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Lausanne, Suisse

E-38 Et je peux me la représenter, longeant la rue, et elle dit: «Où est parti tout le monde? La ville semble s’être vidée.» Alors, elle a entendu du bruit. Elle a entendu les verres s’entrechoquer. Elle s’est dit: «Ça doit être là chez le pharisien, un banquet.» Alors, elle monte, elle se lève et dit: «Que se passe-t-il?»

Quand elle s’approche, je peux voir des hommes aller de côté, oh! des prétentieux: «Regardez. Regardez ce qui arrive.» Oh! Pharisien!

Elle se relève, debout, elle regarde, elle Le voit assis avec des pieds sales, mal accueilli. Oh! Elle ne pouvait pas supporter cela. Elle se dit: «Regardez-Le.» Oh! Elle s’est mise à pleurer. «Oh! ce n’est pas correct», s’est-elle dit. «Regardez-Le. Qu’Il a l’air triste. Il a dû être invité, sinon Il ne se trouverait pas là; et regardez-Le. Il n’est pas à l’aise. Ses pieds sont sales. Son visage n’est pas oint. Il y a encore des traces rouges de soleil sur Son visage. Il est très mal accueilli. Elle se dit: «Je ne peux pas supporter cela. Je L’ai entendu prêcher une fois: ‘Que celui qui veut vienne.’ Cela devait me concerner.»


Lausanne, Suisse

E-42 Voilà où cette pauvre femme se tenait. Ô Dieu, puissions-nous nous tenir là. Elle était là. L’Unique Personne qui pouvait lui pardonner; son opportunité pour Le recevoir, peut-être la dernière occasion de sa vie, l’Unique Personne qui pouvait ôter sa tache, l’unique Fontaine qui pouvait l’aider. Elle était tellement peinée pendant qu’elle pleurait qu’elle a été hors d’elle. Et alors que les larmes commençaient à couler sur Ses pieds, elle les essuyait. Oh! Elle était très peinée. Elle lavait ses... à elle, elle lavait les pieds de Jésus avec ses larmes. Quelle belle eau meilleure que ce que les pharisiens pouvaient donner à cette femme: des larmes de chaque pécheur repentant, lavant les pieds sales de Jésus. Alléluia! Les pieds sales de Jésus.


Lausanne, Suisse

E-45 Elle était là. Le pharisien a dit: «Eh bien, voyez? Il n’est pas un Prophète, car s’Il était un Prophète, Il saurait de quelle espèce est cette femme.» Pharisien prétentieux, honte à lui. Il a dit: «Eh bien, elle va ruiner Sa réputation.» Combien c’était différent!

Ecoutez. La réputation de Jésus est faite là où il y a des pécheurs (La réputation de Jésus est faite par des pécheurs.) Il faut des pécheurs qui se rendent compte qu’ils sont des pécheurs, qui se rendent compte qu’ils sont perdus, qui se rendent compte qu’ils sont loin de Dieu, qui sont hors d’eux, et qu’ensuite L’adorent. C’est là que Sa réputation est faite. C’est ainsi que Sa réputation s’est faite, avec la femme paralysée l’autre soir, les sourds, les muets, et les aveugles. Ils sont hors d’eux.

On leur dit probablement: «N’allez pas là. C’est du non-sens. Il n’y a rien là. Mais ils sont hors d’eux. Ils viennent de toutes les façons et se pressent d’entrer. Ils frayent simplement...?... de frayer leur chemin au travers de chaque...?... jusqu’à ce qu’ils arrivent auprès de Jésus. Alors, Sa réputation est faite. Oui.


Lausanne, Suisse

E-47 Puis, Il s’est retourné vers la pauvre prostituée qui Le regardait, elle se tenait là, ses cheveux retombant, les larmes avaient tacheté entièrement ses joues. Elle se demandait ce qu’Il allait dire. Va-t-Il la réprimander et dire: «Quitte ici, espèce de femme horrible»? Non. Il s’est tourné vers elle, et Il a dit: «Enfant, Tes nombreux péchés te sont tous pardonnés. Ta foi en Moi t’a guérie.»

Ô Dieu, accorde-moi de me tenir là. Accorde-moi de me tenir là où elle se tenait. Je serais hors de moi. Oh! Ô Dieu, c’est un monde du péché. Si seulement je voyais cela, je L’adorerais de même, puis les mêmes Paroles seraient prononcées: «Tes péchés te sont pardonnés.»

