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Macon, Georgia, USA

E-19 J’ai regardé. Je me suis dit: «Ô Dieu, si j’étais le plus gros hypocrite du monde, Tu–Tu honorerais cette enfant-là.» Voyez? A cause de sa–à cause de sa foi. Elle m’a baisé sur la poche, et ensuite elle m’a remercié, elle a déployé sa petite jupe comme cela, elle a dit: «Kiitos.» Et elle a essayé de se balancer au possible.

J’ai posé ma main sur elle; j’ai alors regardé. J’ai vu une petite fille s’en aller en marchant comme une ombre, sans appareils orthopédiques du tout, s’en aller en marchant comme ceci. J’ai dit: «Chérie, regarde, regarde. Oh! Si seulement je pouvais te le dire.» J’ai dit: «Chérie, tu es–tu es guérie. Oh! la la!», ai-je dit.

Et vers ce moment-là, frère Baxter a surgi à la porte et a dit: «Frère Branham, tu es en retard, viens.» Il m’a saisi par l’épaule et je suis entré. J’ai alors commencé le service et je suis arrivé vers, oh! je pense, pratiquement à la fin, quand mon frère et les autres sont vite montés, ils se sont mis à me tapoter de côté. Je sais alors que je deviens mi-conscient, quand il y a des visions. Et Cela peut aller là dans l’assistance et dire à ces gens leurs noms, disons que son nom était Runningwater. Et on devait interpréter cela, dire cela, ce que c’était, et leur dire où ils habitaient, ce qu’était leur nom, et tout à ce sujet. Je vous assure, ces gens ont tout simplement jeté leurs béquilles et des cannes et se sont levés de civières, et ils sont partis, guéris. C’était tout. Ils étaient simplement–simplement emballés.


Macon, Georgia, USA

E-20 Et puis, quand... On n’avait pas à leur imposer les mains. On n’avait à rien dire, juste leur faire savoir que Dieu était là, et c’était tout ce qui était–tout ce qui était nécessaire pour les gens. Ainsi donc, quand je me suis retourné, j’ai dit... Howard me disait sans cesse, mon frère, il disait: «Allons.» Et il allait faire passer mon bras autour de son cou. Et j’ai dit: «J’aurais bien voulu que nous puissions rester un tout petit peu longtemps.»

Et alors, quand il a dit: «D’accord», et alors la personne suivante qu’ils ont aidée à monter par la grâce souveraine de Dieu, c’était cette petite fille-là. Et elle s’est avancée vers moi. Elle souriait, vous savez, avec ces petites béquilles.

Et j’ai dit à l’interprète là, madame Isaacson... Et peut-être qu’elle est assise dans cette réunion, à ce que je sache. J’ai alors dit: «Madame Isaacson, répétez exactement ce que je dis.» J’ai dit: «Chérie, c’est toi la petite fille qui était là dehors, qui avait saisi mon manteau.» Et elle hocha sa petite tête. J’ai dit: «Jésus t’a guérie, chérie.» J’ai dit: «Maintenant, va là, et demande à quelques-uns de ces hommes de t’ôter ces appareils orthopédiques, et pendant qu’on sera en train de le faire, d’enlever les appareils orthopédiques, fais descendre tes petites mains jusqu’au niveau de ta petite jambe courte, puis reviens montrer à frère Branham.»

J’ai fait venir le suivant. Cela m’a rappelé la petite fille qui était assise ici hier soir. Quand j’ai vu cette petite enfant, j’ai vu le papa la débarrasser de l’appareil orthopédique, aussitôt elle est venue devant moi comme cela. Alors, hier soir, quand l’Esprit de Dieu m’a frappé, j’ai vu la petite enfant s’en aller. Je savais qu’elle allait se rétablir. Ainsi donc, elle s’en est directement allée, rétablie.

C’est donc... Et puis, cette petite–petite fille, quand elle est allée là-bas, j’ai fait venir quelqu’un d’autre. Quelques instants après, elle a parcouru l’estrade avec des appareils orthopédiques, les béquilles, partout sur sa tête, courant et criant à tue-tête. Eh bien, sa photo et son adresse, je pense, et tout, c’est dans notre livre là dehors.


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E-21 Alors, quand je suis rentré cette nuit-là, il y avait cette autre petite dame, ce petit garçon qui avait été écrasé. Il n’était point revenu à lui-même. Il était dans ce qu’on appelle un hôpital, c’était juste une maison là comme ça. On avait un médecin et trois ou quatre dames là qui offraient des soins de... comme infirmières. Et, oh! c’était pitoyable à voir. Et ils... La petite dame, quand je suis rentré, on a eu à me tirer par-dessus, à l’hôtel. «Viens guérir mon petit garçon.»

