai vu là un cerf, un gros cerf, et je l’ai abattu. Lorsque j’ai terminé là, j’ai dit: «Eh bien maintenant, écoutez, il est quatorze heures passées, il faut donc que je me dépêche.» Et je suis retourné, j’ai repris le chemin du retour dans cette direction. Je... un... est survenu... l’orage venait, il y avait du brouillard. Lorsqu’il y a du brouillard dans la forêt, n’importe quel chasseur sait que c’est un temps dangereux. C’est à peine si vous pouvez voir vos mains devant vous.

Eh bien, je me suis mis à marcher. J’ai dit: «Il faut que je me dépêche.» Et j’ai fait un contour; j’ai continué à marcher, à marcher, à marcher, à marcher. Je me suis dit: «Eh bien, oh! la la! à quel endroit est-ce que j’avais pris le tournant?» Et bien vite, je me suis arrêté par hasard, j’ai regardé, et je me suis dit: «Eh bien, j’ai vu cet endroit quelque part.» J’ai levé les yeux, et mon cerf était suspendu là. J’ai compris que j’avais tourné en rond quelque part. Ainsi j’ai dit: «Maintenant, je dois aller dans une certaine direction.» Et j’ai encore marché, je suis retourné au même endroit à trois reprises, directement.

Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort, vous savez. Ainsi c’est ce que vous faites; vous tournez en rond. Et je m’en suis rendu compte, mais comment allais-je en sortir? Et alors, l’orage était pratiquement descendu, soufflant dans les sommets des arbres, le brouillard tournoyait. Et je me suis dit: «Maintenant, la chose raisonnable à faire...» Je pourrais entrer quelque part, et–et aller quelque part et me retirer là jusqu’à ce que l’orage soit terminé, et ensuite monter jusqu’à un endroit élevé pour voir où je me trouvais, et continuer. Mais j’avais une femme et un enfant là-bas, qui gèleraient à mort et qui mourraient ce soir-là. Ils n’avaient jamais été dans les bois dans leur vie. Ils ne savaient pas comment se débrouiller, et cela leur donnait une peur bleue de toute façon. En effet, je savais que tous les deux mourraient ce soir-là; et il fallait que je les rejoigne. Et quel sentiment! Oh! la la! L’enfant et ma femme mourir dans les bois ce soir-là!


Phoenix, Arizona, USA

E-60 Alors je me suis dit: «Eh bien...» Je–j’ai commencé à devenir nerveux. Et n’importe qui sait ce qui arrive, à ce moment-là vous attrapez la fièvre; soit vous vous suicidez, soit vous mourez. Alors j’ai dit: «Oh! la la!» J’ai pensé: «Il faut que je sorte d’ici; il faut que...» J’ai dit... Je me suis assis une minute. J’ai dit... Je me suis frappé d’un côté du visage, j’ai dit: «Ecoute, William Branham, tu ne t’es pas perdu. Qu’est-ce qui te prend, mon garçon? Tu sais comment sortir d’ici.» J’étais en train de me leurrer.

J’étais perdu, certainement j’étais perdu. J’ai dit: «Eh bien, tu t’y connais trop dans les bois, et tu ne peux jamais te perdre. Mon Dieu, qu’aurait pensé ton grand-père à ton sujet, de te voir assis ici agir comme ça? Eh bien, lève-toi d’ici.» Je me suis levé et j’ai avancé encore un peu, et j’étais néanmoins perdu; c’est tout. Et j’ai dit: «Eh bien, il faut que je fasse un... Il faut que je sorte d’ici d’une manière ou d’une autre.» Alors j’ai dit: «Je vais aller droit dans ce sens en ligne droite.» Et j’ai dit: «Je ne vais pas me tourner du tout. Je vais aller tout droit dans cette direction, et je suis sûr que je vais bien atteindre directement la montagne Hurricane. Si seulement je vois le mont Hurricane, je saurai où est la tour, et je pourrai descendre à partir de là. Je ne sais pas si je suis à l’est ou si je suis à l’ouest de la tour, ni l’endroit où je me trouve.»


Phoenix, Arizona, USA

E-63 Je me suis relevé, j’ai essuyé mes yeux et j’ai pensé: «Eh bien, ô Dieu, dirige-moi. J’y vais, je ne sais quelle direction prendre, mais je vais marcher. Je crois que je suis venu par ici.» J’ai dit: «Je vais... maintenant, ça c’est mon avis. Je vais prendre cette direction.» Et j’ai porté mon chapeau, j’ai pris mon fusil, et j’ai commencé à aller dans cette direction.