Je ne pourrais probablement jamais me tenir là où elle se tenait, mais l’un de ces jours, je vais prêcher mon dernier sermon, ma dernière goutte de sueur va tomber de mon visage; les dernières larmes vont obscurcir mes yeux. J’aimerais me tenir dans Sa Présence et Lui dire: «Je voudrais venir. Je ne veux pas un grabat. (Je ne veux pas...) Je ne veux rien de grand. Tout mon désir, c’est de m’avancer vers Ses précieux pieds, en rampant, et les tapoter un peu, les baiser une fois, et puis retourner. Cela me suffirait comme récompense pour tout ce que j’aie jamais fait. Prions.


Lausanne, Suisse

E-2 Maintenant, je–je vais juste vous donner un petit témoignage. Mais c’est un petit témoignage de–de l’oeuvre du Seigneur, c’est un peu une partie intime de ma propre vie. Je sens que nous nous aimons suffisamment les uns les autres, de sorte que vous savez que je ne suis pas ici pour une renommée personnelle. Je suis ici pour Jésus. Alors pour donner un petit témoignage...

Avant que nous le fassions, nous voulons lire juste un ou deux versets dans la Parole de Dieu. J’aimerais que l’interprète lise Jean 12, les trois derniers versets. Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole...?... Vous...?... [L’interprète lit l’Ecriture en fraais.–N.D.E.]

Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour.

Car je n’ai point parlé de moi-même; mais le Père, qui m’a envoyé, m’a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer.

Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C’est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites.

Que le Seigneur nous ajoute Ses bénédictions. Maintenant, nous n’allons pas prêcher sur ce sujet, mais c’est juste pour lire une portion de Sa Parole. J’aime vraiment Sa Parole.

Et maintenant, que chacun prie. J’aimerais voir chacun de vous tous guéri ce soir. Si je pouvais le faire, je le ferais volontiers. Si votre médecin pouvait le faire, il le ferait. Mais il faut Christ, et il faut votre foi en Christ, et Dieu–et alors Dieu le fera.


Lausanne, Suisse

E-5 Nous n’irions pas dans les grandes–les grandes cathédrales pour Le trouver, car, lorsqu’Il était ici [sur terre], les gens ne voulaient pas Le recevoir. Et ils ne Le recevront pas non plus ce soir. Aimeriez-vous aller auprès d’un homme qui avait une voix très puissante? Non. Alliez-vous chercher un homme qui a une érudition poussée, qui est tellement instruit qu’il parlerait en langues sans arrêt, à tel point que les gens ordinaires ne pourraient Le comprendre? Pas Jésus. Il parlait comme les gens ordinaires. Alors, où alliez-vous Le trouver? Vous devriez Le trouver parmi les gens ordinaires. Il serait un homme ordinaire.

Alors que serait-Il en train de faire? De se vanter de Son instruction? De vanter Son affiliation aux églises? Non. Allait-Il se vanter d’être un guérisseur? Non, Il dirait: «Ce n’est pas Moi, c’est le Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait les oeuvres. Si vous croyez, tout est possible.» Il regarderait l’assistance, les gens qui souffrent, et lorsqu’ils auraient la foi, Il dirait: «Ma fille,» ou «mon enfant, ta foi t’a sauvé de telle maladie.» Alors si le Père Lui révélait quelque chose, Il le déclarerait à l’assistance. Voilà le genre de Jésus que nous devrions chercher.


Lausanne, Suisse

E-6 Maintenant, Son corps portant les empreintes de clous n’est pas encore revenu. Il est assis à la droite de Dieu. Voyez, Il est assis sur le Trône du Père en ce moment. Mais lorsqu’Il reviendra, Il s’assiéra sur Son propre Trône, le trône de David qu’Il a hérité. C’est lorsqu’Il viendra dans Sa forme physique. Mais Il est ici maintenant dans une forme spirituelle, oeuvrant à travers votre corps...?... mon corps. C’est Lui aujourd’hui. Alors nous Le voyons par les oeuvres qu’Il accomplit. Les gens ne pouvaient pas croire qu’Il était Dieu, alors Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres que Je fais, car les oeuvres que Je fais témoignent que le Père M’a envoyé.» Voyez? Ils ne pouvaient pas croire qu’un homme soit Dieu. Mais Il a dit: «Regardez simplement à l’oeuvre.» Il a dit: «Si Je ne fais pas l’oeuvre de Mon Père...» Que voulait-Il dire par là? Il a dit: «Si je ne fais pas l’oeuvre de Mon Père, ne Me croyez pas. Mais si Je fais l’oeuvre de Mon Père, alors croyez en Moi. C’est le Père qui témoigne de Moi.» C’était l’oeuvre du Père. Ce que vous demandez...?... tout ce qu’Il a dit. Regardez exactement ce qu’Il a dit et ce qu’Il a prophétisé. C’est parfait. Les gens ont reconnu que c’était Dieu. Maintenant, Dieu est en nous, l’espérance de la gloire. Oh! j’aimerais vraiment parler de Lui.