Eh bien, nous lui avons dit que c’était contraire aux instructions, que j’abandonne la campagne pour aller auprès d’une personne, car vous... L’un est tout aussi précieux pour l’un que l’est l’autre. Nous n’arrivions donc pas à lui faire comprendre. Et finalement, ce jour-là, elle était là. Et ils voulaient que j’aille là. Et je leur ai parlé, j’ai dit: «Faites-la monter, et laissez-moi lui parler.»

Alors, elle et son mari sont montés, c’étaient juste des jeunes gens d’environ vingt-cinq ans. Et elle a dit: «Eh bien, va guérir mon petit garçon.» Eh bien, c’était par l’entremise d’un interprète.

Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’est pas moi qui ai guéri ce petit garçon-là.» J’ai dit: «Là dans ma patrie, Dieu m’avait montré une vision sur le petit garçon.»

C’était une gentille petite femme. Elle a dit: «Allez-y, ayez une vision pour mon petit garçon.»

Je me suis dit: «Eh bien, c’est vraiment formidable, mais je–je–je ne peux pas le faire. Je–je n’ai aucun moyen d’avoir une vision; c’est ce que Dieu montre. C’est la souveraineté de Dieu. Ce n’est pas moi.» J’ai donc dit: «Etes-vous une chrétienne?»

«Non.»

«Est-ce que votre mari est un chrétien?»

«Non.»

«Eh bien, ai-je dit, si donc vous voulez trouver grâce à mes yeux, vous feriez quelque chose pour moi.» Et j’ai dit: «C’est pareil avec Dieu. Eh bien, si votre petit garçon meurt, il ira au Ciel, ai-je dit; si après vous mourez, pécheur, vous ne le verrez plus jamais. Et si vous êtes un chrétien, et que lui meurt et va au Ciel, alors vous irez au Ciel; vous serez avec lui, là où nous ne connaîtrons plus d’accidents.» Et j’ai dit: «En procédant ainsi donc, vous pourrez trouver grâce aux yeux de Dieu.»


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E-22 Eh bien, elle ne pouvait pas perdre sur un plan ou sur un autre. Alors, elle... Ils se sont agenouillés, ils ont donné leurs coeurs à Christ. Eh bien, pas juste un semblant, ils se sont en fait relevés, évidemment, le père, il s’est relevé en pleurant; il était prêt à retourner à la maison, vous savez. Alors, la petite mère a dit: «Maintenant, allez avoir une vision pour mon enfant.»

Alors, j’ai dit: «Eh bien, j’aurais bien voulu en être capable. Mais allez de l’avant...»

Elle a dit: «Allez à l’hôpital

«Non.» J’ai dit: «Rentrez à la maison, si le Seigneur me montre quelque chose, je ferai... je viendrai vous l’annoncer.»

Alors, après, toutes les quinze minutes à peu près, elle appelait: «Frère Branham a-t-il déjà eu la vision? Frère Branham a-t-il déjà eu la vision?»

Alors, évidemment, c’est là une mère pour son enfant. Et puis, vers la nuit, après que j’étais rentré de la réunion, que cette petite fille avait été guérie, ainsi que beaucoup d’autres, je me tenais là; c’était vers vingt-trois heures trente ou vingt-quatre heures, on pouvait lire un journal dans la rue, c’était là-haut en Laponie, il ne fait pas, juste... Il y a juste un seul jour par année, un seul jour et une seule nuit. Voyez? Six mois, il fait sombre, et six mois, le soleil est là, et six mois il se couche.

Eh bien, j’avais cette Bible-ci, et je La tenais sur mon coeur. Et quand je suis rentré, mon frère Howard a dit... Eh bien, s’il y a des Canadiens ici, je n’aimerais pas qu’ils s’offensent à ceci, frère. Mais nous étions une fois au Canada, et nous avions acheté des bonbons. Et, oh! la la! c’était mauvais. Ils n’avaient pas d’ingrédients à y mettre, comme ici en Amérique. Alors, Howard m’a donné quelques bonbons, mon frère. Il a dit: «Tu parles de ces bonbons finlandais... canadiens; goûte une fois celui-là.»