Eh bien, tout aussi vrai que je me tiens ici sur cette estrade ce soir, avec cette Bible, j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur mon épaule. Et je me suis retourné pour voir qui c’était, et juste au moment où je me suis retourné, le brouillard s’est dissipé, il s’est écarté dans cette direction. Et j’ai vu la tour sur le mont Hurricane, derrière dans cette direction.

Je me suis tourné aussitôt dans cette direction et j’ai fait face à la tour, j’ai ôté mon chapeau, j’ai déposé mon fusil à terre, et j’ai levé les mains. J’ai dit: «Ô Dieu, oh! combien j’apprécie ceci! Seigneur, je me dirigeais droit vers le Canada. Je me retrouverais à... je n’allais jamais m’en sortir.» J’ai dit: «Seigneur...» C’était ma propre opinion. Et parfois en suivant votre propre opinion, chaque fois vous irez à côté. Priez et demandez à Dieu ce qu’il faut faire.


Phoenix, Arizona, USA

E-66 Inclinons la tête juste un moment et prions. Notre Père céleste, je pense à ce vieux chant, qui dit: «Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé; j’étais aveugle, mais maintenant je vois.» Et je pense à cet orage aveuglant ce soir-là, et mon coeur bondissait, alors que la fièvre attaquait mon corps, j’ai eu une peur bleue, comprenant que j’allais périr cette nuit-là, et ma femme et mon enfant aussi...

Ô Dieu, il y a peut-être des hommes et des femmes assis ici ce soir, qui sont aussi, spirituellement parlant, dans la même situation malencontreuse. Leurs familles périront si papa ne vient pas, ou si maman ne vient pas rapidement. Les enfants seront emportés ici dans le monde. Puissent-ils ce soir regarder au travers de ce brouillard qui est suspendu au-dessus de la terre et voir le Calvaire, qu’ils lèvent leurs mains vers le Seigneur Jésus et touchent la ligne de sauvetage qui conduit jusqu’à la maison.

Accorde-le, Seigneur, dans notre dernière soirée de cette série de réunions. Bénis toute femme et tout homme qui est perdu et rétif. Peut-être qu’ils se sont confiés dans le bras de chair. Peut-être qu’ils se sont confiés dans un credo d’église, mais ils n’ont jamais touché cette ligne. Ils n’ont jamais eu cette assurance bénie dans leur coeur, comme quoi ceci est la ligne qui mène au bonheur, à la liberté et au Seigneur Jésus, la ligne qui va du Calvaire jusqu’à la Gloire.

Puisse toute personne étrangère titubant et qui est dans l’obscurité dans cette salle ce soir étendre sa main, ô Père, et chercher juste un moment. Ils toucheront quelque chose qui ancrera la foi dans leur coeur, qui les conduira jusque dans la Gloire.


Phoenix, Arizona, USA

E-68 Que Dieu vous bénisse, la dame espagnole par ici. Au balcon à droite, levez vos mains et dites: «Oui, je crois en Lui maintenant même. J’ai erré dans toutes sortes d’obscurité. En réalité, je ne le savais même pas; je suis allé à l’église. Oh! Oui, j’ai fait inscrire mon nom dans le registre. Mais en réalité, quant à avoir cette espérance de manière à l’avoir dans ma main juste en ce moment, en réalité je n’ai jamais eu cette assurance. Mais maintenant, je viens fermement sur base du Sang versé de Jésus et de Sa puissance de résurrection. Et cet Esprit du Ressuscité parle à mon coeur, et je lève mes mains juste en ce moment, pour dire: ‘Ô Dieu, voici j’ai levé ma main pour saisir la ligne de sauvetage.’»

Plusieurs dizaines de personnes ont levé leurs mains. Quelqu’un d’autre aimerait-il lever la main maintenant, quelqu’un qui n’a pas levé sa main il y a quelques instants, quelque part? Que Dieu vous bénisse là-haut, frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là, soeur. Que Dieu vous bénisse là au fond, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur; je vois votre main. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, frère, là au fond; je vois votre main. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, vous, vous par ici, la petite dame qui a les deux mains levées. Quelqu’un d’autre? L’homme qui est assis ici, que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est une bonne façon d’obtenir la guérison, il est juste question d’accepter le Seigneur comme cela. Quelqu’un d’autre? Un petit garçon ici a levé les deux mains, que Dieu te bénisse, chéri. Quelqu’un d’autre? Une dame par ici, une dame âgée, qui a levé les mains, oui. «J’ai perdu beaucoup d’années, mais je reviens à la maison maintenant.»


