Résultats de la recherche pour: «al a par» Total trouvé: 30081

Lausanne, Suisse

E-13 Maintenant, je ne sais pas à quel point vous allez croire ceci. Je ne peux dire que ce qui est vrai. Mais j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur mon épaule. J’ai pensé que c’était frère Lindsay. Et je me suis retourné pour le regarder; il n’y avait personne près de moi, et la main en question était toujours sur mon épaule. Je me suis de nouveau retourné; je me suis dit: «Qu’est-ce que c’est?» Je sentais comme si c’était la main d’une personne. Alors je me suis mis à marcher; et j’ai senti cette main me tirer vers l’arrière. Alors je me suis dit: «Qu’est-ce que c’est?» Voyez-vous comment–voyez-vous comment un–un homme peut être stupide? Voyez-vous? Nous ne comprenons pas les choses spirituelles. Et j’ai baissé les yeux sur le petit garçon; j’ai dit par mon interprète: «Dites-leur de relever de nouveau la couverture.» Alors ils ont soulevé la couverture. J’ai regardé le visage. Je me suis dit: «J’ai déjà vu ce garçon quelque part. Ça fait bien longtemps.» Et par l’interprète, j’ai dit: «Ce petit garçon a-t-il été dans la ligne de prière?» Personne ne le savait. J’ai dit: «Il me semble l’avoir déjà vu.»

Et j’ai commencé à m’éloigner, j’ai de nouveau senti cette main. Et je me suis encore arrêté, et j’ai encore regardé. Et il m’est arrivé de lever les yeux comme ceci; et le champ vert était là; il y avait là des strates rocheuses; il y avait des arbres. J’ai dit: «Laissez-moi le regarder de nouveau.» Il était là, sa petite coiffure irrégulière; ses petits yeux bruns étaient révulsés, son petit pied ressortait à travers la chaussette, cela correspondait parfaitement avec la vision. Oh! Vous ne savez pas ce que vous ressentez à ce moment-là. Tous les démons de l’enfer ne pouvaient pas arrêter cela. Ils ne peuvent pas arrêter cela en ce moment-là, Dieu avait parlé. Oh! Quel sentiment: vous êtes sûr de ce qui va arriver.


Lausanne, Suisse

E-14 Je me suis retourné vers frère Lindsay et frère Moore. J’ai dit: «Ouvrez vos Bibles!»

Ils ont dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

J’ai dit: «Ouvrez à la page de garde.»

Ils ont dit: «De quoi s’agit-il?»

J’ai dit: «Lisez.»

Ils ont dit–ils se sont mis à lire la description du petit garçon.

J’ai dit: «Regardez là. Regardez ces arbres.» J’ai dit: «C’est le garçon que j’avais vu il y a deux ans.» J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, si ce petit garçon ne se tient pas debout vivant dans cinq minutes, alors je suis un faux prophète.» Oh! la la! J’ai dit: «Tenez-vous tranquilles!» Et j’ai parlé à l’assistance. Ils n’y croyaient pas. Je pouvais sentir... se touchaient les uns les autres. Ainsi ils ont fait... L’interprète me rapportait ce que les gens disaient. Les gens disaient: «Eh bien, nous savons que c’est un fanatique.» Mais cela n’a pas fait obstacle. Je me suis retourné, juste comme le Seigneur me l’avait dit; j’ai dit: «Père céleste, Toi qui ne peux mentir, il y a deux ans dans mon pays, Tu m’as montré ce garçon. Et Tu m’as montré qu’il devait revenir à la vie.» J’ai dit: «Ô Dieu, maintenant exauce la prière de Ton serviteur. Et toi mort, tu ne peux plus le retenir! Rends-lui sa vie, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, il vivra de nouveau.» Et le petit garçon a crié, d’un bond il s’est tenu sur ses pieds, et il n’était même pas malade ni rien, il était parfaitement en forme.


Lausanne, Suisse

E-18 Et j’ai remarqué que, pendant qu’elle se tenait là, sa petite chevelure était en bataille et sa petite jupe était tout en lambeaux. J’ai appris plus tard qu’elle était une petite Finlandaise orpheline de guerre. Elle n’avait ni père ni mère; ils avaient été tués pendant la guerre. Elle était errante, et c’est une société de bienfaisance qui lui avait fabriqué ce grand appareil orthopédique. Et elle m’a regardé; elle a baissé sa petite tête; elle a de nouveau levé les yeux; et ce soldat finlandais...