Je suis donc entré, je suis allé à ma chambre. Et frère Moore et frère Lindsay sont allés ensemble; Howard et frère Baxter, eux tous sont allés dans leurs chambres. Mais je restais seul tout le temps, à cause des visions. Je suis donc entré dans la chambre. Et j’ai simplement déposé le... sur la table les bonbons. Je me suis tenu là comme ceci. Et je regardais à l’est, et j’ai dit: «Grand Dieu Jéhovah...» pendant que je regardais ces petits Finlandais qui parcouraient ce parc-là, criant et louant Dieu, et j’ai dit: «Grand Jéhovah, un jour, Tu viendras. Oh! Que ça sera merveilleux quand Tu seras revenu!» Et je Le louais. Et j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] clic, ça s’est posé comme cela. Et il y avait un–un petit long verre, posé devant moi. Et il y avait là deux, je pense qu’on les appelle des jonquilles ou quelque... Pour moi, ce sont des fleurs de Pâques. Ça ressemble à l’une de ces vieilles cornes de phonographe, vous savez. Et deux d’entre elles étaient posées là, l’une étalée dans cette direction-là, et l’autre étalée dans cette direction-ci. Celle qui était étalée dans cette direction-là était complètement à plat. Et celle-ci descendait comme ça.


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E-23 Alors, je me suis dit: «Eh bien, d’où est venu cela?» Et j’ai regardé à ma droite, Il se tenait là, cet Homme grand, aux cheveux noirs retombant sur Ses épaules, Il avait les bras croisés, Celui qui me parle toujours, Celui qui parle ici même, la Lumière au-dessus de Lui. Il se tenait là. Et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

J’ai dit: «Ces bonbons, Seigneur.»

Il a dit: «Mange-les.» Et j’ai pris cela. J’ai mis un bonbon, un bonbon dans ma bouche, et je l’ai avalé. Eh bien, ne me demandez pas ce que cela veut dire; je ne peux pas vous le dire. Quand j’ai avalé cela, cette fleur de Pâques qui était étalée dans ce sens-là a fait... [Frère Branham imite un bruissement.–N.D.E.] Ça a produit un bruissement, ça s’est directement relevé, comme ça.

Il a dit: «Maintenant, mange l’autre.» Et j’allais le manger et, oh! c’était horrible. Je l’ai fait sortir de ma bouche, et cette autre fleur faisait... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] en descendant. Il a dit: «Refuse de manger cela, et l’autre petit garçon mourra.» Il m’est alors arrivé de penser que c’étaient les positions géographiques dans lesquelles ces jeunes gens étaient couchés, quand ils ont été cognés, quand nous les avons trouvés, ils étaient étendus l’un tourné vers le sud, et l’autre vers le nord.

Et j’ai remis cela dans la bouche et, on dirait, vous savez comment vous retenez votre goût, ou plutôt votre souffle, on dirait, vous savez. J’ai très vite mâché et avalé cela. Et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était de ce côté-ci a fait... [Frère Branham produit un bruissement.–N.D.E.] Ça s’est redressé comme cela. Il a dit: «Va annoncer à la mère: AINSI DIT LE SEIGNEUR, ses prières sont exaucées.»


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E-25 Lisons juste un petit passage des Ecritures maintenant et nous allons vous parler pendant les dix ou quinze prochaines minutes, si vous supportez jusque-là. Nous allons commencer à faire passer une bonne longue ligne de prière, nous nous mettrons à prier pour les malades, le Seigneur voulant.

Maintenant, là dans Saint Jean, chapitre 11, et nous aimerions lire juste une portion de Sa Parole. Commençons au–au verset 18:

Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. (Ecoutez ceci maintenant.)

Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole maintenant, alors que nous parlons de la Parole, juste pendant quelques instants. Ensuite, nous prierons pour les mouchoirs et nous commencerons à prier pour les malades.


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E-27 Eh bien, dans notre passage de ce soir, nous trouvons une scène très triste qui se transforme en une victoire très glorieuse, grâce à la Présence du Seigneur Jésus.

Maintenant, l’histoire nous apprend que Jésus, après, Il avait quitté Sa propre maison, et Il est allé vivre avec Son ami Lazare. Et comme le petit roman Le Prince de la Maison de David, si certains parmi vous les prédicateurs, peut-être, presque tous les prédicateurs ont lu cela. Et ce sont des romans. C’est le livre d’Ingraham. Et il a dit que quand Il est allé rester avec Lazare, parce que son père nourricier, Joseph, était décédé, Il est allé habiter chez Marthe, Marie et Lazare. Et Lazare apprenait pour devenir un scribe au temple. Marthe et Marie faisaient le tricotage, elles faisaient des tapis et autres pour le temple.