Phoenix, Arizona, USA

E-74 Jésus est ressuscité des morts. Oh! la la! De penser que celle-ci est la soirée où nous allons donc nous séparer... Toutefois vous avez accepté Christ. Nous nous reverrons dans un endroit où nous ne nous séparerons plus jamais, simplement parce que vous L’avez accepté ce soir, voilà qui change tout.

Père céleste, la grande série des réunions de Phoenix tire maintenant à sa fin. Et à la fin, beaucoup, beaucoup de pécheurs ont levé la main vers Toi, sur base de l’enseignement de la Parole selon laquelle Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne mourra point ou ne viendra point en jugement», il ne sera pas condamné. Il ne sera plus condamné devant Dieu, mais il a accepté Jésus-Christ et les souffrances qu’Il a endurées à sa place.


Phoenix, Arizona, USA

E-81 Maintenant, vous... c’est une femme de Phoenix, a-t-elle dit. Et vous la connaissez tous. Beaucoup d’entre vous ont levé la main; vous la connaissez. Maintenant le Seigneur peut me révéler ce qu’elle a comme problème. Mais si elle est–si elle est ici pour un problème de ménage, un problème financier, ou pour la guérison, parce qu’elle est malade, ou quoi que ce soit, ou s’il s’agit de son âme, quoi que cela puisse être, Dieu peut le révéler. Et elle saura si cela est vrai ou pas. Alors s’Il connaît ce qui était, certainement qu’Il connaît ce qui sera.

Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Maintenant, pendant que je parle à cette femme, juste pour capter son esprit...

Eh bien, j’attends plutôt que vous vous calmiez, s’il vous plaît. Ne vous déplacez pas. Il y a toute sorte d’esprits ici ce soir (Vous voyez?), qui se déplacent, je veux dire la maladie. Et maintenant voyez, surtout chez les enfants. Les enfants, ça attrape les enfants si facilement. Ainsi ne–ne... juste au moment où j’ai dit cela, l’épilepsie commence à tirer. C’est juste. C’est la chose que... Aussitôt que ces... Vous...

Je vous assure, connaître les choses spirituelles, mes amis, voyez juste comment les paroles changent les attitudes spirituelles, et tout. Vous voyez? Dès qu’il m’a entendu dire cela, alors l’épilepsie a commencé à agir.


Phoenix, Arizona, USA

E-82 Maintenant, maintenant j’aimerais simplement vous parler juste un instant. Juste pour voir votre esprit humain. Maintenant, si Dieu... Etant donné que vous êtes... vous êtes un croyant chrétien. Et si Dieu ôte, ou plutôt s’Il intervient et me dit pourquoi vous êtes ici, alors vous croirez. Vous savez bien que croire vient de Dieu.

Avant tout, vous avez des difficultés pour manger; il s’agit d’une maladie de l’estomac. Vous avez une maladie de l’estomac, c’est la gastrite, dans l’estomac. En effet, cela fait remonter des choses jusqu’à la bouche et tout. C’est la gastrite dans l’estomac.

Et puis, vous avez un–un bras qui est mal-en-point. Il s’agit de votre bras gauche. Et il a été écrapar une automobile. C’est la vérité. Vous croyez maintenant? Vous croyez maintenant? Approchez.

Père céleste, je Te prie de bénir maintenant. Donne-lui le désir de son coeur. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.


Phoenix, Arizona, USA

E-86 Maintenant, si c’est juste, afin que l’assistance voie, levez la main. Cette merveilleuse consolation de l’amour qui, on dirait, se déverse... Vous–vous souffrez d’une maladie aux poumons, c’est un problème de poumons. Il semble que vous avez eu de... Une de vos côtes s’est déplacée, n’est-ce pas? Ou quelque chose du genre, une sorte de problème de côte? C’est sous votre... déplacement des côtes, oui. Je vois qu’on vous ôte ou qu’on vous fait quelque chose aux côtes.

Et vous êtes... vous avez une–une déviation de la colonne vertébrale. Et ça provoque une maladie de l’estomac, parce que l’estomac est poussé d’un côté, et ils ont dit que l’estomac est repoussé dans une mauvaise position. Et puis, vous avez des douleurs dans le dos. C’est la vérité. Croyez-vous que Jésus-Christ est ici pour vous guérir? Si c’est donc Lui qui parle, alors ce n’est pas moi.

Venez, permettez que je vous impose les mains. Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, guéris notre soeur et donne-lui tout ce qu’elle demande. Au Nom de Jésus. Amen. Ayez la foi; ne doutez pas.


Up