L’interprète venait d’entrer par la porte. Je ne connaissais aucun mot finlandais, et ils étaient en train de me pousser...?... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] J’ai dit: «Non, non, non, non.» Et deux d’entre eux avaient le dos contre le mur et deux autres étaient derrière moi. Je me suis tourné vers eux; j’ai dit ceci: «Chut» [Frère Branham produit un son.] Et j’ai dit... De ce côté... «Chut!». Ils se sont arrêtés et ils ont regardé. Et j’ai regardé cette petite fille; et j’ai dit: «Chérie, veux-tu venir à moi?» Elle ne me comprenait pas, alors je lui ai fait signe de venir. Et elle a souri, et la voici venir, faisant avancer cette petite jambe. Je suis resté tranquille, et je l’ai regardée. Et elle s’est directement approchée de moi, elle a posé ses petites béquilles par terre. Et je me demandais ce qu’elle allait faire. Et ses–ses petits vêtements en lambeaux–cela–cela m’a fait mal au coeur. Et savez-vous ce qu’elle a fait? Et de sa petite main elle a saisi mon manteau, et elle a baisé ma poche. Je vous assure, mon coeur allait se briser. Elle a déployé sa petite jupe, c’est la coutume de petites Finlandaises. Elle a dit–et elle a dit: «Kiitos,» ce qui signifie «merci.» Et j’ai encore regardé, j’ai dit: «Ô Dieu, même si j’étais le plus grand hypocrite du monde, Tu devrais récompenser cette enfant pour cette foi.» Je me suis mis à avancer dans ce sens, et j’ai regardé. Et là une vision est apparue: la petite fille marchait normalement; je ne savais comment le lui dire. J’ai dit: «Chérie, Jésus t’a guérie.» Elle n’a pas compris de quoi je parlais. Jai dit: «Eh bien, tôt ou tard elle comprendra


Lausanne, Suisse

E-24 J’ai couru en toute hâte vers le téléphone. J’ai poussé un grand cri, et à ce moment-là, cela–tout le monde s’est mis à crier et à courir. Et lorsque je suis arrivé là, j’ai dit: «Allez appeler cette dame.» Et lorsqu’ils sont allés l’appeler, ils ont téléphoné à l’hôpital; on leur a dit que le bébé était mourant. Alors ils ont eu la mère au téléphone, et lorsqu’ils lui ont parlé, savez-vous ce qui s’est passé? Elle criait à tue-tête. Elle a dit: «Frère Branham, le bébé est revenu à lui, nous le ramenons à la maison maintenant. Le médecin trouve que l’enfant n’a aucun problème. Gloire à Dieu!» Avais-je quelque chose à faire là-dedans? Non. C’est la prière de la mère qui a sauvé l’enfant. J’ai seulement fait ce que je devais faire d’après ce qui m’a été montré. Qu’est-ce? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Prions.


Lausanne, Suisse

E-25 Bien-Aimé Père céleste, viens maintenant, je Te prie. Oh! Pendant que mon coeur regarde en arrière, et que je pense à ces jours dorés là parmi ces gens aimables et fidèles, aux grands signes et miracles que tu as accomplis dans diverses parties du monde, je me pose des questions. Un glorieux jour nous nous rencontrerons de nouveau nous tous. Oh! quel moment ce sera! Nous sommes si reconnaissants de ce que Jésus vint.

Maintenant, beaucoup de gens sont ici ce soir, Seigneur, j’aurais bien voulu les guérir. Les médecins auraient bien voulu faire quelque chose pour eux. Ô Dieu, aide ces médecins alors qu’ils travaillent de tout leur coeur. Nous Te prions de leur donner la sagesse. Ces gens veulent vivre. Mais, Père, beaucoup d’entre eux sont hors de portée des médecins. Tu es le Seul qui peut aider maintenant. Oh! ne veux-Tu pas le faire pour eux? Viens ce soir. Je–je leur ai dit que Tu les as guéris lorsque Tu es mort au Calvaire. Et lorsque Tu étais ici, Tu disais que Tu ne faisais que ce que le Père Te disait de faire.


Lausanne, Suisse

E-33 Bon, voici cette dame qui se tient ici. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle est une parfaite inconnue. Et maintenant, que se passera-t-il si Jésus se tenait ici, s’Il se tenait juste ici où je me trouve, et qu’elle soit en train de Le regarder? Eh bien, elle, peut-être qu’elle a des problèmes de ménage. Je ne sais pas ce qu’elle désire. Mais disons qu’elle est malade, si Jésus se tenait ici et qu’elle disait: «Ô Jésus, veux-Tu me guérir?» Qu’est-ce que Jésus aurait à lui dire?

Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai déjà fait. Ne crois-tu pas Ma Parole? Je t’ai guérie lorsque Je suis mort au Calvaire.» C’est tout ce qu’Il pourrait faire. Oh! Peut-être qu’Il pourrait lui parler. Et si le Père Lui montrait quelque chose à lui dire, ce serait tout, cela édifierait sa foi.

Maintenant, considérez lorsqu’Il s’est adressé à la femme au puits. Il s’est mis à lui parler, et elle était une inconnue, et Il a pu–Il lui a dit ce qu’elle avait comme problème. Ah! Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.» Elle ne pensait pas que c’était Dieu qui était là dans un homme–habillé comme un homme. Et Il... Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, le Christ, ce sera là le signe qui L’accompagnera. Mais Toi, qui es-Tu?»