Et puis, Son ministère était devenu si populaire qu’Il était juste... Il a quitté la maison. Et chaque fois qu’Il quitte une maison, les ennuis commencent alors. Souvenez-vous-en donc, amis, vous les chrétiens. Chaque fois que Jésus quitte votre maison, attendez-vous aux ennuis. C’est en route vers chez vous.

Et dans ce cas-ci, Jésus n’avait pas... Il n’avait pas quitté pour y avoir été obligé, mais c’est Son ministère qui L’avait forcé à partir. Pour notre contexte ce soir, remontons juste un peu, prenons un texte sur Jésus. Dieu, chaque fois, avant de faire quelque chose ici sur terre, Il donne généralement un avertissement avant de faire quoi que ce soit.

Je crois que ce grand réveil qui parcourt les pays aujourd’hui, même si nous avons beaucoup de choses que nous aimerions ratisser de cela, le fanatisme et des choses qui surgissent au milieu de cela... Mais, malgré tout cela, c’est un avertissement au monde, que le jugement est sur le point de frapper le monde à tout moment. Dieu donne Son dernier appel juste avant la Venue.


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E-32 Et regardez, tout le Livre de l’Apocalypse a été écrit, envoyé, un Message par un Ange. «Moi, Jésus, J’ai envoyé Mon ange pour attester ces choses qui doivent s’accomplir bientôt.»

Eh bien, un vrai ange, vous allez vous en prendre à Joseph Smith et aux autres, à moi. Mais, suivez. Cela ne marche pas avec les Ecritures. Un véritable et réel ange viendra confirmer cette Ecriture à la lettre. Oui, oui.

Remarquez, Jean s’est prosterné et il voulait adorer cet ange-là. Il a dit: «Garde-toi de le faire, car je suis ton compagnon de service et celui des prophètes, adore Dieu.» Un vrai ange ne se laissera pas adorer. Il n’est pas question d’adorer les anges; il est question d’un ministère des anges, qui vient de la part de Dieu.

Or, ces anges mineurs viennent, peut-être, il y a des anges avec nous, ou ils viennent vers votre–votre humble serviteur. Et c’est probablement un ange mineur. Mais quand Gabriel vient, frère, quelque chose est effectivement en route, quelque chose d’important va se passer. Puisse... Gabriel a annoncé la Première Venue du Seigneur Jésus, et Gabriel annoncera la Seconde Venue du Seigneur Jésus. Amen.


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E-35 Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez la différence. Il y avait là un vieux prédicateur qui avait beaucoup d’exemples, dont Sara qui avait eu un enfant alors qu’elle était plus âgée que sa femme. Anne, au temple, priait de telle manière que le sacrificateur avait pensé qu’elle était ivre. Beaucoup parmi le peuple de Dieu sont mal compris. Ils ne sont pas fous. Ils sont simplement mal compris. Et elle priait que Dieu la débarrasse de l’opprobre. Zacharie avait cela comme exemples. Mais il douta.

Regardez cet homme-là, il servait le Seigneur, un homme de bien, mais cependant, il douta du surnaturel, lui un prédicateur. Mais la petite vierge, elle ne douta de rien, jamais, et elle avait beaucoup plus à croire par rapport à ce que lui avait à croire. Il n’y avait jamais eu d’enfant né d’une vierge. Mais elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.»


Macon, Georgia, USA

E-36 Ce dont nous avons besoin ici à Macon et dans tous les autres Etats ce soir, c’est davantage de Marie. Elle n’a pas attendu de sentir la vie. Elle n’a pas attendu de sentir quoi que ce soit. Elle n’a pas attendu d’en être sûre. Elle a pris Dieu au Mot et s’est mise à s’En réjouir. C’est–c’est comme ça. N’attendez pas que vous puissiez dire: «Eh bien, si je... ma main se redresse, je me sentirai mieux.»

Considérez ces gens ici, quand je leur imposais la main l’autre soir, ils sont simplement restés là quelques minutes, regardant leurs mains. Tout d’un coup, vous savez, le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir, et ces vieux os tordus ont commencé à se relâcher, et ils ont parcouru l’estrade, ils ont tournoyé, se réjouissant dans le Seigneur. Amen.

Ne pensez pas que vous avez à sentir quelque chose, voir quelque chose; prenez Dieu au Mot et mettez-vous à vous réjouir. Je peux la voir aller ici et là, disant: «Gloire à Dieu, je vais avoir un Enfant sans avoir connu un homme.»

«Eh bien, disait-on, cette jeune fille est folle.» Mais elle avait pris Dieu au Mot. Elle avait eu une vision. Elle savait que c’était la Vérité. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, quelqu’un qui prendra Dieu au Mot.


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