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Jeffersonville, Indiana, USA

E-107 Bénis la lecture de Ta Parole. Bénis les gens ici. Je suis très content, Seigneur, d’être chez moi aujourd’hui, là où nous n’avons pas besoin d’interprète, là où nous n’avons besoin de personne pour traduire en langues. Et alors, nous pensons, que quand nous arriverons à la Maison, dans la Gloire, on n’aura plus besoin de traducteurs, plus besoin d’interprètes, nous parlerons tous une seule langue là. Babylone sera alors passée, oubliée. On ne s’en souviendra plus; tout sera passé.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-109 Que les saints soient élevés. Que nous partions d’ici avec une nouvelle vision aujourd’hui, allant dans la force du Seigneur. Que les malades s’en aillent ce matin bien portants. Que la prédication de la Parole apporte cela. Que chaque personne malade soit guérie, que tous ceux qui sont très malades... Certains sont malades, aveugles, rongés par le cancer, souffrant du coeur, toutes sortes de maladies. C’est Toi le Guérisseur, Père. Et puisses-Tu Te manifester par l’Esprit ce matin, sachant qu’il n’y a rien dans l’homme qui puisse guérir un autre. Mais la guérison réside dans la foi dans le Seigneur Jésus. Et puisse-t-Il être si proche que tout le monde aujourd’hui pourra accepter Sa guérison (Accorde-le.), et accepter son salut par-dessus tout. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.


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E-117 Alors, maintenant, je vous ai donné l’occasion de prendre le passage des Ecritures.

Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien, et se mit à table.

Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum,

et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum.

Eh bien...

Le pharisien qui l’avait invité, voyant cela, dit en lui-même: Si cet homme était prophète... (Saisissez-vous cela?)... cet homme était prophète, il connaîtrait qui et de quelle espèce est la femme qui le touche, il connaîtrait que c’est une pécheresse.


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E-119 Vous savez, il y a quelque chose qui cloche. Pour commencer, le–le tableau ne donne pas bien, d’une façon ou d’une autre. On peut bien le voir, il y a quelque chose qui cloche ici. Qu’est-ce que ce pharisien voulait de Jésus? Il n’avait rien à faire avec Lui. Il Le haïssait. Les pharisiens n’aimaient pas Jésus. Eh bien, Lui a-t-il demandé de venir dîner chez lui comme un convive alors qu’il Le haïssait? Généralement, les hommes s’invitent au dîner quand ils s’aiment. Mais ce pharisien qui invite Jésus, ça n’a pas l’air correct, n’est-ce pas? Et il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire-ci, quelque part.

Alors, maintenant, ne soyons pas pressés. Examinons cette histoire un petit instant. Présentons-la sous forme de saynète. Et réfléchissons-y. Il y a quelque chose qui cloche.


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E-120 Vous savez, les gens ont des choses en commun. Vous savez, les gens qui aiment le Seigneur, ils aiment fréquenter l’église parce qu’ils–ils ont des choses en commun. Ils–ils... Nous avons des terrains communs pour des choses. Nous venons ici, car nous sommes tous des croyants dans cette–cette façon d’adorer. Nous croyons dans la guérison divine; c’est la raison pour laquelle vous amenez vos malades ici. Vous n’allez pas à des endroits où on ne croit pas dans la guérison divine pour–pour être guéri. Vous fréquentez les lieux où on croit la guérison divine. Et nous croyons dans le fait d’adorer le Seigneur en Esprit. Et c’est pourquoi vous êtes venus ici, c’est parce que nous avons... C’est la communion.


Jeffersonville, Indiana, USA

E-121 Eh bien, comme je l’ai souvent dit, vous prenez par exemple une toute petite fille qui suit la grand-mère tout le temps. Vous feriez mieux de faire attention. Il y a quelque chose qui cloche là. Il y a un grand écart d’âges entre elles. L’une a six ans, et l’autre a soixante-dix ans. Il y a quelque chose qui cloche. Eh bien, peut-être qu’elle est la chouchoute de la grand-mère (Voyez-vous?), c’est peut-être cela. Ou, peut-être, la grand-mère peut avoir des bonbons plein la poche, vous savez. Il y a alors quelque chose, la raison pour laquelle la petite fille... Pourquoi? Elle ne voudra pas jouer avec les enfants; elle suit simplement la grand-mère. Il y a quelque chose–quelque chose de curieux à ce sujet. En effet, les petits enfants ont des choses avec des petits enfants. Les petits enfants jouent avec les petits enfants. La Bible en parle dans Esaïe, les petits enfants jouant dans les rues.


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E-122 Eh bien, prenez là en Allemagne. J’ai vu de petits Américains et de petits Allemands, eux tous, jouant ensemble. Le petit Allemand peut être en train de parler vite l’allemand, et le petit Américain parle l’anglais, mais ils jouaient ensemble. C’étaient des enfants. Ils avaient des choses en commun.


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E-136 Mais Jésus a dit: «Vous êtes les enfants de la Lumière. Marchez dans la Lumière, et vous ne marcherez pas dans les ténèbres. Celui qui marche dans les ténèbres ne sait pas où il va». Il ne peut pas voir où il va. Mais un homme qui marche dans la Lumière sait où il va. Il se peut que vous fassiez beaucoup de faux pas, mais vous êtes sur le chemin de retour à la maison. Ça, c’est une chose sûre. Vous savez où vous allez, parce que vous marchez dans la Lumière.


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E-142 Beaucoup de soeurs parfois, vous savez, elles comme des hommes, elles font des montages. Vous allez chez elles et vous les entendez dire: «John, tu vas là au coin. Je t’avais dit de ne pas y aller.»

«Oui, ma chère.»


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E-150 Un homme m’a écrit une lettre depuis là en Allemagne, disant: «Venez, et qu’on le laisse couvrir la tête de gens de–de sacs, et qu’ensuite on me laisse savoir ce qui cloche chez eux, alors il–il parlera avec moi.»


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