Il a dit: «Je Le suis.»

Maintenant, tout au travers de la Bible, c’est ce qu’a fait Jésus. Et s’Il est ressuscité des morts, Il le fera de nouveau. Est-ce juste? Dites: «Amen.» Si c’est vrai. Maintenant, nous allons laisser cette dame être le juge.


Lausanne, Suisse

E-35 Eh bien, ce n’est pas moi; c’est Lui. Maintenant, Il connaît cette femme. Il sait tout ce qui la concerne. Alors, si moi je suis Ses yeux, ou plutôt s’Il utilise mes yeux, et ma voix, pour essayer d’encourager Son enfant, nous remercions Dieu pour ça. Et cela devrait amener chacun de vous à être reconnaissant. Cela ne devrait-il pas vous rendre reconnaissant? Dites: «Amen.»

Maintenant, si Dieu fait cela pour cette femme, chacun de vous va-t-il croire en Lui? De tout votre coeur? Bon, écoutez, mon ami, vous devrez reconnaître qu’il s’agit d’un Etre surnaturel, alors votre approche à l’égard de Cela déterminera ce que vous allez en tirer. Ayez donc la foi. Je ne parlerai plus.


Lausanne, Suisse

E-42 Bon, à cette dame... Maintenant, nous pouvons simplement amener toute cette file de gens. Nous allons juste continuer de faire la même chose. Mais parlons à cette dame, juste celle-ci, une de plus. Et voyons ce que le Saint-Esprit lui dira. Maintenant, cette dame est–est une inconnue. Maintenant, madame, afin que les gens ne pensent pas que c’est de la psychologie, ôtez votre esprit du motif de votre présence ici. Pensez à quelque chose d’autre qui n’a rien à voir avec ceci. Maintenant, j’aimerais que vous croyiez en Jésus. Et si Jésus me dit ce qu’est votre maladie, allez-vous accepter cela et croire de tout votre coeur?

Maintenant, vous êtes consciente que je ne vous connais pas; je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais aussi certain que je suis un ministre, ici à l’estrade, j’aimerais vous demander quelque chose. Ça fait presque une minute depuis que je vous parlais, quelque chose vous a envahie (Est-ce juste?), c’est comme une sensation. Levez la main. C’est juste. Amen. C’est l’Ange du Seigneur. Maintenant, croyez.

Vous souffrez de la nervosité. Ensuite vous avez un... Je vois un coeur en train d’être examiné. Vous avez une maladie cardiaque. Ensuite vous avez quelque chose qui ne va pas dans le foie. Il y a quelque chose dans le foie, on a examiné cela. Vous vous faites soigner par un médecin, il y a des médicaments et des médecins. Et je vois votre médecin pendant qu’il secoue la tête. Il–il vous a dit que vous étiez... Il a prélevé un–quelque chose au sujet d’une fièvre, une sorte de fièvre–une fièvre. Et il–il ne sait pas l’origine de cette fièvre. Il ne comprend rien au sujet de cette fièvre. C’est juste. Oui. Amen. C’est Jésus seul qui le sait.

Approchez, mère. Ô Dieu, aie pitié de ma soeur. Je Te prie de la guérir, Seigneur...?... envoie Ton Saint-Esprit. Maintenant, guéris chaque nerf et rétablis-la, au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, que Dieu vous bénisse. Vous êtes la bienvenue.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-4 Ah! L’église, le premier réformateur était Martin Luther, comme nous le savons tous, et le deuxième était Zwingli, et Zwingli est allé en... à... de... en Suisse. Et là, à Zurich, la Bible a été traduite pour la première fois en anglais, toute la Bible, à partir de la première traduction, ça a été fait à Zurich, en Suisse. Ils s’accrochent toujours à la vieille conception de Zwingli. Et la traduction de Zwingli nie la naissance virginale. Il ne croit pas dans la naissance virginale. Il disait que c’était le fils de Joseph, appelé Fils de Dieu.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-6 Et Billy Graham, bien connu, tout le monde le connaît, pratiquement, il était là pour un jour avant moi. Et ils ont bien critiqué ce pauvre jeune homme, se moquant donc de lui, alors que cela n’avait pas... Cela n’était pas nécessaire. Ils disaient: «Il a mis un cran pertinente dans ses cheveux.» Et ils disaient: «Il est venu à l’église comme s’il allait à une boîte de nuit plutôt qu’à l’église.» Et ils disaient: «Il prêchait comme un fantastique vendeur américain de savons.» Et–et ils disaient: «On pouvait sentir à dix pieds [3,8 m] l’odeur de son parfum», et tout comme ça, se moquant du jeune homme. Pourquoi? Il ne méritait pas ça.


Up