Lausanne, Suisse

E-8 Un jour, je me rendais en Floride. J’avais pris un train. J’ai vu une vision. J’ai vu un petit garçon portant un–qui était pauvrement vêtu. Et il avait des cheveux coupés court. Et il avait été tué. Son–son petit pied avait percé sa chaussette. Il était complètement écrasé, et il gisait plutôt au bord de la route. Il y avait beaucoup de gazon vert et un très grand rocher; et il y avait beaucoup d’arbres, de conifères...?...

Et je suis allé en Floride. J’ai vu frère Bosworth. Et je me tenais dans une foule à peu près comme celle-ci, et je leur ai parlé de la vision. Lorsque les gens sont venus, j’avais noté cela. J’essayais–j’en avais une écrite juste ici. Elle n’est pas encore accomplie. C’est écrit dans des centaines de Bibles où les gens ont noté cela.

Alors j’ai dit aux gens: «Notez cela. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Ceci arrivera tel quel. Il y aura un petit garçon tué, qui va être guéri.» J’ai donné la description de la chose.

Des milliers de gens ont noté cela, dans toute la nation, partout où j’allais. Ça fait trois ans. Les gens avaient noté cela. Des dizaines de milliers de gens avaient noté cela. Cela a été publié dans le journal, La Voix de la guérison. Cela doit arriver dans ce pays, n’importe où.


Lausanne, Suisse

E-11 Nous sommes entrés dans les voitures, et nous avons commencé à descendre la colline. Et, alors que je regardais la montagne, j’ai vu des gens courir au loin, c’était à plusieurs kilomètres. J’ai vu une voiture faire un tonneau. J’ai dit: «Il doit y avoir un accident.» Ainsi environ vingt minutes plus tard nous sommes arrivés sur le lieu de l’accident. Quelques-uns de mes frères, monsieur Moore, monsieur Lindsay et plusieurs d’entre eux sont sortis de la voiture; et ils ont observé ce qui était arrivé. Deux petits garçons avaient commencé à traverser la route, l’un d’eux avait environ neuf ans et l’autre cinq, et une voiture Ford de marque américaine avait–avait–venait à vive allure au virage. Si quelqu’un parmi vous a déjà été en Finlande... Si quelqu’un parmi vous a déjà visité la Finlande, ils ont très peu de voitures. Ce sont des gens très pauvres, mais ce sont de merveilleuses personnes, de véritables chrétiens, des gens pieux.

Et j’ai remarqué, et un des petits garçons, lorsqu’ils commençaient à se séparer, la voiture s’était retournée de côté sur le côté droit de la route, et l’aile de la voiture avait heurté un des petits garçons sous le menton, et l’avait projeté de l’autre côté de la route, et l’avait cogné contre un arbre, et là il était tombé. L’autre petit garçon était–est passé sous la voiture, et la voiture l’a heurté, a projeté son petit corps en l’air, et il est tombé sur un carré de gazon. Alors ils ont pris le premier petit garçon; il respirait; ils l’ont amené à l’hôpital. Et ainsi l’autre petit garçon, ils l’avaient étendu là, et ils–ils l’avaient recouvert d’un manteau. Environ trois cents personnes se tenaient là, et le maire de la ville était là. Ils sont allés chercher–chercher le père et la mère qui travaillaient très loin dans une ferme pour venir sur le lieu de l’accident.


Lausanne, Suisse

E-12 Mes frères sont sortis voir le petit garçon, alors ils sont revenus et m’en ont parlé. Ils ont dit: «Allez le regarder, Frère Branham.»

J’ai dit: «Oh! Non. Je ne veux pas le voir.» Mon propre petit Billy devait donc avoir à peu près cet âge-là. Alors j’ai dit: «Je ne veux pas le voir.» Ça faisait longtemps que je n’arrivais plus à la maison, et je ne voulais pas le regarder. Et après un instant–mais on devait attendre que la mère arrive, ensuite ils allaient l’emporter afin de l’apprêter pour l’enterrer.

Et frère Lindsay a dit–il a dit: «Venez le voir, Frère Branham.» Alors je suis finalement sorti. Et lorsqu’on a ôté le manteau dont on l’avait recouvert, oh! la la! quelle scène: ses petits yeux étaient révulsés, sa petite langue était ressortie, son petit pied qui sortait par la chaussette était écrasé; ses chaussures étaient arrachées; ses petits bras complètement brisés. Oh! Le sang coulait de ses oreilles, de sa bouche, oh! il était horrible à voir. Et j’ai commencé à pleurer. Et j’ai commencé à m’éloigner.


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